Naruto no Sousaku
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 Yataru Asami ~

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MessageSujet: Yataru Asami ~   Yataru Asami ~ EmptySam 9 Juin - 10:21


-PRESENTATION-
______________________________________________________________
ASAMI Yataru

Yataru Asami ~ 571900YataruAvatar
-PRÉSENTATION GÉNÉRALE-
Nom / Prénom : ASAMI Yataru
Sexe : Masculin
Age : 16 ans
Village : Je dirai bien Kumo vu qu’il manque de cette belle couleur marron dans les derniers membres connectés n.n
Taille : 172 cm
Poids : 71 kg

-DÉTAIL DU SHINOBI-
Affinité de Base : Raiton
Spécialités de Base : Ninjutsu
Capacité Spéciale : Atteint de schizophrénie, Yataru est de nature plus faible que la normale mais son autre Lui peut briser ses limites et, en somme, taper plus fort. Bref, il a ce qu’un fada de Donjons et Dragons appellerait un « mode berserk » ou un « mode beurk » pour les elfes blondes. (+1 pour ceux qui reconnaissent le clin d’œil ! =D)


-DESCRIPTION PHYSIQUE-
______________________________________________________________

Qui se cache derrière ces mèches noires et rougeâtres de ce frêle et étrange personnage ? A quoi ressemble cet être si fascinant ? Commençons, si vous le voulez bien, par son visage. Après tout, quoi de plus intéressant, quoi de plus passionnant que les traits, que les yeux ? Quoi de plus important ? Rien, évidemment. Ce jeune homme de seize ans, dénommé Yataru Asami, possède ce visage inexpressif, sans la moindre trace de sentiment, qu’on ces hommes capables du pire. Pourtant, loin de lui d’être un ennemi de la nation, mais ceci n’est pas la question. Ses lèvres pâles sont presque incapables du moindre sourire, ne formant qu’un vulgaire trait plus sombre et rouge que sa peau d’une pâleur maladive. Ces lèvres sont surmontées d’un nez fin, aquilin, tel qu’un tracé de pinceau sur une page vierge, livide et sale. De chaque côté se creusent des cernes, entourant deux yeux d’une couleur jaune et rare, deux yeux fatigués qui semblent ne rien voir. Ces yeux ternes, ni malsain ni doux, ne transcrivent qu’une absence de personnalité de la part de Yataru. D’une leur inquiète et d’une flamme parfois vacillante, ces yeux sont ceux que l’on pourrait imaginer à la perfection sur un paranoïaque. Parfois stressant, intimidant même, souvent déstabilisant, le regard du jeune homme apparait comme celui d’un fantôme, un regard purement objectif. Quoi de plus traumatisant que l’objectivité pour l’Homme, l’être le plus subjectif qui soit ?

Sa chevelure est d’une noirceur proche du corbeau, d’où son surnom de Karasu (Corbeau) dans sa jeunesse, ou encore « l’oiseau de mauvaises augures », qui sait jusqu’où le sadisme des enfants peut aller. Quelques mèches sont d’un léger reflet rouge feu. Vous l’avez surement deviné, comme de nombreux hommes du registre manga, ce jeune homme possède une chevelure longue et peu organisée, laissée au dépourvue. Quelques mèches viennent masqués parfois ses cernes noires et profondes, ces cernes qui creusent de plus en plus ces yeux. En tombant, ses cheveux masquent les iris jaunâtres de Yataru, et ses pupilles semblable à celle des chats. Petite originalité, le jeune homme possède une sorte de « moitié de casque ». Une coque d’un acier blanc-gris, d’une forme proche d’un casque, recouvre la moitié droite de son crâne. Un choc lointain mais définitif lui causa un traumatisme crânien que Yataru se doit de protéger en permanence : le moindre choc direct sur sa plaie peut signifier de très lourdes douleurs pour le jeune homme.

