En vue de sa forte progression dernièrement, Miku pu se voir octroyer un Genin à sa charge, devant l'éduquer dans le domaine shinobi ainsi que lui apprendre les rudiments de ce métier ainsi que les responsabilité qui reposerait sur ce dernier. Elle ne savait pas comment prendre la nouvelle, était-ce vraiment une récompense ou bien lui offrait-on un énergumène dont personne n'arrivait gérer la personnalité. Exaspérée, elle poussa un profond soupir et pris en main la première mission qui leurs étaient confiés, elle n'aurait même pas le temps de se poser pour apprendre à le connaître qu'ils devaient directement partir pour une tâche. Après tout, le meilleur moyen de découvrir une personne était sur le champs de bataille ! Bien qu'une affectation de rang C les emmènerait pas bien loin, si ce n'est au pied d'un éventuel fauteur de trouble ou méfait. La demoiselle se dirigeait en ce moment même vers le lieux de rendez-vous, se remuant les méninges sur tout ceci mais également sur la façon dont elle allait l'aborder.. Elle n'avait pas eu de mentor en vue de son âge et ne connaissait donc aucune modalité pour se genre de chose, si ce n'est certainement lui dire bonjour. Il ne lui fallut que quelques minutes pour rejoindre le point de rencontre, voyant déjà la grande ombre de son élève au loin, qui en s'approchant au fur et à mesure, semblait vraiment de plus en plus.. grande. Ralentissant, étant surprise par sa grande taille pour un jeune enfant, elle se rendit vite compte que justement, son âge était peut-être à revoir. Et pas qu'un peu.. La jeune Chûunin pris alors en assurance avant d'arriver vers lui, se gonflant à bloc pour ne pas se laisser impressionner, ce n'était qu'un Genin après tout et elle en était la chef ! Elle se devait de montrer l'exemple, celui d'une ainée.

«  Et bien, et bien.. Je suppose que tu es Gatsu ? Je te voyais un peu plus petit sans te le cacher, tu es bien grand.. Mais bon, on va essayer de ne pas juger les apparences et tu en feras de même, ok ? Ce n'est pas parce que je suis une femme que je te suis inférieur, je tiens à ce que tu prennes en compte mon grade ainsi que le tiens. Le respect de hiérarchie est primordial chez les ninja. Si tu respectes cela, je pense que tout ira pour le mieux entre nous et réussirons cette mission avec brio. » Puis réfléchissant à ce qu'elle pourrait bien lui dire, elle tapota son large torse de son index en ajoutant « Je suis responsable de toi, donc fait pas de connerie tu veux ? » fit-elle à la vue de son immense épée.. « Pas de découpage de tête, de sang ou autre truc gore, on se contente de les ramener avec nous, vivant. Sinon les supérieurs vont s'en prendre à moi. Si tu veux t'amuser à ce genre de chose, couronne les missions de succès et passe au plus vite au grade Jûunin. Tu auras de quoi faire mumuse et tu ne seras plus sous ma tutelle.  » puis replaçant sa main contre sa hanche, elle termina son dialogue « Si tu as des questions n'hésites pas. »

Aussitôt dit, sa pupille droite éclata dans une flamme de chakra, laissant apparaître une iris d'un bleu très clair, se rapprochant de l'azur. Celle-ci virevolta et dévisagea les moindres recoins du paysage, pendant que les deux shinobi se mirent en route vers l'extérieur du village, restant à l'affut du premier flux de chakra qu'elle détecterait en dehors. Miku était assez motivé, étant sa première mission en duo, qui plus est, s'octroyant la charge d'un plus bas gradé, jouant les maîtresses d'école. Ce n'est pas que cela n'était pas à son goût mais c'était bien la première fois qu'elle dû avoir la vie d'une personne à sa charge, c'était tout de même une grande responsabilité ainsi qu'une grande confiance qu'on lui demandait. Son passage pour le grade supérieur pourrait bien être compromis si elle n'arrive pas à garder un compagnon en vie durant une mission de faible rang, elle se sentirait souillée..

