-PRESENTATION-
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Eisuke Terumi

-PRÉSENTATION GÉNÉRALE- Nom / Prénom : Eisuke Terumi, donc vous l’aurez compris, du clan Terumi ; un nom dont je n’accorde guère d’importance malgré le titre de Mizukage que possédait ma grand-mère. A vrai dire, me fichant des conséquences de mes actes, je me fiche d’entacher ou non le nom de mon clan : je ne vis pas pour ce nom, mais pour moi. Sexe : Masculin, je n’ai pas la chance de profiter d’orgasmes multiples ou d’une absence de faiblesse fatale à l’entrejambe. En contrepartie, j’ai la chance de ne pas avoir à subir la douleur d’être une femme, soit d’expulser un bébé de mon ventre ou bien d’être traité comme une personne inférieure dans la société des ninjas. Âge : 22 belles années, soit deux ans de plus que mon petit frère, Chuushin. Et pourtant, toujours Genin contrairement à ce dernier, mais au moins, je n’ai pas les cheveux roses moi. Village : Le village caché de Kiri, là où mon clan puise ses origines, là où il a été persécuté il y a de cela plusieurs décennies, là où il a vécu son apogée grâce à une certaine dénommée Mei Terumi ; mais surtout le village dans lequel je suis resté, non pas à cause d’une quelconque affection que j’éprouverais, mais parce que j’y ai été emprisonné. Taille : 180 cm tout rond, deux petits centimètres de plus que mon frère, mais ce qui compte est que je le dépasse en taille ; il le faut bien en tant que frère aîné. Poids : Le poids n’a pas d’importance à mon avis, il change tout le temps de toute façon : que vous ayez suivi un régime de repas de prison, ou bien que vous ayez englouti le buffet entier d’une auberge à vous tout seul. -DÉTAILS DU SHINOBI- Affinité de Base : Katon, l’élément opposé à mon pays qui est celui de l’Eau, et surtout faible face à cette dernière affinité. Ainsi, comme la plupart des ninjas de mon village a l’élément aqueux, je m’avère plus faible qu’eux ; mais ce n’est qu’une question de temps avant que je n’arrive à maîtriser la spécialité de mon clan : la cuisine à la vapeur ! Spécialité de Base : Le Ninjutsu élémentaire, histoire que je maîtrise mon affinité, vous voyez. Capacité Spéciale : Etant du clan Terumi, je suis destiné à maîtriser la cuisine à la vapeur, mais quand ? C’est une bonne question, mon petit frère a réussi à maîtriser cette cuisine lors de son passage au grade Chuunin à ce que l’on m’a dit…

-DESCRIPTION PHYSIQUE-
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« Eisuke aime être en contact avec la nature. »

Les cheveux longs, c’est pour les femmes ! Mais je suis un marginale, j’aime mes longs cheveux roux. Mais n’imaginez pas que je suis un hippie pour autant, je n’éprouve aucun remord à frapper des animaux et ne supporte plus les mauvaises odeurs depuis un sombre séjour en taule. Je laisse souvent mes cheveux voler au gré du vent, ayant la flemme de les attacher ou de coiffer une quelconque coupe ; et de plus, n’étant pas une femme, je ne transporte jamais rien pour attacher mes cheveux. Mon œil droit est caché par un cache-œil suite à une crasse « shinobidesque », mais si vous voulez voir la couleur émeraude de mes iris, il y a toujours l’autre œil hein. Quant à mon style, tant que je n’ai pas trop froid, ça me va. Si j’ai trop chaud, il me suffit de me mettre à poil après tout, ce que je fais souvent, surtout lors de mes combats pendant lesquels je me déshabille en fait tout le temps. Vous voyez, dans un combat, on sue, surtout qu’on contrôle l’élément flamboyant qui… bah qui brûle quoi. Et à cause de ces exhibitions répétées, je me fais souvent arrêté… vive la libre expression.

-DESCRIPTION MENTALE-
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« Les roux ont-ils une âme ? »

Non. Enfin je veux dire, peut-être ai-je une âme, mais je n’ai pas de morale. Ni de limite d’ailleurs, je suis plutôt du genre excessif. Mes actes sont, pour la plupart, excessifs, et souvent irréfléchies. Je ne m’occupe pas des conséquences de ceux-ci, étant un éternel insouciant : raison pour laquelle je me fais souvent taper sur les doigts d’ailleurs. Enfin, ça fait aussi partie de mon excentricité à vrai dire, car oui, je fais partie des excentriques, comme mon physique est marginal. A cause de ça d’ailleurs, ma personnalité est assez complexe à définir, et donc effectivement, je suis un personnage complexe. Ou pas si complexe que ça, filez-moi une source chaude où me plonger, et je suis heureux. Après tout, vous voyez le rapport entre les bains chauds et la vapeur : l’eau chaude se vaporise en vapeur et donc, je suis un grand humoriste ! Mais honnêtement, j’aime les sources chaudes, je peux y être tout nu. Par contre, j’ai ironiquement une aversion totale pour celles où il faut se vêtir d’un maillot de bain pour y entrer.

