Le jour fatidique annonçant l’affrontement pour le pouvoir : le combat entre deux idéologies d’un même peuple s’annonça des plus virulents. Nous étions une faction composées de près de sept cents cinquante soldats. Un nombre précis dans le but de limiter les pertes. Finissant de me préparer, je passai quitter le repaire de la dites Diao pour me rendre sur le champ de bataille, prêter main forte à l’unité qui me fut affilié. Etant retardé part mon escapade de la veille, se fut au pas de course que j’arrivai sur un plateau surplombant une scène d’apocalypse. Les hurlements résonnaient dans toute la plaine, des cadavres jonchèrent le sol entachés par le sang. Je les ai vu se battre au nom de la liberté, parlant de justice… mais en somme : pour qui ?

Je fus tiré de mes pensée par un groupe d’homme s’approchant dur le flanc opposé au groupe des Shinobis de Kumo. Il était clair que la situation prit un tournant à ce moment-là : Kumo porta un coup dur au Nukenin en leur privant de près de cent hommes. Cependant le groupe restant su se ressaisir, et organisa son attaque sur deux fronts : très astucieux. Voulant déstabiliser l’ennemi, afin de mieux frapper : l’attaque frontale des Nukenin servait à cela, pendant que leurs tirailleurs semèrent le chaos dans les rangs adversaires. Il était temps pour moi d’intervenir. Je me laissai tomber de pierre en pierre Finissant ma course en près d’un shinobi dès audacieux. Ce dernier, n’hésita pas en plein combat de prendre le temps de me taper la causette, alors que la situation ne nous prêtait aucunement à ce genre de chose. Le donnant une tape amicale sur l’épaule, je traversé en furie le champ de bataille, afin de m’occuper de ces hommes en position surélevée. Mon acte ne passa point inaperçu : j’entendis au loin un homme hurler à ses camarades « descendez l’homme à capuche ! » … sans doute m’avait-il reconnut. Une légère crispation se fit sentir alors quand je vis tous ces tirailleurs pointer leur arsenal sur ma personne.

Un nombre innombrable de kunai et de shuriken furent lancé vers moi. J’aurais pu éviter ces derniers d’un saut, mais la présence d’un grand rocher non loin de la mer permit de feinter cette première attaque contre moi. Profitant du léger temps de battement qu’il fallut à ces hommes pour s’équiper, je pus ainsi me lancer à l’assaut de ce groupe d’individu.

Ces hommes n’étaient aucunement organisé pour le combat au corps-à-corps, ce qui me donna un avantage certains, et cela malgré leurs nombre : Il ne me fallut pas longtemps pour réduire au tiers ce groupe d’individu. Mes assauts fulgurants et mortels étaient sans égales dans leurs rangs, et cela se fit sentir quand l’un des Nukenin Tanta de m’approcher avec sa lame.

Cependant il fallait l’admettre, ces hommes étaient néant moins bien organisé. Ce qui me poussa à cette décision : tuer le chef coordonnant l’ensemble des opérations… mais comment faire avec ces sbires me collant aux basques ? Le chef était à cheval, entouré d’une garde rapproché qui transmettaient ses ordres à ceux qui me combattaient. Profitant d’un moment de cafouillage des nukenins ne savant plus comment venir à bout de ma personne, fit exploser un fumigènes, pour ensuite sortir trois petite bombe que je faufilai dans la tenue de trois d’entre eux. M’élançant en direction de l’homme à cheval, ces hommes rappliquèrent de suite, n’ayant point compris ma supercherie : une fois à hauteur du groupe de protection du chef, chacune de mes précédentes cibles explosèrent ; Réduisant le groupe de protection à néant. Le chef tomba de son destrier, rampant sur le sol. M’avançant doucement vers cet homme, ce fut avec une facilité déconcertante que je le regardai droit dans les yeux, avant de lui ôter la vie.

Maintenant que les artilleurs furent mis hors d’état de nuire, la victoire était assurée pour les partisans de cette Diao. Mon travail fur rapide et sans bavure. Je n’avais plus qu’à attendre la suite des événements.