« Racontes moi tes compétences, dans quoi excelles-tu Gatsu ? Pourquoi avoir rejoins nos troupes ? »

« Héhé ! Rejoindre ? Je n’ai rien rejoins et surtout pas les chiens dressé de ce village pourri, je suis encore ici pour une seule raison, je paye ma dette ! Une fois fait je prendrais mes clics et mes clacs et je retournerais à mon ancienne vie de mercenaire, alors maintenant tu stop ton putain de manège, je ne suis pas la pour faire copain copain avec qui que ce soit et surtout pas avec une minette qui n’a jamais tuer quelqu’un de sa vie, on fini rapidement cette mission et basta ! »

Exaspérée. Un mot qui revint à mainte reprise dans son vocabulaire et on ne s'étonnait pas du pourquoi. Miku avait visiblement le dont de s'attirer des hommes soit pervers, soit totalement brutes, dans les deux cas elle en avait un peu la goutte qui débordait le vase. Communiquer avec ce genre d'homme, lui faire entendre raison, c'était inutile. Des grosses bêtes de foire qui ne veulent rien entendre, tuer était leur seule source d'inspiration, c'était leur poésie, nos paroles ? De la foutaise. C'était comme convaincre un végétarien de manger de la viande.. Le sang qui abreuvait leurs lames, pouvait se comparer à la peinture sur le bout d'un pinceau, chacun, peintres et mercenaires, avaient sa propre vision de sa passion, de son art, la maniant avec son plus bel outil. Sa grande et longue épée racontait long sur celui-ci, bien qu'il fut Genin et donc débutant parmi le monde militaire du ninja, il semblait avoir énormément d'expérience dans le combat, un colossal passé devait sûrement l'accompagner durant ses périples. Et pourtant, il était bien là, parmi nous, les « chiens » comme il le fit comprendre. Semblerait-il que ce garçon soit néanmoins bien content que le meilleur ami de l'homme soit présent pour qu'il puisse payer sa dette ?

« Des chiens.. » fit-elle en modifiant son ton de voix, devenant un bout plus sombre.. « Je comprend ton point de vue..  Nous servons notre pays pour le protéger, nous tenons le destin d'une population, de nos familles, dans le creux de nos bras. Nous sommes les compagnons les plus fidèles sur lesquels ils peuvent compter, avoir confiance, tout comme un maître envers son animal de compagnie.. Leurs vies ne dépendent que de la réussite de nos missions.. » elle reprit son souffle, puis dirigeant son regard vers lui « Tu te dis mercenaire. Qu'as tu à gagner en tuant des gens ? Si ce n'est rendre service à des hommes qui ont les mains plus souillés que ta lame. Tu n'es qu'un chien errant, qui vit dehors et se nourris de ce qu'il trouve. Il erre pour survivre. Quand on lui tend une pomme, il la croque, il s'attache à la personne et le suit, comme pour le remercier, une dette. » tentant de lui faire comprendre le réel sens de la vie, elle poursuivra « Tuer des gens pour satisfaire les envies d'un détraqué qui t'utilise comme un chien.. Toi qui payes des dettes, tu as sûrement un sens de l'honneur.. Te conviendrais-tu pas de tuer plutôt pour une cause juste et qui en vaux la peine ? N'as tu point de fierté à combattre l'ennemi dans le but de protéger des personnes qui le méritent, des êtres chers ?  Nous ne sommes pas des divinités pour juger la vie d'autrui, mais avec un peu de jugeote, nous savons qui il est bon de combattre et qui il est bon de protéger. C'est ça, être un ninja. Tous ce que tu fais n'est qu'ignorance et futilité. »

Elle s'arrêta soudainement, deux flux de chakra furent perçus par la kunoichi.. Ils ne possédaient aucune affinités, ni même une énergie élevée, tout paraissait tout à fait normal, de simples individus. Même si le danger n'était pas présent, ils se devaient d'aller les interpeler et savoir le pourquoi de leurs intrusions. Il pouvait s'agir d'espions tout comme d'un malheureux malentendu, c'était pour ça que ces deux ninjas firent envoyés pour éclaircir cette interrogation. Miku excellait dans le domaine de la traque, tandis que le Genin se devait d'apprendre son rôle de shinobi petit à petit. Il n'était pas questions que d'ennemis parfois, le combat n'était pas le tout d'une mission, ce dernier devait tout aussi bien apprendre à connaître la filature, la discrétion, la diplomatie. Quoi de pire que d'attaquer leurs propres villageois par mégarde ? Une révolte, une guerre civile, on s'en passerait bien je pense. D'un signe de sa main, Miku fit comprendre à son coéquipier de stopper la course des individus et les interpeler, sans effusion de sang si possible, tandis que celle-ci les prendrait à revers si il tenterait de fuir ou bien de se disperser. La mission débuta.