Passons maintenant au corps, partie surement la plus intéressante pour les jeunes perverses dans vos rangs. Plutôt maigre et svelte, il l’est peut-être trop. Là n’est pas le problème, sa musculature est toute à fait respectable, mais loin d’être particulièrement intéressante. Loin d’être une masse, il fut recalé à l’examen pour passer Genin à sa première tentative à cause de ses trop mauvaises prestations en Taïjutsu. Vous comprenez alors le choix d’un futur spécialiste en Ninjutsu et non en Taijutsu. Son corps est marqué d’un tatouage inscrivant « Asami » dans son dos, signe de sa famille. Son torse maigre et agile ne peut pas vraiment encaisser les coups, voilà pourquoi Yataru se spécialise dans les arts du combat à distance. Un vêtement fin d’une couleur blanche légèrement grisâtre, plutôt moulant, « ajusté » comme certain dirait, recouvre son corps à la manière d’une chemise. Les bordures noires de cet habit contrastent avec la blancheur de la peau de Yataru. L’intérieur de ce vêtement étant noir aussi, il ouvre le col au niveau de son cou, et de toute façon il n’y a aucun bouton pour fermer ce col « mao ». Ses bras à moitiés nus ne montrent que son absence de puissance et sa musculature brillante par sa petitesse. D’une tenue très droite mais d’une démarche lente et parfois chancelante, son haut est en permanence sans plis. Le moindre détail sortant de l’habitude stress le jeune homme. S’enfermant dans le mutisme assez régulièrement, il se peut qu’il passe pour le sombre et ténébreux intello solitaire. Pourtant, il n’a rien d’un intello d’un point de vue intellectuel, même si son objectivité lui permet d’élaborer une stratégie de manière rapide et efficace. Revenons à ces vêtements, maintenant. Par temps froid, le jeune homme n’hésite pas à prendre un manteau similaire à sa chemise fétiche, tombant jusqu’à ses mollets.

Pour en finir avec cette petite description physique, nous allons parler un peu de son bas, dernière partie de son corps, encore non-abordée. Ses jambes sont fines bien que peu longues, d’où sa petite taille. Ses pieds abimés par ses longues errances solitaires pieds nus ne sont recouverts que de bandelettes de tissu. Ceci explique le développement presque surnaturel de sa corne au niveau de sa plante des pieds. En outre, ses tibias sont protégés d’une petite plaque de cuir, jusqu’en haut du mollet. Ses cuisses quant à elles ne sont recouvertes que par son bas. Il porte comme bien des gens civilisés un pantalon, de tissu noir léger et élastique, ne se déchiquetant pas à la moindre ronce. Sa ceinture n’est autre que son bandeau de ninja, masqué par sa chemise tombant un peu plus bas que ses hanches. Que dire d’autre ? Nous pouvons peut-être ajouter que ses onglés de mains sont courts car rongés, le jeune homme ne pouvant s’empêcher de se les mordiller durant ses insomnies. Il faut noter que quand Yataru entre en « crise », quand sa seconde personnalité prend le dessus sur le jeune homme inexpressif et quelque peu peureux, ses pupilles se dilate légèrement pour former un rond au lieu d’être similaire à celle de nos amis félins.


-DESCRIPTION MENTALE-
______________________________________________________________


Yataru n’est pas comme les autres, ça non. Pourtant, ce serait surement ce qu’il voudrait, si le désir faisait partie de son vocabulaire. Comme vous le savez, le jeune homme est atteint de schizophrénie, ainsi possède-t-il deux « lui ». Il y a tout d’abord Yataru, celui que vous voyez le plus souvent.
Calme, silencieux, la première face de cet être est surement celle qu’on voit le plus souvent, et paradoxalement celle qu’on ne remarque pas. En permanence éteint, il apparait comme une machine, sans volonté, tellement détaché qu’on vient souvent à penser qu’il n’existe que physiquement, que Yataru n’est qu’une illusion. Qu’il n’est pas là. Qu’il est absent. Objectif au possible, il ne comprend pas le second degré, encore moins le troisième degré. Et, par pitié, évitez les blagues au trente-sixième degré. Peu vaniteux, il ne parle jamais de lui-même, et parallèlement il ne s’intéresse pas aux autres. On pourrait le résumer par un simple « solitaire ». Incapable de sentiment par sa propre initiative, il ne se lie pas facilement aux autres, si toutefois cela pouvait arriver. Mystérieux sur les bords, seuls ses proches et l’administration est au courant de sa double-personnalité, de sa maladie. D’ailleurs, il a beau en être conscient, il ne comprend pas que « les autres » ne le comprennent pas en retour. Ceci est peut-être une raison de son isolement, bien que son isolement explique l’incompréhension de ce qu’il appelle « l’extérieur ».

