En ce levé de soleil, le village de Kiri No Gukare avait enlevé son éternel masque de brume pour laisser place à l'astre le plus imposant et chaleureux qu'il soit, cette indestructible étoile enflammée nommée le Soleil. La principale source de chaleur dans ce monde avait décidé de poser ces yeux imbibés de lumières sur l'île mirage qu'est Kiri. La température affichait déjà des hausses hors normes pour un début de matinée en cette saison. Paradoxalement l'air avait cette particularité d'être doux et tendre avec les corps Humains à un tel point qu'un sentiment de bonheur pouvait enivrer n'importe quel cœur, rappelant ainsi que c'est la plus belle saison faite pour les Amours. Le printemps annonçait un renouveau dans l'esprit de la population du village. L'arrivée d'un nouveau Mizukage, le précédant mort au combat dans une étrange histoire. Ce récent chef de village, par ses caractéristiques physique portait en lui l'espoir de toute une nation, ses cheveux blés d'or maculés par la plus belle emprunte que cet astre si noble puisse laisser sur une personne ces derniers étaient ondulées de telle sorte qui faisaient penser aux vagues. La couleur des ses pupilles d'un bleu grisé si puissant qu'elle semblaient par moment représenter la mer de Kiri no gakure avec ses singularités qui lui sont propre, comme sa réputation d'être indomptable, et imprévisible tout en dégageant une affolante sérénité. Cela se couple parfaitement bien avec le reste de son visage. Pour finir si on devait fournir qu'une seule image de sa figure se serait la mer de la mère patrie. Cet homme était synonyme d'espoir aussi par son nom Hozuki, aucun membre de son clan aquatique n'avait encore accédé à ce digne rang d'être l'âme du territoire. Donc la vie était belle et facile à Kiri en cette douce ascension du soleil pour atteindre son zénith, le printemps faisait son effet sur la nature et l'heure était à présent aux récoltes matinales les copulations inaugurales du jour. La population avait trouvé son rythme de croisière en ces mois de durs labeurs de tâches agricoles. Les animaux quant à eux étaient sortis de leur tanières ou avaient quitté leurs hibernations hivernale pour revêtir leurs plus élégant pelage. Il y faisait bon vivre dans ses terres ou pendant de rares et insaisissables moments la nature et l'Humain étaient dans une telle symbiose et compatibilités que cet homose qui semblait si irréalisable frappait en pleine poitrine l'organe fondamental des Kiriens. Dans cet ambiance si paradisiaque il y a un havre de paix qui refletait bien la société actuelle. L'auberge d'un jeune villageois au nom si précurseur Allen.


Cet Auberge était elle aussi à la recherche de son second souffle tant désiré par ceux qui la font vivre. Les clients ainsi que les employés. Le terme employé de havre de paix est fort mais véridique. Dans sa conception et sa philosophie d'être, cette enseigne se veut d'être un eldorado pour quiconque y pénétrant. Le cadre de vie et l'habitat naturel de cette auberge fusionnait si bien avec la saison printanière que cela prête et donne de la profondeur à la politique de la maison. Les oiseaux venaient chaque matin chanter un air diffèrent de mélodie en faisant trempette dans la fontaine centrale du jardin, réveillant par la même occasion les pensionnaire de l'Auberge. Par ailleurs le jardin avait subit quelques transformations pour le sublimer, ses frutiers commençaient à être ornés de mets et les fleurs des cerisiers étaient entrain d’éclore à vu d’œil un peu plus chaque jour. Toutes choses dans cette maison entamaient un nouveau cycle plus prospère que le précédant. En débutant bien évidement par l'auberge en elle-même. Le patron de celle-ci, jeune entrepreneur avait monté une vaste campagne publicitaire pour son lieu de travail avec l'aide de la communauté de son village afin d'amoindrir les frais. Cet nouvel élan était inspiré par les visionnaires et hauts gradés du village il avaient vu en cette Auberge une possibilité de relance du tourisme dans cette région si autarcique. Le coup de communication nommé ainsi dans le jargon professionnel du monde publicitaire avait fait mouche et désormais pour le personnel il ne restait plus qu'attendre les retombées de leur travail. Patiemment car comme le dit un proverbe universellement connu la roue tourne. Cette dernière avait belle et bien tournée et qui plus dans le bon sens, celle-ci avait réalisé un cent-quatre vingt degrés sec. La chance sourit aux audacieux et la fortune vient à ceux qui se lèvent tôt. Donc en cette journée si idyllique pour ne pas déroger à la règle, les volatiles étaient venus laver leur plumes tout en chantant un air de jazz cette musique si contemporaine pour l'époque. Il faisaient guise de réveil pour les résidents, ils se réveillaient en douceur tout en mettant un coup de tonicité et efficacité pour que l'auberge est opportunité d'ouvrir en temps et en heure comme convenu. L'auberge avait un rituel assez solennelle, celui de dérouler le tapis rouge pour le premier client lui offrant pour ainsi dire le tapis rouge ainsi qu'un accueil personnalisé gracieusement, cet coutume vient du royaume où vivait le patron il fut un temps. Par ailleurs il se faisait l'heure d'annoncer le premier client au barman ou au chef cuisinier. Tout était en place pour cet accueil, le personnel qui était sur les lieux à nombre égal d'employés à chaque bordure du tapis. Ils étaient prêts à souhaiter la Bienvenue qu'il se doit aux consommateurs de la journée.

BIENVENUE

Les vacances d'Oni et Shin

Contraint d'avaler le paralysant déposé discrètement par la Kitsune à l'intérieur de son cocktail, le Datenshi observa sa partenaire s'éloigner peu à peu prétextant son besoin de se changer après que Shin lui en ai recracher une partie à la figure. Laissé comme tel au bar, il ne pouvait plus bouger d'un poil, attirant les regards interrogateurs de quelques enfants qui passaient par là. Regardes le monsieur Onee chan, il a l'air bizarre. Papa dit toujours que les hommes qui sont assis aux bars deviennent bizarres après avoir bu des boissons pour adulte ! Lança le gamin d'un ton très pédagogique auprès de sa cadette. Agacé le Datenshi lui aurait bien coller une baffe pour lui montrer qu'il n'était pas si bizarre que ça si il aurait pu. Mais se contentant d'observer sans pouvoir agir il passa une bonne partie du trajet à observer le même point avec lassitude. Lorsque le haut parleur annonça leur approche de la destination finale, Oni réapparue, changée et de nouveau toute sèche. Il repensa alors aux derniers mots qu'elle lui lança avant d'aller se changer. Aurait-il à ce point tout foutu en l'air ? Il ne le savait pas, mais quelque part il ne pensait pas que regretter ce qui avait pu se produire dans le passé était la meilleure des solutions non plus. Ce qu'ils avaient traverser jusqu'à aujourd'hui n'était-il pas la raison de leur amitié si forte ? Si le destin avait fait les choses autrement peut être n'aurait-il jamais pu accomplir tout ce qu'ils avaient fait pour Suna et rien ne se serait passer à l'identique. Il lui sourit alors, se fichant complètement du coup qu'elle avait pu lui refaire encore une fois. Elle ne se lassait jamais de le faire passer pour un imbécile, mais au fond c'est ce que Shin appréciait chez elle.