« Des chiens.. » fit-elle en modifiant son ton de voix, devenant un bout plus sombre... « Je comprend ton point de vue... Nous servons notre pays pour le protéger, nous tenons le destin d'une population, de nos familles, dans le creux de nos bras. Nous sommes les compagnons les plus fidèles sur lesquels ils peuvent compter, avoir confiance, tout comme un maître envers son animal de compagnie... Leurs vies ne dépendent que de la réussite de nos missions... » Elle reprit son souffle, puis dirigeant son regard vers lui « Tu te dis mercenaire. Qu’as-tu à gagner en tuant des gens ? Si ce n'est rendre service à des hommes qui ont les mains plus souillés que ta lame. Tu n'es qu'un chien errant, qui vit dehors et se nourris de ce qu'il trouve. Il erre pour survivre. Quand on lui tend une pomme, il la croque, il s'attache à la personne et le suit, comme pour le remercier, une dette. » Tentant de lui faire comprendre le réel sens de la vie, elle poursuivra « Tuer des gens pour satisfaire les envies d'un détraqué qui t'utilise comme un chien... Toi qui payes des dettes, tu as sûrement un sens de l'honneur... Te conviendrais-tu pas de tuer plutôt pour une cause juste et qui en vaux la peine ? N'as tu point de fierté à combattre l'ennemi dans le but de protéger des personnes qui le méritent, des êtres chers ? Nous ne sommes pas des divinités pour juger la vie d'autrui, mais avec un peu de jugeote, nous savons qui il est bon de combattre et qui il est bon de protéger. C'est ça, être un ninja. Tous ce que tu fais n'est qu'ignorance et futilité. »



Ainsi la femelle avait du répondant, cela fit sourire l’épéiste, voila qu’elle essayait de lui faire une leçon de savoir vivre, mais c’est mots sonné creux à l’oreille du colosse. Il avait d’ailleurs déjà entendu ces belles paroles pleines d’espoirs. Elle changeait ses paroles pour dire des choses tellement plus glorieuses, alors que Gatsu avait prononcé le mot « chien » comme toutou obéissant aveuglément à l’envie de son maître. Il était peut-être un chien errant, mais il était libre de ses choix, de choisir sa bataille, camps, ses propres envie. Peut importe la cause, qu’elle soit juste ou non, le tout à la fin c’est de gagner l’argent du à la fin du combat, et ainsi vivre un jour de plus avant la prochaine bataille. Oui pour un mercenaire la guerre n’est qu’un boulot comme les autres. Gatsu n’est qu’une marchandise, et cela lui suffit, il ne cherche pas à être quelqu’un, à dépendre des autres, ou réfléchir aux conséquences de ses actes. Elle ne comprendrait jamais qui il est réellement et c’est tend mieux. Il ne résista pas à l’envi de lui répondre pour autan.



- Tss hé hé, Jolie réponse sorti tout droit d’un livre, tu à appris ça en primaire ? « Ricana-t-il bruyamment montrant ainsi qu’il n’était aucunement toucher par ses paroles » Il y ‘a quelque année sur un champ de bataille un ninja gradé venu de l’une des quatre grandes nations parlait exactement comme toi… Il avait brulé tout un village de paysans, femme et enfant compris. L’homme dont je te parle avait confié cette tâche à des mendiants sans le sou. Ils n’avaient aucune chance dans ce sale boulots, mais ils l’on fait, pas pour l’honneur, ni protéger des gens et encore moins pour dieu. Ils l’ont fait pour survivre. Ils ne pouvaient ni se repentir ni changer, ils n’auraient jamais compris ce que tu viens de me dire à l’instant, au mieux l’un entre eux sera passé devant la porte principal d’un grand village et aura reniflé l’odeur putride de sa splendeur… « Regardant ses poings souillé depuis longtemps et souris de nouveau » Tu essaye de me faire ta leçon sur la vie, tu me parle d’ignorance, mais tu ne connais absolument rien de ce monde, tes convictions et tes croyances ne sont rien d’autre que le fruit de l’ambition humaine. Tout ce que tu crois être réelle n’est que mensonge à mes yeux, tu parle d’honneur, de protéger les gens ou encore de destin comme si tu le tenais dans le creux de ta main, mais moi qui viens de l’extérieur j’ai rapidement vue qu’un village n’est qu’une cage à oiseau gigantesque où vous vous enfermez dans votre pseudo paix vous terrant face au reste du monde comme des rats… « Sa voix devint plus sérieuse et agressive » Vous ne voyez rien, non plutôt vous vous refusez à voir ce qu’il ce passe en dehors de vos murs, du moins tant que cela ne vous touche pas directement. A mes yeux tu es comme cet homme, une statuette à vénéré mais totalement creuse à l’intérieur. Et moi je suis comme ces mendiants, je fais cela pour survivre, peut importe la cause, bonne ou non, car je ne changerais jamais, ni toi, ni moi, rien ne change.


