C'était une matinée aimable, une façon bien étrange de d'écrire une partie de la journée, mais c'est bien comme cela que je le ressent. Il ne c'était rien passé de déplaisant, une envie de flanner dans les rues de Kumo. Je suis partit prendre mon petit déjeuner dans un salon de thé, où la serveuse n'était pas bien réveillé. Elle avait même renversé un peut de thé à côté de ma tasse. C'était vraiment amusant de la voir sortir une bonne dizaine de fois "pardon" alors qu'il n'y avait que quelques gouttes sur la table. Je lui signifia bien entendu qu'il ne fallait pas s'inquiéter pour si peut. Etant donné l'heure matinal il n'y avait presque pas de clients, et la jeune femme décida de me tenir compagnie. Elle pris un café noire et un pain au chocolat.
La serveuse était très jolie, elle avait des cheveux long couleur chocolat, au reflet caramel, et une petite poitrine semblable à deux petits fruits mûre. Quand à ces yeux c'était deux petites sphères couleur ambre, de véritable trésor. Inutile de dire que pour une fois une serveuse me plaisait. Nous échangeons pendant un long moment, parlant de tout et de rien. J'apprend alors qu'elle s'appelle Jessica et qu'elle est originaire d'un village dans le pays des neiges. Elle aime également prendre soin des chats errants et m'avoue qu'elle verse toujours un bol de lait à leur attention, dans l'arrière boutique. Elle est assez charmante et je sent que je reviendrais la voir pour que l'on discute tout les deux. Jessica à quelque chose de très innocent dans l'âme, c'est très plaisant. Cette femme est reposante. Elle aime aussi les récits d'aventure et me pousse à lui raconter quelques une de mes missions. Pour lui faire plaisir je lui raconte celle avec mon compagnon Kovu, n'hésitant pas sur les détails de nos comportements. Elle buvait mes paroles avec un léger émerveillement et mangé son pain au chocolat les deux mains de chaque côté. Elle croquait uniquement l'endroit où elle pouvait trouver un peut de chocolat, si bien qu'à la fin il ne resta plus que de la patte quelle mis de côté.
Midi se mit cependant à sonner à la pendule dans la salle et je décida de partir. C'est avec une petite moue déçut que la jeune femme me laisse quitter le salon.
C'est ainsi que je me retrouve de nouveau dehors dans les rues de Kumo en direction de mon appartement. Tout était calme, les mères préssé leurs enfants à rentrer pour le repas. Moi je prend mon temps, cependant une fois dans ma rue je vois une silhouette familière. Je marche lentement cherchent qui cela peut bien être et je vois la personne me faire face. Mon coeur loupe une contraction, c'est elle... Elle ici, mais elle vient faire quoi... Pourquoi ? Comment ?
Laissant ces questions de côté je me précipite vers elle, d'abord j'allonge mes pas puis je finit par courir. Elle me tend les bras et je m'y engouffre l'enlaçant tendrement. Ces moments de tendresse sont très rare. Je ne faisais pas de tel geste plus jeune, mais cela fait bien des années que je ne l'ais pas vu. Aurais-je changé ?
Arame, je suis heureux de te revoir, lui dis-je dans ces bras.
La seul femme qui m'accepta et fit de moi ce que je suis aujourd'hui, du moins en partie. Arame est ma mère adoptive elle prit soin de moi après m'avoir découvert près des caravanes détruites de mon clan nomade. Sa famille c'est toujours opposé à cette adoption hors norme, mais elle fit comme si de rien n'était. C'est une femme débonnaire, aux formes généreuses et qui aime partager. C'est aussi une négociante hors paire et c'est grâce à elle que la famille de marchand Suzuki est arrivé si loin.
Moi aussi je suis contente de te voir Tet', tu te porte bien. Dit moi tu vie en couple ?
On ne peut pas faire plus naturel que Arame, c'est une chose certaine. Mais d'ailleurs comment elle à sue où j'habitais.
Non désolé de te décevoir tu ne pourras pas jouer les mamie gateau, je vie seul et je ne m'en porte pas plus mal. Tu connais mon envie de solitude. Sinon comment as-tu su où j'habitais ?
Tu sais bien que les marchand font parti du meilleur réseau d'information du monde.
Je lui sourie aimablement, au que oui je sais qu'ils sont un véritable réseau d'espion, j'en ais profité de nombreuse fois d'ailleurs.
Daisuke ma dit que tu allais ouvrir un comptoire de commerce dans le pays du thé, c'est vrais cette histoire ?
Toi aussi tu es bien renseigné mon petit Tet'. Oui c'est vrais il a ouvert il y a quelques mois. Bon tu me fait entré, on se les gèles ici en plus j'ai quelque chose pour toi. J'aime pas ce pays il y a vraiment pas assez de soleil.
