Naruto no Sousaku
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 Espoir et Désespoir, la réincarnation d'un rêve.

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MessageSujet: Espoir et Désespoir, la réincarnation d'un rêve.   Espoir et Désespoir, la réincarnation d'un rêve. EmptyMer 10 Oct - 21:03

Espoir et Désespoir, la réincarnation d'un rêve. 533566bannhebi

Prélude - L'espoir dans le désespoir.

Comment débuter une histoire, si ce n'est que la conter depuis ses débuts ? Une narration enjolivant le quotidien d'un homme, fier et heureux, sombrant soudainement dans la tragique tourmente de la miséricorde. Il y avait ce fameux passage dans la longévité, où la tumulte de l'esprit entrait en collision avec la raison de ce monde, vous offrant alors une toute autre vision de ce que votre âme percevait jusqu'à maintenant. Cette petite chose, qui faisait le déclic au creux de vos pensées, vos rêveries, pour ne laisser place qu'à ces divagations de chaos et chahut. Celle-ci était capable, de renverser une situation, renverser votre jugement, renverser votre personne, ne plus savoir qui vous êtes, ne plus savoir où vous en êtes, rendant vos pensées aussi confuses et extravagantes qu'une situation amenant à la détresse, où seule la mort deviendrait votre remède. Une rédemption ayant raison de votre âme, la persécutant pour la purifier de cette nouvelle pensée qui vous pourfend, la laissant raisonner en vous telle une nouvelle source d'inspiration qui finalement, vous mènera à son but. Cette dernière n'a qu'un seul objectif, faire de vous une nouvelle personne qui serait synonyme et représentation de ce qu'elle est, vous laissant alors comme seule option de faire d'elle, votre nouvelle vie, votre nouvelle pensée. Cette dit « chose », se provoquait par le biais d'un événement, une scène théâtrale digne et fine, qui pouvait être tout aussi bien traumatisant, révoltant ou tout simplement miraculeux. Cela divaguait d'une personne à l'autre, leur offrant désormais une perception de la vie parfaitement outrageuse, vivant pour la vengeance ou le plaisir de faire couler l'hémoglobine, tandis que d'autres atteignait tout simplement une once de perception plus développé sur la qualité de la vie, une quelconque osmose avec une façon de voir les choses sur un tarissable sujet, pouvant être la vie, la mort, une personne ou encore un objet. Il en fallait peu à l'homme pour se refoulait l'esprit et les cellules grises d'une nouvelle entité qui leur était inconnu et se devant d'analyser et ainsi, maintes évènements les provoquaient, faiblement ou très fortement, selon le cas psychologique et physique de l'être. En outre, la vie était parfois semée de grande embûches, de tristes spectacles, de sombreuses coïncidences, mais également de miracles ; et ainsi, nous découvrirons bien assez tôt la scène qui nous offrirait ce fameux changement d'état ou de vision, au près de notre cher héros qu'on surnommait plus familièrement, Aomine Tsumaki.

L'histoire du shinobi se déroulait au creux de Suna, un village endiablé d'une chaleur inhumaine qui ferait déshydraté le premier inconnu qui tente de nous approcher sans y prendre garde. Celle-ci orchestré sa puissance bienfaisante au grès du sable et de l'atmosphère, rendant l'air difficilement accessible par le biais du souffle, on pouvait le considérer haletant, dont la respiration s'empirerait au fil des heures pour n'en présager rien de bon finalement. Mais ajouté à ceci, on y trouvé également la fournaise au grès du sol, se carbonisant la paume des pieds à petit feu contre ce sol houleux et graineux, ne tentant même pas d'y déceler une température quelconque, ce que vous en mesurerez risquerait fort de ne point vous laisser détendu. Ainsi ce frauduleux désert harmonisait le pays du vent de son immensité, de sa beauté, car oui, s'était avant tout un paysage magnifique à observé, temps qu'on y passait pas son inconsciente aventure. Non seulement à s'exposer aux contraintes citées ci-dessus, mais également à ce qui l'habitait : moult animaux dangereux tout comme innocents, y avaient élu domicile et territoire, ne présageant que de se remplir la pense au premier qui y déposera le pied. On y discernait également quelques brigands qui avaient des campements ou refuges, habitués de la zone et de sa difficulté d'hébergement, mais étaient présents malgré tout, du moins quand il s'agissait de vol, d'agression, n'étant point courant que ces derniers s'attaquent à des convoies telles que des cargaison de nourriture ou d'eau potable. Ces hommes faisaient passer leurs égoïsmes et bien êtres avant toute chose, si seulement on puisse leur mettre la main dessus, malheureusement ils connaissaient bien mieux l'endroit que les ninja, ne laissant guère de chance dans leurs captures, ayant plus de probabilités que les rôles s'inversent. Il n'était pas rare d'ailleurs de les voir s'entraider de tempos à autres pour cette raison, en échange de biens et outils leurs permettant de subsister dans cet infâme étendue de sable. La météorologie de ce paysage pouvait parfois s'avérer très cruel, offrant grâce au nom de son pays en envoyant valser des rideaux de vents et tempêtes, érigeant parmi eux une nuée de poussière qui offrait très vite un spectacle atroce et redoutable. A ne pas s'en sous-estimer, la tempête de sable était capable d'ensevelir une maison derrière son passage ainsi qu'y étouffer un quartier dans l'asphyxie, l'opacité que celle-ci dégageait était des plus opaque, rendant toute chose impossible d'y être discerner en ce creux. Les brigands étaient doué pour les prévoir, jaugeant les courants d'air, leurs directions mais également leurs puissances, déterminant où ces dernières pouvaient frapper et durant combien de temps. Ainsi il n'était pas rare de les voir s'abattre fréquemment, obligeant tout domicile d'être rendu nomade afin de les éviter, même ces derniers pourraient y laisser leurs vies à jouer les guerriers en son sein. Beaucoup voulut prouver leurs valeurs en tentant d'y rester et d'y survivre, malheureusement, peu en son revenue.