Peu bavard, d’un caractère renfermé et timide, il n’engage pas les conversations. Pour tout dire, il n’aime pas être touché par les autres. Le contact volontaire de quelqu’un sur lui, que ce soit aimable ou violent, sera vu comme une agression, plus ou moins dangereuse bien sûr. Peu curieux, il se contente du nécessaire, ce qui rejoint toujours à la même idée : il ne comprend qu’une chose : lui. Il n’est pas égocentriste, encore moins égoïste, mais le fait de ne pas comprendre le monde extérieur l’effraie : il ne peut pas l’affronter en face, seul. On pourrait assimiler cela à une sorte de phobie… Bref, Yataru est schizophrène. De nature peu violente, il ne refuse aucune mission, aucun effort tant que celui-ci est justifié par une motivation extérieure. Bien sûr, il est capable d’aider une vieille dame à qui un gredin est en train de voler le sac de lui-même, ou un enfant que d’autres persécutent, comme tous les êtres dotés d’un cerveau il reconnait une agression sur les autres comme il sait reconnaitre une agression sur sa personne. Cependant, jamais il n’irait aider une vieille dame à traverser, ou un gamin perdu à trouver son chemin : l’agression correspond à l’unique élément déclencheur que Yataru admet. Passant souvent son temps à s’entrainer, son autre passe-temps est « ne rien faire ». Plutôt crédule, il ne sait faire la différence entre le juste et le mal, cependant son sens de la hiérarchie l’empêche d’obéir aux ordres d’autres personnes que les plus gradés de son village. Malgré cette confiance dans la hiérarchie, ce jeune homme est aussi plutôt peureux, et ses capacités sont limitées par sa pauvre confiance en soi. Selon certain, le cerveau ne permet l’utilisation que de dix à quinze pourcent des capacités totales : Yataru lui se limite vers six ou sept pourcent de son potentiel.

Hakkyou est son autre « Lui ». Hakkyou est le Yataru fou. C’est le second lui. Et de loin, c’est le « lui » le plus intéressant. Tout comme Yataru, Hakkyou est incapable de sentiment envers les autres, cependant un égocentrisme proche de la folie et de la paranoïa l’envahit. Si il ne s’agissait que de cela, pensez-vous, cela devrait aller, mais un malheur ne vient jamais seul comme on dit : Hakkyou est aussi ultra-violent. Capable de reconnaître un « ami », il sera cependant sans pitié, sadique, avec le moindre ennemi, à un tel point qu’il devient dangereux même pour un allié qui ne s’éloigne pas du fou furieux. Pour revenir à la comparaison chiffrée de tout à l’heure, on pourrait dire que cet état repousse les limites que Yataru s’impose : Hakkyou autorise « naturellement » l’utilisation de vingt pourcent de son potentiel, ce qui implique une grande faiblesse après le moindre combat, la moindre activité intense. A noter que cette « forme » se traduit aussi par un refus total de coopérer, aussi Hakkyou n’en fera qu’à sa tête tant qu’il sera au commande. Quoi d’autre ? Il devient incapable d’aider les autres, il en devient mesquin, au mieux, détestable, en moyenne, profiteur, au pire. Il ne fera plus le moindre effort pour venir en aide aux autres, jusqu’à prendre un plaisir sadique à la moindre souffrance, même celle de sa famille. Il peut perdre les pédales, et devenir pire encore : il devient un véritable « berserk ». Si sa folie ne se calme pas, il peut facilement devenir incapable de tout discernement, libérer sa fureur et sa puissance sur les premières choses vivantes, animales ou humaines, il peut devenir un véritable monstre.

Pourquoi alors l’avoir accepté en tant que Ninja, lui donner la possibilité de devenir plus dangereux encore ? L’apprentissage ninja peut à la fois servir de thérapie pour Yataru, et mieux encore : il est sous surveillance d’un senseï au vue de sa dangerosité. Il est bien spécifié qu’aucune responsabilité à l’échelle du village ne peut lui être confié, et même si son niveau pourra peut-être un jour dépasser celui d’un Junnin il est fort peu probable qu’on lui laisse le grade, ou tout au moins jamais il n’aura une équipe à charge. Il lui faut une barrière face à lui-même, l’empêcher de commettre l’irréparable sans qu’il ne puisse s’arrêter. La présence permanente d’un supérieur lui a déjà valu de ne pas tuer par le passé ; chaque crise s’accompagne d’une dépression de plusieurs semaines. Il s’en veut, et c’est là bien la seule marque d’affect dont il peut faire preuve. Il se sait capable de tuer : il se sait dangereux. Voilà ce qui explique la faible puissance que Yataru s’autorise à utiliser en temps normal. Un allié possible ? Quelqu’un de bien plus fort que lui (et du même village) pourrait répondre oui, sinon il ne faut pas espérer en tirer grand-chose. Et je dis bien « pourrait », au conditionnel : psychiquement instable, ce jeune homme n’est pas toujours dans le camp que vous imaginez…


-HISTOIRE DU PERSONNAGE-
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A quatre ans, un survivant du clan Uchiwa tua sa famille. Depuis il veut le venger, il veut lui voler ses yeux, et… Et … Euh… *Sort*
Bon, ça va, ça va, je vais vous pondre une vraie histoire ! Originale ? On verra ça plus tard, déjà je vais vous faire une histoire, tout court.


