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| | Des PNJ plus vrai que Nature ! | |
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InvitéInvité | Sujet: Des PNJ plus vrai que Nature ! Sam 20 Oct - 11:16 | |
| Ont a eu beaucoup de question concernant les PNJ sans avoir vraiment trop de reponse vraiment concrete. Je fumé tranquilement ma clope magique quand soudain j'eu l'ilumination. Nous avons sur le forum des ninjas qui ne sont plus utiliser et dont le compte est toujours activé. Mais il y a aussi des ninjas dont le joueur a delaissé sans qu'il soit pour autant mort. Voiçis la liste. KonohaChiba Tessho | Chuunin de Konoha Renom : 7 mission : 6 Senju Naoko | Juunin de Konoha | Ninja gardienne Renom : 15 Mission : 15 Uzumaki Nozomi | Juunin de Konoha Renom : 12 Mission : 10 Hachi Yotsuki | Genin de konoha | fils de Yami Renom : 3 Mission : 2 Suna Oni Kitsune | Juunin Experte Renom : 22 Mission : 25 Journal de Bord : http://narutonosousaku.actifforum.com/t491-oni-kitsuneYume No Alice | Chuunin de suna Renom : 7 Mission : 5 xp : 150/400 Lien des rp : http://narutonosousaku.actifforum.com/spa/Yume%20no%20Alice/16Kiri Chuushin Terumi | Juunin de Kiri Renomé : 15 Mission : 18 Hozuki Ji-gun | Ancien Mizukage Renom : 14 Mission : 12 Mito Kanabushi | Chuunin de Kiri Renom : 10 Mission : 6 KumoSaito Raiken | Sandaime Raikage Renom : 12 Mission : 10 Xp : 519/650 Lien rp : http://narutonosousaku.actifforum.com/spa/Raiken%20Saito. - Spoiler:
Soixante seize ans auparavant, une attaque avait été orchestrée par le plus vil et le plus manipulateur des ninjas. Un homme masqué, inconnu de tous, avait réussi à passer outre les remparts de Konoha grâce au contrôle qu'il exerçait sur le démon renard à neuf queues. L'homme le plus célèbre et le plus fort de Konoha s'était alors interposé entre cet esprit du mal et le village. Un seul homme contre une immense bête. Un simple humain contre la force maléfique la plus puissante. Cet homme s'appelait Namikaze Minato, quatrième Hokage de Konoha. Cette histoire me fut comptée lorsque je fus plus jeune. C'était d'ailleurs ma préférée d'entre toute ; la représentation du bien contre le mal. Qui pouvait se douter que le bien l'emporterait, en quelques sortes ? A cette période, Kiri était en conflit avec Konoha et ne rêvait que de voir le village tomber. Toutes sortes de versions coururent les rues. L'une racontait que le démon renard s'était délecté du Yondaime et était reparti, rassasié tandis qu'une autre racontait comment l'homme masqué avait décidé d'arrêter l'assaut, estimant que les dégâts qu'il avait engendré étaient suffisant pour prévenir le village caché de la feuille. Mais en grandissant, j'ai appris à repérer le vrai du faux et c'est pourquoi c'est à mon tour de vous raconter une histoire.
I/ Le contexte historique
Le clan Kaguya, en ces temps-là, était réputé pour être un clan aussi violent que débile. La plupart des membres se battaient à longueur de journée et il ne se passait pas vingt-quatre heures sans qu'un mort fut à déplorer. Il faut aussi que vous sachiez que nous n'étions que très peu, une petite vingtaine, descendants des survivants de la guerre contre Kiri. Mais cette haine contre le village caché ne fit que s'amplifier continuellement au fil des âges. A ce rythme il était clair que le clan n'allait pas s'agrandir. Ennemis de Kiri, le clan siégeait néanmoins pas très loin du village caché. Avares et fous de pouvoir, les membres organisaient chaque jour des bastons où ils remettaient en cause le pouvoir du chef de clan. Nous changeâmes d'ailleurs assez souvent de meneur, leur espérance de vie ne dépassant pas généralement une année. Effectivement, les ninjas les plus puissants de notre clans étaient nombreux ; mais ils ne se doutaient pas que le nombre ne pouvait pas rivaliser avec la puissance. Pas contre Kiri.
Je suis née plus ou moins il y a six sept années. Simple fils d'un ninja du clan, je me montrai néanmoins digne de ma famille. Je n'avais aucun talent en particulier, mes techniques héréditaires ne se révélant que bien plus tard je dus trouver un autre moyen de vaincre mes adversaires. On m'initia à l'art du combat à mains nues dès que je sus marcher, et à l'art du Kenjutsu dès que j'eus la force de tenir une épée. Bien sûr, dans notre clan personne ne savait utiliser de Ninjutsu. C'est pourquoi je fus le premier à essayer. Vous vous en doutez, ce fut en vain. Durant plusieurs mois je m'entraînais chaque jour afin d'acquérir certaines capacités et une certaine aisance avec les Jutsus élementaires. Pourtant, je ne pus rien faire et fut contraint de me battre sans techniques. Tout du moins, c'est ce que mon entourage me disait. J'entends encore leurs stupides provocations et leur agressivité tout aussi inutile que gratuite. « Tu n'y arriveras jamais ! T'es qu'un bon à rien ! » criaient-ils. Au tout début, je n'eus aucun autre choix que de me cacher et de supporter les insultes des autres ninjas. Néanmoins, bien rapidement je remarquai que j'étais plutôt doué avec un katana. M'exerçant chaque jour plus ardemment que le précédent, j'acquis assez rapidement un niveau bien plus élevé que les congénères de mon âge. Au cours du temps, j'appris à sentir la lame, à la considérer comme un prolongement de mon corps. Une sorte de prothèse accrochée à mon bras. De fil en aiguille, je m'appropriai plusieurs techniques de Kenjutsu basées sur l'utilisation du chakra et le maniement du sabre. Ce fut d'ailleurs à l'âge de huit ans que je fus considéré comme un élément « fiable et plein de ressources ». C'est à partir de ce moment-là que j'eus le droit d'aller nourrir le Prisonnier. Mais cette rancoeur que j'éprouvais contre mon clan n'eut jamais disparu. Elle était restée au plus profondément de mon coeur, hantant chacune de mes nuits. Pour moi, un clan n'était pas fait pour s'entre-tuer à longueur de temps et même s'ils espéraient me conditionner, jamais ils n'y arriveraient. C'est la promesse que je me fis.
II/ Un ami, enfin !
Dans le clan, une personne surpassait toutes les autres. C'est du haut de ses six ans que le jeune garçon avait réussit à battre la plupart des ninjas, même les plus expérimentés qui arboraient notre insigne. Les cheveux sombres, un corps frêle, il était pourtant arrivé en tête de la liste des concurrents pour devenir le chef du clan. Sa puissance surpassait de loin quatre vingt dix pour cents des combattants Kaguya. Comment un simple garçon pouvait-il être si fort ? La première fois que je le rencontrai, ce fut quelques mois avant que d'être accepté dans l'armée du clan. Je devais avoir entre six et sept ans.
Pendant que je m'entraînais dans mon coin, comme toujours, rejeté par les autres, je m'étais écroulé de fatigue par terre contre un arbre. J'avais une grande détermination et la volonté de devenir le ninja le plus fort du monde. Mais cette volonté fut ébranlée cette nuit-là. Accroupis contre un arbre, haletant comme un chien qui avait couru un marathon, je n'en pouvais plus. Je sentais la sueur dégouliner de mon front jusqu'à mon torse. La brise légère qui entourait la zone me fit le plus grand bien, mais je décidai d'en rester là pour cet entraînement. Prenant ma serviette, je m'essuyai le front avec et épongeait mon torse tandis qu'un kunaï vint se planter à côté de moi. Bandant chaque muscle de mon corps, chaque recoin de mon être, tous mes sens étaient à l'affût. Avant même de m'en rendre compte, j'avais dégainé mon Katana et m'étais mis en garde. Je crus tout d'abord à une attaque ennemi et m'apprêtai à donner l'alerte attendant néanmoins de voir à qui j'avais à faire. Une fausse alerte ne serait pas apprécié par le reste du clan, et détesté comme je l'étais j'aurai sûrement eut droit à une punition des plus sévères. Les feuillages d'un buisson se mirent alors à bouger et un petit homme aux cheveux blancs en sortit. En y regardant de plus près, c'était un garçon d'à peu près mon âge. *Bande d'enfoirés*. Les jeunes du clans avaient comme sales habitude de me faire des farces de toutes sortes, qu'elles soient inoffensives ou non. Une fois, l'un d'eux s'était démerdé pour m'envoyer dans un piège et je m'étais casser la cheville. Résultat, je n'avais pas pu m'entraîner pendant trois semaines. Apparemment le fait que je ne pouvais pas utiliser mes os de la même manière qu'eux ne les réjouissait pas. J'eus le droit à pleins de différents surnoms. « Déchet », « Traître », « Erreur de la société », leur passe-temps favoris était de me jeter des pierres au visage. Et bien que lorsque j'en choppais un, je me vengeais comme je le pouvais, cela ne les empêchait pas de recommencer encore et encore.
C'est pourquoi, lorsque je vis le jeune homme sortir des buissons je ne pus m'empêcher d'affûter ma garde. Peut-être avaient-ils enfin décidé de m'affronter tous ensemble ? Ce ne fut qu'au bout de quelques secondes que je remarquai que ce garçon n'avait aucune arme. Il n'était pas plus en position offensive que ça. Abaissant lentement mon Katana, je dévisageai mon voisin. Ses cheveux noirs étaient un peu plus longs que les miens. Les deux points rouges, symbole du clan, trônaient au milieu de son front et des cernes rouges entouraient ses yeux. Bizarrement, je n'avais hérité d'aucun de ces deux symboles. En revanche, je possédai un sceau sur mon épaule droite dont je ne connaissais pas les effets. Peut-être était-ce signe que je ne faisais pas vraiment partie du clan ? Si c'était le cas, il serait clair que je n'en pleurerai pas. Le jeune homme s'avança vers moi et récupéra son kunaï l'air de rien, se contentant de retourner d'où il venait. Restant dubitatif, je ne savais pas à qui j'avais eut à faire et ma position défensive ne l'avait pas plus inquiété que ça. Mais qui était-il pour m'ignorer de la sorte ? Je décidai alors de l'espionner afin de voir ce qu'il manigançait et pourquoi cette arme de jet s'était planté non loin de moi.
Dans les buisson, il n'aurait jamais pu me repérer. J'étais connu pour ma discretion et mon maniement des épées. Pour lui, j'étais invisible. De plus, la nuit étant tombée, les bruits qui nous entouraient pouvaient cacher ceux que j'aurai pu faire par inadvertance. Mes yeux s'écarquillèrent néanmoins lorsque je vis ce petit être s'entraîner. Son corps qui paraissait faible contrastait étonnement avec ses capacités. Des pointes d'Os sortaient de tout son corps ; le moindre de ses mouvement était suivi de la pousse rapide d'armes essentiellement faîtes de calcium. Ses capacités à se concentrer sur ses mouvements et sur son Kekkei Genkai étaient impressionnantes. J'en étais d'ailleurs resté bouche bée. Son agilité au Katana égalait la mienne, mais en plus de cela il savait parfaitement utiliser son corps. Soudainement, il s'arrêta de bouger quelques secondes. Je l'observai attentivement. Un katana en os dans un main, il se contentait de fixer l'arbre sur lequel il s'était acharné jusque là. Quelque chose clochait, je le ressentais, mais je ne savais pas quoi.
Tout d'un coup, un détail me choqua. Poussant les branches qui me gênaient la vue afin de mieux le voir, un éclair me traversa l'esprit. Il n'était pas essoufflé ! Malgré toutes les acrobaties qu'il avait fait jusque là et tout le chakra qu'il avait dépensé, il n'y avait pas une seule goutte de sueur sur son visage !
« Es-tu aussi là pour m'insulter ? As-tu peur de moi, me crains-tu ? Rêves-tu de me jeter des pierres ? »
Cette phrase résonna dans ma tête plusieurs secondes. Comment pouvait-il voir que j'étais là ? J'attendis patiemment quelques secondes. Peut-être avait-il repéré une autre personne. Sentant un frisson me parcourir l'échine, une sueur froide me fit trembler. Pourquoi avais-je si peur qu'il me repère ? Jetant un coup d'oeil à ma main, elle tremblait comme jamais. Relevant les yeux, je vis à présent qu'il me fixait. Sa puissance était bien supérieur à la mienne. J'eus soudainement l'impression qu'il pouvait rien qu'en me fixant me tuer à tout instant. Sortant alors des buissons, je ne posai pas la main sur mon Katana, de peur qu'il ne le prenne pour un affront. M'inclinant devant lui par politesse, je me présentai alors.
« Bonsoir. Je m'appelle Saito. Et toi, qui es-tu ?
- Takashi. J'ai remarqué que tu m'espionne depuis un moment. Que me veux-tu ? »
Il prononça ce dernier quart de phrase d'un ton sec, mélange de haine et d'agressivité. Reculant d'un pas par réflexe, je n'avais pourtant rien à craindre. Mais je ne le savais pas.