Oui Arame n'hésite pas à dire tout ce qui lui passe par la tête. J'invite donc ma "mère" à monter dans mon appartement. Elle ne voit rien à me reprocher de comment je tiens ma maison, et me félicite de la propreté des lieux.
Tu pensé que je n'arriverais à rien ? Bon je suppose que tu prendra un thé vert ton préféré.
Tu n'oublie jamais rien toi.
C'est tout en préparent le thé que j'écoute Arame me parler de ce quel à fait durant ces nombreuses années ou je ne l'ais pas vu. Elle me raconte avec plaisir l'évolution des affaires, et quelles ont été ces meilleurs marchandages. Bien entendu elle n'oublie pas de me poser des questions sur mon avancement dans les grades ninja et me demande de lui raconter quelques missions.
Tu sais Arame je me plait ici, et je suis Juunin maintenant. On m'accorde beaucoup plus de confiance, j'entretiens des relations normal avec mes camarades. Rien de bien particulier, mais dit moi plustot ce que tu fait là et ce que tu as de particulier à me donner.
Je retira la théière du feux, et nous servit deux tasses d'un thé vert odorant. Je m'installe en face de Arame, genoux plié sous la table. Je vois alors mon invité fouillé dans un sac en toile que je n'avais pas remarqué la présence.
J'ai trouvé quelque chose qui il me semble t'es destiné.
Elle sort alors une boite en bois et la pose sur la table. Je la prend en main et l'éxamine. Je vois alors sur le couvercle un signe qui m'emplie de souvenir. Trois nuages entremélés, le symbole du clan Nakamura.
Tu as trouvé ça où ?
Alors c'est bien le symbole de ton clan je ne me suis pas trompé. Je l'ai trouvé sur un marché à la frontière du pays. Vu que ça appartenait sans doute à un des membres de ta famille j'ai pensé que ça te ferrais plaisir.
Tu as bien eu raison, sa me touche beaucoup.
Je lui souri aimablement et tente d'ouvrir la boite sans y parvenir. Arame me regarde tendrement.
Tu sais que ton clan est plein de secret. Je pense donc que ce coffret renferme l'un d'entre eux, étant donné le mal qu'on a tout les deux à l'ouvrir. Je te souhaite d'y parvenir, quand à moi je doit partir.
Déjà ?
Eh oui mon petit Tet' j'ai du boulot moi, j'ai pue faire un détour jusqu'ici mais je ne peux pas rester plus longtemps.
Bien.
Nous nous levons tout deux et je l'accompagne jusqu'en bas de chez moi. Nous nous quittons dans un sourire, loin de reproduire la scène touchante de nos retrouvailles. J'ai toujorus été distant avec elle, mais les sentiments on toujours été présent, et elle le sait. Elle me fait tout de même un baiser sur la joue signe de son affection.
Arame ne souhaite pas que je l'accompagne jusqu'à sa caravane, elle préfère me laisser découvrir les secrets que renferme la boite. Enfin c'est ce quel prétend mais je sais que c'est faux. Elle n'aime juste pas les aurevoir, et ne se sent pas le courage de me voir la suivre et l'aider comme au bon vieux temps.
Je remonte donc chez moi l'esprit préocuppé. Que pouvait bien renfermer cette étrange boite et comment cela ce faisait-il qu'un marchand soit en sa possession ? Il y a bien des choses étranges. Je pensais pas que mon clan laisserait des artefact derrière lui. Sa me pousse à chercher un peut plus quelles sont les secrets de mon clan. Il est certains qu'il y en a d'autre...
Une fois dans mon appartement je regarde la boite en bois sous toute ces coutures. Elle fait environ 20cm par 10cm, se trouve être faite dans un bois de cerisier, c'est sur le couvercle que le symbole du clan est gravé. Je ne vois vraiment pas comment l'ouvrir c'est un système très étrange. Etant donné que les Nakamura était un clan de ninja je décide de faire passer ma main pleine de chakra sur la boite mais rien ne se passe. Bon ce n'est pas un système de sceau. Mais comment peut bien marcher ce bordel ? Sa m'étonnerais qu'elle fonctionne vocalement. Agacé je pose la boite sur la table et part faire la vaisselle.
Je ne peux m'empêcher de réfléchir sur cet artefact, mais que peut-il bien contenir ? Une carte secrète, un message ? Ne faisant nullement attention à ce que je fait, je me coupe avec un couteau qui traînait dans l'évier. Fait chier manqué plus que ça. J'abandonne mon instrument de torture et m'apprête à alller dans la salle de bain, quand me viens soudain une idée. La particularité de mon clan est sans nul doute c'est qualité en tant qu'espion, mais une autre chose qui fait notre caractéristique c'est notre patrimoine génétique. Nous sommes tous de la même famille !