-PRÉSENTATION GÉNÉRALE- Nom / Prénom : Oha-ni Diao Sexe : Féminin Age : 20 ans Village : Kumo Taille : 1,65 cm Poids : 60 kg
-DÉTAIL DU SHINOBI- Affinité de Base : Fuuton Spécialités de Base : Ninjutsu Capacité Spéciale : L'art des roses des enfers:
Son clan déchu détenait le secret d'une fleur hors du commun, des roses dites du démons, c'est spécimens rares posent sur un rosier mais une fois coupée ne meurt jamais, elles se nourrissent de sang et vivent grâce à celui de leur utilisateur. En général, chaque utilisateur n'a qu'une seule rose sur lui, Diao a placé la sienne dans ses cheveux, ainsi on ne distingue pas les racines malsaines de la plantes. Son type de combat se base en partie sur cela, une rose qui atteint le coeur de son adversaire et celui-ci se voit progressivement son sang pompé par la belle, par s'en défaire, il faudra rompre les signes de l'utilisatrice, sachant qu'elle est obligé de tenir ses justus, sans quoi la rose se fane et disparaît. Ceci est la technique ultime de cette art, en général, les attaques plus basiques se base sur les pétales qui créent diversions.
Dans la famille Han, pas de place pour la paresse, pour les choses faites à moitié ou l'intérêt personnel, on a élevé, éduquer et construit Diao-chan dans cette optique et cela se reflète en partie sur son apparence. La disciple, mot d'ordre qui dirige sa vie, décide ce qu'elle mange, quand elle mange, non pas par envie mais par besoin du corps. Ce dernier qui s'est exigé d'être travaillé, maîtriser totalement, là intervient un entrainement strict, qui est devenu aussi basique que le fait de marcher ou parler, d'ailleur même l'art des mots c'est vu appris, un Han ne parle pas pour parler, il le fait car ça doit être fait, le superflu n'a pas sa place pour eux, curieux contraste pourtant avec la tenue qu'ils ont enseigné à la dernière qui restera pour les représenter...
Là encore pas question de goût, mais de tactique, on ne choisi pas ses vêtements pour être bien dedans ou par plaisir, mais parce qu'ils auront un rôle a joué, celui des premiers ambassadeurs de charme de la vue, eux qui feront la première illusion. Voilà bien le mot qui défini l'apparence de chaque être, image vrai ou non qui provoque la première perception d'un individu à tort ou à raison, l'humanité est faible, peu d'esprits savent échapper à cette règle. En clair, on se jouera des vices, à quoi servirait l'effort strict d'un corps aux belles formes si c'était pour être couvert? Alors le tissus se veut soyeux, ni criard, ni vulgaire, simplement attirant, dévoilant des morceaux de chair bien choisis, un creux de rein, un morceau de cuisse en contraste avec le buste faussement couvert. Curieusement tout cela reste harmonieux, l'oeil étant tout autant attiré par l'étrange couronne princière que que forme la coiffe, les cheveux sont attaché et lâché à la fois, un châtain relevant un bleu des yeux. Pour peu que l'on s'y attarde vraiment on constatera de petits pieds dans des chaussons de soies à la semelle atypique. Le point le plus important mais le moins marquant restera tout de même cette rose aux couleurs variantes toujours sur elle, comme-ci, elle ne faisait qu'un, celle-ci trônant fièrement sur son crâne triomphant le côté droit au dessus de son oreille.
Que dire d'une pareille enfant ? Des goûts, des choix? Non elle ne connait pas vraiment tout ça, cette créature étrange est d'une neutralité effrayante, tout est beau, rien n'est laid, car au final la beauté n'est qu'une question de point de vue et ça elle le sait mieux que personne, depuis toujours on le lui rabat, "n'est pas d'avis préconçu, est celui qui t'arrangera". Alors, il suffit de savoir observer, bien utiliser cette outil redoutable qu'est la langue et surtout se prêter au jeu, voilà qui est facile quand on s'y est appliqué toute sa vie. Mademoiselle est spirituelle, cette enveloppe, ce corps pour elle ne fait pas partie d'elle même, c'est une simple outil, une arme, celle de son esprit, son âme, seule chose qui est de la valeur, elle voue d'ailleurs un culte à des dieux curieux des temps passés. La méditation dont elle use en excès lui appris une patience de fer, un contrôle d'elle même, une faculté à la réflexion, son principe de base reste alors de rien dire, s'il a rien de bon qui puisse sortir de sa bouche, la première de ses règles et dieu sait, enfin ses dieux savent qu'il y en a beaucoup, beaucoup trop, nous ne les parcourront donc pas toutes.