En ce jour de grâce et de bonne foie, rien ne semblait en surgir, laissant Aomine déambulait parmi celui-ci, les pieds jonchant le sable et laissant derrière lui les traces de ses pas. Que faisait-il en cet endroit, plutôt que de s'organiser dans ses diverses tâches et missions ? Et bien on lui avait parlé d'un étrange laboratoire qui se situait au pays des oiseaux, une localisation qui offrait les frontières à diverses endroits comme Suna et Iwa. Maintes expériences y étaient menées, fréquentée notamment par le célèbre Yondaime Kazekage, Kurogiri no Hebi, aujourd'hui défunt d'une triste et nocive maladie qui lui rongea l'âme et le corps de sa malfaisance. On ne pouvait souhaiter à ce dernier, que de reposer en paix, étant le messie qui sauva le village de sa déchéance et grande chute, suite à la désertion du Sandaime Kazekage, Shin Datenshi, laissant Suna pour morte après l'attaque de la Shikatsuki. Voilà là, le rôle non achevé d'une piètre personne voyant ses objectifs avant même la vie d'autrui, laissant derrière son égoïsme, de nombreuses familles pêchées dans la miséricorde et le désespoir. Le désespoir d'avoir un jour, eu la foie en cet homme qui n'eut pas l'once d'une pitié à les laisser peiner dans un quotidien de famine, où la peste avait très vite ravagé les lieux par delà les divers cadavres qui trainaient, une hygiène des plus déplorable qui coûta injustement la vie à de nombreuses personnes. Comment pouvait on partir la tête haute et l'esprit sein, après avoir laisser tant d'injustice derrière soit ? Beaucoup de chose échappait à Aomine sur les raisons des Kage, mais cela ne le concernait en rien, lui laissant simplement l'occasion et la permission de frôler et découvrir le lieu que le messie de Suna avait très souvent emplie de sa présence. Hebi était une personne bien mystérieuse, regorgeant d'une âme faite de rancœur et solitude, et qui pourtant, avait su rétablir l'ordre et guérir le village de son infamie dès son arrivée. Il était vu comme le sauveur du peuple, comme dit plusieurs fois précédemment, le « messie », personne arrivant hors du village, vu comme un bienfaiteur venu abattre sa justice et proliférant l'égalité à tous, la protection à tous, la vie. Une présence témoignant d'acharnement et de volonté, redressant un village entièrement à lui seul, que diable pouvait il être et sortir pour assener une telle ascension ? C'était de là que reposait sa question, vilaine curiosité qui le rongea, la mort de ce dernier lui était bien mystérieuse, comme toute sa vie pour ainsi dire, peu de monde connaissait réellement ses faits et gestes, pouvant tout aussi bien s'agir d'un imposteur tout comme d'une réelle divinité ayant fait parvenir sa bienfaisance. L'un comme l'autre, on ne pouvait le blâmer pour ce qu'il était réellement, seul comptait ce qu'il avait fait, ayant visiblement, peut être un prix. Un accomplissement qui restera au cœur de tout les sunajins, mais qui eux même, aimerait savoir la réelle identité de cette personne défuntes ayant pris le pouvoir et la souveraineté dans sa parfaite part ombreuse. Nul personne n'aurait eu ce privilège en temps normaux, laissant derrière lui, bien plus de questions que d'admiration finalement.