-(La vraie) HISTOIRE DU PERSONNAGE-
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C’était il n’y a environ que seize ans, dans le village du nom de Kumogakure no Sato, une journée des plus banales, comme chaque autre jour, chaque soirée… Comme chaque homme sur cette terre, comme chaque femme, comme tout être humain, un enfant naquit. Un enfant, comme n’importe quel enfant, était venu au monde. Joie, bonne humeur, et patati et patata. La mère était confuse entre sa fatigue et son bonheur, le père imbu de sa fierté. Comme n’importe quelle mère, comme n’importe quel père. La famille était heureuse, comme n’importe quelle famille. Mais l’enfant n’était pas comme n’importe quel enfant. Non, loin d’être un simple enfant, ce nouveau-né était né en l’absence de ce qui aurait fait de lui l’être sociale et joyeux que n’importe quelle personne devrait être.
Certains naissent sans cheveux, d’autres sans la vision, d’autres encore sans l’audition, parfois sans la parole ou le gout. Ce nouveau-né, lui, était venu au monde sans conscience.

Il s’appela Yataru, fils unique de la famille Asami. Une famille banale, n’appartenant aucunement à l’un de ces clans paranoïaques et ridicules tel que les Uchiwa ou les Hyuga, ces clans infâmes parcourus de nombreux crimes internes, tout au long de leur histoire. Non, le clan Asami n’était qu’une famille, qu’une lignée sans particularité. Aucune crise majeure, ni mineure d’ailleurs, n’avait bouleversé cette famille, bref, une famille tout à fait basique. Cet enfant marcha vers l’âge de deux ans, il pouvait manger, boire, se déplacer seul dès trois ans. Il ne criait pas, il ne pleurait pas. Yataru restait assis à fixer « rien » sans jamais s’en lasser. Et il ne parlait pas. Il ne parla pas de son enfance, Il ne commença à répondre à ses parents que vers l’âge de six ans, deux ans avant d’intégrer l’académie Ninja. Jusque-là, les parents n’avaient que des doutes quant à la santé psychologique. Mais dès son entrée à l’Académie Ninja de Kumo, les choses se compliquèrent.

Yataru était bel et bien schizophrène. Son mutisme important se traduisit par une enfance uniquement hantée de solitude et d’objectivité. Il était haï de tous ces gamins sadiques et purement mauvais, comme toutes les âmes innocentes de cette pauvre terre. Des ignorants, des ignares, des salauds, incapable de réflexion et mauvais. Des êtres jeunes, innocents et odieux, c’est exactement ça. Seul, faible, frêle, le jeune Yataru n’avait aucun moyen pour exister en paix sinon ne pas être conscient lui-même qu’il existait. Et surement n’était-il pas conscient d’être en vie. Après tout, était-ce une vie ? Nous, avons-nous déjà pensé à ce qu’il vivait ? Savoir qu’une vie est dure et savoir jusqu’à quelle point elle l’est, c’est totalement différent : Yataru n’avait pas de vie mais une survie. Persécuté, il semblait ne pas en souffrir, et pourtant, même sans connaitre le sentiment de peur, de haine, de joie, d’amour, d’amitié, d’impuissance ou d’injustice, chaque coup était dur pour lui. Chaque souffrance physique était aussi mentale, et petit à petit il s’éloignait de l’enfant qu’il aurait dû être, chaque coup qu’on lui portait l’éloignait peu à peu de l’humanité, de cette sale humanité, de ce mensonge courtois qu’est l’humanité, de cette humanité inhumaine.

Quelques années passèrent sans grands changements. Quoi d’autre ? Plus de coups, plus d’insultes, un véritable « Boycott » se dressait en son honneur, en l’honneur du Corbeau, de Yataru « Karasu » Asami. Ce fut tellement agréable, une vraie période de bonheur et de bonne humeur pour notre jeune loup solitaire. Cette fameuse période, aussi délicieuse soit-elle, connue bien évidemment une apogée ; le moment de pure apothéose. Ce fut un passage à tabac en règle, sa majesté le corbeau face à une poignée d’adorables anges de l’académie, tous plus respectueux les uns que les autres, à grands coups de poings, de bâtons, de tous ces objets qui, une fois entre les mains de jeunes gens pleins d’imagination, se transforment en armes blanches. Malgré leur jeunesse, personne n’osa intervenir, préférant le calme de leur aveuglement qu’une petite action, misérable sauvetage d’une pauvre petite vie inexistante qu’était celle de Yataru. Après de très, très longues et très, très douloureuses minutes de torture, de haine croissante et de violence dont seul l’enfant déteint le droit, après de nombreuses blessures toujours plus grave, ce fut la délivrance, l’arrivée miraculeuse.