Aussi, qui elle est vraiment reste difficile à définir, une façade travaillée, une personnalité modulable, un je m'en foutiste de sa personne des plus redoutables, car quand rien ne vous atteint où est la faille, que devient l'humanité? Et pourtant, le visage doux et innocent, la voix angélique et l'attitude douce, sensuelle, la font paraître plus humaine, plus fragile et plus expressive que la réalité, maudite traîtresse, reine de tromperie, savante de l'art de l'adaptation. Etre perfide alors, manipulateur, avide ? Non, la vérité est toute autre, enfant brisé, à la personnalité totalement dérobé, dont la soumission a été totale et hors de sa volonté, elle est un être conditionné qui n'a pas eu son mot son dire. La malchanceuse d'une vie qui a fait qu'elle née au mauvais endroit dans la mauvaise famille, devenu simple arme avec seul objectif, la protection de Kumo, car les dieux ont murmuré de bien vilaine chose, la mort est proche, mais pour qui?
-HISTOIRE DU PERSONNAGE- ______________________________________________________________
Son clan déchu, dont elle est désormais la seule représentante, détenait le secret d'une fleur hors du commun, celui-ci a été transmis à Diao enfant, avant que la mort ne l'emporte un vieil homme le lui avait donné le secret lui faisant jurer que nul à part son successeur ne le saurait. Sa vie était ôtée par une femme à la peau blanche et aux yeux rouges de démons perçant, elle avait semblé surprise quand il lui hurla "ONI!" pour désigner un démon dans sa langue (hommage à ma Hyme <3). Diao observa perplexe cette créature étrange, elle était si jeune encore à l'aube de sa vie et elle allait la perdre? Non, non, la femme démon s'approcha un visage tendre, de près elle avait l'air d'un ange, mais la jeune enfant avait si peur, elle qui n'avait jamais connu personne à par l'homme à qui elle venait de prendre la vie, réflexe de survie, elle la menaça avec une lame risible. Le démon souriait plus encore, accroupi face à elle, elle n'avait aucunement l'air mauvaise, elle lui tendit sa main lentement un kunai aux rubans rouges à la main qu'elle lui offrit, la fixant de ses yeux perçants, rouges rubis, envouter, la maudite diablesse l'avait eu, la petite fille était charmée. On lui avait pourtant si souvent parler de ces traîtres démons qui vous corrompt avec un simple regard, Diao eut beau invoqué, prier tous ses dieux aucuns ne sembla lui dire de l'ignorer, il y eut même un signe. Un tour de magie, le feu tout autour, mais un beau, un amusant attirant, de petites lucioles flottantes, tour de passe-passe de la dame blanche qui n'arrêtait pas là. Redressée soudainement, elle était sur le cercle de prière de ce temple oublié de tous, elle se mit à tourner, elle dansait, des pas léger et toujours son sourire qui semblait tant lui être lié, comment un démon pouvait danser librement sur la terre des dieux. Etait-ce un ange ou un diable venu tenter sa foi, quoi qu'il en soit, le feu à nouveau, lui qu'ici signifiait la vie, jaillissait de son corps et le courant d'un vent soudainement et les flammes qui la frôlaient, ne lui faisant rien, fascination, c'était ça le pouvoir des fameux Oni, être maudis donné à cette famille en malédiction.