Entre temps, les effets du paralysant s'était peu à peu dissiper. Rendant la mobilité à son propriétaire qui ne perdit pas de temps pour reprendre un autre verre cette fois-ci en compagnie de deux charmantes touristes qui s'étaient joins aux barres pour s'y rafraîchir un peu. N'en manquant pas une, le Datenshi s'était bien entendu immiscer dans leur conversation, feintant lui aussi d'être un touriste à la recherche de beaux paysages. Elles trouvèrent alors un sujet commun à aborder avec cet autre touriste très sociable qui ne tarda pas à leur faire quelques avances indirectes pour les amuser et voir si l'une d'elle serait interressée. Oni arriva bien entendu à ce moment là, dégageant les demoiselles d'un balayement de la main elle s'installa de nouveau à côté de Shin qui lui souriait. Elle lui avoua par la même occasion qu'il ne s'agissait pas d'un poison mais d'un fortifiant ce qui étonna le Yakigote qui ne comprit pas alors pourquoi il s'était retrouver dans l'incapacité de bouger. Des fortifiants pour mon cerveau... Hum Tu me crois si débile que ça ? Lui lança-t-il en levant son oeil encore valide au ciel. Il fut déçu de voir qu'Oni savait déjà pour l'auberge. Avec elle le Datenshi était bien trop prévisible pour réussir à parfaire ses coups tordus, il était facile de deviner son intérêt soudain à gagner cette auberge particulière dont les rumeurs salaces étaient remonter jusqu'à ses oreilles. Lui souriant alors il s'approcha de son oreille en lui avouant : Il parait qu'ils ont une love room spéciale pour les couples fougueux, je me suis dit qu'il y aurait surement quelques belles femmes à Kiri et que ce serait l'occasion d'y faire un tour. Il recula alors en imaginant la scène. Des étoiles s'illuminaient dans son oeil alors que l'autre fermé à cause de la cicatrice dégageait une aura clairvoyante qui représentait à peu prêt la même chose. Le bateau accosta enfin au port de Kiri, levant nos deux partenaires inséparables de missions qui se dirigèrent alors vers le quai. Sur le chemin Shin bailla en ouvrant très grand la bouche. La traversée avait été fatigante et l'envie de dormir dans un bon lit cette nuit le ravissait tout autant que de passer la nuit en chaude compagnie.

Dis Oni tu es déjà aller à Kiri ? Le Yakigote se questionnait sur le trajet à suivre pour atteindre le village caché du brouillard. Tout en descendant du bateau ils trouvèrent sur leur passage un stand pour touriste qui offrait divers guides indiquant l'emplacement des sites les plus prisés. Shin en acheta un qu'il ouvrit immédiatement à la recherche de cette fameuse auberge. Le titre de celle-ci paraissait commun. "L'auberge d'Allen Wampie", le nom était étrange mais les quelques indications sur sa côte de touriste semblait rendre le Datenshi très enthousiaste à l'idée de s'y rendre. C'est à l'entrée du village, nous pourrons nous y rendre immédiatement après être rentré dans Kiri, j'espère que Gaashu et Seizo ne nous rejoindrons pas là bas, je ne suis pas sûr que ce soit bien vu d'y amener des enfants. Et toi Oni ? Tu comptes aussi prendre du bon temps ? Shin tira la langue à sachant pertinemment qu'elle ne ferait jamais une chose pareille. Du moins il le pensait car Inajiro était sans doute la personne qui comptait le plus pour elle avant que Seizô ne naisse. Il pointa son index en l'enfonçant dans la hanche de la jeune femme avec un air taquin. Il se retira aussi vite pour ne pas se prendre un revers de la jeune femme et couru jusqu'à la sortie du port visible de là où ils étaient. Il s'écria alors. Hoooooy Oni ma petite naine ! Dépêches toi où il ne va rester que les plus laids à l'auberge !

Une campagne de publicité bien négociée est vos finances sont relancées c'est ainsi qu'on peut voir les choses dans le monde shinobi actuel il y a déjà cette incroyable dépendance à cet outil de communication. La force de cette campagne réalisée en étroite collaboration avec la direction du village, L'administration avait soit dit en passant débloquée les fonds nécessaires à sa production certes non déniée d'intérêts cette dernière espérait en retour sur investissement à court terme. Donc cette campagne de publicité avait été couronné d'un franc succès par son interactivité avec toute la population de Kiri No Kugare avec en autre des activités diverses et variés pour le plaisir du peuple. Allen en était fier de ce qu'il avait fait, car il était le mandaté en d'autre le directeur de campagne avec sous sa tutelle son équipe c'est à dire les employés de son auberge oui les dirigeants du village ont mains et yeux près de leurs ryos, l'enveloppe qui lui avait été fournit n'était pas réellement conséquente Peut être est-ce dû à la nouvelle secrétaire du Mizukage donc en soit c'était un bel exploit qu'ils avaient réalisé cette bande de joyeux lurons. Luron ? Ce mot ayant une double signification le narrateur à décidé de ne pas vouloir exprimer un quelconque commentaire pour ne pas effrayer, choquer ou influer la lecture du lecteur. Néanmoins ce dernier veut expliquer pourquoi ils étaient Joyeux. Un sur deux c'est déjà pas mal n'allez pas vous plaindre ! Car en cette fameuse journée printanière si monotone en soit du moins pour les villageois, avec des mœurs intactes pour ces derniers une cette nouveauté était venue discrètement se loger dans leurs esprits. Une nouveauté qui n'était d'autre qu'un nom d'établissement, plus précisément une auberge, Le narrateur prend ses lecteurs pour des crétins L'auberge de notre jeune protagoniste nommée l'auberge d'Allen Really ? . L'affluence était record pour une matinée la majorité venu prendre un thé avec vu sur le jardin dans le restaurant et pour les plus déterminés, Alcoolique ... un remontant alcoolisé dans le bar. Donc pour Allen tout allait pour le mieux, et dans le meilleur des monde Bisounours Une auberge pleine à craquer des caisses vides qui se remplissaient à vue d'œilfaisant un mélodieux bruit CClink clink pendant que les stocks de boissons longuement accumulés se liquidaient de façon notable à telle point qu'Allen nota sur un bout de papier qu'en renouvellement du stock ne serait pas du luxe. Ce dernier était à la réception pour accueillir toutes personnes pénétrant dans son enceinte pour se montrer aux villageois, appliquant de la pommade dans le dos à tous ces nouveaux clients. Cet Allen avait bien comprit comment marchait la société peut-être était-ce un meilleur commerçant que Shinobi... Soudain alors que l'accueil était vide à son comptoir il repensa à toute les épreuves qu'il du affronter et endurer par le passé pour cette auberge qui était aussi l'un de ces desseins les plus chères. Se laissant guetter par une certaine nostalgie, il ne prêta pas attention à la porte qui s'ouvrit synonyme de client, il murmura de manière très normale et un peu lente ses mots :