Ces gamins adorés et détestables furent tous sévèrement punis, bien que de manière légère au vu de leur sadisme. C’était un jeune homme d’une petite trentaine d’année, aux cheveux roux, tel une crinière de lion. Il portait l’uniforme des Juunins de Kumogakure no Sato, avec, ma foi, une certaine fierté et un recul admirable. Un homme roux, de dos. Sévèrement blessé, Yataru fut emmené aux urgences, avec en tête la seule image d’un roux de dos. Un traumatisme crânien, une double fracture du bras gauche, de nombreux hématomes et quelques plaies brûlantes. Un bien triste bilan, vous ne trouvez pas ? Ce traumatisme ayant été traité trop tard, agrémenté au passage de nombreux coups superfétatoires, est encore aujourd’hui considéré comme une blessure incurable, chaque jour de sa vie Yataru ne pourra jamais toucher cette partie de sa tête, le moindre choc réveillant cette douleur passée tellement intolérable qu’un être humain ne devrait jamais devoir la subir. Depuis l’âge de ses dix ans, cette marque indélébile le suit. Une sorte de casque lui fut forgé dans une vieille pièce d’acier afin de protéger cette zone sensible.

Trois ans plus tard, après un premier échec à l’examen, ce fut officiel : le jeune Yataru Asami était un ninja, un vrai : il fut nommé Gennin de KumoGakure no Sato. Son senseï, comme vous vous en doutez, ne fut autre qu’un jeune Junnin d’environ trente-trois ans, roux. Entre autre, c’était l’un des meilleurs éléments dans le domaine du Ninjutsu de type Raiton, affinité qui se relevait être celle du jeune descendant du clan Asami. Le cas de ce jeune adolescent étant très « spécial », une année entière fut consacré à son apprentissage Ninja. Instable, cet enseignement avait pour but de lui apprendre le self-control, au final le jeune Yataru rencontra le talent : le seul que le ciel n’a jamais daigné offrir à ce timide-là. Un don pour le Raiton, un véritable amour pour l’affinité électrique et une rage de puissance, mais aussi de « justice », cette notion qu’il ne comprenait qu’objectivement et de manière simplifiée : agression, mauvaise. L’empêcher, bien. Emmener le mauvais jusqu’au village, mieux.

Yataru intégra une équipe à l’âge avancé de quatorze ans, accompagnant son senseï roux et deux autres gennins d’un an ses cadets. Quelques missions s’enchaînèrent, comme pour n’importe quelle équipe. Malheureusement, l’individualisme de Yataru fit tomber à l’eau dès la deuxième épreuve de l’examen des Chunnin alors que leurs capacités pouvaient leur permettre de franchir cette épreuve haut la main. Maintenant, Yataru est âgé de seize ans, et peut-être ce grade de Chunnin est maintenant à sa portée, malgré la distance qu’il a instauré sans la désirer ni la refuser entre son équipe et lui?

-VOUS-
______________________________________________________________

Pseudo : Mystère et boule de gomme ! Mais vous pouvez m’appeler seulement par Mystère =D *Out*
Age : Deuxième mystère et boule de gomme ! Bon la prochaine réponse donne un ordre d’idée n.n Essayez de deviner ! =D
Disponibilité : Pas souvent, je peux rien promettre (J’ai les épreuves anticipées du bac très prochainement donc…)

NB : Je précise que tout a été préparé avant mon inscription, d’où ma présentation postée immédiatement, pas la peine de chercher un copier-coller cette présentation est unique à ce forum =D Voili voilou merci d’avoir lu ~
NB2 : Si j’ai bien compris on commence tous Gennin, j’ai pris la liberté de parler de l’examen, au besoin je modifie =D
NB3 : Les passages de délire « La vie est horrible » ou « la vie est belle » sont tout à fait voulu, rappelons que les notions de bien et mal ne sont pas discernés par ce personnage, je veux vraiment marquer ce détail et puis j’écris comme je veux de toutes façons =D
NB4 : J’aime les NB =D
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Sandaime Kazekage l Satsujinhannin
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Kurogiri no Hebi
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MessageSujet: Re: Yataru Asami ~   Yataru Asami ~ EmptySam 9 Juin - 20:23

Je valide, enfin un autre fou dans ce monde !
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MessageSujet: Re: Yataru Asami ~   Yataru Asami ~ EmptySam 9 Juin - 20:24

Validé
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MessageSujet: Re: Yataru Asami ~   Yataru Asami ~ Empty

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Yataru Asami ~

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