Il en avait fini avec elle, il ne lui adresserait plus un mot, il n’avait pas besoin de s’expliquer d’avantage, et il ne voulait plus entendre ses boniments sur ce qui est juste ou non. Soudainement la jeune fille se stoppa nette, elle semblait avoir repéré les individus, enfin pas trop tôt pensa le mercenaire. Plaçant son casque sur sa tête, observant les signes de sa coéquipière, il comprit rapidement que celle-ci ne voulait pas de débordement. Faisant le tour, elle laissa seul l’épéiste, celui-ci devait sans doute les rabattre sur elles. La discrétion n’était pas son meilleur atout. C’est pour cela qu’une fois les deux suspects a vue, il les chargea et en un rien de temps qu’il faut pour le dire, le colosse se posta à leurs niveaux et les empoigna tout les deux. Les soulevant par le col, il les plaqua sur un mur à 30 cm du bord, pour lui les soulever était choses faciles, après tout il utilisait une épée énorme. Ces derniers trop confus par les derniers instant brutale qui venait de ce produire se mirent à supplier Gatsu. Ce n’était que de pauvre paysans qui s’était introduit pour volé de la nourriture, écrasé par les impôts du pays, ils ne pouvaient plus subvenir à leurs besoins, ils avaient même demandé de l’aide au village de kiri, qui restèrent muet à leurs appels. Les relâchant sur le sol, le Berserker fut pris d’une rage bestiale et se retourna brusquement vers sa partenaire qui venait d’arriver.


- C’est ça ! c’est ça l’aide à ton pays dont tu me parlais ? HEIN !? « Hurla t-il hors de ses gongs en montrant les deux hommes rachitique » Un pays tellement imbu de lui-même qu’il ne voit rien en dehors de son nombril ?! ET TU VIENS ME JUGER SUR MES ACTES ALORS QUE TON FOUTU VILLAGE NE FAIT RIEN ?! SI TU N’ETAIT PAS UNE FEMME JE T’AURAIS MIT MON POING DANS LA GUEULE JUSQU'A TE DECROCHER LA MACHOIRE SALOPE !!!


Gatsu était hors de lui, un mot de travers de sa part et le barbare ne serait pas sur de pouvoir se retenir.

Miku extirpa un profond soupir, ne savant plus où donner de la tête avec ce dernier qui semblait très têtu et impulsif, voir avec des tendances violentes visiblement. Elle se contenta de garder son calme et répondre sereinement. « Toi qui m'a l'air de tout savoir, je pensais que tu étais au courant que notre pays sombre dans une affreuse crise. Le mercenariat à mener de nombreuses attaques contre nous, dérobant nos fonds, au point que cela engendre une pauvreté ainsi qu'une famine. Ce sont les gens qui viennent du même endroit que le tien et qui servent la même cause que la tienne qui ont causé cette infamie. Crois-tu un instant que nous pouvons réparer toute vos erreurs aussi facilement ? Crois-tu que nous pouvons nourrir toute ces bouches ? Si on accepte pour eux, tout le monde viendra à son tour et créera un cercle vicieux ou pire encore, une révolte. Le pays finirais par ce déchirai de l'intérieur et c'est ce que nous évitons » » malgré ses récentes paroles, il ne semblait toujours pas comprendre la situation.. « Sans le vouloir, sans t'en rendre compte, tout tes actes ont menés indirectement ces gens à cette vie. Tu ne te soucies pas de ce que tu fais, tant qu'on te paye. Admire donc ce que vous, mercenaires et brigands avaient causés à cette nation en échange de vos profits. Penses tu avoir fait le bon choix ? En es tu fier ? Es tu toujours convaincu que ce tu fais est bon ? Affrontes dont la réalité de tes actes avant d'oser critiquer ceux qui tentent de reconstruire ce que vous avez détruit. » Puis dans un dernier souffle, comme dans son dernier espoir de le convaincre.. « Je suis née parmi eux, c'est pas un homme comme toi qui m'apprendra à qui j'ai du cette enfance. Je ne suis pas là pour juger tes actes ni ton passé, mais simplement pour que tu arrêtes de te comporter comme un enfant capricieux, acceptes la réalité et uses de ta lame pour aider ces gens et non empirer leurs situations.. Que te faut-il de plus pour que tu comprennes... Que je leurs demandent de te présenter leurs familles ?! Ce qu'ils endurent tout les jours ?! »