Peut-être qu'aujourd'hui, la vérité pourrait être dévoilée, ou alors ne serait-ce découverte par une personne, pouvant ainsi témoigner de son côté psychique, était-il un manipulateur, était-il un sauveur ? Les questions se trouverait sans doute là-bas, dans ce fameux laboratoire. D'après les informations dont il disposait, un certain Eien Mangegami y avait élu domicile pour un certain temps, laissant la rumeur courir qu'il y serait parti découvrir l'ultime vérité, l'ultime puissance. Parlerait-on d'un éventuel héritage de la part du Yondaime ? Une nouvel raison qui s'était ajouté à la conséquence de son voyage, perplexe d'en apprendre un peu plus sur ces deux mystérieux personnages, qu'allait on y découvrir finalement ? Une traversée qui n'en vaudrait peut-être pas la peine ni le détour, mais qui se devait d'être fait. Ce fameux Eien avait été disposé à la tête du département de recherche, depuis quand, Aomine ne le savait guère, envisageant la possibilité que ces deux personnes eurent pu collaborer, voir même partager un lien puissant. C'était une grande espérance qu'il avait là, laissant depuis lors son côté sportif de côté afin d'y résoudre une soif de curiosité infâme qui le rongeait, un vilain défaut qu'il regretterait peut-être, tout comme éventuellement la réciproque. Il y avait des choix à faire dans la vie, nous laissant de nombreux chemins disponibles mais dont un seul est accessible, ici il avait choisit de prendre part à cette excursion mystérieuse plutôt que son entrainement. De même pour son engouement, la situation laissa paraître de lui, une nouvelle facette bien sérieuse et distinguée, qu'avait-il réellement en tête ?

Déposant ses pieds au creux du pays, l'emplacement du laboratoire était approximatif mais certes, un indice pour y parvenir. Il avait pu obtenir une carte au près de scientifiques qui rôdaient à Suna et dont il avait pu mener l'infiltration pour y saisir quelques archives sur ce lieu, espérant en trouver la localisation. Il est inutile de préciser que le risque était grand, mais la chose en vaudrait sûrement la chandelle. Lorsqu'il appris l'existence du laboratoire d'un bouche à oreille, c'était l'unique chose à tenter afin d'éclaircir le mystère. Sa motivation était particulièrement dû à une succession de mots qui s'échappa telle une rumeur « la recherche de l'immortalité ». Il s'agissait effectivement d'un domaine très recherché par de nombreux pays, maintes personnes tentèrent de s'approprier un tel pouvoir et pourtant, même le Yondaime semblait y avoir perdu la vie. Ne laissant point de coïncidence se faire sur cette rumeur qui divaguait, il ne fut pas l'ombre d'un doute que le précédent Kazekage très poussé dans la recherche et ayant souvent fait acte de présence dans ce cabinet exclu de la juridiction du village, qu'il était en réalité mêlé à cette fameuse affaire. Le voici ainsi en ce lieu, au point indiqué par la carte, face aux larges portes qui étaient incrustées dans la pierre, une chose que personne n'aurait pu remarquer ni même arriver en face, sans l'aide précieuse de cet map. Est-ce que Hebi était réellement de mèches avec le projet d'immortalité, rumeur infondée ou vérace ? Avait-il eu une collaboration ou partenariat avec ce fameux Eien Mangegami ? Ses recherches furent elles un échec pour qu'il en trouve la mort ? Qu'elle est le réel mystère derrière cette mort improbable ? Toutes les questions que le monde se posait, allez peut-être, enfin être connu d'une personne, qui celle-ci déposa ses mains afin de cogner contre l'entrée, histoire de savoir si il y avait acte de présence ou non. A en patienter plusieurs secondes, rien ne semblait bouger ou laisser percevoir une once de bruit ou d'activité, laissant bien croire qu'il y avait aucune personne, ou alors elles étaient bien sourdes.. Se remémorant le dossier qu'il avait pu voir dans sa collecte d'archives à Suna, il se souvint d'avoir vu une photo de cette personne, chef de la section recherche, également écrit disparue en-dessous, laissant cette partie du dossier, visiblement vérace à en croire la scène. Plus personne n'y était présent et la mousse s'accumulant parmi les fentes de la portières, témoignés de l'inutilisation de celle-ci durant quelques mois déjà. Ayant pris le code d'accès également, il composa les signes contre la parois en la frôlant de ses doigts par diverses vagues, ainsi qu'une incantation, pour finalement laisser l'endroit s'ouvrir à sa personne. Ainsi, étant désormais face à la trappe ouverte de ce légendaire laboratoire, les portières ne purent s'empêcher d'émettre un bruit strident dans leurs fonctionnement, dû à l'ouverture mélangée à la rouille. L'endroit avait été interdis d'accès par quiconque, expliquant la raison qu'aucune venue ne s'était faite depuis, se sentant un peu voleur d'agir de la sorte, mais ne ferait qu'en assumer les conséquences de ses actes. Engendrant le premier pas, Aomine s'enfonça alors dans les ténèbres d'une possible riche histoire.


