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Une après midi plutôt tranquille à rester chez moi, ne pas sachant quoi faire je me décida a laver mes vêtement de shinobi, j’attendais la venu d’une personne devant m’apporter un document qui le bureau ma demandé de livrer à une personne encore inconnu pour moi. Soudain j’entend quelqu’un frapper a ma porte je descend de l’étage ou je lavais mes vêtement, quand je m’aperçu que j’étais complètement nu…

- Merde mes affaires sont encore à laver !

La personne semble ne pas insister et je la voie partit de ma fenêtre, j’ouvre la porte pour ramasser le document quand une bourrasque de vent plus rapide que moi fait envoler les papiers jusqu’au balcon de mes voisins. Ce n’est que seulement après être arrivait sur le balcon de mes voisins sans réfléchir que je me rappelle encore une fois que je suis complètement nu. Tout à coup j’entends des gens approcher ! Je rentre chez mon voisin de peur qu’on me voie ainsi, avec chance la véranda du voisin était ouverte, enfin si on peut appeler sa de la chance… Je ne peux pas repasser par la rue, trop de gens sont dehors et cela nuirait à la réputation que je m’efforce de tenir dans tout Konoha. Il me faut un plan et vite ! Je réfléchi dans ma tête, déjà il faut que je sorte par la porte d’entré, après je sais que le voisin et du genre violent et qu’il est un ninja du grade de Junin, donc si je me fait attraper je suis mort. Un flux d’information défiler dans ma tête, jamais je n’avais autant réfléchi dans ma courte vie de shinobi, ensuite je sais qu’il sont trois à vivres ici, le père qui est donc Junin, la mère qui est elle inoffensive et un petit gamin de 10 ans qui est a l’académie ninja.

L’appartement fait deux étages, bien il faut que j’entre en action, ce n’est que lorsque je me retourne que je vois un petit bébé qui me fixe droit dans les yeux. Mon visage ce décompose, celui du bébé semble faire de-même, tout devient au ralenti pour moi, je vois le bébé ouvrir la bouche, sa sucette tombe, son visage ce décompose encore plus, comme si la fin du monde arrivait, dans un réflexe digne des plus grand ninja je saisi sa sucette au vol et la lui enfonce de nouveaux dans la bouche avant qu’il est put effectuer le moindre cris. Le bébé semble heureux d’avoir récupéré sa sucette, sens plus attendre je passe dans le couloir,


- Chérie combien de fois je t’ais dit de pas laisser le bébé seul en haut !!! Avec tout les malades mentaux qui ce promènes !!

Des pas, il monte, serais ce la fin de ma misérable vie ? Non c’est trop tôt pour mourir, je me faufile dans l’une des chambres, je vois un gamin dormant dans son lit, sauvé ! Je me jette au sol au pied du lit du gamin.

- Ninpô, Tategami no Shishi (Technique de la crinière du lion)…

Mes cheveux pousse jusqu'à que je ressemble a un parfait tapis de chambre en poils de..hummmm… en poils d’ours blanc. Le père récupère le bébé et retourne comme il est venu dans la pièce du bas. J’entends un bâillement et soudain une masse m’écrase la tête.

- Ouaaaaaa trop bien ce nouveaux tapis !!!

Le garçon semble s’amuser et me saute dessus jusqu'à a en perdre le souffle puis descend a son tour. Je reste KO au moins dix bonnes minutes, j’avais oublié de préciser que le garçon en question était déjà largement plus lourd que moi… Je me faufile à nouveau dans le couloir jette un nouveaux coup d’œil au salon ou était le bébé pour m’assurer qu’il n’y avait plus personnes, mes oreilles entendes le petit garçon raconter qu’il avait un tapis trop cool dans sa chambre que sa mère avait du lui acheter et décide de le montrer à son père, cette fois je me cache dans un énorme pot de terre posé dans le couloir, j’attend que le père et son fils monte, par chance le père ferme la porte, sans hésité je déboule l’escalier tout en restant discret. Sa femme m’entend mais elle semble occupée à faire la cuisine, elle ne me voit pas car elle est de dos. Je prend dans ma voix la plus grave, du moins j’essais avant de lui parler.

- ChéRie je vAis SorTiiiR les PoubElles !

Sans avoir même fini ma phrase je sors comme un dingue de l’appartement de mes voisins et rentre dans mon appartement. Je me remets de mes émotions, je suis heureux car aujourd’hui aurait pu être le dernier jour que je passais dans le monde des vivants. Les documents en mains et habiller cette fois je fonce les livrés à la personne assigné. Breff j’ai passer une journée de merde….