« Excuse-moi. Tu as lancé un kunaï prêt de moi et je voulais savoir d'où est-ce qu'il venait.
- Oui, je m'entraînais alors je n'ai pas fait attention. Mais ce n'est pas grave n'est-ce pas ? Car si je n'étais pas venu le récupérer, tu aurais tenté de me poignarder dans le dos. Ais-je tord ?
- Non ! Enfin oui ! Enfin, ce que je veux dire, c'est que je n'aurai jamais tenté de te tuer ! Je ne te connais même pas !
- Alors pourquoi m'espionnais-tu ?
- Je te l'ai dit ! Je voulais juste savoir d'où venait le kunaï.
- Alors dans ce cas je m'excuse. Je me nomme Takashi ! Enchanté de faire ta connaissance Saito !
- Euh moi de même ! Mais pourquoi t'entraînes-tu tout seul ? Tu n'es pas avec les autres ?
- Disons qu'on ne s'entend pas très bien avec le reste du clan. Ce ne sont rien d'autres qu'un bande d'abrutis ... »
Et c'est ainsi que nous fîmes connaissance. Nous parlâmes une bonne partie de la soirée et depuis cette fameuse nuit, nous traînâmes ensemble comme deux rejets de la société. Mais deux rejets qui s'entendaient bien. Ce fut sans compter sur le reste du clan qui, avide de pouvoir et paranoïaque comme jamais, décidèrent quelques mois plus tard de l'enfermer dans une cellule isolée afin de « protéger le reste du clan ». Foutaises ! Celui qui avait besoin d'être protégé, c'était lui ! Tapis dans l'ombre, il n'eut rien d'autre à faire toute la journée que de rester assis. Il ne pouvait même pas s'entraîner. Cette mascarade dura deux ans, et pendant deux longues années je lui apportai chaque jours ses repas. Nous eûmes rarement la possibilité de discuter et le voir dans une telle situation me fit mal au coeur. J'avais enfin trouver un ami et avant même d'avoir fait correctement connaissance, le destin me l'enleva. Ma colère, ma haine envers mon clan ne fit que grandir chaque jour. Je savais qu'un jour je pourrai le leur faire payer, j'attendais juste le bon moment ...
III/ Et une guerre civile, une !
Comme je vous l'ai précédemment dit, Kiri et le clan Kaguya ne s'entendaient pas bien. Considéré comme une arme et rien d'autre, je n'étais qu'un pion dans leur immense échiquier. Néanmoins je réussis à atteindre paisiblement ma neuvième année sans avoir le moindre ennui. Après être entrée dans l'armée Kaguya, plus personne ne me jetais de pierre. Je n'étais pas apprécié pour autant, mais au moins j'étais respecté. A vrai dire, je n'aurai de toute façon jamais admis une quelconque preuve d'affection de la part de cette bande d'hypocrite irrécupérable. Cette haine que je leur vouais depuis mon plus jeune âge n'était pas vain. Seulement, je n'étais pas le seul à les haïr.
Peu de temps après mon anniversaire (que je n'eus d'ailleurs jamais fêté), le chef du clan eut la brillante idée de s'attaquer à Kiri. Pourtant, l'attaque qui avait été orchestré contre Kiri il y a soixante années de cela aurait dû nous nous servir de leçon puisque les anciens Kaguya étaient bien plus nombreux. Mais d'après lui, ils venaient de subir un affront de la part du village caché qu'ils ne pouvaient ignorer. Je me demande encore quel était cet affront. En même temps, cette bande d'écervelés s'énervait pour un rien. Mon clan était connu pour être le plus violent de tous cependant pas le plus fort. Nous fûmes alors convoqué pour que l'on nous mette au courant du "plan" qui consistait à attirer l'armée de Kiri dans un piège. Je n'osai pas intervenir de peur qu'on me méprise encore plus. Pourtant, au point où j'en étais je ne risquais plus rien hormis la peine de mort. Une première vague de nos ninjas allaient tout d'abord attaquer les rempart de Kiri. Cette offensive avait pour but d'attirer l'attention du village caché. Puis, celui-ci répliquerai sûrement en envoyant une partie de son armée contre notre village. L'idée était de les attendre bien sagement et de les cueillir. Une chose ne leur effleura même pas l'esprit : Et si l'armée de Kiri était bien plus puissante et imposante que la notre ? Peut-être nous extermineraient-ils jusqu'au dernier ? J'étais loin de me douter que j'étais aussi proche de la vérité.
Le plan fut mis à exécution et un soir, les éclaireurs nous avaient rapportés que l'armée de Kiri n'allait pas tarder à venir. Ils comptaient plus ou moins cent cinquante ninjas. Notre clan n'en comptait même pas la moitié. Ce devait-être un avertissement, supposais-je, rien d'autre. Pourtant je restai terré dans l'ombre avec mes congénères, plus cons que génères d'ailleurs, afin d'attendre le moment propice. Tout ne se passa néanmoins pas comme prévu. Nos éclaireurs avaient effectivement compté cent cinquante hommes, mais ils n'avaient pas vu le reste de l'armée qui était censée passer par les flancs. Rapidement, notre campement fut inondé de ninjas bien plus doués que nous. L'essentiel des combats se situaient à l'entrée du village et je pus voir de ma position tous les miens se faire massacrer. Un mélange de peur et de satisfaction m'emplit alors le coeur. La peur de me faire tuer et la satisfaction de me débarrasser de mes bourreaux. Je n'étais alors pas prêt à mourir. Je voulais fuir. Fuir le plus loin possible et tout oublier. Recommencer une vie. Mais avant il fallait que je fasse une chose qui me tenait à coeur.
Descendant du toit où j'étais perché, j'atterris devant les cachots. Dans ce caveau était enfermé Takashi. Serrant alors les poings, je mis toute mon énergie dans cette course plus folle que déjantée. Comment pouvais-je espérer fuir toute une armée ? Il fallait pourtant que je tente ma chance. Ainsi, j'arrivai rapidement, après m'être débarrassé de deux ou trois ennemis, devant la prison de mon ami. Mon visage se décomposé pourtant lorsque je vis que la cellule était vide. Il est vrai que le clan avait tout à gagner en le lâchant dans la nature. Il tuerait sûrement bon nombres de nos ennemis, mais il n'était pas assez fort pour abattre tout le monde ! Il fallait que je le raisonne, que je le sauve. Courant à nouveau vers la sortie du caveau, le combat s'était propagé jusque devant la bâtisse.
« Takashi ! » criai-je alors à pleins poumons. « Takashi, t'es où ? Il faut qu'on s'en aille ! ».
J'espérai de tout mon coeur entendre une réponse pourtant rien ne parvint à mes oreilles. Un ennemi tenta alors un coup d'estoc avec un kunaï que je parai avec une certaine aisance. Il esquiva à son tour mon coup horizontale et commença à composer des mûdras. Je me doutais bien que ce moment arriverait un jour. Celui où je devrais affronter des maîtres du Ninjutsu. Plaçant alors mon sabre devant moi, je me concentrai afin de faire passer une certaine dose de chakra dans ma lame. La boule de feu qui fonçait sur moi fut alors coupée d'une traite en deux et s'évapora dans les airs comme elle était venue. Profitant de l'effet de surprise que mon Jutsu venait de créer, je fonçais sur mon adversaire et l'empala au niveau de l'abdomen. J'avais évité tous les organes vitaux afin qu'il vive plus longtemps. Je ne voulais pas devenir une de ces brutes de Kaguya, je voulais être différent. Retirant mon katana, je fis un léger coup dans le vent afin de le délester du sang de sa victime. Je me remis rapidement à crier comme un dératé. Il fallait que je retrouve Takashi. Parcourant ruelles et toits, je ne le vis néanmoins pas. Un ennemi m'abattit soudainement son épée dans le dos et je ne sentis néanmoins pas la douleur. Tournant la tête, son arme m'avait eraflé tout le dos. Je contre attaquai alors rapidement et le mis à terre. Rien de bien méchant mais il fut néanmoins hors combat. Puis je dus me rendre enfin à l'évidence. Parmi le feu qui m'entourait, les bâtiments calcinés, les traces de sang un peu partout, je n'avais pas repéré la moindre trace de mon ami. Soit il avait déjà fuit, soit il s'était fait tué. Me retournant afin de commencer à prendre la fuite, l'idée qu'il était encore en vie fut abandonné en même temps que mon envie de combattre. Pourtant, je fus soudainement immobilisé. Je sentis alors une douleur aiguë au niveau de mon épaule et vit le bout du katana de mon ennemi qui venait de la traverser. Une seconde douleur accompagna cette fois la première lorsqu'il me trancha au niveau du dos. Lâchant un dernier cri du plus profond de mes tripes, je m'écroulai pourtant par terre et fermai les yeux. Je ne voulais pas mourir mais le halo noir qui brouillait mon regard me montrait que je me trompais. Et avant même que j'eus le temps de verser une larme, je perdis connaissance.
Ouvrant légèrement un oeil, je fus ébloui par la luminosité ambiante. A l'odeur qui y régnait, je pus facilement dire que j'étais entouré de vieilles personnes. Mais je ne connaissais pas cet endroit, je n'y étais jamais allé. Etait-ce le paradis ? Tournant la tête, une personne tenait un carnet et notait quelque chose dedans. Ravalant ma salive, je voulus parler et me rendis compte que j'avais la gorge très sèche. Des bandages entouraient mon torse et mon dos. Je me souvins soudainement de ce qu'il s'était passé.
« Où .. Où suis-je s'il vous plaît ? - Ah, enfin réveillé ! Tu es à l'hôpital de Kumo. Un de nos ninjas espions t'as trouvé sur le champs de bataille et t'as ramené. Comment t'appelles-tu ? ... »
IV/ Une expiation indigne de mes erreurs
Après une courte discussion avec l'infirmière, j'avais appris que je me situais à présent dans l'hôpital de Kumo. Tout autour de moi était blanc ; des meubles jusqu'au plafond cette vive lumière m'agressait les rétines. Depuis tout petit j'avais été habitué à vivre dans des endroits sombres. Jetant un coup d'oeil par la fenêtre, je remarquai que le ciel était d'un bleu azur très clair. Je me permis alors de me lever et de me pencher par la fenêtre. La vie qui grouillait dans le village m'interpella, surtout lorsque je vis autant de gens sourire et de gamin jouer. C'était la première fois qu'une telle vision me parvenait et c'était d'autant plus rare que personne ne se battait. Décidément, l'idée que je me faisais de ce village était fausse. Tout ce que je connaissais sur Kumo était son passé lugubre. Distrait par cette nouvelle vision du monde, je n'entendis pas qu'un homme avait frappé à ma porte. Me retournant alors lorsque j'entendis ses pas dans la pièce, je plissai les yeux afin de mieux le voir. Cet homme devant avoir la quarantaine passée. Grand et robuste, je n'aurai pas aimé l'affronter. Deux hommes le suivirent et entrèrent aussi dans ma chambre.
« Kaguya Saito ? - Euh .. oui ? - Tanuki, membre de la garde de Kumo. Voici mes deux acolytes qui ne sont là que pour une raison de sécurité. »
Ne sachant quoi dire, je pris appuie sur mon lit et m'assis dessus. Je savais très bien qu'ils venaient pour me chercher, pourtant je ne voulais pas finir comme ça. Qui aurait voulu passer sa vie enfermé ? Je connaissais quelqu'un qui l'avait en grande partie vécu. Je n'avais aucunement l'intention de me laisser faire.
