| InvitéInvité |  Sujet: L'heure est d'apprendre L'enka  Jeu 14 Juin - 19:39 | |
| ◘ Suivre les traces de Bee ◘
Agé maintenant de vingt-cinqs ans, je devais prendre une descision. Mon prédéceseur Killer Bee, dont j'étais le petit fils m'avait appris a l'époque l'art de parler L'enka. J'étais devant les portes du village. Mes cinqs katana dans mon dos, mon bandeau au tour de mon cou. J'étais maintenant sur de vouloir suivre la vie d'ermite et de chanteur d'enka que mon grand papa Bee vivait. Je savais pertinament que le fait de quitter le village allais faire de moi un ninja déserteur. Mais pour moi mon but n'étais pas de devenir un ninja puissant par sa force ou sa vitesse, je voulais faire perpétuer l'enka enseigné par bien depuis ma plus tendre enfance. Le village était en pleine re-construction suite a l'attaque d'un homme au manteau noir et rouge. De plus notre Raikage avait perdu la vie dans cet affrontement.
Je me devais de réagir, la violance n'étais pas une chose que j'aimé le plus. Bien au contraire j'avais un coté pacifiste, tout comme Killer Bee qui pensait plus a chanter cas vouloir combattre. J'avais hérité de sa volonté, une force pour l'enka qui ne me déplaisais pas du tout. Les gens du village me trouvais comme Bee, étrange, fou, et surtout pas interressant. Mais je n'avais que faire des idées que les gens avaient sur moi. Je n'avais pas besoin d'eux pour vivre ma vie. Et j'étais heureux, heureux d'etre née du prestigieux clan des Yotsuki. Je passais doucement les portes réflechissant toujours a mon choix qui n'étais plus claire minute en minute. J'étais a présent sur de moi, sur de partir du village pour vivre seul. Je serais toujours membre du village, mais sans en faire parti. Je voulais avoir la chance de pouvoir voyager sans rendre de compte a personne. Tant de personne reve de sa, que ayant la possibilité de le faire , je me devais d'y croire. Mon grand papa, l'avait fait, le Raikage de l'époque le consciderait comme un frère adoptif, un frère qui était devenu avec le temps , un frere de sang. Je n'étais a présent plus dans le village, les portes étaient derriere moi, je m'attendais a voir quelqu'un arriver dans mon dos pour me retenir ... je le sentais ...
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