Chapitre 1 - La tourmente d'un passé : Suna, Hebi et Aomine, trois histoires qui se rencontrent.

Nous n'en avions guère parler de cette fâcheuse curiosité envers Hebi, mais tâchons d'éclaircir ce point. Lors de la désertion du Sandaime, laissant le village mort derrière lui, de nombreux villageois désertèrent, tandis que d'autre, subsistèrent, comptant parmi eux notre héros accompagné de ses parents. Non seulement d'avoir vécu de misère durant très longtemps, au point d'en sacrifier leur premier enfant pour survivre, ils purent en réchapper en quittant Kiri pour Suna, tentant de mener à bien cette seconde chance avec un nouvel enfant, vivant sans cesse dans cette rancœur d'avoir tuer leur progéniture et alors d'y placer tout leurs espoirs et amour en celui-ci. Vivant d'une vie bien plus aisée, la terreur ne tarda pas à s'abattre de nouveau sur cette famille, étant ciblé de la Shikatsuki dans une grande destruction qui ravagea la moitié du village, laissant derrière son passage, que du désespoir. Revivant de famine et de pauvreté, n'ayant guère de toit, la tristesse de ce châtiment poussa la mère à se tenter de se suicider, ne pouvant plus vivre ainsi, un monde où l'injustice et l'infamie n'avait que le dernier mot. Le kunai à la main, le père ne réagit point à la situation, complètement abattu par les évènements, laissant la femme tenter de s'ôter la vie. C'est alors qu'une main froide et pourtant chaleureuse, la stoppa dans son élan, laissant percevoir derrière cette nouvelle venue, une longue veste noirâtre, camouflant son visage d'une capuche toute aussi obscure. A ce moment là, personne ne se doutait qu'il s'agirait d'un messie venant les sauver, devenant par delà ses actes et achèvements, le Yondaime Kazekage de Suna par l'élection du peuple, proclamant son nom fièrement. Depuis lors, Aomine ne put s'empêcher d'admirer cet être qui avait sauvé la vie de sa mère, une chose qu'il ne se rendit pas compte enfant, mais qui avec l'âge, devint une partie intégrante de son dévouement pour celui-ci. Aujourd'hui, notre héros, qui depuis la reconstruction de Suna, avait grandit et devenu une légende du basket-ball, jusqu'à ce qu'il apprenne finalement la mort de sa grande sœur, apprenant par la même occasion son existence qui était jusque lors, inconnue. Profondément bouleversé d'une telle nouvelle, il abandonna sa plus grande passion pour revenir au village en apprendre plus sur celle-ci, ainsi que la raison de lui avoir caché son existence. Non seulement d'être la cible de tragiques nouvelles, la mort du Yondaime se rajouta à la mascarade du lendemain de sa venue. L'homme qui avait sauvé le village, venait de mourir, emportant avec lui, tout les espoirs d'un peuple, mais également ceux du basketteur, consumant son admiration dans l'incompréhension de ce monde. Tant de personnes venaient à en perdre la vie d'une façon incohérente, souvent les meilleures personnes ou les proches alors que d'autre la mériterai à leurs places, que cela en devenait presque risible sous tant d'incompréhension et d'injustice.

Une personne parfaitement énergétique et heureuse dans sa joie de vivre, qui au fond, possédait un esprit des plus tourmenté et instable par delà ces tragiques évènements. Son monde venait de s'écrouler dans la mort de ce grand homme, n'ayant personne à lui succéder, n'ayant personne à faire raviver sa flamme, personne pour garder ce peuple dans cette joie et éviter de la faire replonger dans cet obscur désespoir. Personne, pour maintenir le village debout. Ne pouvant les laisser s'abattre sur leur sort et laisser tant de familles dans ce destin infortuné, Aomine engendra sa décision de rejoindre les forces shinobis en contre-partie d'abandonner sa passion, dessinant un sourire sur son visage et emplissant l'endroit de sa motivation, de son énergie et de sa volonté. Un sourire qui pu faire perdurer la joie de certains, mais au fond, les faisait perdurer dans cette tristesse au seuil de leur âme, ne pouvant renier la réalité des évènements qui pouvaient suivre. Ce fameux sourire qui essayait d'offrir la bonne humeur et le morale, était lui même tranché de la chose, de ce désespoir et crainte de revoir sombrer ce pays, qu'au final, lui même était qu'une tentative veine de se réconforter soit même dans la chose. Puis vint ce jour, où il apprit que le messie avait laissait derrière lui, un éventuel héritage qui s'érigeait sous la forme d'une rumeur qui prenait son ampleur petit à petit. Le bouche à oreille fit très vite vent au Tsumaki, la divagation qu'Hebi aurait possédé un laboratoire, où ce dernier avait mené des recherches sur une éventuel immortalité. Un homme qui était mort par-delà une maladie, laissa cette rumeur perplexe aux oreilles du ninja, une coïncidence qu'il ne comptait pas prendre à la légère. Le fin mot de l'histoire allait se trouver finalement en cet endroit, du moins, espérons le, où l'avait emmener toute ces récents évènements. Qu'était-il réellement advenu du sauveur de Suna ? Qui était-il vraiment ? Quels étaient ses objectifs au final ? Que se cache t-il derrière son étrange mort ? Des questions qui fracassèrent son esprit maintes et maintes fois, faisant vaciller son âme dans la tumulte de découvrir les réponses, se répétant ainsi de nombreuses fois ces même interrogations à s'en tordre les pensées.