« Le changement c'est maintenant ... »

Après ce court instant où ce dernier s'était abandonné à lui même. Allen Releva la tête pour accueillir ces visiteurs. La publicité faite avait dépassé tout les frontières du monde shinobi pour atteindre le fameux village des Albinos Vient au pays des Albinos ces petits être blancs . Car Allen avait en face de lui un fille Albinos ainsi qu'un garçon avec les cheveux verts. Premier réflexe de sa part il leur fit un sourire béant surement pour montrer à la fille que lui aussi avait quelque chose de blanc. Ensuite il analysa les deux personnages du moins leurs physiques. Il observa tout d'abord cette fille, il n'en n'avait jamais vu de telle auparavant et c'était peu dire cette demoiselle était la réincarnation humaine de la souris blanche aux yeux rouges mis à part sous accoutrement physique qui n'avait qu'un seul but aux yeux d'Allen c'était donner un semblant de gaieté à son corps. Enfin après trente secondes passées à la scruter il détourna son regard, c'était insupportable de regarder une telle blancheur sa rétine aurait subit des dommages importants et irréparables par la science actuelle. Le deuxième visiteur semblait plus normal à priori mis à part cette couleur de cheveux verte fluorescente Immonde ! Faut faire quelque chose il ressemblait à des guerriers qui ont un lourd passé derrière eux et trainent bien trop de cadavres sous leurs lames. D'ailleurs ce voyageur lui avait vu se faire confisquer ses jolies lames par le garde qui lui seront bien évidement restituer à sa sortie Établissement qui se veut non violent prônant l'amour et non la guerre . Un fait notable dans sa tenue vestimentaire qui concordait avec tout les hypothèses qu'Allen avait fait à son égard il portait un bandeau du village de Suna qui était rayé tout le monde sait ce que cela veut dire. Enfin après avoir prit ces informations sur ces deux voyageurs la jeune femme s'exprima et là d'un seul coup son sourire se brisa et ferma le reste de son visage par la même occasion. Les derniers mots qu'avait exprimer l'Albinos lui restait entre travers de la gorge. L'auberge d'Allen se veut loin de tout ces lieux infâmes où la prostitution est légion dans son village. La publicité qui avait été faite par les marchants ambulants étaient éronnée et mensongère. Il en avait plein les roubignoles J'étais obligé de la faire . Surtout que nombreux clients s'étaient retournés et offusqués de telles paroles qui plus est prononcées par une jeune Femme. Allen avait envahit de renvoyer ces deux étrangers avec un bon coup de pied au derrière. Cependant il leur accorda le bénéfice du doute et répondit à haute et intelligible voix :


«Notre établissement est une auberge où l'on y offre des services de restauration ainsi que d'hôtellerie et non une maison close qu'on vous le prétendait. Je sais pas qui a bien pu vous faire donner de telles informations mais elle sont fausses et si cela déplaît à Monsieur ou à Madame la porte est ouverte. En effet nous y offrons un chambre nommée Love Room mais c'est uniquement pour les couples. »


Il avait été assez claire et ferme comme le doit tout bon gérant. Leur expliquant les faits et la politique qu'appliquait son auberge. Il fit un signe à son garde pour prévoir de tout danger éventuel. Ces personnes étaient si étranges aux yeux de la population de Kiri. Après avoir poussé cette gueulante il fit un signe à sa femme de chambre pour qu'elle prépare cette fameuse chambre qui avait été inauguré que par une personne. Allen reprit son calme et ses talents d'acteurs pour inviter les voyageurs à se diriger vers le bar qui était bondé il parlerait d'argent un peu après car il y était allé un peu forte et avait peut-être légèrement heurté la petite souris rouge. Il les installa à une table et fit signe d'apporter l'un de ses meilleurs alcools. Il devait faire vite car d'autres clients venaient d'arriver et il était assigner à l'accueil en ce jour. Il leva son verre et le bu cul sec normalement c'est dans le sens inverse mais bon ... Après avoir fait cela il invita ses hôtes à faire la même chose puis prit la parole avant de retourner à la réception.



«Excusez moi pour mon comportement mais vous m'avez mis hors de moi, et c'est plutôt rare. Mais sachez que j'ai travaillé dur pour cette auberge et notre travail porte enfin ses fruits, donc se voir insulter de la sorte est mal passé. Laissez moi vous offrir en guise de dédommage une douce collation. Si vous avez besoin de quoi que ce soit je serais à la réception. »

« Santé ! »

Spoiler:

Les vacances d'Oni et Shin

Oni se montra très explicites quant à la raison de leur venue en cette auberge. Shin, aucunement mal à l'aise, prit place sur le comptoir d'un air détendu en balayant de son regard le bar et ses tables mises à disposition. Tout souriant il s'attendait à voir une jeune catin, comme l'avait définie la Kitsune s'approcher de lui afin de le courtiser. Il ne lui fallut pas attendre longtemps pour voir une jeune femme très séduisante, apparaître au comptoir, s'appuyant sur les épaules de nos deux ex sunajins. Le Datenshi empli d'espoir de voir cette douceur terminer dans son lit le soir même ne pu s'empêcher de la contempler sans réellement dans un premier temps, porter attention sur ce qu'elle disait. Ses lèvres étaient pulpeuses, sa voix douce et mélodieuse, elle inspirait tout ce que Shin aimait chez une femme. De belles formes, une attention délicate, très tactile au premier abord. Ce fut ce qu'elle ajouta par la suite en précisant qu'ils ne trouveraient pas de catins ici, que le visage du Yakigote se pétrifia d'horreur. Son néanmoins, paru cependant agir comme un puissant remède, lui redonnant l'espoir de voir son souhait se réaliser. Alors que la langue de la jeune femme, laissait suggérer un appétit dévorant, les yeux du Yakigote se changèrent en deux coeurs exorbités par la puissance du sentiment qui venait de naître en lui. Il ne se rappelait pas avoir connu une telle fougue, il ne la désirait pas simplement pour une nuit mais pour toute une vie. Ce sentiment étrange que l'on ressentait face à l'irrésistible amour et son alchimie délirante.