Cette femme semblait tout savoir d'ici, pourtant Ame était un village perdu, alors ça devait être elle, celle que dont on lui avait tant parlé, la fille maudite à qui les dieux avaient volé toutes couleurs, mais pourquoi? La reconnaître parmi tous les mortels, ces semblables dont ils ne lui donnaient plus le droit de se lier, promettant leur courroux à ceux qui le ferait. On disait qu'elle les avait trahis et qu'ils l'avaient puni, la maudissant pour l'éternité, lui promettant la renaissance éternelle pour une vie de misère à l'infini, jamais consciente de qui elle était avant sa fin, juste assez pour regretter et supplier le pardon ou alors tout recommencer. Une histoire vieille de mille ans, combien avait-elle eu donc de vie, était-ce sa dernière celle-ci, la petite fille croyait dur comme fer ces légendes, ces contes, ces préceptes qui lui avaient été offert, elle avait toujours plaint cette femme en écoutant l'histoire, bien sûr une enfant croit toujours au contes de fée. Quoi que les contes ont bien toujours une part de vraie, après cette femme était rejeté par le patriarche parce que les dieux avaient volé ses couleurs, il l'accusait d'être la maudite, qu'elle finirait de les mener à leur perte, chaos, ne pouvant semer que chaos...
Le temps avait bien passé, elle l'avait suivi un temps à travers le monde, jusqu'au jour où elle lui avoua qu'il fallait séparer leur vie, car elle avait une chose à accomplir, plus importante qu'elle même. Ce que c'était, Diao n'avait pu le percer, encore avec un tour de passe-passe dont elle avait le secret cette vile diablesse, la petite fille s'était endormi. A son réveil toujours au même endroit, c'est donc qu'elle avait choisi qu'elle vive sa vie, tous les mots, les conseils, les leçons de vies, qu'elle lui avait donné c'est deux dernière années, les plus belles de sa vie curieuse, Diao n'arrivait point à s'en défaire. Alors, chacune de ses prières et elles étaient nombreuses, elle glissait des mot pour le pardon de celle qu'elle aimait, pécheresse, que les dieux lui pardonnent, elle savait plus détourner son regard d'elle. Les jours s'écoulaient, les semaines, les mois, puis les années et un jour elle comprenait, plus jamais le démon ne reviendrait, mais elle avait pêché, comment se racheter, la rédemption comment se gagnait-elle.
Avant l’apparition de la créature, elle avait une vie strict et régi de règles, celle du culte disparu de Mulkemp, chacun des anciens dieux avaient sa fonction et tous n'étaient rien sans l'autre. Vie dur et peu plaisante certes, mais elle était celle qu'elle avait toujours connu avait l'arrivée de celle qui se disait une soeur, le temps s'écoula à nouveau, entre prières et entraînements sévères. Retour aux sources et un jour Oni n'était plus qu'un rêve oublié d'une petite fille croyant aux contes comme-ci ils existaient vraiment, tout ça n'avait été qu'une illusion un test des tentations et elle en avait été sauver ou était-elle hypocrite de se forcer à le penser pour ne pas être châtié. Après tout, elle n'était qu'humaine, mais elle se voyait plus en prêtresse d'essence célestes qui disparaîtraient si elle arrêtait d'y croire, avec cette femme dont elle ne savait se défaire, l'ignorant simplement.
La discipline se laissait voir sur son être, l'académie fut un ennui mortel et l'échelon simple a monté, pareil talent lui offrit sa place dans cette nouvelle patrie, sa dette pour elle devient alors éternel, elle lui devait l'existence, sa vie tout entière était sienne. Certes, elle ne se lia pas, se rappelant qu'elle avait pêché, elle même était peut-être maudis qui sait et même-ci chaque jour, elle dansait en leur gloire, chanter leur gloire afin qu'elle ne soit oublié, peut-être étaient-ils fâché, voilà si longtemps qu'il n'y avait plus de signe. En tout cas, elle aussi avait appris a fasciné ses pairs, il était beau et étrange de la voir tôt le matin danser si précisément dans un cercle, formant ce son mélodieux avec les étranges clochettes de ses vêtements dont le vent pouvait s'exprimer elle seule sait comment en passant à travers ses longues manches et ses rubans flottants. Raisonnait le chant de sa prière l'accompagnant...
Sujet: Re: Diao-Chan, la rose empoisonnée 