Chapitre 2 - Le désordre d'une solitude.

Lugubre était l'endroit, un escalier menait au fil des marches vers les profondeurs des ténèbres, laissant quelque peu d'angoisse, aussi faible soit-elle, mais bien présente. De nombreuses toiles d'araignées bloquaient le chemin ou décoraient ce tunnel, obligeant d'agiter un kunai face à lui pour en découper les plus gênante et éviter de s'en faire une laideur sur soit. Il faut dire que cette espèce était plutôt répugnante, aussi bien par son physique que sa façon de procédé dans son quotidien, recouvrant leur territoire de toile plutôt agaçantes dans l'objectif d'y capturer sa proie. Se contentant de tout découper sur sa route, Aomine poursuivait son chemin avant de finalement stopper sa marche face à une seconde porte, assez blindée dans son épaisseur visiblement. Une seconde incantation était nécessaire pour l'ouvrir, laissant ce genre de méthode un peu partout dans le laboratoire d'après ce qu'il avait récolté en archive ; un moyen assez contraignant de toujours y avoir recourt, mais malheureusement nécessaire pour y préserver ses secrets. Seul les hommes ayant travaillé en ce lieu en connaissait les formules, laissant derrière eux ces notes que le ninja avait pris soin d'emprunter. Sur celles-ci, n'y figuraient point d'informations sur notre cher messie, ni même sur ce qui était entrepris en son sein, seule la localisation et codages y était décrit. Ainsi, même la consultation des papiers ne suffiraient pas à découvrir les secrets qui pèsent, un acte de présence était requis, bien que la façon dont notre héros procéda n'était pas des plus légales. Frôlant une nouvelle fois la porte d'un doigtée de chakra, il dessina d'étranges signes et produisit des sortes de vaguelettes, avant de venir taper contre l'énorme morceau de métal, qui s'entrouvrit aussitôt dans la manœuvre. Déposant ses paumes de mains virils contre les parois, il les poussa de sorte à ouvrir sereinement et complètement la pièce face à lui, préconisant le pire de ce qu'il pourrait y trouver.

Pas à pas, c'est ainsi qu'il pénétra cette sorte de cabinet souterrain, où de nombreuses dessertes étaient exposées, laissant de nombreuses feuilles éparpillées un peu partout, mais également des piles de dossiers, dont certains semblaient être des projets, d'autres des abandons. Prenant soin de fermer les lieux derrière lui, il alluma l'interrupteur qui se trouvait non loin du niveau de son épaule, pour éclairer la pièce et mieux y entrevoir l'étendue. D'autres portes semblaient menaient à d'autres chambres, cela semblait à tout point de vue assez vaste et lui prendrait quelques temps à s'y retrouver dans la visite. Nul personne n'était intervenue, il y avait-il vraiment pas l'ombre d'un chat ? S'approchant de ces fameuses tables, le ninja y fit glisser sa main de sorte à y dépoussiéré la chose, laissant apparaître quelques sceaux, sans nul doute possible, des expériences et travaux étaient bel et bien orchestrés ici bas, mais ne laissant pour le moment pas la trace d'un quelconque indice sur les deux hommes qu'il cherchait. Il y avait quelques bouts de bois et prothèses qui trainaient sur les incantations, rappelant quelque peu des artifices de membres humains ; peut-être que l'un d'eux avait perdu un membre et s'était greffer ces sortes de choses pour combler ce vide. Si on adressait le regard plus loin, on pouvait y discerner des sortes de poupées, marionnettes, accrochées au mur, laissant vite tomber son hypothèse à l'eau. Aomine avait entendu parler vaguement de ces choses, une sorte d'arme qu'utilisait certains ninja de Suna pour combattre. N'en sachant pas plus, il s'approcha de ces dernières dans le but d'y desceller quelques choses, mais à part des lames et des poches de poison, pas grand chose n'y figurait pour venir l'aider dans sa quête. En ouvrant les divers portes, il ne fit que tomber sur de larges entrepôts vides ou d'autres cabinet du même genre que le premier, laissant au final, que cette salle d'archives désordonnée comme possible source d'information. A tout point de vue, il fallait feuilleter celle-ci et les remettre en ordre pour éventuellement en tirer quelque chose, du moins ce serait un bon point de départ.