« Tu te doutes sûrement de la raison de ma venue. - Plus ou moins. - Une grande partie de mes hommes m'a rapporté que tu as attaqué des ninjas de Kiri. - Oui, mais pour survivre, pas par simple plaisir. Ils m'ont attaqué alors je me suis défendu, rien de plus. Je ne veux aucunement être lié d'une façon ou d'une autre à mon clan. Tout ce que je demande, c'est qu'on me laisse à présent en paix. - Pourtant, tu sais que des agressions ne peuvent rester impunis n'est-ce pas ? - Oui et je suis prêt à payer ma dette à la société. - Etant donné les circonstances, nous avons convoqué une commission pour ton cas. Ta bravoure et tes capacités, qu'elle furent dressé contre eux ou pas, nous ont un peu étonné. Te tuer ou t'enferme toute ta vie n'amènera rien de bon pour nous .. - .. Tandis que m'enrôler "de force" si je puis dire, dans l'armée, est profitable pour tous. - Ah non, nous te laissons le choix. Tu peux, si tu le désires, passer le reste de tes jours derrière les barreaux comme un pitoyable animale de foire ou te battre pour nous. - Le choix est vite fait, présenté comme ça. Mais pourquoi me feriez-vous confiance ? - Car tu fais parti d'un clan de Kumo. - Excusez-moi ? - Ne t'es-tu jamais demandé pourquoi tu n'arborais pas les symbole du clan Kaguya ? Pourquoi tu possédais ce sceau sur ton épaule ? - Si bien sûr, mais en quoi est-ce lié à Kumo ? - Un clan est née il y a de cela une vingtaine d'année. Le clan Raiken. Néanmoins, faible comme il l'était au début, il ne possédait pas une très grande force défensive, et c'est ainsi qu'un enfant fut dérobé par un village voisin. Tout du moins, c'est ce que nous pensions. En faite, c'est le clan Kaguya qui, par pûre avarice, a décidé de s'en prendre à ce clan. - ... - Oui, je sais, ça fait beaucoup à entendre. Le clan ne possède pas tellement de membres, c'est pourquoi nous tenons à tout faire pour qu'il subsiste. Es-tu prêt à en faire de même ? - ... vous ne savez pas ce que cela signifie pour moi. J'ai toujours rêvé d'apprendre une telle nouvelle, de ne plus être relié à ces brutes sans cervelles. Maintenant que c'est le cas, ma vie prend enfin un sens. Je vais vous suivre, mais avant j'aimerai qu'on me confirme un truc .. - Quoi comme ? - Un jeune garçon de mon âge aux cheveux un peu plus longs que moi et noirs a-t-il été retrouvé sur le champs de bataille ? - Nos ninjas n'ont pas vraiment fouillé la zone. - D'accord, je vous remercie. Ou allons-nous maintenant ? - .. Dans les quartiers du clan Raiken ... »
Yoruichi Yotsuki | Juunin de kumo Renom : 11 Mission : 10 Xp : 160/550 Lien rp : http://narutonosousaku.actifforum.com/spa/Yotsuki%20YoruichiHistoire : - Spoiler:
Petite fille d’Ei Yotsuki, le légendaire Raïkage, la petite demoiselle naquit donc dans un clan qui avait fait ses preuves depuis des décennies et tout en grandissant, elle désirait marcher sur les traces de son grand père. Son statut de femme ne lui donnait pas beaucoup de poids dans son discours du fait que les femmes de ce clan n’étaient pas vraiment destinée à devenir des Kunoichi du fait que l’entrainement physique du clan était épuisant. Elles travaillaient souvent sous les ordres des Raïkage, usant de certains talents propres au clan, ou encore, s’occupaient des affaires des Yotsuki. Se battant presque contre son père et sa mère, elle parvint finalement à entrer à l’académie des Shinobi. Plutôt ouverte d’esprit, elle ne devint pas la meilleur, mais était assez souvent dans le peloton de tête, laissant les génies bien loin devant elle. Elle eu son diplôme du premier coup à la grande surprise de ses parents et c’est à ce moment précis que son père la prit sous son aile, l’entrainement pendant deux années consécutives afin qu’elle puisse comprendre combien était dur le monde Shinobi.
L’entrainement prit plus de temps que prévu du fait que la belle avait besoin de compenser son statut de femme face à des corps d’homme plus puissants… plus forts. Elle prit une année de retard et finalement elle entra dans une team de quatre membres. Trois Genin ainsi qu’un Juunin en charge des autres. Ce fut un moment tout particulier pour elle et elle apprit énormément de choses, voyageant avec eux, tissant des liens avant qu’elle ne soit un jour convoquée dans le bureau du Raïkage. Le motif de sa venue lui fut rapidement révélée et on lui proposa une mission tout à fait particulière. Du fait de son âge - 16 ans à l’époque - elle n’était pas encore reconnue dans le monde Shinobi et grâce à ses aptitudes, autant physiques que mental - surtout physique - elle pouvait s’intégrer rapidement dans une maison de Gaïsha ou plutôt, une maison de passe pour de nombreux Nukenin.
C’était avant tout une mission d’espionnage et elle ne put qu’accepter malgré les lourds contre partis. Elle allait devoir quitter le village pendant plusieurs mois, voir année le temps que sa couverture ne saute pas. Elle apprit donc à divertir les autres, jouer de la musique et bien qu’elle n’appréciait pas cela, elle se plia au jeu pendant plusieurs années, informant Kumo des dernières rumeurs avant de rentrer au village, fatiguée par un tel travail. Se mettre dans la peau d’une autre étant épuisant, on lui offrit quelques mois de vacances - ou plutôt de remise en forme avec son père - avant qu’elle ne revienne sur le devant de la scène, active pour son village, prête à en découdre avec les vilains méchants !
Yotsuki Eishi | Genin de Kumo Renom : 1 Mission : 0 Xp : 10/100 Histoire : - Spoiler:
C'était il y a 17 ans de ça, dans une partie du village de Kumogakure no Sato naquît Eishi. Ne connaissant point les origines de sa mère qui mourra en lui donnant naissance, il n'aura jamais entendu de sa mère. Son père le pris avec lui faire découvrir le monde ninja ainsi que l'histoire de son clan, dès son plus jeune âge vers 5 ans, Eishi combattait contre ses "Frères" de clan pour atteindre un niveau supérieur en Taïjutsu, Certes il n'avait pas du tout le même gabarit que ses compagnons mais il avait du répondant pour un petit gars comme il était. 5 ans plus tard, il comprit alors le sens du danger, il savait à présent manier un Katana chose inutile 5 ans auparavant car l'entraînement qu'il suivait tout les jours c'était pour l'endurcir et qu'il soit fort en Taïjutsu pour qu'ainsi il combine plus tard son Ninjutsu et son Taïjutsu (Nin-Taïjutsu). Vers l'âge de 12 ans il termine l'académie ninja, il apprend à gérer son Taïjutsu. L'art du corps à corps, avoir une vitesse non vue à l'oeil et une maîtrise total de soi-même. Eishi n'est pas un ninja à distance, c'est un ninja au corps-à-corps comme les autres membres de son clan. 2 ans après, Eishi fût touché par une terrible histoire de son père mort pendant la guerre ayant sacrifié sa vie pour son clan, depuis ce temps Eishi se mit à fond dans l'entraînement afin de devenir l'un des plus puissants Shinobi de son clan voir même du monde. Mais avant ça il devait montrer son talent afin de devenir un Chuunin.
. Nukenin Sabaku No Shiira | Nukenin rang C ( deserteur de Suna ) Renom : 7 Mission : 5 Momochi Anjiru | Nukenin rang B ( deserteur de Kiri ) Renom : 12 MIssion : 10 Kuromori No Mushi | Nukenin rang B ( deserteur de Konoha ) Renom : 15 MIssion : 11 Si on reflechi un peux , je pense que l'ont peux trouver un truc pas mal sachant que les personnes cité plus haut ne son pas mort. Donc pourquoi pas jouable en PNJ ou alors en Personnage predefinis
Dernière édition par Yotsuki Yami le Sam 20 Oct - 22:21, édité 8 fois |
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Nidaime Hokage|L'aigle de Konoha|Mentor.Messages : 447 Localisation : Loin
Feuille de personnage Renommée: 19 Mission: 16 Ryos: 7 715Meido | Sujet: Re: Des PNJ plus vrai que Nature ! Sam 20 Oct - 11:37 | |
| Idée intéressante : à approfondir. |
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InvitéInvité | Sujet: Re: Des PNJ plus vrai que Nature ! Sam 20 Oct - 13:32 | |
| KonohaChiba Tessho | Chuunin de Konoha ( 2 etoile ) Renom : 7 mission : 6 Histoire : - Spoiler:
Tessho, comme la plus part des ninjas de ce village, est né dans Konoha. D'un père et d'une mère, touts deux décédés à l'âge de quarante-ans, dix-ans après la naissance de celui qui porte le nom de Chiba Tessho. On pourrait croire, qu'il est né d'une famille normal, ou autre chose, mais non, son père, avait la particularité de créé des Boost physique, pour lui ainsi que pour ses alliés, il était souvent intégré dans les équipes de front lors des batailles ou des missions, pour facilité la réussite. C'était quelqu'un d'une détermination et d'un courage à toute épreuve et son fils hérita de son caractère, ainsi que de son don, malgré le fait, qu'il ne puisse booster que ses capacités à lui et pas celle des autres. Depuis la mort de ses parents -tout deux ninja-, il a vécu seul et à essayer de parfaire le don héréditaire qu'il avait, en essayant de faire du Taijutsu, son art principal, afin de pouvoir créé de redoutable combot et être vu comme quelqu'un de redoutable et utile au combat. La seule chose qu'il a fait durant toute sa vie était de s'entraîner. On sait également qu'il a une petite amie, dont on ne connait pas encore le nom, ni où elle est. Durant sa vie, il eu donc trois don : un héréditaire, un psychologique et... le don de la volonté du feu, transmis depuis la mort de Sarutobi Hiruzen il y a très longtemps
. Senju Naoko | Juunin de Konoha | Ninja gardienne ( 2 etoile ) Renom : 15 Mission : 15 Histoire : - Spoiler:
Naoko est née dans le clan Senju de Konoha, elle a deux parents ninjas. Son père est un ninja haut gradé tandis que sa mère est une kunoichi qui est dans la médecine. La jeune fille appartient donc au puissant clan de Konoha, un des deux clans fondateur du village caché de la feuille. Mais pas que ça, elle a le sang de ses ancêtres et de leur volonté du feu. Ses parents étaient souvent en mission dans les pays étrangers ou sa mère travaillait souvent à l'hôpital du village et y restait tard. Du coup, la petite Senju restait seule chez elle, mais pas avant ses dix ans, oui de ses trois à dix ans, elle fut gardée par sa grand-mère. Cette vieille femme lui apprit les bases qu'elle devait connaître à son âge. Nao apprit donc à lire, compter, écrire et connaître certaines règles ninja. Tous les soirs avant de dormir, sa grand-mère lui raconta des histoires sur Hashirama, Tobirama, Tsunade ou bien d'autre évènements de sa vie quand elle était jeune fille et ninja médecin. Pendant la journée avant de rentrer à l'académie ninja, Naoko s'amusa beaucoup avec d'enfant de son village. La jeune fille était un peu garçon manqué et jouer plus souvent avec les garçons qu'avec les filles de son âge. Elle appris grâce à ses jeux, à lancer des kunais ou Shuriken, car ils allaient souvent dans la forêt où ils avaient installé un stand de lancer. La Senju piquait au moins cinq kunai et shuriken à sa grand-mère pour aller s'amuser.
Naoko entra à l'académie ninja et ce fut sa mère qui l'accompagna la première fois afin que la petite ne soit pas déboussolée. La jeune enfant apprit plus sur la façon d'être un ninja grâce au cours qu'elle suivit sérieusement. Lors de ses devoirs à la maison, elle fit plus souvent aider par sa grand-mère que par ses parents. Sa mémé lui donna toujours des conseils pour qu'elle ne soit pas perdue et surtout pour qu'elle devient une future femme forte de l'histoire ninja comme Tsunade. Au fur et à mesure que les années passèrent, le comportement un peu timide de la jeune fille changeait et devenait plus sûr d'elle. Naoko réussit à devenir Genin à l'âge de quatorze ans, elle effectua souvent des tâches simples tout en restant dans le village. Jusqu'à ses dix-sept ans, elle eut la possibilité d'avoir une affinité, le Suiton et Nao fut aidé à le maîtriser par sa grand-mère ou un de ses parents quand ils étaient là. Naoko fera tout son possible pour être une kunoichi très fort et faire honneur à son clan Uzumaki Nozomi | Juunin de Konoha Renom : 12 Mission : 10 Hachi Yotsuki | Genin de konoha | fils de Yami ( 2 etoiles ) Renom : 3 Mission : 2 Xp : 0 / 250 Histoire : - Spoiler:
Hachi Yotsuki , née du pere Yami Yotsuki et de la mere Tiin ya du clan Kurorai. Yami a rencontrer sa femme a l'age de 26 ans il venait tout juste d'etre promu au rang de Juunin. De cette union des plus secrete née un jeune homme plein de talent et avec une volonté de faire. Le jeune Hachi. Son prenom Hachi vient du demon a huit queue que possedé son grand pere a l'epoque. Alors que Yami devint raikage , le jeune Hachi trouvait le jour dans les bras de sa mere qui s'occupa de lui jusqu'a ses douze ans. Son pere quand a lui étant raikage n'avait que tres peux de temps a conssacrer a son fils qui malgres cela ne céssé d'aimer son pere. Il le porté dans la plus haute estime malgres qu'il ne le voyait pas souvent. Tel pere tel fils , les deux hommes s'aiment plus que tout. Mais un evenement vint troubler toute cette belle histoire. Yami perdit la main dans un combat dans le village de Kawa. Suite a celui l'homme sombra dans une depression devant ce faire interné pour reprendre le dessus.
Suite a cela, la mere de Hachi s'occupé constament de son pere pour l'aider a reprendre du poil de la bete, mais en vint ... rien n'y faisait. Alors grace a l'entente de Yami avait avec le village de konoha, Hachi fut donner a son parrain, le Hokage Shirogiri No Taka. Hachi devenait alors un membre du village de konoha et non plus un ninja du village cachée de la foudre. Malgres ceci il reste autant fan de son pere. Il espere par dessus tout qu'il reprenne le dessus pour rentrer a nous dans son village. Il veut aussi dompté le Bijuu Hachibi comme son arriere grand pere.