Lorsqu'elle l'embrassa, le Datenshi était persuadé d'avoir trouver sa perle rare. Elle était si belle qu'il en devenait complètement abasourdi. Lui rendant son baisé, du moins chose qu'il aurait aimer pouvoir lui rendre, elle décolla ses lèvres en ajoutant qu'à sa manière il pourrait obtenir ce qu'il voulait d'elle. Un sourire niais vint se loger sur son visage alors qu'au même instant celui qui semblait être le gérant de l'auberge s'approcha d'eux. Malgré tous ses efforts pour attirer l'attention de ses clients, celui qui devait sans doute s'appeler Allen ne parvint pas à décoller les yeux de Shin de sa nymphe. Comme envoûté il ne voyait même plus à quel point la colère d'Oni semblait devenir grande. Dans son monde il regardait la jeune femme comme un enfant, tout souriant, un sourire empli de timidité, la timidité même que l'on ressent lorsque l'amour vous frappe. Il soupira joyeusement au même moment que les cris de l'aubergiste fusaient à leur égard pour avoir émit l’hypothèse qu'il puisse s'agir d'un établissement réservé à une clientèle particulière. Ce fut Oni qui timidement donna quelques accoues à l'aide de son coude, qui parvint à reporter l'attention du Datenshi malgré lui sur leur hôte. Shin entendit pile poil la bonne phrase. La love room était exclusivement réservée aux couples. Un sourire cette fois malicieux lui servit d'office de réponse alors que ses sourcils sursautairent en regardant la belle kirijin en prenant tout le sens de ce à quoi il pouvait bien penser. L'homme se rattrapa néanmoins en précisant qu'il avait beaucoup donner de sa personne pour faire de cet endroit ce qu'il était devenu. C'était tout à son honneur et le Datenshi ne manqua pas de lui accorder un demi regard admiratif afin de ne pas quitter trop longtemps des yeux le bijoux qui se tenait debout à côté de lui. Il fit preuve de beaucoup de savoir faire en leur offrant une collation pour leur petit déjeuner. Ce fut donc pour la première fois depuis l'arrivée de nos deux nouveaux protagonistes que le Datenshi ouvrit la bouche pour parler. Chose en temps normal très rare, sans doute dû à la présence de la Kirijin qui l'avait rendu étrangement ahuri.

Arigato Allen Dono ! Votre auberge est magnifique soyez en assurer et nous ne nous permettrons plus de détériorer l'image de votre établissement maintenant que ces rumeurs perverses se retrouvent infondés. Il fit mine de prendre un air sérieux, du style à se faire passer pour on ne peut plus clean que les autres, sans arrière pensée. Tout cela était bien entendu vain depuis qu'Oni avait crier dans toute l'auberge qu'il souhaitait avoir une catin. Lorsqu'il le réalisa, il lança un regard froid à la Kitsune qui ne portait pas attention à lui. Vexé, il tourna la tête et revit la douceur du visage de la Kirijin qui le fit de nouveau sourire. Pour ce qui est de la love room, est-elle disponible ? Son regard se reporta alors immédiatement sur Allen, qu'il fixa on ne peut plus sérieusement une main sur sa bourse. (celle où y a les ryos je vous vois venir bandes de dégueulasses x) L'argent ne sera pas un problème, votre prix sera le mien. Dit il en sachant pertinemment que le prix de sa nuit allait être pour la note de la Kitsune. Une simple vengeance, dont il profita de ses vacances offertes pour être généreux et mesquins envers Oni

Drôle de coïncidence le Nuke-nin avait déjà trouvé femme à son fourreau. En l'espace de cinq minutes et d'un verre alcool enfilé il se voyait déjà prêt à lui mettre la bague au doigt. Il avait eu un court aperçu des talents de cette demoiselle dans l'art de la séduction et donc de la tromperie c'est une condition sinequanone dans la société actuelle. Cependant il semblait que la forte libido du guerrier avait prit le dessus sur son esprit et même si ce dernier semblait aguerri il n'en demeurait pas moins un homme pensant avec ses bourses tandis que la femme joue des siennes. L'un crache une semence l'autre lui fait cracher ses Ryos, l'un se vide l'autre se rempli Trash Trash Cette jeune femme n'était d'autre qu'une Kunoichi, du village de Kiri son bandeau en attestée pour celle-ci. Physiquement elle n'avait rien à envier aux serveuses de l'auberge c'est dire sa beauté, son charme … Du moins ses formes proportionnelles pouvaient charmer la plupart des hommes en ce bas monde. D'ailleurs cette Kunoichi possédait des bas goûts pour trouver une quelconque attirance envers une personne possédant une tignasse verdâtre. Dans cette scène de théâtre jouée par des acteurs hauts en couleurs dans cette auberge et produit par le grand cirque de la vie on pouvait considérait le rôle d'Allen de réalisateur même si il avait aucun contrôle sur le scripte ni même sur les acteurs, on a connu mieux pour se faire entendre. Donc tout c'était enchaîne très vite notre protagoniste était revenu à ses activités de gérant et il n'avait même pas eu le temps de fourrer son nez dans sa comptabilité qu'il voyait revenir les agitateurs du dimanche comme il s'était amusé à les appeler avec une personne en plus la Kunoichi qui avait mit le grappin sur le Nuke-Nin ou inversement cela dépendant dans quel sens on le prend Où quel sens elle sera prise .... Après de plates excuses à s'en confondre ils venaient du moins le guerrier réclamer la Love Room pour en couple former dans la minute. Allen en doutait un peu mais comment remettre en doute cette union si fraîche et sulfureuse sans vexer sa compatriote en la traitant de fille de joie. Mais ce qui interloquait le plus Allen c'était bien cette Kitsune, il avait envie de lui offrir de la bonne Tomme pour voir son comportement avec. Enfin il essaya de garder son calme et un certain flegme face à cette situation si particulière tout ses sens étaient en éveille face à cette créature provenant du pays des Albinos. Après s'être détourné du regard de la jeune femme aux yeux perçants pas plus de trente secondes sinon tu perds la vue, aveuglé. Ah cette légende .. Il regarda l'homme aux cheveux verts entrain de lui montrer sa bourse pleine qui pendouillait au niveau de son entre jambe pour montrer que Monsieur avait de quoi faire (J'étais obligé). Ensuite il eut cette phrase de pigeon, qu'il ne faut jamais dire à quelconque commerçants qui soit la fameuse : Votre prix sera le mien. Allen n'était pas du genre à arnaquer, en aucun cas il l'aurait fait si ce n'était pas un de ces voyageurs, un touriste.En d'autre terme un billet sur pattes ... Avec une femme à ces bras il lui serait impossible de refuser sous peine de passer pour un radin et ne pas conclure une belle affaire si bien engagée. Allen fit semblant de regarder son tableau des prix puis écrit sur un papier le nombre à quatre chiffres et lui souffla ces quelques mots pour adoucir un tel coût. Il ne faut pas oublier que c'était un commerçant.