Elle adressa soudainement son regard vers les deux paysans mal-vêtus et affamés, leur dirigeant une question des plus simplistes, attendant d'eux une réponse tout aussi concrète.

« Pourquoi n'avez vous pas d'argent pour vous nourrir ? »
« Des.. Des gens nous pillent.. Des escrocs, des bandits en tout genre.. Nous travaillons comme nous pouvons en tant que paysans.. Mais tout finis par revenir entres leurs mains.. Nous n'avons plus rien pour nous nourrir.. Des enfants meurent de cette famine... Aidez nous.. »
« Nous ne pouvons pas vous offrir de nourriture malheureusement, nous avons des provisions tout aussi amoindries et touchées par cette crise. Le peu que nous ayons sert à nourrir nos troupes pour garantir votre sécurité.. Nous enverrons quelques-uns d'entre eux venir à votre aide, le reste ne dépend que de vous. »
« Ils reviennent... Sans cesse.. Ce sont des mercenaires plus bornés les uns que les autres.. Tant qu'on les payent.. Ils reviennent..  »
«  Je n'en doute pas. » fit-elle en dirigeant son regard vers celui-ci. « Ce sont des mercenaires tout comme toi, ils tuent contre de l'argent. Leurs massacres se contentent tout aussi bien de simples pillages tout comme de meurtres. Des meurtres qui visent parfois des personnes qui tentent de rétablir ce pays, le relever, mais cela ne convient pas à certaines personnes vivant très bien de ce mercenariat, alors ils embauchent des hommes comme toi pour les tuer. Contemples ce pays, écoutes qui l'y a poussé et qui l'aide à se relever, et deviens un shinobi quand tu l'auras enfin réaliser. Si tu ne peux pas comprendre cela, nous ne pouvons plus rien pour toi. Continues ce que tu entreprenais et continues de les affamés, de nous barrer la route. Tu finiras tuer par l'un des notre pour que la justice règne. » son ton était d'une noirceur dont elle n'avait jamais osée faire autrefois, sa patience avait été poussé à bout, peut-être par le fait que l'enfant qu'elle avait en face d'elle faisait parti des hommes qui avaient ruiné son enfance, ruiné ce pays. Un être qui avait été pris de plein gré dans cette génération de tourmente, elle ne connaissait rien de lui mais pourtant, elle ne pouvait certainement pas laisser celui-ci s'égarer dans un chemin rempli de haine et de honte. Le faire revenir à la réalité aller peut-être enlever ne serait-ce qu'un peu du poids qu'elle a sur les épaules. Enlever cet homme à cette partie du monde infâme, allait pouvoir épargner en contrepartie la souffrance de nombreux innocents, même si ce n'était qu'un mercenaire parmi tant d'autres, c'était toujours un de moins. Sans quoi, elle l'abandonnerait sûrement dans son insouciance, seul la mort viendra et sera apte à le juger de son entière corruption, l'épurer jusqu'à la dernière goutte.

Quel spectacle amusant se déroulait devant les yeux du mercenaires, un brun de jeune femme qui essayer de jouer des mécaniques devant lui, s’il n’était pas sur le point d’exploser, il en rirait aux éclats. Ce qui le retenait réellement de déverser sa colère sur la demoiselle un peut trop bornée est qu’elle soit une femme. Bien que cela ne l’ait en temps normal pas arrêté, il ne voulait pas créer d’autre problème à Goto et sa fille. Mais une chose est sur, il ne lui laisserait pas avoir le dernier mot.


