Naruto no Sousaku
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 ▪Death & Strawberry

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MessageSujet: Re: ▪Death & Strawberry    ▪Death & Strawberry  EmptyDim 24 Juin - 1:49



▪ WHY DO YOU EAT IT ? ▪
▪ Death & Strawberry ▪



    On m'avait déjà convoquer, cette fois, j’espérais autre chose, trop d'émotion dans la précédente mission. Qu'est ce que je voulais ? Rien de plus qu'une mission banale, une petite patrouille dans les environs d'un bâtiment important, au portes du village, en bref, une promenade. Mais il faut dire que je n'ai pas le choix, les mission sont imposés et pas de discutions, aucune réclamation n'est acceptable. M'enfin, c'est mon boulot... Je dois le faire, et bien ! Je mes mon imposante veste si chère à mes yeux et me dirige vers le QG des missions. Je repense un peu à ce qui s’est passer lors de ma dernière mission. Je revois encore le sang de cet homme capuchonné couler le long de son bras, couler au sol... Je revois tout, mon combat, mes gestes, mes actions bonnes ou mauvaises. Je n'arrive toujours pas à y croire, et j’évite d'y penser la plus part du temps. Mais tout cela me rappel bien de sinistres souvenirs... Mon père... Je sens encore parfois les gouttes de sang qui venaient tacher mon visage. Ces sensations me sont encore nouvelles ! Sentir ce qu'on peut éprouver lorsqu'on tue, lorsqu'on domine. Je comprends enfin ce qui s'est passer il y a maintenant une dizaine d'année. Raaaah !! Je ne veux pas y penser, du moins pas pour l'instant, ce que me dis de faire mon esprit n'est pas atteignable avec un tel niveau, je ne fais pas fière mine devant... Et puis merde ! J’arrête d'y penser, et me mes à courir comme un fou à travers les gens. Pourtant rien n'y fait, je garde ça dans un coin de ma tête. Je ne pourrais pas oublier, ça fait partie de mon histoire.

    J'arrive, un peu essoufflé, à ma destination. Vous connaissez la suite ! Je ressors dérouté, dépité, voir même abattu ! Je ne pouvais pas le croire, vraiment. Est-ce vraiment des mission D qu'on donne ?? Le visage tourné vers le sol, les yeux grand ouvert... Je ne réalisais pas ce que j'allais devoir faire. Je me secoue la tête, l'air de vouloir me réveiller d'un vieux cauchemars ! Je fronce les sourcils, me concentre et réfléchis un bon moment sur ce qui m'était donner de faire. Des images fusent dans ma tête... Ils ce passe vraiment des choses comme ça au Village. La brume sanglante... Ce surnom n'as donc pas été voler ! Je fais un pas hésitant, puis d'autre pareil, avant de me mettre à marcher normalement. Tout le contraire de ma venue rapide, je marche comme si le ciel s'était abattu sur moi. Rien qu'a l'idée de trouver des personnes qui découpent des têtes m'est un peu étrange... Non, ce n'est pas le mot. Je voulais dire, irréelle, inconcevable !! J'ai mis longtemps à revenir à la maison, j'ai eu le temps de me repasser tout ce qui m'était passer par la tête. Je m'étonne à devenir motivé et prés à tout faire pour arrêter ce genre de chose dans notre village. Je monte directement dans mon territoire, me mes à l'aise et réfléchis sur mon plan d'action. C'était totalement imprévisible ! Je n'ai jamais entendu parler de telles choses dans le village, jamais vu de telles choses, ou même sentit de telles choses. Il devait bien y avoir une personne qui a laisser filtrer quelque chose. Je me prends la tête dans les mains, coudes sur le bureau. Le vent soufflait, et faisait claquer légèrement la fenêtre. Je commençais à m’énerver, je perds patience, mais je me calme rapidement, je maîtrise mes émotions, heureusement je dirais. Je dois réfléchir, ça ne doit pas être si compliquer. Qu'est ce que j'aurais pu entendre de louche, voir, lire, ou sentir ? Je passe ma mémoire au scribe. Je revois chaque moment, chaque instant de ce qui s'est passer. Je n'y arrive pas ! Hein !? Attends... Non, ce ne peux pas être possible ! Je me mes en route, peut-être est-ce que j'avais une piste ! Je joue le tout pour le tout, et saute précipitamment par la fenêtre. Je me lance dans une course effrénée vers la destination... Vitesse maximum, pas de temps à perdre, si je dois arrêter cet homme, je dois le faire rapidement. Les cheveux au vent, je me disais que je tenais la ce qui pourrait être la solution de ma mission.