Dernière édition par Yotsuki Yami le Sam 20 Oct - 22:20, édité 1 fois |
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InvitéInvité | Sujet: Re: Des PNJ plus vrai que Nature ! Sam 20 Oct - 13:33 | |
| Kiri
Chuushin Terumi | Juunin de Kiri Renomé : 15 Mission : 18 Histoire :
- Spoiler:
Et ainsi une légende naquit dans le petit village entouré de brouillard, nous sommes donc en présence d'un enfant qui bouleversera le cours du temps . Chuunshin fut donc destiné à une grande vie, à vrais dire il n'avait pas le choix que d'accepter son rôle de meneur . C'est sa grand-mère, la défunte fille de la grande Mizukage de l'ancienne génération qui décida de lui donner ce prénom, ce dernier transmet tout l'esprit qu'obtiendra ce gosse, il ne devra jamais abandonner, jamais sous-estimer ni sur-estimer et devra surtout aller jusqu'au bout des choses quand il commencera une action .
Il n'eut pas une enfance des plus facile, en effet, très jeune on l'initia à l'art du Ninjutsu, lui enseignant toutes les bases qu'il devait connaitre, on remarqua très vite qu'il ne fut pas un enfant précoce, c'était un gosse tout à fait normal qui voulait passer son temps à jouer avec les autres enfants . A la vue des bases qu'il avait obtenus, il passa très vite Genin, malheureusement pour le clan et le système de Kiri, sa légendaire flemme de passer au rang supérieur ralentit grandement sa carrière . Un élément vint seulement le booster un minimum, en effet Kiri venait de se faire attaquer par la Shikatsuki, le jeune Genin était trop faible pour les affronter et ce fut ce petit dé-clique qui le propulsa dans une course à l'expérience .
Hozuki Ji-gun | Ancien Mizukage Renom : 14 Mission : 12 Histoire : - Spoiler:
La lune était pleine au-dessus d'une certaine demeure, elle-même sur une certaine colline sur-plongeant un certain pays. En cette nuit éclairée d'une lueur jaunâtre allait avoir lieu un acte de bonheur, celui qui est souvent considéré comme le plus beau dans une vie pour ceux ayant côtoyé cette expérience. Il s'agit simplement du fait de donner la vie, une chose des plus naturel, mais qui au fond n'est autre que l'évènement le plus complexe qui puisse être. Contredisant toutes les lois les plus basiques des sciences humaines qu'est les mathématiques, deux personnes ensemble donneront qu'un enfant. Enfin si cela avait été le cas en cette nuit, alors bien des choses auraient été arrangées. En effet, la femme qui gardait en elle la vie, allait sous peu faire ressortir à sa plus grande surprise deux enfants au lieu d'un comme convenu. Ce qui pouvait être une multiplication du bonheur, n'allait pas être. La maison qui était juste en dessous de la pleine lune, surveillant l'évènement, était tout en bois. A l'intérieur avait lieu une cérémonie assez spéciale, des bougies étaient allumées en deux piliers, tous deux relié par un cercle d'un rouge sang d'écriture ancestral. Au milieu de tout cela, surélevé par plusieurs tissus plié et étalé, se tenait une femme en sueur, les jambes écartées, elle faisait face à une vieille dame de petites tailles. Cette vieille tenait un bâton affiné dont le haut formé un cercle agrémenté de plusieurs sphère de métal qui a chaque mouvement émettaient un bruit aiguë résonant dans tout le lieu. Le père n'était lieu pas présent en ce lieu où un évènement fabuleux allait avoir lieu. Il n'était en fait pas autorisé à participer à la cérémonie de naissance, la vieille dame était une Shaman et elle allait elle-même superviser cet instant, plus spéciale que prévu. Elle avait l'air de déjà savoir qu'une chose imprévu allait avoir lieu, quand les contractions eurent lieu, elle entama des paroles émît finement et au dialecte des plus anciens. Continuant ainsi jusqu'à que l'enfant sorte, ce ne fut pas un pleur qui se fit entendre, mais deux. Des jumeaux venaient de naître, sans la moindre surprise pour la petite dame, qui avait plutôt l'air embêté par cela, comme si elle souhaitait au fond d'elle que ses certitudes n'en soient finalement pas. Mais elle n'espérait qu'utopie, tous les éléments étaient là pour justifier le fait que "cela" allait bien avoir lieu.
La mère semblait exténué, en voyant ses enfants, de ses yeux sortis un flot de sanglot. Ce liquide mêlait exaltation et tristesse. Tout lui avait déjà été expliqué par le passé, elle n'y croyait pas, bien qu'elle laissa la Shaman s'occuper d'elle. Elle ne pouvait agir de façon contraire, après tout celle-ci accompagné cette famille depuis déjà plus de trois générations. Son âge ? Personne ne le savait vraiment, cela restait un grand mystère pour tout le monde, il était seulement là pour justifier le fait qu'on pouvait bien avoir confiance en ces compétences. La nuit se finit dans le même esprit, des discutions eurent lieu, le père rejoignit le groupe dès qu'il sut que l'accouchement fut terminé. Les directives furent données par la Shaman, qui finirent sur une nouvelle date. Que signifiait cela ?
[ ... ]
Un arbre aux pétales de rosé tombant lentement sur l'eau du lac sans courant, une vue des plus belles dans cette plaine à la période de l'année la plus belle. Sur une branche se cachait un jeune enfant âgé plus de neuf ans, une allure encore enfantine, le sourire aux lèvres, il se retenait juste de rire. De longs cheveux blond tombant sur ses épaules, un teint doux qui virait à certaine occasion plutôt vers le gris, des yeux d'une pupille verte des plus pures. Des vêtements de noble sur lui, d'un tissu fin et doux, il restait planté là, tenant des branchages dans la main pour se cacher ainsi que pour pouvoir espionné sous une légère ouverture. Il avait l'air de chercher quelque chose, mais sans arriver un instant à le trouver. Il semblait tout de même confiant, comme s'il avait réussi à obtenir ce qu'il voulait ... Son état alla vite être bouleverse, sous un bruit, un son fort, venant de derrière lui, le faisant sursauté, un « BOUH !! » comme le fait n'importe quel enfant au moins une fois dans sa vie. Dans son mouvement de terreur, il perdit l'équilibre et combat au sol sur les fesses, il n'avait tout de même pas l'air blessé. Laissant apparaitre à son ancienne place un nouveau garçon du même âge, ayant les mêmes caractéristiques physiques, sans plus d'étonnement, il s'agit bien sûr de son frère jumeau.
Les deux semblaient jouer et le perdant était celui qui venait de tomber, il semblait plutôt vexé de cette situation, lui qui paraissait si confiant en haut de l'arbre. Se relevant en tapotant ses vêtements pour enlever la poussière qui s'y était accroché, il alla ensuite pointer du doigt son frère gagnant en lui criant dessus montrant son mécontentement. Ce dernier descendit, il semblait bizarrement avoir quelques centimètres de plus, avec une allure de grand-frère il alla poser sa main droite sur la chevelure du plus petit. Le consolant ainsi, il le fit même rougir quelque peu, comme bloqué il resta ainsi deux petites secondes paraissant une éternité, son coeur semblait s'illuminer, chaud comme un brasier. Lorsqu'il reprit ses esprits, il détourna son visage de celui de son frère au large sourire, sa fierté revenant à grands pas, il demanda une nouvelle manche. Cette fois-ci, ce serait à lui de chercher, comptant jusqu'à cent, il parti très vite à sa recherche. Celle-ci dura une dizaine, puis une vingtaine de minutes, avant qu'il finisse par se rendre compte qu'elle l'amena un peu trop loin du lieu de jeu. Mais devant lui se tenait une grotte, la cachette ultime, il le sentait, il devait y aller, comme si son destin l'avait amené ici ... Pour ce jeu. Il se rapprocha, tellement qu'il finit très vite par être un peu trop près, jusqu'à glissait violemment sur plusieurs mètres. Des roulé-boulé dans tous les sens l'amenant en atterrissant sur son dos dans une structure sous-terrain plus sombre que jamais. Il n'y voyait rien, encore déboussolé par la chute, il ne se rendait pas encore compte de la situation, qu'il était seul, plusieurs mètres au-dessous de tout, sans même pouvoir y voir ne serais-ce que les blessures éparpillé tout du long de son corps. Il lui fallut quelques instants pour se remettre, mais ce qui le réveilla vraiment ce fut une voix. Celle-ci résonnait dans son crâne, plutôt légère, elle restait tout de même à des instants plutôt strident, le genre à te faire grincer des dents. De par l'environnement il ne pouvait être certain du fait qu'il soit éveillé ou non. Cette voix lui demandait de l'écouter, que s'était son destin qui l'amenait enfin ici pour qu'il puisse vivre ou plutôt survivre.
[X] - Lève-toi, écoute moi, je suis toi et tu es moi, on est fait pour être ensemble depuis toujours, on nous a séparé par pur égoïsme. Maintenant que je peux enfin, qu'on peut enfin être ensemble pour l'éternité, on veut à nouveau nous séparer, et cette fois pour toujours ... Enfin surtout dans ton cas. [Enfant]- Que ?! Qui es-tu, que me raconte tu ? On ne se connait pas, c'est la première fois que je t'entends. Et t'es paroles n'ont aucun sens. [X] - Je peux tout t'expliquer, tu es en danger, je suis le seul qui peut te sauver ... Mais pour cela il va falloir que tu me fasses confiance ... T'es parents vont essayer d'en finir avec ta vie. [Enfant] - Hein, c'est absurde, il m'est totalement impossible de te croire, en aucun cas. [X] - Je vais tout te raconter, depuis le commencement ... Tout vient d'une légende, mais sache que celle-ci est réel et que l'histoire le démontre de tout temps. On dit que dans votre famille, tous les cent ans, deux enfants naissent d'une union pure, sous une lune aussi pure, mais que malheureusement la folie les guettent. L'un des deux deviendrait le mal absolue, celui-ci causerait la destruction et amènerait l'ombre en ce monde, tandis que l'autre amènerait la paix et la richesse de votre entourage, le faisant s'élever un peu plus dans ce monde. Le dernier couple fut naît il y a maintenant bien plus de cent ans, il y a bientôt dix ans un nouveau arrivait, non attendu à la base, il s'agit de ton frère et de toi. Mais une vieille Shaman assez vieille pour se douter de votre arrivée, a réussi à retenir le mal pour une dizaine d'année, pour ainsi permettre à votre mère de pouvoir vous élever. Mais bientôt la Shaman apprendra lequel est destiné au mal, ne pouvant plus rien faire, elle n'aura pas d'autre choix que de le tuer. Il pourrait bien s'agir de toi, comme il pourrait s'agir de ton frère. Mais je peux changer cela, tu peux très bien vous sauvez, changer ton destin, survivre comme il le faut. [Enfant]- Ce ... Ce n'est ... Ce n'est pas possible, je ne peux pas vous croire, en aucun cas, je ... je [X] - Tu n'as pas à me croire, je te demande juste de me faire confiance un instant, je te sauverais, tu ne peux échapper en ton destin, il ne faut en aucun cas laisser ce genre de vieille essayer de te le changer. Si tu ne peux pas changer ton destin, alors laisse-moi te permettre de changer les autres pour toi. Le monde est impur, il est mauvais, mais je peux te permettre d'être assez fort pour que plus personne ne puisse gêner ta destinée. [Enfant] - Co- .. comment puis-je empêcher cela d'arriver ? [X] - Il te suffit juste de suivre la lumière, marche vers elle, ne te laisse pas bêtement éblouir.
Au loin une lumière augmentait peu à peu, faisant disparaitre au fur et à mesure les ténèbres aux alentours. Bientôt dominant complètement les lieux, d'une forte intensité, pourtant c'était comme si elle indiquait le chemin au jeune enfant. Il se leva sans problème, son corps bougeait tout seul, très vite il arriva près des origines de cette intense luminescence. La touchant fermement de la main, tout revint au point de départ, laissant apparaitre qu'une simple épée à la main de petit. Directement après, sans prévenir, elle s'ancra progressivement en sa peau. Disparaissant totalement en le jeune aux cheveux ondulés, celui-ci reprit alors totalement ses esprits. Il était dehors, la nuit était tombée, la lune était presque pleine, faible, il essaya de marcher, mais fini très vite par tomber dans un profond sommeil. Le noir, puis rien ... Le silence, plus intense que n'importe quel cri, faisant plus peur que n'importe quelle menace. Il dominait les lieux ... Rien, rien, rien, rien, rien, rien ... Mais pourtant tant de choses. La lumière, éblouissante, les yeux s'ouvrant petit à petit, on ne voyait plus que du blanc, après un noir intense, les opposés se suivaient. Maintenant ses yeux rétablis, il pouvait tout voir, le vide venait lui aussi de laisser place à des objets et couleurs aussi diverses que possible. Posant le plat de la main au sol, d'une forte impulsion, il se leva, ce mouvement alla vite lui rappeler l'escapade d'avant sommeil. Une douleur intense et brève au niveau des abdomens. Posant son autre main sur son front, il ne se sentait pas bien, ne se souvenant pas encore de tout ce qu'il avait pu traverser pour en arriver là. Il se souvenait seulement du jeu avec son frère ainsi que de la grotte, mais après cela plus rien.