Ramassant et déposant ainsi la totalité des recherches sur le bureau et s'asseyant au grès d'un tabouret qu'il avança prématurément, le ninja se mit en quêtes de réponse, lisant les feuilles une par une sans trop y comprendre, cela parlait de recherche afin de combler les faiblesses humaines, évoquant l'adn et la génétique humaine, c'était assez farfelue, les idées étaient éparpillées à travers diverses pochettes et notes. On y comptait plus le nombre de pages, seul ce qui y figurait devenu une importance à l'état pur, les scientifiques présent cherchaient des remèdes à la mutation du code génétique humain, afin de le contorsionner et l'assouvir à son bon vouloir. Le nom du Yondaime figurait un peu partout, était-ce vraiment cela sur quoi il travaillait durant tout ce temps ? Le fait qu'il cherche des réponses à ces questions qu'Aomine pouvait lire, pourrait expliquer le rapport de la maladie dont il fut défunt, laissant l'hypothèse qu'il puisse essayer de transformer son corps afin de le guérir. Cela fut un échec visiblement, n'ayant pu résoudre cette énigme maladive ; mais le déboire n'était pas totale, en continuant de feuilleter, on y lisait la reproduction du code génétique, capable de concevoir l'adn d'une personne au creux d'un concentré au sein d'une pilule. La science pouvait donc dépasser l'entendement, bien que ce dernier ne puisse guérir sa tourmente, ses recherches l'avaient néanmoins amener à un autre résultat, accablant sa puissance d'une nouvelle lueur. Incapable d'y comprendre les formules, ces dossiers se devaient d'être garder en toute sécurité et loin de tout regard curieux ; si lui même avait pu en arriver là, d'autre y parviendrait un jour ou l'autre, il n'était pas le seul parsemé de cette soif de curiosité sur le cas d'Hebi, le messie de Suna, laissant tant de secret et de mystère dans son ascension, son règne ainsi que sa mort.

Il n'y avait nul doute sur le fait que l'ancien Kazekage effectué des recherches sur une éventuelle immortalité ou ne serait-ce une faculté d'éloigner sa fin de vie. Peut-être que finalement, même dans la souffrance et l'âme persécutée de sa miséricorde, puisse encore trouver l'espoir de maintenir le village dans sa voie, ne voulant pas qu'il sombre dans sa disparition. Ainsi ce dernier tenta d'agrandir sa longévité dans cet unique but honorable, accomplissant son devoir jusqu'à la dernière goûte de sueur. Il n'y avait pas plus glorifiant que de tout mettre en œuvre pour maintenir cette joie et cette paix au cœur des familles, tellement d'espoir reposait sur lui qu'il en vient jusqu'à se mener des expériences, laissant les villageois et ses troupes dans l'ignorance du mal qui le rongeait afin de ne pas les inquiéter. Qu'il puisse reposer en paix là où il siégeait actuellement, l'avenir de son œuvre serait désormais, dans le creux de nouvelles mains qui ne tâcheront guère les siennes ainsi que celle d'Inajiro, ces deux êtres au cœur pur et téméraire. Relevant son regard vers les marionnettes qui étaient accrochées au mur qui lui faisait face, il ne pu s'empêcher d'y voir une quelconque ressemblance avec ce héros. L'une d'entre elle reposait un visage humain et une perruque noire, qui lui évoquait grandement celui-ci, lui laissant un parfait sourire se dessiner au creux des joues de notre shinobi. A quoi pensait-il donc ?


Chapitre 3 - L'admiration et l'espoir, forces capable d'offrir l'immortalité ?