« La Love Room réalisera tout vos désirs, Avec votre partenaire l'affaire va se faire en l'air et se refaire par terre ... »


Rien de plus, avec un clin d’œil à l'appuie et un sourire en coin. Des paroles très éloquentes et surtout choquantes peu importante pour vu qu'elles atteignent leur but ultime. Faire travailler l'imaginaire de cet homme. D'ailleurs Allen ne perdit pas son temps pour lui faire remplir un formulaire ou il devait décliner son identité et bien d'autres informations pour les statistiques et les études que le village de Kiri No Kugare faisait. Il était aussi conseillé de payer avant si le propriétaire d'un soir voulait se voir attribuer les clefs. Donnant donnant c'est comme cela que ça marche dans la société Shinobi. Les deux femmes semblaient déjà devenir complice en se susurrant de petits conseils. Cette solidarité féminine est présent dans tout les instants. Tout semblait se faire et se conclure mais L'albinos semblait avoir des envies d'ailleurs. Prétextant qu'elle allait voir son disciple. Allen n'était pas dupe, il ne connaissait pas les antécédent ni l'histoire de la Kitsune mais une chose était sure il y avait souris sous roche. Se séparer si précipitamment de son compagnon de voyage n'était pas chose commune. Ce dernier souhaitait juste passer du bon temps comme tout vacanciers la jeune femme avait des desseins sûrement plus sombres c'est drôle pour une albinos. (Je me suis fait rire tout seul...) Allen après avoir donné les clefs au nouveau couple se fit remplacer par son second à la réception prétextant deux trois courses à réaliser d'urgence. Il prit en filature blanche neige (j'étais aussi obligé ...) celle-ci avait un itinénaire bien connu d'Allen qui l'avait emprunté d’innombrables fois pour aller quémander des missions pour se nourrir ou payer son établissement bien évidement on parle du lieu si sacrée, le Bunker du Mizukage cette imprenable forteresse. Cette dernière était heureuse et dans ses pensées elle ne semblait pas voir la grossière filature d'Allen il faut dire qu'il n'était pas spécialiste en la matière et qu'un enfant de douze ans aurait réellement pu faire la même chose si ce n'est mieux. Arrivée sur place elle fit quelque chose d’irréversible dans le pays de l'eau et dans le village de Kiri No kugare c'était synonyme de pendaison elle drogue la garde royale du Mizukage elle s'amusait de cela. Droguer de pauvre innocent ne faisant que leur travail Allen en était terrible choqué. Il ne savait que faire tant la situation n'était pas de son ressort. Cependant il voulait commenter un tel acte et dire qu'il ne serait pas impuni par la justice de ce village ou celle divine. Il cria ses mots en sa direction tout en se gardant bien d'être vu par cette dernière car il craignait le pire pour sa vie si elle apprenait qu’elle avait été suivie.

« Sorcière Blanche, ta sorcellerie sera terrassée vaincue par Le Sang Bleu ... »

Après avoir balancé ces mots dans le vent fortement pour que cela vienne à ses oreilles. Il s'enfuit en courant pour rejoindre son auberge c'était le mieux à faire. Revenir à son point d'ancrage le plus stable Allen surprit tout le monde, du moins son personnel car il était revenu sans course et très rapidement. Enfin il eut une longue discussion avec son garde lui disant qu'il y allé sûrement avoir de l'action dans l'auberge à cause de ses voyageurs pas comme les autres. Allen n'avait pas réellement envie de prévenir les autorités du village franchement trop apeuré par cette femme. Il allait rester cloîtrer dans son auberge à atteindre que cela passe tout en croisant les doigts. Soudain il eut une idée fameuse faire parvenir cette information si précieuse à La Kunoichi de son village elle était du même grade d'Allen mais avait l'air d'être plus débrouillarde que ce dernier. Mais comment entré dans une love room où les actions devaient déjà bien être engagées. Allen se souvint que l'établissement se devait de fournir aux clients une bôite de chocolats aux vertus aphrodisiaques. Il s'en alla toquer à leur porte et à travers cette dernière il prononça cette phrase.

« L'établissement vous offre de doux et tendres chocolats comme la tradition le souhaite c'est à la Femme de mettre le premier dans la bouche de l'homme »

Décidément l'auberge avait de drôle de coutumes il espérait que cela était suffisant pour attirer la Kunoichi hors de cette chambre pour avoir la possibilité de l'alarmer de la dangerosité de la situation que ces voyageurs n'étaient vraiment pas comme les autres ...

Les vacances d'Oni et Shin

Alors que le Datenshi était sous l’envoûtement de la Kirijin, une musique renforça son enthousiasme à la conduire au plus vite dans la fameuse love room. Le battement des basses, calquaient parfaitement à ceux de son coeur et ses pas paraissaient suivre un tempo, ressemblant à cette musique dont l'origine restait inconnue. Après tout, ce n'était surement pas au petit matin que l'auberge d'Allen allait passer ce genre de musique à ses clients, mais Shin quant à lui se laissa porter par le rythme avec ce même sourire niais avant que la Kitsune ne daigne l'interrompre. Elle lui fit un câlin, prétextant qu'il lui avait manquer, à ce moment le Datenshi était tellement absorbé par ce qui l'attendait ce soir qu'il ne remarqua même pas la substance relâchée par la Kitsune et se laissa drogué comme un enfant. L'ennemi public numéro un immédiatement fut entraîné dans une course folle en direction de la love room. Oni avait parler de s'occuper d'un élève alors que le gérant de l'établissement lança une remarque qui ne déplu pas au Yakigote. A l'allure d'un courant d'air, ce fut finalement la Kirijin qui l'entraîna vers cette fameuse chambre. L'engouement de la jeune kunoichi était des plus éloquent. Loin de déplaire au Datenshi, celui-ci se laissa guider au rythme de sa musique, de léger picotement au nez. Sur leur route ils croisèrent une serveuse de l'auberge. La Kunoichi paraissait être perdu et demander l'emplacement de la love room. Cette dernière après avoir effectuer quelques signes provocants à l'attention de la serveuse se vit appuyée par la remarque du Datenshi sous l'emprise des drogues d'Oni. (Comme d'hab x) Toi aussi tu es faite pour mon lit. Il lui sourit avant de décortiquer la phrase qu'il venait de sortir. Ses yeux grossirent tant ils étaient ouvert par la honte qu'il ressentait en cet instant. Comment avait-il pu dire ça, lui qui faisait attention afin de ne pas passer pour un gros pervers, proposait son lit à la première serveuse de kiri qu'il rencontra sur son chemin.