Il se força malgré la douleur à se lever, son corps était lourd comme si du plomb y était incrusté. Chaque pas le faisait valser sur sa droite puis sur sa gauche. Arrivant au niveau de la porte de sortie, il n'eut d'autre choix que de se maintenir contre le mur pour ne pas finir au sol. Longeant ainsi le mur dans l'espoir de trouver une personne qu'il connait, il pouvait voir qu'à l'extérieur la nuit était déjà tombée, peut-être que tous dormaient déjà. Alors qu'il allait rebrousser chemin pour retourner à ses rêves, il put entendre de vague bruit, il provenait de la salle principale, certainement ses parents avec une invitée. Il se dirigea donc avec difficulté une nouvelle fois vers ce lieu, en arrivant devant, il put remarquer par le biais d'une légère fente, la présence de la Shaman de la famille. Les forces le perdaient, sans savoir pourquoi il ne rentra pas dans la salle et préféra écouter à la porte. Seulement quelques paroles l'atteignit, ses mots étaient « Je le sais » « On devra obligatoire mettre fin à sa », « Notre destin en dépend » et « Cela se fera la vieille de leur anniversaire ». A cet instant, le vide prit place dans la tête du jeune enfant, il n'était plus lui, des souvenirs de sa discussion avec la voix mystérieuse, le rapprochement avec les paroles entendues il y a un instant. Mais pourtant tout était flou en lui, bien que les éléments étaient clairs, ce sentiment était plus que bizarre, comme-ci il ne s'était finalement jamais levé, que depuis le début il ne s'agissait que d'un cauchemar. Sans même se retenir contre le mur, en marchant de travers il se dirigea vers sa chambre, où il tomba lourdement dans le matelas posé au sol. Son corps comme son esprit l'avait complètement lâché, pas sûr qu'au réveil il se souvienne de tout une nouvelle fois.
Cela arriva plusieurs heures plus tard. Midi allait bientôt sonner, en se réveillant il pouvait sentir son corps bien plus léger. Cela le rassura, il se dit que la veille n'était donc réellement qu'imagination, mais en se levant il put ressortir encore quelques contre coups et en regardant bien voir des bandages un peu partout sur son corps. Il se demanda alors directement après cela, si la discussion avec la Shaman était elle aussi réelle. Si c'était le cas, elle devrait donc être pas très loin, certainement même dans la salle de prière. Demain allait être un jour de fête, les dix ans des deux frères, dans leur clan, cela signifié passé à l'âge adulte. Et donc la vieille allait agir cette nuit, si tout était vrai, alors il savait qu'il pouvait éviter cela. Après tout, cette voix aurait eu raison depuis le début, il pouvait lui faire confiance, jamais il n'accepterait que son frère et lui se fasse avoir pour ce genre de légende. Son frère était le plus gentil de tous, quand il était avec lui il se sentait bien, jamais il n'aurait pu imaginer qu'il soit une mauvaise personne, qu'il puisse devenir le mal. Et alors si c'était lui le futur méchant ? En réalité il n'y pensait pas tant que cela, son jugement était peut-être entravé par la peur de mourir, à un si bas âge, la vision des choses pouvaient facilement diverger. Il se rendit donc dans la salle de prière, en ouvrant la porte il ne fut que peu surpris de voir la vieille femme. Celle-ci tenait en ses mains un collier de perle, les faisant tourner entre ses doigts, chacune d'elle représentait une prière. Il s'approcha d'elle, avant même qu'elle se retourne elle lui dit « Ha Ji-Gun, c'est donc toi. ». Elle était plus froide qu'habituellement, même méfiante, il pouvait le ressentir. Son attitude était bizarre, il s'approcha encore, mais celle-ci l'arrêta vite en se retourna et lâcha un regard à en faire trembler plus d'un. « Ne me dérange pas pendant mes prières ». Jamais elle ne lui avait parlé ainsi, le jeune commençait à prendre peur, mais alors qu'il aurait habituellement couru pour s'enfuir, cette fois un regard vide fit son apparition sur son visage. Il baissa la tête, cela dura plusieurs secondes, puis il la releva doucement, faisant apparaitre un sourire assassin. Une noirceur indésirable pris place dans le lieu, il était comme possédé.
[Ji-Gun] - Alors, tu voulais me faire disparaître, hahahahaha ...
Celle-ci comprenant vite sa situation enchaîna de nombreux soutra. Mais ça n'avait pas l'air de l'affecter, il arriva assez vite à côté de la femme centenaire, face contre face, il n'allait pas la tuer. Pourtant, elle pouvait le sentir, en son ventre, une épée était plantée. Celle-ci était apparu de nulle part, pourtant il ne l'avait pas en arrivant dans la salle. Mais comme dit, il n'allait pas la tuer, il prenait trop de plaisir à présent pour agir ainsi. Le vide pris possession cette fois-ci en la Shaman, l'épée fut retirée, il avait réussi son coup. Il était simple, son seul but était de sauver son réceptacle. Il lui avait promis de pouvoir changer son destin à travers les autres, ce fut ce qu'il fit. Son coup ne fut pas offensif, il entra seulement en cette personne, au niveau de son âme. Changer qu'une chose, qu'un élément, pour son objectif : changer le destin. Ji-Gun était l'enfant du mal, il allait être tué, la vieille était déjà au courant de son sort, il alla seulement modifier les souvenirs de la Shaman qui concernant l'enfant, plus précisément un : Il s'agit de l'enfant du mal , pour le faire devenir :Il n'est pas l'enfant du mal. Une fois fait, il retira l'épée, la fit revenir en son corps, puis repartit d'un pas léger vers l'extérieur, bientôt elle allait revenir à elle, à ce moment elle ne se souviendrait plus de cette scène. De même pour l'enfant, qui une fois le démon repartit, reviendra à sa place, sans avoir le moindre souvenir de ce qu'il s'était passé. La suite de la journée se passa plutôt bien, l'enfant joua avec son frère le restant de la journée, jusqu'à la nuit. Ils étaient tous deux pressés d'être à demain, pour leur anniversaire. Il était comme libéré en sachant inconsciemment que le sort du destin n'aura pas lieu, mais il ne pouvait se douter d'une chose, une chose qu'il n'aurait jamais voulue. Il s'en alla dormir, quelques heures plus tard, lorsque la pleine lune était haute dans le ciel, un cauchemar allait prendre place en lui. Enfin cela aurait été une bonne chose s'il s'agissait véritablement d'un cauchemar ... Il pouvait entendre des pas faisant grincer le sol, ouvrant les yeux, il pouvait apercevoir sa mère, son père ainsi que la vieille. Cette dernière commença par faire des incantations, tandis que ses parents allèrent à sa droite et gauche, son père se mettant derrière lui, lui tenant fermement ses bras. Quant à sa mère, elle se posa au sol, les mains en l'air, elle tenait un large Katana. Il ne pouvait voir leur visage dans l'obscurité, tandis qu'une voix se fit entendre, il s'agissait de la voix de son frère, mais pourtant il pouvait sentir comme-ci s'était lui qui parlait. Ce dernier semblait implorer la pitié, mais finalement voyant la mort arrivée, il émit seulement une parole « Tuez-moi, mais ne faites pas de mal à Ji-Gun ... ». Il comprit bien vite à ces paroles qu'il vivait une action à travers le corps de son frère, mais encore dans son sommeil il ne pouvait rien faire. Pourtant, cette scène avait bien lieu. Au même moment son frère venait d'être la cible du destin de son jumeau, lui qui croyait les avoir sauvés en faisant ce pacte, n'a fait que sacrifier la personne pour qui il avait le plus de sentiment.
Le lendemain fut difficile, ses parents firent comme si de rien n'était, comme s'ils pensaient que si on faisait comme si cet enfant n'avait jamais existé, alors tout le monde allaient l'oublier. Pour permettre cela, maintenant que Ji-Gun venait d'atteindre ses dix ans, ils l'envoyèrent ailleurs pour parfaire son art. Celui-ci avait choisi de devenir un ninja, pour ainsi devenir assez fort. Assez fort pour éviter que ce genre de choses arrive à nouveau ... Enfin cela était le but de base, mais au fur et à mesure que le temps passe, son destin le rattrapait. Le démon ne refit plus jamais son apparition, il avait comme complètement fusionné avec son hôte. Ils ne faisaient plus qu'un maintenant et allaient pouvoir montrer qui ils étaient vraiment. Cela allait faire maintenant six ans qu'il était parti, il n'avait pas prévenu de son retour et n'était jamais revenu depuis son départ. A présent il était un vrai homme, il avait des cheveux mi-long, en avant et latéralement aussi long que son visage et derrière attaché. Lorsqu'il arriva au village, il n'eut ressenti la moindre nostalgie, il marcha dans les rues sans regarder ni à droite, ni à gauche. Se dirigeant directement chez une vieille amie, il l'a retrouvé au même endroit que toujours. Sur ses genoux, celle-ci n'avait pas changé d'un poil, toujours avec son collier en perle, toujours avec ces incantations qui ne servaient à rien d'autre qu'à l'a rassuré face à la mort, à agrémenter sa faiblesse. Il s'approcha, en s'approchant il revécut la même scène qu'il y a sept ans plus tôt. Celle-ci le reconnu sans même se retourner, mais cette fois-ci il n'allait pas avoir peur, c'était à lui de renverser la situation.
[Yoo Ji-Gun] - Alors, tu m'as reconnu, te souviendras tu de cela ?
Une aura de noirceur prit place dans la place. La vieille était plus qu'étonné, la peur prenait place en elle. Son monde s'effondrait, elle ne comprenait pas ce qu'il se passait. Elle était censée avoir laissé l'enfant du bien vivre et pourtant devant elle, un homme plus que sombre était présent. Il avait la même aura que le démon de la légende. Celui-ci s'approcha, prenant plaisir de la situation, du trauma qui commençait à prendre place en cette personne, cette vieille chouette qui était à l'origine de tout cela. Sans elle son frère serait encore vivant, le mal n'aurait pas pris possession de son corps, les deux auraient vécus ensemble. Plus il s'approchait et plus il pouvait voir en la femme un trouble intense. Cela ne dura pas longtemps, un pincement de plus en plus douloureux se fit sentir en son coeur, bientôt elle allait mourir d'une crise d'angoisse. Le jeune homme était jouissif, le début de sa vengeance venait d'avoir lieu, bientôt la fin arrivera, à ce moment il pourra enfin revoir en souvenir son frère sans se sentir mal. Ce dernier l'avait fait évoluer au-dessus de tout alors que mort, encore maintenant il apportait et protégeait son "petit frère".
La patience est une vertu, la vengeance a meilleur goût lorsqu'on prend le temps de la dégusté. Le jeune homme, à présent, le savait très bien, c'est pour cela qu'il n'alla pas continuer son plan tout de suite. Il attendit encore un an pour cela. Il avait maintenant dix-sept ans et faisait son énième retour en ces terres. Cette fois-ci il se dirigea directement chez lui, une personne allait enfin pouvoir le revoir, seulement une. Il était un ninja à présent, il travaillait dans l'ombre, chaque action étaient minutieusement planifiées. L'honneur reviendrait à son père. Lorsque ce dernier revit enfin son fils depuis sept longues années il n'eut d'autre réaction que de lui sauter dessus pour le serrer dans ses bras. Mais l'enfant devenu adulte n'était pas friand de ce genre d'affection de sa part. On pouvait déjà y voir une lame sortir du dos du père, provenant du sabre en main de l'enfant du mal. Il alla utiliser la même spécificité qu'avait utilisée le démon par le passé. Cette fois-ci il alla insérer un nouveau souvenir le concernant, celui-ci était : « Ji-Gun est de retour, prit de folie ta femme le tue de sang-froid ». Seulement ça, il n'avait pas besoin d'allait plus loin. Cette folie serait très vite reliée au fait que le mal avait également prit possession du corps de la femme, certainement depuis la naissance des jumeaux et germant depuis. Connaissant son père, ses croyances, l'amour pour sa femme, il ne ferait qu'une chose face à cela : La tuer. Mettre fin à sa vie afin de la libérer de l'emprise du mal. La préférant voir mort plutôt que sous les mains du démon. Pour lui, le divin lui pardonnerait, n'étant pas responsable de cela. Ji-Gun dans l'ombre assista à la scène, il n'avait pas l'air d'avoir le moindre remord. Il en prenait même un certain plaisir comme lors de l'an dernier. Lorsque son père en fini, le fils entra dans la place. Applaudissant fortement, cela éveilla directement l'homme qui était dans le vide après avoir fait une chose inimaginable.
[Yoo Ji-Gun] - Tu as réussi à la tuer, je ne te pensais pas si courageux, vu que tu as laissé ta propre femme tuer ton fils ...