Aomine se releva du tabouret où il avait déposé son fessier, pour contourner la table et venir faire face à la poupée de bois, ses yeux déposèrent l'éclat bleuâtre d'une admiration forte envers celle-ci. Caressant le visage de cette dernière par delà sa paume de main, la matière était froide et inerte, tout comme l'avait témoigné sa mère, lorsque celui-ci l'avait arrêter dans sa tentative de suicide. Même mort, son esprit continuait d'habiter chacun des villageois, il continuait encore aujourd'hui de faire ses apparitions au sein de ce monde, faisant face encore une fois, à l'une de ces fameuses représentations photonique de son esprit. Même si un être ignare n'y voyait là qu'un morceau de bois, Tsumaki lui, en voyait bien plus long, capable de percevoir l'esprit de son Kazekage au travers, comme si celui-ci s'y refléter. Sa joue, malgré qu'elle soit fausse, percevait exactement le même touché et la même sensation que le véritable. Homme ayant subis un bon nombre de coïncidence ou miracle depuis son entrée dans ce monde, ne pouvait pas ignorer celle-ci, qui une fois de plus, semblait lui indiquer une nouvelle étape à franchir. Croyant ou non en la réincarnation, en l'âme ou l'esprit, cette poupée suffisait à imposer son histoire par delà son simple physique, celui d'un homme qui un jour, sauva un peuple de sa déchéance. Décrochant la marionnette de son support, là où elle n'avait point sa place, Aomine la fit tenir debout par le biais de ses articulations qui semblaient solidifiés et résistantes, pas un simple pantin visiblement. Ainsi, faisant face à cette soit disant réincarnation d'Hebi qu'il voyait en elle, il la contempla d'un air très sérieux, puis détendant son regard révolver, prononça quelques mots.

« Ton rêve n'est plus un rêve.. Hebi. Tu nous a malheureusement quitté, mais ton esprit et ta volonté ont laissé des héritiers derrière toi, porteur de ta bienfaisance et de ta protection. Ton corps lui, est aujourd'hui inerte, mais.. » Aomine déposa sa main délicatement sur l'épaule de la création, en ajoutant « Celui-ci sera la renaissance de ton œuvre. Toi qui désirait l'immortalité, ton corps en bénéficiera à travers cette création à ton image, tandis que ton âme sera immortalisée dans notre volonté et nos cœurs. C'est dans la mort, que se réalisera ton plus grand souhait, l'éternité. »

A en croire les propos, le ninja qui parlait à cette marionnette inerte, semblait vouloir se l'approprier afin de réaliser le rêve de Yondaime Kazekage. Lui qui souhaitait rallonger sa vie pour poursuivre la sûreté du village, était désormais représenté par une œuvre immortelle à son effigie, incarnant la force physique de ce héros, tandis que son utilisateur, incarnerait la force mentale de celui-ci. Une nouvelle ère au sein de Suna s'apprêterait alors à avoir le jour, une personne héritant des volontés d'Inajiro ainsi que d'Hebi, ferait sans nul doute son ascension parmi les légendes de ce village, nullement décidé à laisser ce dernier sombrer dans l'atrocité et le malheur une seconde fois.

Amenant le pantin près d'une table vierge, il l'y fit s'allonger et commença alors à regarder quelques plans qui trainaient non loin, afin de s'approprier le savoir du « Kugustsu no jutsu » ; il modifia l'aspect de celui-ci afin de le faire ressembler d'avantage à ce héros, lui teintant quelque peu la face pour lui donner un air plus vivace dans un ton de couleur ressemblant à celui de la peau originale. Le bois faisait triste et morne, laissant très vite voir qu'il s'agissait d'un faux ; il se devait de le faire paraître aussi vrai que nature, se marmottant un plan au travers les lèvres, la lame à la bouche. Attrapant la fourrure qui lui servait de perruque, il la taillada quelque peu avec l'aide de ciseau, lui donnant un air beaucoup proche voir synonyme ; se doutant qu'au loin on ne puisse discerner le vrai du faux, bien qu'en face à face, l'esthétique n'était pas encore au rendez vous ni à la hauteur d'y faire quiproquo. Une fois le travail achevé au bout d'une longue heure, il la mit en position assise, extirpant un profond soupir pour ce dur labeur ; en admirant celui-ci, il ne pouvait qu'être fier du final. Aomine attrapa un sac pour y placer tout les dossiers, tandis qu'il recouvra le pantin d'un large voile noire, recouvrant son corps et sa tête d'une capuche obscur, ne laissant transparaître que le bas du visage. Une longue route l'attendait désormais pour retourner au village, ayant passé la nuit ici, il se pourrait que les villageois s'inquiètent de ne point avoir vu la bonne humeur du basketteur, cela serait regrettable de leur porter du soucis plus qu'il n'en faut. Quittant l'endroit, il referma soigneusement les portes blindés derrière lui, une rugueuse suite d'évènement allait l'attendre : l'ascension de l'immortalité d'Hebi, un rêve, un espoir, une réalité. Ainsi fut scellé le passé de notre jeune héros, s'aventurant désormais vers un futur plus que certain, bien déterminé.