-HISTOIRE DU PERSONNAGE-
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Le clan Terumi, un clan qui a fait connaître son nom grâce à une seule et unique personne : Mei Terumi, une femme s’étant illustrée en accédant au titre de première Mizukage femme. C’était ma grand-mère dont la tombe repose au cimetière du village de Kiri, mais à laquelle je ne rends jamais visite, ne l’ayant pas vraiment connu étant donné qu’elle décéda un an après ma naissance, après avoir laissé derrière elle un nom : nom qui allait être celui de mon petit frère, déjà dans le ventre de ma mère. Ce garçon qui allait devenir mon petit frère allait être affublé d’une horrible destinée : celle d’avoir un frère aîné tel que moi.

« Je n’ai jamais aimé le froid… mais je n’aime pas non plus quand mes vêtements me tiennent trop chaud pourtant. »

J’aime exhiber mon corps fin et grand. C’est un fait. Je trouve que le climat du village de Kiri est trop chaud, malgré sa réputation qui lui a donné son nom à être un village où la brume est présente dans le quotidien des villageois. Un jour, car toutes les histoires commencent un jour, c’était rare, mais le soleil était apparu devant les yeux ébahis de nombreux villageois, mais à mon grand damne. L’après-midi pointait le bout de son aiguille sur l’horloge et la température était à son summum : il faisait trop chaud pour moi qui étais déjà habitué à suer sang et eau sous la brume froide du village. C’en était trop, je me dévêtis, totalement, jusqu’à en retirer le caleçon ; devant une foule intimidé par la bête qui leur avait été dévoilée une fois mon sous-vêtement de retiré. Bien rapidement, pour rassurer la populace, les ninjas entrèrent en action pour capturer la bête, l’enfermer afin qu’elle ne revoit plus jamais la lumière. Je fus entouré d’un drap pour cacher ma nudité exacerbée et fut rapidement emmené aux quartiers du Mizukage pour être puni. Je fus dégoûté de la punition, mais elle ne m’apprit rien car souvent, je me pointais nu dans le village. Ce rare soleil qui était apparu dans le ciel du village avait-il intensifié ma sensibilité à la température ? Ou bien était-ce simplement un effet placebo que mon inconscient avait développé en réaction à la punition injuste qui m’avait été donnée ? Je n’en avais que faire de la réponse, tout ce qui m’importait, c’était de me déshabiller lorsque je le voulais : souvent avant de débuter un combat afin de ne pas souiller mes vêtements, et surtout ma peau, d’une sueur qui pointerait le bout de son nez à cause d’une montée de chaleur dans mon corps.

« Je ne vois pas ce qu’il y a de mal dans ce que je fais. »

Un autre jour, une autre histoire. Une mission de la plus haute importance m’avait été attribuée alors que j’étais encore Genin, car malgré son importance, la tâche en quoi elle consistait s’avéra simple au point à ce qu’un simple Genin puisse la gérer. J’avais la charge de guider une femme d’une grande importance car elle s’avérait être la fille ou la femme d’un grand seigneur quelconque, dans le village. Ce que je fis, jusqu’à ce qu’elle me dise qu’il faisait trop chaud. Ça ne m’étonnait guère bien que c’était un temps brumeux, j’avais inspecté ces vêtements et vu que ceux-ci étaient des vêtements d’hiver, logique qu’ils tenaient chaud alors que l’on était en été et même s’il y avait de la brume, l’on restait en été et la chaleur était juste assez élevé pour qu’elle ait chaud et qu’il y ait de la brume. Mais je suspectais aussi une excitation de sa part, peut-être donc une réaction hormonale. Bref, ni une ni deux, je ne voyais qu’une solution à son problème : j’arrachais ses vêtements devant une masse de passants, et encore une fois, j’exhibais un corps nu à la foule qui cette fois n’était pas intimidée, mais excitée à la vue du corps nu qui n’était pas le mien, mais celui de la femme qui se plaignait d’avoir trop chaud. Maintenant, elle n’avait plus chaud, et pourtant elle pleurait, se sentant humiliée. Je ne compris pas la raison de ses larmes, ni à ce moment-là, ni aujourd’hui. Les femmes m’insultaient de pervers, les hommes bavaient, et les ninjas firent à nouveau leur apparition, pour cacher le corps de la femme sous un drap et pour une nouvelle fois m’arrêter sans que je ne comprenne pourquoi.

Cette fois-ci, la punition avait été plus sévère et je m’étais retrouvé en prison pour un bon moment. Je ne sortis que longtemps après, à vrai dire, ça ne fait qu’une semaine que je suis sorti. A mon retour dans la société, plus rien n’était pareil. Et pour cause, j’avais été expulsé du domicile familial et je n’avais plus aucun endroit où dormir. Pourtant, il me fallait bien trouver un toit sous lequel vivre car même si je trouvais qu’il faisait chaud la journée, je trouvais ironiquement qu’il faisait un froid infernal la nuit tombée, et ce peu importe la saison. Heureusement, je trouvais bien vite une auberge où m’incruster ; auberge dont je ne me rappelais pas l’existence avant que je ne me retrouve en prison : tout avait changé, en effet. A par évidemment mon grade de Genin.

-VOUS-
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Pseudo : En vrai, j’ai pas de pseudo ou plutôt, je change tout le temps, donc maintenant, ce sera les initiales de mon prénom ; JH ♂ .
Âge : 16 ans, soit quasiment 5844 jours, soit environ 140 256 heures, merci Google ! Quoique j’aurai pu utiliser la calculatrice, mais flemme.
Disponibilité : C’est très versatile, m’voyez.

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