Le père se retourna, il n'y croyait pas, son fils censé être mort était juste devant lui. Il ne savait pas comment réagir, il était chamboulé, comme l'était la Shaman en voyant des éléments contradictoires. Mais le père fit quelques choses d'imprévu, suite aux paroles de son fils, il comprit bien vite qu'il n'était pas tout blanc, peut-être croyait-il même qu'il ne s'agisse pas de son fils. D'un coup de la lame ayant tué sa femme juste avant, il s'apprêtait à faire de même avec celui ce tenant devant lui. Mais il fut brutalement arrêté, s'étant fait avoir avant de pouvoir faire quoique ce soit de plus. Il ne s'arrêta tout de même pas, d'un mouvement de bras, il voulut en finir, mais cela n'eut de résultat que de blesser l'homme qui n'avait même pas essayé de bouger d'un pouce. Sauf qu'en touchant son père, celui-ci fut une nouvelle fois affecté par la spécificité du démon. L'ancienne modification disparut, pour laisser place à une nouvelle : « Ton fils n'est pas revenu ». Laissant à présent son père, couteau en mains, sur les genoux à côté de sa femme, lui s'en alla. Quelques minutes plus tard, son père allait reprendre connaissance, ahurit par la scène devant ses yeux, de lui ayant tué sa femme, se souvenant de tout si ce n'est que cela venait d'un complot de son fils et d'une pseudo-folie de sa femme qu'il voulait donc protéger, il pensait que c'était lui qui était devenu fou. Ne se voyant pas vivre ainsi, dans ses conditions, il ne trouva d'autre solution que de se suicider, ici, en ce lieu, rejoindre ainsi sa femme. Ji-Gun se dirigea à un certain endroit, une certaine colline, d'un certain pays, sur-plongeant toute l'horizon. Il regardait au loin alors qu'au-dessus de lui se dressait la pleine lune complètement libéré, celle-ci qui l'avait suivi toute sa vie, comme si elle le surveillait. Cette pleine lune qui lui rappelait son frère. A cet instant sur l'homme, qui avait pour but de faire évoluer son destin en modifiant celui des autres, on pouvait voir une larme de sang glissé de sa blessure, contournant l'oeil, puis suivant le nez, puis la joue, avant de tomber de son visage encore et encore. Voilà la seule chose qu'avait engendrée cette triste histoire, un homme ne pouvant pleureur que son propre sang, en faisant couler celui des autres.La suite de son destin est à présent encore inconnu de tous, il allait surement rejoindre son village, celui qui l'avait initié à l'art ninja. C'était la seule chose qui lui restait à présent, sa famille, comme le démon qui l'habitait n'était plus. Il semblait ne plus être présent, il ne pouvait plus le sentir, au même titre que sa capacité. A côté il reniait son passé, ses liens avec sa famille. Il ne portait justement plus le nom de sa famille, l'ayant simplement remplacé par un simple " Yoo ".
Mito Kanabushi | Chuunin de Kiri Renom : 10 Mission : 6 Histoire : - Spoiler:
La famille Kanabushi habitait dans les marécages du pays de l’eau, à l’écart du village. Leur vie fut paisible et riche mais, loin des regards et de la protection des ninjas du village caché de la pluie, des brigands en ont profité pour exécuter ces marchands, refusant de vider leurs poches bien remplies, laissant leur enfant seul dans ce monde. L’enfant, qui n’avait alors que quelques années commençait sa vie orphelin mais riche. Ce doux héritage lui à permis d’accéder à l’académie ninja et à un logement décent. A l’académie, il était déjà le rigolo de service, facilement intégré à un groupe de par son attitude très sociale. Mais son travail à l’entrainement lui a vite valu une place parmi les meilleurs de sa promotion. Marquant très vite un réel talent pour le ninjutsu de type Suiton, celui-ci deviendra une source de motivation pour le progrès et l’évolution du ninja. Une fois génin, le ninja effectua quelques missions basiques de rang D puis le Mizukage le plaça dans une équipe avec Luko Impachi qu’il apprit à connaitre. Leurs personnalités sont totalement différentes mais ces deux la nouèrent vite des liens et devinrent très bons amis. Au fil des missions, leurs capacité à évoluer en duo. L’objectif du ninja au bonnet était simple : être meilleur que son coéquipier et devenir le meilleur utilisateur du suiton du monde shinobi. Missions après missions, le genin acquière de l’expérience ce qui lui permis de passer au grade de chunin du village, de nouvelles missions l’attendent… Kumo Saito Raiken | Sandaime Raikage Renom : 12 Mission : 10 Xp : 519/650 Lien rp : http://narutonosousaku.actifforum.com/spa/Raiken%20Saito .
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Soixante seize ans auparavant, une attaque avait été orchestrée par le plus vil et le plus manipulateur des ninjas. Un homme masqué, inconnu de tous, avait réussi à passer outre les remparts de Konoha grâce au contrôle qu'il exerçait sur le démon renard à neuf queues. L'homme le plus célèbre et le plus fort de Konoha s'était alors interposé entre cet esprit du mal et le village. Un seul homme contre une immense bête. Un simple humain contre la force maléfique la plus puissante. Cet homme s'appelait Namikaze Minato, quatrième Hokage de Konoha. Cette histoire me fut comptée lorsque je fus plus jeune. C'était d'ailleurs ma préférée d'entre toute ; la représentation du bien contre le mal. Qui pouvait se douter que le bien l'emporterait, en quelques sortes ? A cette période, Kiri était en conflit avec Konoha et ne rêvait que de voir le village tomber. Toutes sortes de versions coururent les rues. L'une racontait que le démon renard s'était délecté du Yondaime et était reparti, rassasié tandis qu'une autre racontait comment l'homme masqué avait décidé d'arrêter l'assaut, estimant que les dégâts qu'il avait engendré étaient suffisant pour prévenir le village caché de la feuille. Mais en grandissant, j'ai appris à repérer le vrai du faux et c'est pourquoi c'est à mon tour de vous raconter une histoire.
I/ Le contexte historique
Le clan Kaguya, en ces temps-là, était réputé pour être un clan aussi violent que débile. La plupart des membres se battaient à longueur de journée et il ne se passait pas vingt-quatre heures sans qu'un mort fut à déplorer. Il faut aussi que vous sachiez que nous n'étions que très peu, une petite vingtaine, descendants des survivants de la guerre contre Kiri. Mais cette haine contre le village caché ne fit que s'amplifier continuellement au fil des âges. A ce rythme il était clair que le clan n'allait pas s'agrandir. Ennemis de Kiri, le clan siégeait néanmoins pas très loin du village caché. Avares et fous de pouvoir, les membres organisaient chaque jour des bastons où ils remettaient en cause le pouvoir du chef de clan. Nous changeâmes d'ailleurs assez souvent de meneur, leur espérance de vie ne dépassant pas généralement une année. Effectivement, les ninjas les plus puissants de notre clans étaient nombreux ; mais ils ne se doutaient pas que le nombre ne pouvait pas rivaliser avec la puissance. Pas contre Kiri.
Je suis née plus ou moins il y a six sept années. Simple fils d'un ninja du clan, je me montrai néanmoins digne de ma famille. Je n'avais aucun talent en particulier, mes techniques héréditaires ne se révélant que bien plus tard je dus trouver un autre moyen de vaincre mes adversaires. On m'initia à l'art du combat à mains nues dès que je sus marcher, et à l'art du Kenjutsu dès que j'eus la force de tenir une épée. Bien sûr, dans notre clan personne ne savait utiliser de Ninjutsu. C'est pourquoi je fus le premier à essayer. Vous vous en doutez, ce fut en vain. Durant plusieurs mois je m'entraînais chaque jour afin d'acquérir certaines capacités et une certaine aisance avec les Jutsus élementaires. Pourtant, je ne pus rien faire et fut contraint de me battre sans techniques. Tout du moins, c'est ce que mon entourage me disait. J'entends encore leurs stupides provocations et leur agressivité tout aussi inutile que gratuite. « Tu n'y arriveras jamais ! T'es qu'un bon à rien ! » criaient-ils. Au tout début, je n'eus aucun autre choix que de me cacher et de supporter les insultes des autres ninjas. Néanmoins, bien rapidement je remarquai que j'étais plutôt doué avec un katana. M'exerçant chaque jour plus ardemment que le précédent, j'acquis assez rapidement un niveau bien plus élevé que les congénères de mon âge. Au cours du temps, j'appris à sentir la lame, à la considérer comme un prolongement de mon corps. Une sorte de prothèse accrochée à mon bras. De fil en aiguille, je m'appropriai plusieurs techniques de Kenjutsu basées sur l'utilisation du chakra et le maniement du sabre. Ce fut d'ailleurs à l'âge de huit ans que je fus considéré comme un élément « fiable et plein de ressources ». C'est à partir de ce moment-là que j'eus le droit d'aller nourrir le Prisonnier. Mais cette rancoeur que j'éprouvais contre mon clan n'eut jamais disparu. Elle était restée au plus profondément de mon coeur, hantant chacune de mes nuits. Pour moi, un clan n'était pas fait pour s'entre-tuer à longueur de temps et même s'ils espéraient me conditionner, jamais ils n'y arriveraient. C'est la promesse que je me fis.
II/ Un ami, enfin !
Dans le clan, une personne surpassait toutes les autres. C'est du haut de ses six ans que le jeune garçon avait réussit à battre la plupart des ninjas, même les plus expérimentés qui arboraient notre insigne. Les cheveux sombres, un corps frêle, il était pourtant arrivé en tête de la liste des concurrents pour devenir le chef du clan. Sa puissance surpassait de loin quatre vingt dix pour cents des combattants Kaguya. Comment un simple garçon pouvait-il être si fort ? La première fois que je le rencontrai, ce fut quelques mois avant que d'être accepté dans l'armée du clan. Je devais avoir entre six et sept ans.
Pendant que je m'entraînais dans mon coin, comme toujours, rejeté par les autres, je m'étais écroulé de fatigue par terre contre un arbre. J'avais une grande détermination et la volonté de devenir le ninja le plus fort du monde. Mais cette volonté fut ébranlée cette nuit-là. Accroupis contre un arbre, haletant comme un chien qui avait couru un marathon, je n'en pouvais plus. Je sentais la sueur dégouliner de mon front jusqu'à mon torse. La brise légère qui entourait la zone me fit le plus grand bien, mais je décidai d'en rester là pour cet entraînement. Prenant ma serviette, je m'essuyai le front avec et épongeait mon torse tandis qu'un kunaï vint se planter à côté de moi. Bandant chaque muscle de mon corps, chaque recoin de mon être, tous mes sens étaient à l'affût. Avant même de m'en rendre compte, j'avais dégainé mon Katana et m'étais mis en garde. Je crus tout d'abord à une attaque ennemi et m'apprêtai à donner l'alerte attendant néanmoins de voir à qui j'avais à faire. Une fausse alerte ne serait pas apprécié par le reste du clan, et détesté comme je l'étais j'aurai sûrement eut droit à une punition des plus sévères. Les feuillages d'un buisson se mirent alors à bouger et un petit homme aux cheveux blancs en sortit. En y regardant de plus près, c'était un garçon d'à peu près mon âge. *Bande d'enfoirés*. Les jeunes du clans avaient comme sales habitude de me faire des farces de toutes sortes, qu'elles soient inoffensives ou non. Une fois, l'un d'eux s'était démerdé pour m'envoyer dans un piège et je m'étais casser la cheville. Résultat, je n'avais pas pu m'entraîner pendant trois semaines. Apparemment le fait que je ne pouvais pas utiliser mes os de la même manière qu'eux ne les réjouissait pas. J'eus le droit à pleins de différents surnoms. « Déchet », « Traître », « Erreur de la société », leur passe-temps favoris était de me jeter des pierres au visage. Et bien que lorsque j'en choppais un, je me vengeais comme je le pouvais, cela ne les empêchait pas de recommencer encore et encore.
C'est pourquoi, lorsque je vis le jeune homme sortir des buissons je ne pus m'empêcher d'affûter ma garde. Peut-être avaient-ils enfin décidé de m'affronter tous ensemble ? Ce ne fut qu'au bout de quelques secondes que je remarquai que ce garçon n'avait aucune arme. Il n'était pas plus en position offensive que ça. Abaissant lentement mon Katana, je dévisageai mon voisin. Ses cheveux noirs étaient un peu plus longs que les miens. Les deux points rouges, symbole du clan, trônaient au milieu de son front et des cernes rouges entouraient ses yeux. Bizarrement, je n'avais hérité d'aucun de ces deux symboles. En revanche, je possédai un sceau sur mon épaule droite dont je ne connaissais pas les effets. Peut-être était-ce signe que je ne faisais pas vraiment partie du clan ? Si c'était le cas, il serait clair que je n'en pleurerai pas. Le jeune homme s'avança vers moi et récupéra son kunaï l'air de rien, se contentant de retourner d'où il venait. Restant dubitatif, je ne savais pas à qui j'avais eut à faire et ma position défensive ne l'avait pas plus inquiété que ça. Mais qui était-il pour m'ignorer de la sorte ? Je décidai alors de l'espionner afin de voir ce qu'il manigançait et pourquoi cette arme de jet s'était planté non loin de moi.