Gomenasai monsieur... Je... Suis en train de travailler... Je ne... La serveuse ne savait pas trop comment réagir. Après tout elle ne souhaitait pas perdre son emploi et prendre le risque de gifler l'homme qui venait de lui faire une telle avance. Après tout le client était le roi et risquer de faire changer d'avis celui qui était prêt à dépenser une véritable petite fortune pour profiter pleinement de la love room aurait certainement été mal vu du gérant de l'auberge. Alors que Shin tout aussi gêné secoua la tête pour prétexter qu'il s'était mal exprimé, il fut tout aussi surprit en s'entendant lui proposer une prime pour l'occasion. La jeune femme rougissait encore plus, les nerfs allaient lâcher et résultera deux solutions. Une gifle aussi démoniaque que puissante où un "d'accord" timide. Le Datenshi plaqua ses deux mains contre sa bouche et lui et la Kunoichi poursuivirent leur chemin jusqu'à la love room. Elle devait sans doute être aussi folle de Shin que lui d'elle pour ne pas le partager avec une autre. Il pensait comme cela, malheureusement pour lui l'amour le rendit aveugle car l'intérêt de la jeune femme était tout autre que celui de son amour.

Une fois devant la porte, elle supposa avoir besoin de la clef pour ouvrir. Pour avoir la clef il fallait payer. Payer à qui ? Telle était la question que le Datenshi se posa en haussant les épaules une fois qu'il dû se charger de les récupérer. Il regarda dans le couloir si la serveuse rencontrée plus tôt était toujours là. Personne ne traversa les couloirs si ce n'était un jeune homme blond qui tenait avec lui les clefs. Ce dernier s'approcha du Yakigote en le saluant. Voici les clefs monsieur, ainsi que la note à réglée pour qu'elle soit votre. Mon nom est Matsuda Akisada, employé de monsieur Allen, je vous en prie je vais vous ouvrir la porte. Les deux hommes se retrouvèrent alors devant la love room avec la kunoichi, Shin tendit la somme au jeune homme et la porte fut finalement ouverte. Après que Matsuda leur ait souhaiter de bien profiter de la love room, Shin et sa compagne entrèrent. La love room était petite, un lit tournait au milieu de la pièce aux couleurs rouges et rosées, une salle de bain était disponible, tout comme une mâle dont le contenu restait encore inconnu pour le Datenshi qui s'approcha du lit pour contempler la douceur des draps et la forme des oreillers en coeur. Tout cela allait être amusant, la kunoichi quant à elle semblait plus accès sur son affaire que le reste. Alors que les deux commencèrent leurs ébats (passons les détails on est pas sur un forum hentai x) la porte toqua et la voix du gérant retentit en précisant que l'auberge leur offrait une boite de délicieux chocolat et que la femme devait en donner la première bouchée à l'homme. Amusé, le Datenshi ne se priva pas de se laisser avoir par cette gourmandise et mâcha le chocolat à pleine dent. Il s'approcha alors de la jeune femme, laissant dépasser la fin de sa gourmandise afin qu'elle l'embrasse et lui prenne l'autre moitié. Il était peut être un homme pour les traditions de cette auberge, mais sa philosophie consistait à laisser l'honneur aux dames. Alors il voulait partager le délice de cette sucrerie avec elle.

Au même moment, un homme entra dans l'auberge, blond, habillé d'un manteau gris et d'un bonnet aux couleurs sombre, le nouveau protagoniste fit son entrée dans l'auberge à la recherche de quelque chose. Plutôt de quelqu'un...

Ps : Changement de perso au prochain poste, Suno Yuki mon dc fait son entrée dans l'auberge ^^

Les coutumes de l'auberges sont légions car elles sont toutes liées à cette dernière et forment en soit le passé de l'établissement. Chaque coutume se doit d'être respectée car ainsi on honneur la mémoire et par conséquent le travail d'honnêtes et modestes personnes qui ont travaillé dans l'humilité et le sacrifice pour faire de cet auberge le petite havre de paix qu'elle est actuellement. Allen veillait au grain pour que toutes coutumes aussi ridicules et insignifiantes aux yeux du clients soient respectés toujours dans le but de ne jamais oublié un passé que trop proche à ses yeux. Les chocolats aphrodisiaques étaient offerts à tout couple ayant payé une nuit pour la Love Room. Cependant à situation exceptionnelle et si inédite il faut bien trouver le moyen de s'en sortir, donc ces chocolats si gracieusement offert par la maison étaient remplit d'un liquide à base de plante qu'on nomme plus communément somnifère. Il avait trompé et drogué son client à son insu quel mauvais gérant faisait-il surtout pour un qui était en passe de remplir les caisses de l'auberge. Trompé et drogué ? Il était certes le cerveau de ce plan sans quoi il n'aurait pu exister mais celle qui avait tout fait et s'exposer à de lourdes représailles, si ce dernier se réveillait n'était d'autre que la jeune Kunoichi. Allen ne connaissait rien d'elle mis à part son goût prononcé pour les Hommes à la besace bien remplit. Était-elle de confiance ? Rien n'était moins sûr il s'en méfiait surtout avec un tel physique mais faisant partie de la même patrie il devait lui accorder un semblant de confiance et lui divulguer ses informations si précieuses. La Kunoichi ne mit que peu de temps à se débarrasser de son union avec le Nuke-Nin donc par conséquent Allen comprit que ce couple n'en était pas un. Un fait il n'avait jamais été réellement dupe de cette union si rapide mais parfois fermer les yeux sur cette chose peut rapporter gros surtout que ce guerrier semblait être richissime, et ce dernier l'avait bien fait comprendre à Allen. La jeune Femme lui fit face et tint un discours simple et précis. Oui, Allen n’interférait pas dans les affaires des autres en générale il s'occupait des siennes et c'est bien assez à son goût, sauf quand il y avait péril dans la demeure. La jeune femme prétendait ne pas avoir beaucoup de temps et avait l'air d'être désormais pressée. Ce sentiment que la Kunoichi exprimait malgré elle, cette dernière qui était d'habitude pour le peu qu'il avait vu si sûre et entreprenante. Tout ses indices poussa Allen à entrer dans la Love Room pour voir si le travail avait été soigneusement fait. Il fut grandement surpris quand il aperçu le Nuke-Nin allongé sur le lit dans le costume d'Adam et Ève qui plus est menotté et il dormait comme un gentil ourson. Un léger sourire se dessina sur son visage d'ordinaire il aurait rit aux éclats mais la situation était grave et sans remède pour le moment. Elle avait fait une bonne utilisation des menottes, fin observateur qu'il était il comprit que la Kunoichi s'était acquitté de sa bourse pleine de Ryos. Il quitta la pièce laissant l'homme seul dans les doux bras de Morphée puisse t-il aimer sa compagnie pour atténuer son courroux.


