Mission accomplie ... Le lumineux déclinait enfin ses rayons brulant du pays de vent, après une après-midi aride à carbonisé sous ce four de la taille d'un pays le soleil se coucher enfin vers l'horizon allant baigner de sa lumière l'autre côtés du monde. Les nuits dans le désert son plutôt glacial, le simple fait de sortir le bout de son nez et je me les caillais déjà. Incroyable que l'atmosphère aussi chaud peu devenir un froid qui vous glace le sang. Je n'avais qu'une envie, rester dans mon lit, bien au chaud sous ma couette, chaleur que j'avais fuit pendant la journée, alors que maintenant que la recherche de toute mes forces. Malheureusement pour ma gueule j'étais de poste ce soir avec mon coéquipier habituel, Sabaku Hikari. Un antagoniste fort serviable, mais qui manque cruellement de bon sens. Mais bon j'étais la pour rectifié le tir à chaque fois, donc pas trop de problème. Sortant de mon placard une bonne grosse doudoune et une écharpe que j'enfilais en un instant. Impressionnant n'est-ce pas ? Qui croiraient que les habits d'hiver existe dans un pays qui n'a qu'une seule saison, je suis ce que l'on pourrait nommé "l'exception à toute règles". Je ne suis rien du Sunajin robuste et puissant, en réalité c'est tout à fait le contraire, rachitique et faible, en comparaison je ressemblerais à une crevette parlante. Quoi que pour me faire exprimer la moindre parole cela relevé presque de l'impossible. Tremblant comme une feuille, je quittais mon abri chaleureux et protecteur pour me frotter à l'air frigorifiant de l'extérieur. Bon sang on à pas idée de faire déplacer un malade par un tel temps. Me déplaçant avec ma monture en bois de toujours, contrairement à moi, cette être animé par mes soins était insensible à la morsure de la fraicheur du froid. Je venais d'atteindre le lieu de rencontre indiqué sur le parchemin, encore une fois premier à l'arrivé, obligé d'attendre sous ce froid mon binôme. Ne pouvait t-il pas se presser un peu la ? toujours à prendre son temps celui-là. Enfin après dix minutes d'halte il fit son apparition, éternellement vêtue de sa veste à capuche ouverte pour montrer son torse nue et sa cicatrice le défigurant jusqu'au visage. N'avait-il pas froid ? faut croire que les idiots ne peuvent pas s'enrhumer. Le saluant de ma main tremblotante avant de recroiser les bras pour éviter toute perte du peu de chaleur que j'arrivais à emmagasiner. Nous nous mirent en route vers notre destination, pendant le trajet l'utilisateur de sable m'interloqua, histoire de me taquiner, malencontreusement pour lui j'étais trop concentré sur ma chaleur corporels pour ouïr la moindre lettre de sa phrase. Entre temps nous venions d'atteindre les soldats qui nous attendaient pour le tour de garde. En ce moment le village était sur le qui-vive et ça depuis l'attaque soudaine de la shikatsuki il y'a 3 ans. On pouvait dire que l'on était complètement coupé du monde extérieur, mais le plus étrange fut cet homme qui venait de s'autoproclamé nouveau Kage de Suna. Bien que cela m'importe peu, je suis tout de même troubler de voir à ses côtés nôtre ancien sensei, alors que je ne l'avais pas revu depuis si longtemps. Monté en haut d'une tour pour avoir une meilleur perspective du village, nous cherchions le moindre mouvement suspect, enfin sauf que moi je laissais tout le boulot à mon équipier, alors que moi je cherchait un moyen de remonter ma température corporels. Jetant parfois un coup d'œil dans le ciel pour contemplé les étoiles briller, comme toujours il n'y avait pas un seul cumulus qui venait entaché le tableau d'un bleu marine profond. Attendant qu'une chose, que la boule de feu du système solaire revienne éclairait de nouveau le désert pour pouvoir définitivement rentrer chez moi et retrouver mon lit douillé. Plusieurs heures passèrent, somnolent sur ma marionnette, dans un silence pesant perturbé parfois par les cris inaudible des chauves-souris. Complètement gelé je désespérais de voir vers l'horizon la lumière du jour dans cette nuit interminable où les ténèbres dévores la moindre parcelles de chaleur. Tout un coup mes yeux me firent souffrir, mes pupilles bien trop dilatés par la noirceur de l'environnement furent ébloui par les rayons étincelant qui chasser peu à peu la fraicheur et l'ombre qui s'imposait depuis bien trop longtemps, nous plongeant dans un halo transcendant. La relève venait aussi de nous rejoindre, nous permettant enfin de quitter notre poste, ce que je fis sans attendre mon reste. J'avais une nuit à rattraper.