Dans les buisson, il n'aurait jamais pu me repérer. J'étais connu pour ma discretion et mon maniement des épées. Pour lui, j'étais invisible. De plus, la nuit étant tombée, les bruits qui nous entouraient pouvaient cacher ceux que j'aurai pu faire par inadvertance. Mes yeux s'écarquillèrent néanmoins lorsque je vis ce petit être s'entraîner. Son corps qui paraissait faible contrastait étonnement avec ses capacités. Des pointes d'Os sortaient de tout son corps ; le moindre de ses mouvement était suivi de la pousse rapide d'armes essentiellement faîtes de calcium. Ses capacités à se concentrer sur ses mouvements et sur son Kekkei Genkai étaient impressionnantes. J'en étais d'ailleurs resté bouche bée. Son agilité au Katana égalait la mienne, mais en plus de cela il savait parfaitement utiliser son corps. Soudainement, il s'arrêta de bouger quelques secondes. Je l'observai attentivement. Un katana en os dans un main, il se contentait de fixer l'arbre sur lequel il s'était acharné jusque là. Quelque chose clochait, je le ressentais, mais je ne savais pas quoi.
Tout d'un coup, un détail me choqua. Poussant les branches qui me gênaient la vue afin de mieux le voir, un éclair me traversa l'esprit. Il n'était pas essoufflé ! Malgré toutes les acrobaties qu'il avait fait jusque là et tout le chakra qu'il avait dépensé, il n'y avait pas une seule goutte de sueur sur son visage !
« Es-tu aussi là pour m'insulter ? As-tu peur de moi, me crains-tu ? Rêves-tu de me jeter des pierres ? »
Cette phrase résonna dans ma tête plusieurs secondes. Comment pouvait-il voir que j'étais là ? J'attendis patiemment quelques secondes. Peut-être avait-il repéré une autre personne. Sentant un frisson me parcourir l'échine, une sueur froide me fit trembler. Pourquoi avais-je si peur qu'il me repère ? Jetant un coup d'oeil à ma main, elle tremblait comme jamais. Relevant les yeux, je vis à présent qu'il me fixait. Sa puissance était bien supérieur à la mienne. J'eus soudainement l'impression qu'il pouvait rien qu'en me fixant me tuer à tout instant. Sortant alors des buissons, je ne posai pas la main sur mon Katana, de peur qu'il ne le prenne pour un affront. M'inclinant devant lui par politesse, je me présentai alors.
« Bonsoir. Je m'appelle Saito. Et toi, qui es-tu ?
- Takashi. J'ai remarqué que tu m'espionne depuis un moment. Que me veux-tu ? »
Il prononça ce dernier quart de phrase d'un ton sec, mélange de haine et d'agressivité. Reculant d'un pas par réflexe, je n'avais pourtant rien à craindre. Mais je ne le savais pas.
« Excuse-moi. Tu as lancé un kunaï prêt de moi et je voulais savoir d'où est-ce qu'il venait.
- Oui, je m'entraînais alors je n'ai pas fait attention. Mais ce n'est pas grave n'est-ce pas ? Car si je n'étais pas venu le récupérer, tu aurais tenté de me poignarder dans le dos. Ais-je tord ?
- Non ! Enfin oui ! Enfin, ce que je veux dire, c'est que je n'aurai jamais tenté de te tuer ! Je ne te connais même pas !
- Alors pourquoi m'espionnais-tu ?
- Je te l'ai dit ! Je voulais juste savoir d'où venait le kunaï.
- Alors dans ce cas je m'excuse. Je me nomme Takashi ! Enchanté de faire ta connaissance Saito !
- Euh moi de même ! Mais pourquoi t'entraînes-tu tout seul ? Tu n'es pas avec les autres ?
- Disons qu'on ne s'entend pas très bien avec le reste du clan. Ce ne sont rien d'autres qu'un bande d'abrutis ... »
Et c'est ainsi que nous fîmes connaissance. Nous parlâmes une bonne partie de la soirée et depuis cette fameuse nuit, nous traînâmes ensemble comme deux rejets de la société. Mais deux rejets qui s'entendaient bien. Ce fut sans compter sur le reste du clan qui, avide de pouvoir et paranoïaque comme jamais, décidèrent quelques mois plus tard de l'enfermer dans une cellule isolée afin de « protéger le reste du clan ». Foutaises ! Celui qui avait besoin d'être protégé, c'était lui ! Tapis dans l'ombre, il n'eut rien d'autre à faire toute la journée que de rester assis. Il ne pouvait même pas s'entraîner. Cette mascarade dura deux ans, et pendant deux longues années je lui apportai chaque jours ses repas. Nous eûmes rarement la possibilité de discuter et le voir dans une telle situation me fit mal au coeur. J'avais enfin trouver un ami et avant même d'avoir fait correctement connaissance, le destin me l'enleva. Ma colère, ma haine envers mon clan ne fit que grandir chaque jour. Je savais qu'un jour je pourrai le leur faire payer, j'attendais juste le bon moment ...
III/ Et une guerre civile, une !
Comme je vous l'ai précédemment dit, Kiri et le clan Kaguya ne s'entendaient pas bien. Considéré comme une arme et rien d'autre, je n'étais qu'un pion dans leur immense échiquier. Néanmoins je réussis à atteindre paisiblement ma neuvième année sans avoir le moindre ennui. Après être entrée dans l'armée Kaguya, plus personne ne me jetais de pierre. Je n'étais pas apprécié pour autant, mais au moins j'étais respecté. A vrai dire, je n'aurai de toute façon jamais admis une quelconque preuve d'affection de la part de cette bande d'hypocrite irrécupérable. Cette haine que je leur vouais depuis mon plus jeune âge n'était pas vain. Seulement, je n'étais pas le seul à les haïr.
Peu de temps après mon anniversaire (que je n'eus d'ailleurs jamais fêté), le chef du clan eut la brillante idée de s'attaquer à Kiri. Pourtant, l'attaque qui avait été orchestré contre Kiri il y a soixante années de cela aurait dû nous nous servir de leçon puisque les anciens Kaguya étaient bien plus nombreux. Mais d'après lui, ils venaient de subir un affront de la part du village caché qu'ils ne pouvaient ignorer. Je me demande encore quel était cet affront. En même temps, cette bande d'écervelés s'énervait pour un rien. Mon clan était connu pour être le plus violent de tous cependant pas le plus fort. Nous fûmes alors convoqué pour que l'on nous mette au courant du "plan" qui consistait à attirer l'armée de Kiri dans un piège. Je n'osai pas intervenir de peur qu'on me méprise encore plus. Pourtant, au point où j'en étais je ne risquais plus rien hormis la peine de mort. Une première vague de nos ninjas allaient tout d'abord attaquer les rempart de Kiri. Cette offensive avait pour but d'attirer l'attention du village caché. Puis, celui-ci répliquerai sûrement en envoyant une partie de son armée contre notre village. L'idée était de les attendre bien sagement et de les cueillir. Une chose ne leur effleura même pas l'esprit : Et si l'armée de Kiri était bien plus puissante et imposante que la notre ? Peut-être nous extermineraient-ils jusqu'au dernier ? J'étais loin de me douter que j'étais aussi proche de la vérité.
Le plan fut mis à exécution et un soir, les éclaireurs nous avaient rapportés que l'armée de Kiri n'allait pas tarder à venir. Ils comptaient plus ou moins cent cinquante ninjas. Notre clan n'en comptait même pas la moitié. Ce devait-être un avertissement, supposais-je, rien d'autre. Pourtant je restai terré dans l'ombre avec mes congénères, plus cons que génères d'ailleurs, afin d'attendre le moment propice. Tout ne se passa néanmoins pas comme prévu. Nos éclaireurs avaient effectivement compté cent cinquante hommes, mais ils n'avaient pas vu le reste de l'armée qui était censée passer par les flancs. Rapidement, notre campement fut inondé de ninjas bien plus doués que nous. L'essentiel des combats se situaient à l'entrée du village et je pus voir de ma position tous les miens se faire massacrer. Un mélange de peur et de satisfaction m'emplit alors le coeur. La peur de me faire tuer et la satisfaction de me débarrasser de mes bourreaux. Je n'étais alors pas prêt à mourir. Je voulais fuir. Fuir le plus loin possible et tout oublier. Recommencer une vie. Mais avant il fallait que je fasse une chose qui me tenait à coeur.
Descendant du toit où j'étais perché, j'atterris devant les cachots. Dans ce caveau était enfermé Takashi. Serrant alors les poings, je mis toute mon énergie dans cette course plus folle que déjantée. Comment pouvais-je espérer fuir toute une armée ? Il fallait pourtant que je tente ma chance. Ainsi, j'arrivai rapidement, après m'être débarrassé de deux ou trois ennemis, devant la prison de mon ami. Mon visage se décomposé pourtant lorsque je vis que la cellule était vide. Il est vrai que le clan avait tout à gagner en le lâchant dans la nature. Il tuerait sûrement bon nombres de nos ennemis, mais il n'était pas assez fort pour abattre tout le monde ! Il fallait que je le raisonne, que je le sauve. Courant à nouveau vers la sortie du caveau, le combat s'était propagé jusque devant la bâtisse.
« Takashi ! » criai-je alors à pleins poumons. « Takashi, t'es où ? Il faut qu'on s'en aille ! ».
J'espérai de tout mon coeur entendre une réponse pourtant rien ne parvint à mes oreilles. Un ennemi tenta alors un coup d'estoc avec un kunaï que je parai avec une certaine aisance. Il esquiva à son tour mon coup horizontale et commença à composer des mûdras. Je me doutais bien que ce moment arriverait un jour. Celui où je devrais affronter des maîtres du Ninjutsu. Plaçant alors mon sabre devant moi, je me concentrai afin de faire passer une certaine dose de chakra dans ma lame. La boule de feu qui fonçait sur moi fut alors coupée d'une traite en deux et s'évapora dans les airs comme elle était venue. Profitant de l'effet de surprise que mon Jutsu venait de créer, je fonçais sur mon adversaire et l'empala au niveau de l'abdomen. J'avais évité tous les organes vitaux afin qu'il vive plus longtemps. Je ne voulais pas devenir une de ces brutes de Kaguya, je voulais être différent. Retirant mon katana, je fis un léger coup dans le vent afin de le délester du sang de sa victime. Je me remis rapidement à crier comme un dératé. Il fallait que je retrouve Takashi. Parcourant ruelles et toits, je ne le vis néanmoins pas. Un ennemi m'abattit soudainement son épée dans le dos et je ne sentis néanmoins pas la douleur. Tournant la tête, son arme m'avait eraflé tout le dos. Je contre attaquai alors rapidement et le mis à terre. Rien de bien méchant mais il fut néanmoins hors combat. Puis je dus me rendre enfin à l'évidence. Parmi le feu qui m'entourait, les bâtiments calcinés, les traces de sang un peu partout, je n'avais pas repéré la moindre trace de mon ami. Soit il avait déjà fuit, soit il s'était fait tué. Me retournant afin de commencer à prendre la fuite, l'idée qu'il était encore en vie fut abandonné en même temps que mon envie de combattre. Pourtant, je fus soudainement immobilisé. Je sentis alors une douleur aiguë au niveau de mon épaule et vit le bout du katana de mon ennemi qui venait de la traverser. Une seconde douleur accompagna cette fois la première lorsqu'il me trancha au niveau du dos. Lâchant un dernier cri du plus profond de mes tripes, je m'écroulai pourtant par terre et fermai les yeux. Je ne voulais pas mourir mais le halo noir qui brouillait mon regard me montrait que je me trompais. Et avant même que j'eus le temps de verser une larme, je perdis connaissance.
Ouvrant légèrement un oeil, je fus ébloui par la luminosité ambiante. A l'odeur qui y régnait, je pus facilement dire que j'étais entouré de vieilles personnes. Mais je ne connaissais pas cet endroit, je n'y étais jamais allé. Etait-ce le paradis ? Tournant la tête, une personne tenait un carnet et notait quelque chose dedans. Ravalant ma salive, je voulus parler et me rendis compte que j'avais la gorge très sèche. Des bandages entouraient mon torse et mon dos. Je me souvins soudainement de ce qu'il s'était passé.