- Comme c’est pratique de renvoyé tout vos maux sur les autres n’est ce pas ? Accusant vos démon, et vous délesté de toute responsabilité… « Soupirant tout en reprenant son calme, dont il fut lui-même surpris par la rapidité que son impulsivité, il jeta un regard de prédateur à la kunoichi » Quand on créer une chose aussi grande qu’un village il faut être prêt à en subir les conséquences. Jalousie, désir, haine et souffrance. Le fruit d’une grande ambition fini toujours par blesser certains et appâter les autres. Est-ce de notre faute à nous mercenaires si ton village entraine de véritable incapable ? Justice, honneur, protection. De grand mot pour des gens qui ne savent que se plaindre sur leurs tristes sorts. Mais tu semble pensait que nous choisissons tous le mercenariat par plaisir, Nous faisons ce boulot car nous avons aucune autre alternative, c’est soit ce battre et tuer son prochain pour vivre un jour de plus ou crever de faim comme une merde. Le choix est vite fait, nous tuons et somme tué tout les jours. « Grinçant brutalement des dents, repensant aux jours ou il à été jeter sur le champ de bataille alors qu’il n’avait que 9 ans » Et ce n’est pas dieu, ni le diable, ni se village et surement pas toi qui changera cette vérité !!! La loi du plus fort à toujours existé et elle perdura jusqu'à la fin des temps. L’homme est mauvais de nature, car il est souvent plus facile de faire le mal que le bien, c’est la guerre. Rien ne change.


S’approchant des deux intrus, le colosse fouillait rapidement dans ma sacoche et en sortie une petite bourse avant et donna froidement aux paysans, il n’y avait qu’une vingtaine de ryos, mais cela leurs permettrait de vivre plus ou moins une semaine. Le sacrifice, voila ce qu’il venait de faire. Chose qu’aurait du faire la pimbêche depuis longtemps au lieu de déballer à ces hommes unes excuse bidon. Sa veux sauvez son pays, mais ça n’a même pas l’esprit de sacrifice, on ce foutait de sa gueule. Mais contre toute attente le paysan lui agrippa son bras, ce qui fit réagir Gatsu au quart de tour.


- Ne me Touche pas !!!


Bien qu’apeuré par la réaction impulsive de l’épéiste, le mendiant ne se dégonfla pas et lui rendit sa bourse en guise de payement contre ses services, d’après ce qu’il avait compris, il était un mercenaire. Il pourrait donc se débarrasser de ceux qui les tourmentent. Un rire moqueur résonna, le colosse riait, et de bon cœur avant de rétorquer froidement.


- Vous aidez ? Ha haha qui aiderait des gens aussi pathétique que vous ? « Poussant brutalement le paysan ce qui le fit tomber en arrière » Ceux comme vous qui ne peuvent que subir, non pas le droit de venir quémander de l’aide. Celui qui meurt dans un combat qui n’est pas le sien, n’aurait jamais du naître.


Leurs tournants le dos, il s’éloigna sans se retourner les laissant dans leurs désespoirs, quand tout à coup il s’arrêta.

- Hey la pétasse ! Comme tu viens de si bien le dire je suis la nuisance de ce village, donc en gros nous sommes ennemi, la prochaine fois que l’on ce voit tu goutteras à mon épée.


Continuant sa route jusqu'à disparaitre au fond de la rue. Tue ton pays, tes croyances, ta famille, tue jusqu'à toi-même ainsi est le crédo des mercenaires, nous sommes tous que des *va t’en guerre*. La nuit venue bien loin en dehors des imposants murs sécurisant de kiri, des cris d’horreur retentissent rythmé par les gouttelettes d’eau qui tombe de façon chaotique sur le sol. Une nouvelle attaque de mercenaire, mené par le répugnant Kenkomu, un homme violent au gout prononcé pour les femmes et les violences sanguinaires. Mais cette fois les cris ne venait pas des villageois, mais belles et biens des brigands de la troupe. Des morceaux en gisaient partout sur le sol, coupé comme du beurre en tranche. Boyau, cervelle, et autre organes humains s’éparpillé sur le sol. Et juste un milieu un homme dont le bras gauche coupée trainant sur dans la boue, suppliant pour sa vie face au sinistre personnage qui se cachait sous un manteau à capuche son identité qui avait tué non anéantie sa troupe. Levant son énorme épée sous larmes de terreur du chef mercenaire, sans la moindre hésitation, il lui broya le crâne. Une fois fais, le bienfaiteur se précipita dans les bois sans demander son reste. L’information d’une attaque soudaine et le massacre de plusieurs mercenaires rechercher fut rapidement transmis au village de kiri et des ninjas furent dépêcher là-bas, mais lorsqu’ils demandèrent des informations sur le tueur de mercenaire, les paysans répondirent tous le même refrain. « Nous avons reçu la bénédiction d’une âme vagabonde ».