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Résumé
L'histoire débute à Kiri, lorsqu'un couple vivant de misère et d'infortune procréèrent un enfant. Incapable de l'élever dans cette famine qui ronge les bas quartiers, ils durent laisser à l'abandon le jeune nourrisson. Quelques années plus tard, ont les trouve à Suna, suite à une migration dû à une maladie s'étant répandue dans leurs contrées, leurs offrant désormais une vie plus souple et aisée. Ils vont alors avoir un second enfant, lui portant tout leur amour dans la rancœur d'avoir abandonné leur premier, du nom d'Aomine Tsumaki. Son histoire va prendre un grand tournant à l'âge de 12ans lors de la venue de la Shikatsuki à Suna, ravageant la moitié du village, le Sandaïme Kazekage de l'époque, Shin Datenshi, va alors déserter en laissant derrière lui les familles ravagées par la famine, les blessures et la terreur. La mère Tsumaki, ne pouvant plus subir plus longtemps cet infortuné destin, va tenter de mettre fin à ses jours devant sa famille, le père ne tentera même pas de l'arrêter, complètement effondré de revivre le chaos d'antan, tandis que l'enfant est perdu dans la tumulte. C'est alors qu'une main froide et pourtant chaleureuse, va retenir la main de la femme, celle d'un homme qui deviendra par la suite le Yondaime Kazekage, Kurogiri no Hebi. Devenant le messie du village, il va le rehausser et le soigner depuis l'intérieur, devant aux yeux de tous un véritable héros, un sauveur, les sortant de cette tragédie sans équivoque. Aomine deviendra admiratif du Kage dont parle tant sa mère, celui qui lui a sauvé la vie ainsi que leur habitat.

S'écoulant de nombreuses années, notre héros est devenu basketteur professionnelle, une grande passion qu'il du mettre un terme à l'âge de 26ans, apprenant la mort de sa grande sœur, un tragique événement qui le bouleversera, n'étant point au courant de son existence jusqu'à lors, Tsumaki Miku. Il reviendra à Suna pour en apprendre plus sur cette histoire, lorsque du lendemain, c'est la mort du Yondaime Kazekage qui est déclaré. Le village s'effondrera alors dans le désespoir d'avoir perdu leur messie, un sauveur défunt avec les espoirs d'un peuple, emmenant la joie dans sa tombe. N'ayant plus personne pour diriger le village, beaucoup de mœurs vont se propager sur une éventuelle rechute de Suna, une chose terrible et pourtant inévitable. Ne souhaitant point vouloir les voir s'abattre, Aomine s'engagera dans cet armé shinobi et remis le sourire à tous dans sa bonne humeur, un sourire qui lui même était faux, la personne qu'il admirait tant été morte d'une façon bien mystérieuse.. Peu de temps après, l'écho qu'Hebi faisait des expériences et recherches dans un laboratoire fut vite le tour du village, parlant soit disant d'immortalité.

Envie d'une curiosité à apprendre la réelle trame de cette histoire pleine de mystère : la venue, l'ascension, le règne et la mort d'un héros. Le ninja volera et s'emparera de dossiers confidentielles de ce fameux laboratoire et partira à sa recherche dans l'espoir de résoudre les questions qui torturaient le village, et peut-être, leur apporter un nouveau soutien, nouvelle espoir, avec ce qu'il y trouverait comme information. Arrivant sur les lieux, il découvrira de nombreuses archives concernant des expériences sur la génétique, qui n'ont pu aboutir, concluant que le Kazekage mourant d'une maladie, avait essayé de rallongé sa vie d'une quelconque manière afin de ne pas faire sombrer le village dans sa disparition. Se rendant compte de la situation complexe et de désespoir dans laquelle était Hebi, cachant au village cette miséricorde pour ne pas les inquiéter même dans ses derniers moments. Aomine éprouvera alors sa grande admiration d'antan, puis découvrira un pantin dérivé de l'armée de Suna dont il avait entendu parlé, ressemblant étrangement Hebi. S'armant d'un objectif hors du commun, il va prendre le pantin pour le rendre beaucoup plus proche et réalise du réel Kazekage, offrant alors une conclusion assez surprenante dans la ressemblance. On ne pouvait causer le quiproquo de près si on voyait son visage, mais d'un peu plus loin, cela paraissait comme identique. Aomine offrit alors un rêve éternel à son héros, qu'il n'avait pu lui même réaliser, l'immortalité de son être à travers cette marionnette à son effigie, incarnant sa force et prestance physique, tandis que sa force d'esprit et sa volonté serait incarnées par l'utilisateur de la poupée ainsi que des villageois. Un nouvel ère s'annonça alors, celui de la résurrection et de l'immortalité d'un rêve, celui d'Inajiro et d'Hebi, la sauvegarde de Suna.
Background d'Aomine Tsumaki dans sa maîtrise du Kugutsu, de la découverte de sa première marionnette ainsi que de la récupération des archives d'Hebi et de quelques traces de son passé.
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Espoir et Désespoir, la réincarnation d'un rêve.

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