«Bon, Pour la bourse dérobé on en reparlera après c'est le cadet de mes soucis. L'albinos qui accompagnait cet homme, est allée faire une promenade meurtrière sur nos gardes dans les rues de Kiri No Kugare semant trouble et chaos dans la population et cette dernière semblait prendre son pied. Quand on est Shinobi on a des devoirs et responsabilités auxquels on ne peut se déléguer. Je te demande donc d'établir un périmètre de sécurité entre cette femme et le reste de l'auberge sans attirer son attention pour se faire déguiser toi en Serveuse ensuite tiens toi prêt à intervenir car je sens que cela ne va pas tarder à exploser. Quand à cet homme il en a pour quelques heures ... »


Après cette courte discussion mais très directive de la part d'Allen. Il lui donna aussi une tenue adéquate pour mener à bien sa mission. Il semblait prendre les événements très à cœur était-il à présent attaché à sa patrie ? Peut-être quoi qu'il en soit à son Auberge il l'était. Son garde toujours en place avait lui aussi été assigné à une mission celle de faire en sorte qu'aucun individus n'entre ou sortent de l'auberge, tant que l’étrangère était capable de pouvoir bouger l'un de ses sourcils. Allen lui avait fait une liste de nombreux arguments pour faire rester le client comme offrir des boissons gratuites . L'albinos avait fait de nouveau son apparition dans l'enceinte de son établissement. Notre jeune protagoniste avait lui reprit sa place de gérant sans soucis et heureux d'avoir une . Feindre était une belle qualité qu'il avait développé très jeune et qui s'était améliorée au fil des saisons. D'ailleurs cette dernière après avoir soupiré son nom était venu à sa rencontre tout en ayant au préalable commandée un verre de thé. Celle-ci le fixa quelque seconde avec un sourire non caché puis prononça une phrase qui fit tilt dans l'esprit de l'aubergiste. Celle-ci louait son sens du commerce et de la concession. C'était une manière non déguisée de se moquer de l’accueil qui leur avait été fait en prônant la sainteté de l'établissement. Allen prit la main de la jeune femme qui l'avait percé dans son acte avec peu de noblesse. Il lui retourna son sourire un peu plus moqueur que le sien car il voulait faire une petite leçon de vie à cette jeune femme qui semblait avoir quelques années de plus que lui. Comme quoi la sagesse n'attends point le nombre d'années.


«Les concessions se doivent d'être discrètes Vivons caché vivons heureux n'est pas le plus vrai des adages. Fermer les yeux on le fait tous notre société est régit ainsi à savoir si le jeu en vaut la chandelle. Mais parfois je vous l'accorde il faut savoir les ouvrir et prendre position … J'ajouterai à cela certes le client est roi mais le vendeur est Empereur . »


Il y avait laissé traîné un petit message subliminal pour dire qu'il était au courant et qu'un tel acte si monstrueux et diabolique ne resterait pas impuni. Cette dernière était partie rejoindre sa table et son thé vu servit dans la minute qui suivit par une des serveuses du Bar. Elle semblait pressé et fixait la porte de l'entrée de l'Auberge encore dans l'attente sûrement de son fameux disciple. Ce dernier ne semblait pas pas dénier faire acte de présence. Ce qui laissait du temps à la Kunoichi d'agir dans la plus grande discrétion plus vite elle aurait accomplie son devoir plus rapidement elle pourrait prendre ses jambes à son cou pour fuir loin très loin du Nuke-Nin endormi . Un homme portant la capuche qui laissé dépassé quelques mèches blonde était présent depuis Allen n'avait pas du tout prêté attention à lui et pour dire trop d’événements imprévus s'étaient enchainés à une vitesse hallucinante il avait du mal à prendre soin de ses clients ce qui devait être les fondements de son métier. Ce dernier eut quelques mots avec l'Albinos ce qui interpella grandement notre protagoniste. Il lui lança quelques mots pour qu'il s'écarte de cette vile sorcière sûrement un inconscient qui ne savait pas à quoi il s'exposait. Voulant le prévenir l'inconnu mais ne sachant pas comment aborder un tel sujet il lui balança une phrase au visage qui pouvait faire réagir les deux interlocuteurs.

«Hey Blé d'or cette fille n'est pas à acheter à moins que ... »

On avait une belle scène de théâtre devant nos yeux. Mais personne en connaissait le dénouement final. Protagoniste après protagoniste venaient remplir l'auberge qui était normalement close suite aux agissements suspects de la sorcière blanche. Le dernier en date qui avait fait une arrivée remarqué n'était d'autre qu'un Shinobi de Kiri No Kugare ce dernier semblait un peu perdu et à la recherche dont ne sait quoi. Allen lui offrit le fameux bénéfice du doute, rare moment dans cette société de Ninja que d'accorder un tel privilège. Ce jeune homme semblait être un peu gauche. Donc nous avions le Mizukage dissimulé sous une capuche, c'était un peu dérisoire pour un déguisement valable si on voyait rien qu'une seule de ses mèches de cheveux on pouvait à coup sûr savoir qui se cachait derrière. Des blonds au village cela ne court pas les rues. Le Mizukage qui semblait être de mèche avec cette albinos qui avait causé bien des soucis cardiaque à Allen. Nous avions aussi la fameuse Miku déguisé en Henge prêt à bondir sur cette Femme si l'occasion se faisait ressentir. Le Nuke Nin toujours nu et endormi dans la Love Room. Bien évidement le plus important pour Allen sa clientèle, enfermée dans l'auberge pour leur garantir une meilleure sécurité. On ne savait pas aussi la nature de la pièce, allait-elle devenir dramatique pour l'instant nous avons eut le droit à du burlesque grâce au dindon de la farce le Nuke-Nin Mais rien n'est dit qu'après cette journée il n'y aurait pas des cadavres à recouvrir. Allen était quand à lui aux aguets ill ne comprenait pas pourquoi son Mizukage discutait avec une telle personne, et ce Suno l'intriguait il était si gauche et frêle que cela été peut-être une diversion. Enfin ce n'était que des suppositions émises par son petit esprit tourmenté par tant d'activités. Il commençait à comprendre les durs réalités du métier que celui de patron d'une auberge il n'y avait pas que des côtés Rose même quand l'activité est à son apogée dur paradoxe mais réel. La scène était figé à de belles paroles de partes et d'autres. Se rappelant à des souvenirs d'antan ou des petites phrases pleins d'humours. Allen essayait de comprendre pourquoi cette femme n'était pas sous les verrous depuis belles lurettes surtout avec autant de Shinobi en cette pièce. Surtout qu'elle semblait être libre comme l'air pourtant les souris blanche albinos sont une espèce de laboratoire sous cage. Puis cette dernière qui était épiée par Allen, celle-ci se leva et lui fit face une nouvelle fois pour dire qu'il était temps pour elle d'aller jouer et qu'elle embarquait avec elle les deux Kirijien. L'albinos eut des mots pleins de sens et de sous-entendus qui laissa perplexe Allen lui avait perdu sa légendaire répartie et n'avait rien à répondre. Il les laissa monter à l'étage sans réaction. Allen avait oublié l'ampleur des dégâts à l'étage où se situait la Love Room. Alors que ces derniers étaient à l'étage Allen cria cette phrase en apeurant sa clientèle tellement c'était soudain et inopinée pour un patron de Bar.