    Le soleil est encore haut, et tape de toute ces forces. Malgré tout, on n’aperçois que sa forme, sa lumière, bien que puissante, ne traverse pas totalement la brume habituelle de Kiri. C'est toujours à des moments importants qu'on se rend compte de ce qui est "normal" dans notre vie de tous les jours. Les quartiers ouest de Kiri...Quartier résidentiel tranquille et sans problème, sauf que ... Les allusions peu masqué d'une certaine personne m'en disait trop sur la chose. J'en étais sur maintenant, c'était lui. A destination, je me pose contre le mur adjacent à une porte bleu marine. Je m'accroupis...Est-ce bien la que tout ce passe ? Je me remets en question, je me remets en cause. Si je merde, je ne serais pas bien du tout. Finalement il serait temps que je me face un peu confiance. Je vérifie que personne ne rode dans les alentours, et défonce la porte d'un coup de pied rageur. Tant pis pour la discrétion, j’espère le trouver en flagrant délit. Je me retrouve dans un salon, sombre, macabre, sans vie...A l'image même de ces crimes. J'ai pris le soin de prévenir les intervenant du Village, des shinobis que je vois toujours aussi imposant et puissant, mais sans mon travail ils ne pourraient rien faire. Je m'avance rapidement à travers le couleurs, et découvre une trappe souterraine. Je m'y aventure, avec un sentiment de peur à l’intérieur d'une énorme excitation. Une lumière m'aveugle, mais je m'enfonce dans ce trou à rat quand même. Je pouvais déjà entendre des bruits... Je crains le pire ne sachant pas ce qui se passe à présent. J’atterris sur un sol plat, la lumière est remplacer par un long couloir noir et sinistre. Les bruits deviennent de plus en plus précis, de plus en plus fort, au fur et a mesure que je m'avance dans ce couloir. Je me mes à courir, rapidement et arrive au niveau d'une porte que j'ouvre sans difficulté. Éclairé par une seul lampe en fin de vie, une salle qui a faillit le faire perdre ma lucidité. D'énormes bocaux remplis de parties de viande,...humaine je supposais. Puis j'ai remarqué l'homme, debout devant moi, sans la moindre frayeur qui se lit sur le visage. Il était serein, sur de ce qu'il faisait... Il ouvre la bouche, et je n'attendais pas moins qu'une explication.

      ▪ ... La vie n'a aucun sens si personne ne l'étudie. Ta vie et la mienne ne sont que des pions sur cette Terre, je m'efforce de résoudre l’énigme qui lit l'être de chair à l'âme supposé. Moi tu vois, je ne suis qu'un scientifique à la quête de la vérité. Vous Shinobis vous n'êtes que soldats d'un régime aveuglé par sa puissance. Arrêtez de vous regarder dans le miroir, vous n'êtes pas les maîtres de ce monde. Monde qui ne demande que votre disparition. La science aide la vie, alors que vous...vous la détruisez !!! Prenez garde, car il viendra un jour ou tout sera révélé, tout sera mis sur la table. Une mission m'a été assigné, je dois l'accomplir, je dois la finir. Même si pour ça je dois tuer toute l'humanité. Je suis prés au sacrifice de l'être humain pour arriver à mes fins !!!! VOUS N'ÊTES QUE DES OBJETS SUR MON JEU ! SI SEULEMENT VOUS SAVIEZ CE QUI JE SUIS BANDE D''IGNORANTS !!!!!!!!!!!


    Ces paroles sont aléatoires, sans aucun sens. Je me mes à me poser des questions sur les faits de cet individu. Je n'essaye même pas de comprendre ce qu'il dit. D'ailleurs je n'ai pas eu le temps de réfléchir à ce qu'il a voulait dire, que le voila déjà élancé vers moi. Scalpel à la main.

      ▪ Je vais te découper... Tu veux faire partie de ma collection... Shinobi ?


    Je sors un kunai, et contre son attaque de débutant. J’enchaîne avec un coup de pied dans le ventre, qui l'a envoyer valser contre sa maudite collection. Moi faire partie de ta collection ? Je n'ai même pas besoin de te répondre, ton orgueil t'aveugle et tu ne vois pas plus loin que le bout de ton nez. Je me lance vers lui, déterminé, le visage froid et plein d'envie de meurtre. Il ce relève rapidement et me lance une dizaine de ces scalpel encore souillé par le sang de ceux qu'il a découpé. Je n'ai eu aucun mal à esquiver tes attaques, malade ! Je saute en tournant sur moi même, et atterris juste devant lui. Oeil contre oeil, nez à nez, il n'y avait plus aucune échappatoire pour ce fou. Je ne montrais aucune émotion, si ce n'est celle de la rage que j'éprouvais contre ce moins que rien. Un tel acte, c'est impossible à faire, à moins d'être fou ou illuminé. Je prends sa tête, et lui fait visiter le sol. Je voulais qu'il souffre, autant que ceux qui sont dans cette pièce, découpé, étudier et je ne sais ce que ce fou à pu encore faire avec leur corps !! J'étais entré dans une rage folle... J'avais l’impression de lui ressembler pendant un moment, mais cette rage avait besoin de s'exprimer, j'allais le faire voyager au pays des rêve, jusqu'au moment ou... Comment c'est possible. En un éclair de temps je me retrouve entouré de trois Shinobi masqués, dont l'un me bloque contre le sol. Je pouvais sentir la froideur du carrelage tant pis je m'étais fait prendre. L'autre fou a été maîtriser par l'un d'eux qui n'a eu aucun mal à le prendre avec lui. Il faut dire que j'y suis donner à coeur joie, je l'ai amocher et exprimer toute la rage que j'avais en moi, il fallait que celui a tuer autant de personne comprenne bien que ces personnes morte vont lui faire payer encore plus durement ! Le Shinobi qui me tenait me lâche doucement, et s'éloigne, tant dis que les autres reste autour de moi, comme si j'étais un élément qui pouvait déraper à tout moment.

      ▪ Maîtrise tes émotions petit !! Tu risque de te perdre dedans...

      ▪ Merci. Vous êtes... ?

      ▪ Ne t’inquiète pas gamin, on s'occupe du reste ! Retourne à tes occupations !! Tu as fait du bon boulot gamin...


    Je les regardes l'un après l'autre. Ils sont imposant... J'en avais peur, vraiment. Mes yeux ne se stabilisaient pas, ils se baladaient entre les visages de ces trois personnes. Je voulais voir leurs yeux... Ça m'était impossible. Je ferme les miens et me calme rapidement, avant de me retirer doucement, traînant le pas, et ne voulant pas perdre ces êtres de puissance de vue. Je me suis résolu à m'enfuir de cet endroit. Il y a eu trop de choses passés, trop de choses vus, trop de trop...






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