« Où .. Où suis-je s'il vous plaît ? - Ah, enfin réveillé ! Tu es à l'hôpital de Kumo. Un de nos ninjas espions t'as trouvé sur le champs de bataille et t'as ramené. Comment t'appelles-tu ? ... »
IV/ Une expiation indigne de mes erreurs
Après une courte discussion avec l'infirmière, j'avais appris que je me situais à présent dans l'hôpital de Kumo. Tout autour de moi était blanc ; des meubles jusqu'au plafond cette vive lumière m'agressait les rétines. Depuis tout petit j'avais été habitué à vivre dans des endroits sombres. Jetant un coup d'oeil par la fenêtre, je remarquai que le ciel était d'un bleu azur très clair. Je me permis alors de me lever et de me pencher par la fenêtre. La vie qui grouillait dans le village m'interpella, surtout lorsque je vis autant de gens sourire et de gamin jouer. C'était la première fois qu'une telle vision me parvenait et c'était d'autant plus rare que personne ne se battait. Décidément, l'idée que je me faisais de ce village était fausse. Tout ce que je connaissais sur Kumo était son passé lugubre. Distrait par cette nouvelle vision du monde, je n'entendis pas qu'un homme avait frappé à ma porte. Me retournant alors lorsque j'entendis ses pas dans la pièce, je plissai les yeux afin de mieux le voir. Cet homme devant avoir la quarantaine passée. Grand et robuste, je n'aurai pas aimé l'affronter. Deux hommes le suivirent et entrèrent aussi dans ma chambre.
« Kaguya Saito ? - Euh .. oui ? - Tanuki, membre de la garde de Kumo. Voici mes deux acolytes qui ne sont là que pour une raison de sécurité. »
Ne sachant quoi dire, je pris appuie sur mon lit et m'assis dessus. Je savais très bien qu'ils venaient pour me chercher, pourtant je ne voulais pas finir comme ça. Qui aurait voulu passer sa vie enfermé ? Je connaissais quelqu'un qui l'avait en grande partie vécu. Je n'avais aucunement l'intention de me laisser faire.
« Tu te doutes sûrement de la raison de ma venue. - Plus ou moins. - Une grande partie de mes hommes m'a rapporté que tu as attaqué des ninjas de Kiri. - Oui, mais pour survivre, pas par simple plaisir. Ils m'ont attaqué alors je me suis défendu, rien de plus. Je ne veux aucunement être lié d'une façon ou d'une autre à mon clan. Tout ce que je demande, c'est qu'on me laisse à présent en paix. - Pourtant, tu sais que des agressions ne peuvent rester impunis n'est-ce pas ? - Oui et je suis prêt à payer ma dette à la société. - Etant donné les circonstances, nous avons convoqué une commission pour ton cas. Ta bravoure et tes capacités, qu'elle furent dressé contre eux ou pas, nous ont un peu étonné. Te tuer ou t'enferme toute ta vie n'amènera rien de bon pour nous .. - .. Tandis que m'enrôler "de force" si je puis dire, dans l'armée, est profitable pour tous. - Ah non, nous te laissons le choix. Tu peux, si tu le désires, passer le reste de tes jours derrière les barreaux comme un pitoyable animale de foire ou te battre pour nous. - Le choix est vite fait, présenté comme ça. Mais pourquoi me feriez-vous confiance ? - Car tu fais parti d'un clan de Kumo. - Excusez-moi ? - Ne t'es-tu jamais demandé pourquoi tu n'arborais pas les symbole du clan Kaguya ? Pourquoi tu possédais ce sceau sur ton épaule ? - Si bien sûr, mais en quoi est-ce lié à Kumo ? - Un clan est née il y a de cela une vingtaine d'année. Le clan Raiken. Néanmoins, faible comme il l'était au début, il ne possédait pas une très grande force défensive, et c'est ainsi qu'un enfant fut dérobé par un village voisin. Tout du moins, c'est ce que nous pensions. En faite, c'est le clan Kaguya qui, par pûre avarice, a décidé de s'en prendre à ce clan. - ... - Oui, je sais, ça fait beaucoup à entendre. Le clan ne possède pas tellement de membres, c'est pourquoi nous tenons à tout faire pour qu'il subsiste. Es-tu prêt à en faire de même ? - ... vous ne savez pas ce que cela signifie pour moi. J'ai toujours rêvé d'apprendre une telle nouvelle, de ne plus être relié à ces brutes sans cervelles. Maintenant que c'est le cas, ma vie prend enfin un sens. Je vais vous suivre, mais avant j'aimerai qu'on me confirme un truc .. - Quoi comme ? - Un jeune garçon de mon âge aux cheveux un peu plus longs que moi et noirs a-t-il été retrouvé sur le champs de bataille ? - Nos ninjas n'ont pas vraiment fouillé la zone. - D'accord, je vous remercie. Ou allons-nous maintenant ? - .. Dans les quartiers du clan Raiken ... »
Yoruichi Yotsuki | Juunin de kumo Renom : 11 Mission : 10 Xp : 160/550 Lien rp : http://narutonosousaku.actifforum.com/spa/Yotsuki%20YoruichiHistoire : - Spoiler:
Petite fille d’Ei Yotsuki, le légendaire Raïkage, la petite demoiselle naquit donc dans un clan qui avait fait ses preuves depuis des décennies et tout en grandissant, elle désirait marcher sur les traces de son grand père. Son statut de femme ne lui donnait pas beaucoup de poids dans son discours du fait que les femmes de ce clan n’étaient pas vraiment destinée à devenir des Kunoichi du fait que l’entrainement physique du clan était épuisant. Elles travaillaient souvent sous les ordres des Raïkage, usant de certains talents propres au clan, ou encore, s’occupaient des affaires des Yotsuki. Se battant presque contre son père et sa mère, elle parvint finalement à entrer à l’académie des Shinobi. Plutôt ouverte d’esprit, elle ne devint pas la meilleur, mais était assez souvent dans le peloton de tête, laissant les génies bien loin devant elle. Elle eu son diplôme du premier coup à la grande surprise de ses parents et c’est à ce moment précis que son père la prit sous son aile, l’entrainement pendant deux années consécutives afin qu’elle puisse comprendre combien était dur le monde Shinobi.
L’entrainement prit plus de temps que prévu du fait que la belle avait besoin de compenser son statut de femme face à des corps d’homme plus puissants… plus forts. Elle prit une année de retard et finalement elle entra dans une team de quatre membres. Trois Genin ainsi qu’un Juunin en charge des autres. Ce fut un moment tout particulier pour elle et elle apprit énormément de choses, voyageant avec eux, tissant des liens avant qu’elle ne soit un jour convoquée dans le bureau du Raïkage. Le motif de sa venue lui fut rapidement révélée et on lui proposa une mission tout à fait particulière. Du fait de son âge - 16 ans à l’époque - elle n’était pas encore reconnue dans le monde Shinobi et grâce à ses aptitudes, autant physiques que mental - surtout physique - elle pouvait s’intégrer rapidement dans une maison de Gaïsha ou plutôt, une maison de passe pour de nombreux Nukenin.
C’était avant tout une mission d’espionnage et elle ne put qu’accepter malgré les lourds contre partis. Elle allait devoir quitter le village pendant plusieurs mois, voir année le temps que sa couverture ne saute pas. Elle apprit donc à divertir les autres, jouer de la musique et bien qu’elle n’appréciait pas cela, elle se plia au jeu pendant plusieurs années, informant Kumo des dernières rumeurs avant de rentrer au village, fatiguée par un tel travail. Se mettre dans la peau d’une autre étant épuisant, on lui offrit quelques mois de vacances - ou plutôt de remise en forme avec son père - avant qu’elle ne revienne sur le devant de la scène, active pour son village, prête à en découdre avec les vilains méchants !
Kami Sainan | Chuunin de kumo Renom : 8 Mission : 6 Xp : 0/550
L- Spoiler:
’histoire de Sainan est pour l’heure entourée d’un certain mystère. Il semble que lui-même ne sache pas vraiment quelles sont ses origines, comme s’il avait perdu la mémoire de façon irréparable. En clair, ce que l’on sait de sa vie se résume à cinq ans auparavant tout au plus, la date qui correspond à son arrivée au sein du Village Caché de Kumo.
Le garçon fut recueilli par un groupe de Shinobi des Nuages en mission, gisant tête contre sol, inconscient. D’ordinaire, jamais une structure militaire n’aurait pris la peine de prendre sous son aile un enfant trouvé sur le bord du chemin de l’existence. Mais ce qui poussa les Kumojin à ramener Sainan au bercail avec eux, ce fut les très étranges craquèlements de la peau du jeune garçon, qui s’apparentaient étrangement avec certaines techniques Shinobi peu ordinaires. Après quelques analyses, l’on lui diagnostiqua un choc crânien suffisamment fort à l’époque pour qu’il se soit évanoui, et ne se rappelle plus de rien dès lors. Son arrivée au Village Caché s’entama donc d’une période de convalescence de plusieurs jours, le temps que le garçon soit remis sur pieds. Pendant ce temps, les médecins eurent l’occasion de vérifier les soupçons, Sainan était bel et bien un jeune détenteur du don du papier.
Confié un temps à l’orphelinat de Kumo, puisque n’ayant personne pour lui offrir un toit, Sainan passa sa onzième année. Le Village Caché avait pris à sa charge de l’inscrire à l’Académie Ninja, pour qu’il puisse faire ses classes et servir plus tard Kumo de son don, rarissime dans les environs. Puis, vers l’âge de douze ans, le garçon sembla assez mature pour subvenir à ses propres besoins. Ayant par ailleurs d’excellents résultats à l’Académie, le Village lui accorda un petit appartement, où il put commencer à vivre en indépendance. En vérité, Sainan supportait assez peu la compagnie des gens de son âge, encore trop peu taillés par la vie à son goût. Il avait toujours eu du mal à se retrouver dans les centres d’intérêts propres à ses camarades de classe, manifestant un sérieux et une gravité parfois effrayante du haut de ses douze années.
Puis, la vie en indépendance le rendit peu à peu davantage sociable. Il comprit assez vite que s’isoler du monde n’était pas un bien en soi, et qu’il y avait toujours à apprendre des autres, si tant est qu’on ne les méprisait pas de prime abord. Il poursuivit l’Académie, et passa l’examen Genin haut la main, parmi les meilleurs de sa promotion. Il était un travailleur, un acharné, un battant.
Il semble que tout doucement, le pari qu’avait fait Kumo, en investissant sur ce jeune garçon, devenait payant. Il se promettait une belle carrière par ses résultats et ses ambitions, et commençait déjà à développer des facettes intéressantes dans l’art de l’utilisation du papier. De son côté, Sainan vouait une foi inébranlable envers son Village. Il lui devait tout, probablement même son existence, et comptait lui rendre un jour la pareille.
Yotsuki Eishi | Genin de Kumo Renom : 1 Mission : 0 Xp : 10/100 Histoire :
- Spoiler:
C'était il y a 17 ans de ça, dans une partie du village de Kumogakure no Sato naquît Eishi. Ne connaissant point les origines de sa mère qui mourra en lui donnant naissance, il n'aura jamais entendu de sa mère. Son père le pris avec lui faire découvrir le monde ninja ainsi que l'histoire de son clan, dès son plus jeune âge vers 5 ans, Eishi combattait contre ses "Frères" de clan pour atteindre un niveau supérieur en Taïjutsu, Certes il n'avait pas du tout le même gabarit que ses compagnons mais il avait du répondant pour un petit gars comme il était. 5 ans plus tard, il comprit alors le sens du danger, il savait à présent manier un Katana chose inutile 5 ans auparavant car l'entraînement qu'il suivait tout les jours c'était pour l'endurcir et qu'il soit fort en Taïjutsu pour qu'ainsi il combine plus tard son Ninjutsu et son Taïjutsu (Nin-Taïjutsu). Vers l'âge de 12 ans il termine l'académie ninja, il apprend à gérer son Taïjutsu. L'art du corps à corps, avoir une vitesse non vue à l'oeil et une maîtrise total de soi-même. Eishi n'est pas un ninja à distance, c'est un ninja au corps-à-corps comme les autres membres de son clan. 2 ans après, Eishi fût touché par une terrible histoire de son père mort pendant la guerre ayant sacrifié sa vie pour son clan, depuis ce temps Eishi se mit à fond dans l'e
Dernière édition par Yotsuki Yami le Sam 20 Oct - 22:32, édité 2 fois |
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Chunin de KonohaMessages : 33 Localisation : Konoha
Nindo : Que le nom des Uchiha resonne comme un glas.
Feuille de personnage Renommée: 8 Mission: 7 Ryos: 0Uchiha Kuroko | Sujet: Re: Des PNJ plus vrai que Nature ! Sam 20 Oct - 14:23 | |
| - Shirogiri no Taka a écrit:
Idée intéressante : à approfondir. De même, je serais plus dans l'idée de crée des escouades sous ordre du Raikage des personnages inutilisés (ex : Aomine pourra utiliser une escouade composé de Oni et Alice) pour les personnages qui ne seront pas rejoués en tant que personnage prédéfini. |
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InvitéInvité | Sujet: Re: Des PNJ plus vrai que Nature ! Sam 20 Oct - 17:23 | |
| Je plussoie mes compères, il y a là de solide base pour les différents personnages et cela permet également de faire évoluer le background sans qu'ils en soit délaisser à cause de l'inactivité ou absence, ça évitera les trous dans le contexte. |
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Contenu sponsorisé | Sujet: Re: Des PNJ plus vrai que Nature ! | |
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| | | | Des PNJ plus vrai que Nature ! | |
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