«L'empereur doit être considéré comme le Messi des Idées Nouvelle »

Après ces mots prononcés pleins de sens et de sous-entendu. Il espéra que cette femme les avait entendu et surtout comprit. C'est à ce moment qu'il réalisa qu'ils étaient montés comme-ci de rien n'était. Une stupide erreur qui pouvait lui coûter la vie. Il se tapa la tête contre le front avec une telle force. Il avait été d'une telle stupidité, d'une naïveté enfantine, il s'était laissé envouter et distraire par ce jeu qu'ils avaient mit en place, celle-ci avait gagnée et qui plus haut la main. Désormais il était bloqué par ses clients dans l'auberge ne pouvant pas intervenir il devait se contenter d'attendre et de voir ce qu'il allait se passer. Surtout que ces clients le regardaient tous après cette intervention. Il sourit et prit un air rigolo pour mieux faire passer cela, il mima qu'il avait du boire un peu trop en faisant le signe de la bouteille. Il cria joyeusement Champagne pour tous. Cela avait pour but de dissiper toutes suspicion de leurs parts, l'alcool adoucit considérablement les Mœurs. La patience n'était pas une vertu qu'il avait en lui cependant il n'avait d'autre possibilité que d'attendre. Ils ne mirent que peu de temps à redescendre mais il en manquait un, le gauche Suno était resté dans la Love Room du moins c'est ce que suspecta Allen. Celui-ci laissait faire son Mizukage il devait parfaitement maitrisé la situation car c'était le plus haut gradé du village. Les deux quittèrent l'Auberge et une fois la porte refermée une lourde explosion se fit entendre assourdissant tout les clients. La Love Room cela venait du coin d'amour de l'établissement que c'était t-il passé. Allen n'en avait aucune idée qui avait bien pu provoquer un tel vacarme Allen se précipita de faire évacuer tout les clients. Leurs vies étaient trop importantes à ses yeux aurait-il envie de revenir après de telles péripéties. Avec l'aide de ses employés il œuvrèrent à les faire sentir en un rien de temps. Car un deuxième bruit terrifiant c'était fait entendre provenant du toit comme-ci on arrachait une partie de sa toiture. Cela n'annonçait rien de bon pour Allen. L'évacuation se déroulait sans soucis mais avec beaucoup de panique et d'affolement dans la foule. Les pompiers de Kiri n'auraient pas besoin d'intervenir car la tuyauterie avait aussi explosé la chambre était complètement ravagée, les réparations allaient-coûter cher. Allen essayait de garder son sang froid mais il maudit le moment ou il avait accepté de tels voyageurs n'apportant que peste et colérat dans son établissement. Le jeune Wampie était entrain tout doucement de couler dans un sentiment de haine profond et irréversible. Il avait besoin d'exprimer sa colère sur ses deux personnes mais l'une était partie avec le Mizukage l'autre il n'en avait aucune idée de l'endroit où il se trouvait. C'est à ce moment qu'il aperçut la Kunoichi Miku toujours en Henge tentant de prendre la fuite avec l'argent volé le laissant seul dans son désespoir et abandonnant un compatriote. Cette dernière s'était dissimulé dans la foule pour ne pas se faire repérer Allen eut l'impression se faire poignarder dans le dos et aussi le cœur. N'écoutant que sa haine il prit son Katana de prédilection et partit à sa poursuite en criant :

« Miku ! »

Cette dernière avait enlevé son Henge à la suite de cette interpellation et essayait de s'enfuir de la vision d'Allen. Celui-ci n'avait pas fait dans la dentelle et la subtilité il l'a poursuivait arme à la main. Elle courrait vite et l'a rattraper n'était pas une chose facile mais Allen réussissait à maintenir l'écart de distance entre sa cible et lui. C'était un Ninja de son village le meurtre n'était pas envisageait pour le moment mais le Wampie avait perdu le contrôle de la situation laissant ses émotions le dicter. Lui qui d'ordinaire était si rangé et calme était à présent en proie à une folie meurtrière. La course poursuite, continuait sur les toits du village Allen avait tout son arsenal pour essayer de l'atteindre et les Kunais et les Shuriken lancés furent légions mais viser en courant à toute allure n'était pas chose aisée. Aucun n'atteignit sa cible surtout qu'il les lança de la main droite qui nétait pas sa main de prédilection. Il n'allait pas user tout son armement pour cette traitresse. Il sortit du fin fil de de fer qui a la capacité d'être modulable et tel un Cow-Boy il le fit tournoyer dans les airs et l'envoya sur Miku. Celle-ci se fit lacérer au niveau des avant-bras très fortement et tomba du toit où elle était située. Une action en déclenchant une autre sa chute entraina inévitablement la chute d'Allen car c'est la lois de l'attractivité terrestre. Le Wampie tomba sur la Kirijien l'assommant durant quelques secondes. Pour lui c'était un confortable matelas surtout avec une telle poitrine. Il se releva de cette dernière et reprit l'arme qui n'avait jamais fait couler autre que du sang ennemi. Allen avait étourdit Miku a cause de son poids. Il se remit a genoux sur ses avant-bras ensanglantés par le fil de fer lorsqu'elle s'écroula sur le sol. Il l'a regarda durant quelques secondes mais ça rage était-elle qu'il n'épargnerait pas sa vie il en était certain. Il mit sa lame sur son bandeau et le raya d'un coup sec. Ensuite il déchira de façon animal ses vêtements jusqu'au dernier. Il lui mit des petites baffes pour qu'elle se réveille il voulait qu'elle se sente mourir. Une fois qu'elle ouvrit ses paupières il lui planta sa lame brutalement dans le cœur. Une respiration puis plus rien. Elle était à présent belle et bien morte. Allen en était soulagé et sa folie commençait peu à peu à s'estomper. Il lui déroba la bourse qu'elle avait volé au Nuke-Nin. Puis s'empara du corps car il venait de commettre un crime irréparable envers la société personne devait s'en rendre compte. Sinon lui aussi risquait la peine capitale. Heureusement pour lui leur course poursuite effréné les avaient mené dans le quartier malfamé de Kiri No Kugare où ,personne ne s'aventure avant la tombée de la nuit. Il s'empressa de jeter le corps dans un caniveau. Juste avant de repartir pour l'Auberge qu'il l'avait laissé en plan et pour mieux maquiller son crime il écrivit sur son parchemin de l'écrivain un petit mot qui colla sur le corps de cette Femme :

«C'est ainsi que meurt une Catin sous la lame de son client Avis aux Amatrices ! »

Spoiler: