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InvitéInvité | Sujet: Le retour des soeurs.... Lun 27 Aoû - 5:54 | |
| Leçon sur l'amour fraternel Chaque acte à un prix... La nuit porte conseil certains diront, pour Aya, elle devenait plutôt sujet à un rappel de souvenirs, était-ce là des conseils? Plus le temps passait et plus ce qu'elle y découvrait la laisser perplexe, ce soir-là plus que jamais, elle en restait troubler, malgré la douce sérénité dans son rêve. Elle se voyait assise au bord de l'eau, les pieds baignant dans le liquide d'ailleurs, sur ses genoux, elle avait posé un parchemin qu'elle déroulait, prête à se mettre à écrire, dès les premiers mots, Aya n'eut pas la sensation qu'il s'agissait de notes cette fois, mais plutôt que son écrit était adressé à quelqu'un, une lettre donc? Se laissant porter par la curiosité, elle se laissa abandonner à son songe tentant de forcer l'action pour en relire le contenu, c'était comme-ci on lui contait dans sa tête, elle entendait la voix en parallèle de celle qui écrivait, était-ce ce qu'elle pensait qu'elle retransmettait ou bien simplement sa réflexion avant d'écrire. Le tout ne laissa plus aucun doute à Aya, c'était là bien un souvenir lui appartenant ou alors une hallucination des plus extrèmes... - Spoiler:
Il y eu le jour où tout avait commencé, pourquoi tu me diras…
La réponse à la question de comment nous en sommes arrivé là est en fait très simple, j’ai échoué dès le début à arpenté la mauvaise voie, le vieux rat avait raison, l’art de conserver la vie est étroitement lié avec celui de donner la mort. La couardise, il avait dit que je ne saurais lui résister, que face à la fatalité, je ne saurais capituler, dès le début il avait dit vrai, l’iroujutsu doit protéger la vie, pas la détruire, si certes dans ce domaine j’ai excellé, les raisons pour lesquels je l’ai fait n’était pas les bonnes. A la base, j’ai appris pour aider, mais le temps a eu raison de ma bonne foi, désormais je me voudrais égal du créateur, décidé qui doit vivre ou mourir, aller contre la plus élémentaire des lois de la nature, le cycle de la vie et de la mort. Dix ans, tant de longues années ont passé avec une seule et unique obsession, le retrouver, même juste un instant pour dire adieu… ?
Hypocrite, jamais je n’aurais su te laisser partir à nouveau, quiet qu’il est des milliers qui doivent mourir pour cela, la préservation de la vie vois-tu, je n’en ai plus que faire, si tu savais combien j’ai souillé ses mains, ôtant la vie à des âmes innocentes dans notre histoire cela pourquoi au juste ? Rien au final, ma seule chance elle s’est perdue par le biais de mon excès de confiance ridicule et me voilà de retourne au final dans cette cité maudite à jouer le chien bien dressé pour pas grand-chose en retour. La fatalité, était-il impossible de lutter ? Bien sûr que non, la limite est quand tout souffle de vie disparait, pourtant enfin je sais qu’il faudrait renoncer, mais le destin maudit à mit à nouveau sous mon nez le souffle d’un espoir pour me torturer. Seulement voilà, ce qui à la base devait m’aider me ronge désormais, je me doute que tes soudaines apparitions sont de maudites hallucinations dû à mes excès de drogues en tout genre. Ina si tu savais, tu n’aimerais pas ce que tu découvrirais tout au long de ce temps sans toi.
La chance veut que j’ai su encore être un peu censé pour confier mon enfant avant qu’il ne soit trop tard, bien avant qu’il comprenne ce qui se tramait sous son nez, crois-moi c’est bien mieux comme ça, je lui en fais découvrir des horreurs sans le vouloir, enfin... J’avoue le trouble de mon être quand un soir j’ai découvert ses grands yeux verts éveillés qui écarquillé observaient leur mère ensanglanté, la même venait chercher un corps pour son œuvre, jamais je n’aurais dû l’emmener, il n’aurait pas eu à découvrir ça. Quel genre de mère étouffe avec son enfant près d’elle dit –moi, là encore le vieux rat avait raison, donner la vie pour moi n’était pas une bonne idée, surtout comme ça, dans cette circonstance-là. Une égoïste de mes escients bien trop mauvais, pas capable de se stopper simplement car il le faudrait, je t’ai voulu toi et le monde entier pouvait bien aller au diable, il n’avait aucun intérêt…
Mais vois-tu, cette fois sera mon dernier essaie, je suis lassée, épuisée d’une quête sans fin où je n’aurais finalement pas le bout, enfin peut-être pas, ici sont rassemblé pour toi le meilleur de ce que ce monde à offrir. J’ai rejoint le plus habile des maîtres en iroujutsu, au point qu’il eut fait de moi sa disciple, tu veux de l’ironie, toi qui était un assassin et moi qui les détestais tant, me voilà maintenant enrôlé chez eux, enfin pas tout à fait de la même façon que toi. Le temps a passé et comme tout ils n’ont pas résisté, la confrérie s’est divisé, tu devineras sans peine que j’ai atterrie à l’opposé de la tienne bien évidement, elle avait tellement plus à offrir notamment toi. Si j’avais rejoint Cho il m’aurait convaincu d’abandonner, de la folie que c’était, car Takashi est sage et Hebi un enfant encore perdu dans ce monde qui sait dire tout ce que je veux entendre... Le pire est qu’il est sincère, avec moi qui à la base l’ai approché avec l’intention de la plus vile des vipères.
Les mœurs, les lois, les limites, tu sais qu’elles n’ont jamais rien signifié pour moi, soit j’aurais tout, soit j’aurais rien, c’est ainsi la seule façon avec laquelle je sais agir, ma patience a porté ses fruits, ma place de bras droit de Kage m’a donné accès à des secrets interdits et l’on sait tous pourquoi, Shin n’était pas dérangeant tu penses… Hebi ne l’a pas été plus, c’est curieux tu ne trouves pas, qu’ils accordent cette confiance aveugle à un serpent comme moi, ai-je donc un air si angélique, suis-je si fine manipulatrice et si je l’avais fait avec toi aussi ce jeu sournois, tout cela ne serait plus alors qu’une illusion créée de mes soins. J’avoue y avoir pensé et la conclusion me laisse un cœur serré et une envie de tout détruire, je suis furieuse Ina, mais contre qui contre quoi, je ne le sais pas vraiment, moi ? Toi ? Eux ? Peut-être même les trois…
Le moment de faire face à la réalité, je joue un pari audacieux, j’ai usé d’excès, je ne pourrais plus le refaire désormais, abusé bien trop de tous pour que l’on me laisse retenter, car cette fois ma manigance se sera pas inaperçu. Je vais te ramener et le prix n’a pas beaucoup d’intérêt si seulement un instant je pouvais, seulement même te voir respirer, prenons ça pour un pardon à ce que je n’ai su être, parfois j’y ai pensé, il aurait été bien mieux que de nous deux ce soit toi qui reste. Je peux te le garantir, si à ce moment j’avais su tout ça, j’avais pu avoir ce choix, c’est toi aujourd’hui qui serait là… Mais malheureusement je n’étais que novice qui a seulement pu constater ta mort.
Le principe de l’échange équivalent, vieil adage que mon grand-père marmonnait souvent, je ne le comprends que trop bien, plus le temps s’est écoulé et plus en plus de vie ont été demandé pour te ramener. Le vieux rat d’ailleurs l’avait bien compris, je me rends compte avoir pris la vie de celui qui dans ce monde avait toujours le plus tenu à moi, je l’ai trahit, maudit, tué dans un excès de rage que je ne me connaissais pas, sais-tu seulement pourquoi ? Il a prétendu vouloir me protéger de moi-même, il t’avait dans les mains, ce parchemin précieux qui te garde, il l’avait pris si je ne m’étais pas réveillé il t’aurait détruit en le brûlant lui…
Il était là devant les flammes, prêt à te faire disparaître à jamais jurant que c’était pour mon bien… Mon bien que d’être trahit par le mien ? J’avoue que si sur le coup mon obsession fut sa mort, je n’eus jamais autant pleuré les jours suivants, bien plus que pour toi encore, car cela à déclencher une succession que je ne voulais pas Ina. Le sang a eu tôt fait de dominer ce sol où j’ai grandi, où ils m’avaient aimé, quelle ironie l’enfant même de cette famille qui la fait disparaître…. Là encore, impossible de reconnaitre une erreur, car je suis lâche tu vois, je les ai rendu fautif de leur sort et bien pire encore…
Sans plus personne pour me déranger désormais dans mes bêtises, tu n’es plus là, Seizo est avec son parrain en de bonnes mains et Shin lui ignore complétement où je suis, Hebi lui observe et acquiesce tous mes choix, même les plus barbares. Au moins, jamais je n’ai eu à faire semblant avec lui, mieux que personne il connait ma vraie nature, mais il est quand même resté tu sais, pas un moment il ne l’a jugé ou commenter, simplement il est resté là pacif quand il le fallait. Cet être m’a troublé, en toute une vie rien ni personne que j’ai connu ne l’a approché de près ou de loin, pourtant on la dénigrait chez lui-même, quels curieux aveugles l’avaient donc entouré, notre cher Taka en fait partie. Je ne l’ai plus beaucoup revu depuis ta mort pour dire vrai, tu l’as déçu c’est évident et moi j’ai suivi en rejoignant Hebi, je t’imagine aisément, ton regard et ton air, puis ce que tu dirais après un long silence, mon cher amour, si tu savais… comme tu peux aller te faire avec ta morale, il fallait rester là. Ce n’est qu’aujourd’hui que je comprends que tu n’as plus le droit de juger mes actes, l’erreur est humaine et tu en as fait une belle, pêché d’orgueil au moins aussi grand que le mien, on faisait la paire, qui se ressemble s’asemble...
Aujourd’hui est mon dernier jour, ce soir, je rejoindrais Suna et tu t’éveilleras ou bien nous dormirons tous deux à jamais et cette folie prendra fin. Tu m’as hanté jusqu’au dernier moment, rends-toi bien compte. Si ce n’est pas de l’amour je ne sais pas ce que c’est et combien même cela ne serait une illusion elle a un jour été douce, laisses moi garder ce moment-là plutôt que sa conséquence tragique. Si nous ne nous retrouvons point considérons nous comme quiet, ne meurs pas bêtement à nouveau, je jure de raser ta Suna de malheur si je ne réveille seule encore une fois. Je t’offre la confession d’une grande partie de mes fautes à toi seul, seul personne à qui je le pourrais, je suis loin d’une sainte ou de la chose fragile que tu te plaisais à couvrir tant, plus de dix ans pour te laisser voir mon vrai visage, ne grogne pas, si ça se trouve sans ça nous n’en serions pas là. Si c’était à refaire je le recommencerais sans mal, le moment de ta stupidité en moins, mais à quel moment étais-ce, je te laisse en juger.
Ne gaspille pas ta vie, j’en ai privé tant pour toi, particulièrement un bébé à peine né si veux tout savoir, la fille d’une Senju et d’un Uzumaki pour profiter de la combinaison de leur gêne, ou encore des expériences même tirer à partir de ton fils. Le vice à pousser loin tu vois, un certain Eien m’ a été très utile, coup de pouce du destin, sans scrupule j’ai volé ses travaux sur les clones, sans remord j’ai parcouru Âme encore pour y débusquer les derniers représentant que mon clan originel et voler les secrets de leur art de cette symbiose malsaine avec cette maudite plante bien vivante, qui renferme tant de souvenir de tout ceux ayant été ses hôtes. J’y ai découvert une petite sœur, enfant cachée de l’adultère de mon père qui avait renoué avec les origines de notre famille, sans vergogne, j’ai tué l’aïeul et emporter la petite, à la base seulement car elle avait la reine mère de l’objet de ma convoitise scellé à son crâne, puis je… Heureusement pour elle, je l’ai laissé à Kumo une fois son travail fini, comment tu as pu tu diras, si tu savais, même du temps où tu étais encore là de quoi j’ai su être capable.
Le No limit n’a pas que ses avantages tu me diras, mais qu’importe cet après-midi je suis au bord de l’eau, je cours encore derrière mes sangsues, Diao a bien travaillé, elle a lié les sceaux à merveille, c’est quand ma vie cessera que la tienne reprendra, me reste seulement à dire adieu à ce monde et te sortir enfin de ce rouleau. Il n’y a pas une heure j’ai fait ôté le moule de fer de ton corps au Datenshi et il n’a rien compris, le bourge est occupé avec de belles dames, je l’envie de prendre la vie avec tant de légèretés, au final, c’est l’idiot qui se révèle intelligeant, rageant non ? Avec une infime chance, Hebi ne me laissera pas mourir, le chef du projet de Suna doit le prévenir, alors nous serons à nouveau deux et tu n’auras pas besoin de lire, sinon, fais ce que je n’ai su faire, laisses moi reposé en paix enfin ! Crois-moi, je l’ai bien mérité, un bout d’explications qui ne te suffira surement pas, mais crois-moi les grandes lignes ne sont déjà pas très glorieuse, imagine les petites.
Bien réglons ça une fois pour toute, bonne chance à nous quoi qu’il arrive… Je ne veux plus de mauvaises nouvelles, n’oublie pas au cas-où d’aller chercher ton fils aux pays du thé ! Un certain Gaashu le garde pour le moment, non pas de sale coup à Shin cette fois, j’ai progressé tu vois ! Un peu tard tu me diras, allons va, ne fait pas de mauvaise tête, voilà qui est mon ultime requête, sur ce, je vais profiter de ma pêche, pour vu qu’elle soit bonne, pour une fois, tu sais bien, je n’ai jamais été douée pour cela ♥
Oni ~ |
~ Où est ce parchemin...? ... Amère, c'est déjà sous ce sentiment qu'elle se réveilla et il n'eut pas le temps de s'estomper tandis qu'elle quittait son antre du moment qui s’avérait être sa chambre. Sous un laxisme et une soumission apparente, au fond Aya bouillait, déjà de se trouver ici, mais bien encore de ce qui se jouait sous son nez, la scène tendre aurait dû la ravir, seulement, son sourcil se redressa de lui même en fixant les deux qui composait désormais "sa famille" en voyant une comme intrus. Seul point positif, grâce à cette initiative de les "adopter", la vie au labo était finie et savoir Sayuri loin de là était pour elle un ravissement, contrainte donc de jouer ce rôle ridicule, décidément la fatalité lui en voulait, elle se décida enfin à saluer ses colocataires, laissant pour excuse son réveil pour son manque de grâce. La dite mère, s'empressa de lui servir son thé, curieusement celui-là réveilla les papilles de l'endormi au fond d'Aya, fermant de façon vive ses yeux, elle camoufla le rouges qui les reprenait alors, tout autant que le réveille de sa marque maudite qui l'appelait à l'ordre, celui de reprendre sa place, mais plutôt que l'écouter, elle avala le reste du liquide en silence, écoutant sagement les deux autres qui papotaient. Une vraie scène de famille qui s’offrait à elle, de celle même qu’elle n’avait pas vraiment connu pour dire vrai, arrivait enfin le moment qui la libérait de cette présence intrus, celui qui ferait qu’elle et sa sœur partiraient enfin en mission. Encore une fois, le destin s’acharnait, bien que l’espace d’un instant les mots de Lucrécia lui plaisait, le moment qui en suivait l’agacer à nouveau, elle allait devoir encore un peu plus la supporter. Elle se mit à parler d’un client de Sayuri et l’aînée voyait noir tout de suite, mais la responsable de la mission la calmait sec, « Aya, si tu ne sens pas capable d’agir en shinobi, nous irons sans toi… », le regard entre les deux femmes fut parlant, « C’est quoi la mission au juste ? Envoyer ta fille à la limite de la prostitution ? », bien sûr qu’elle ne lésina pas sur le ton accentué de sa « fille » pour bien marquer ça désobligeance qui fut parfaitement comprise. « Je tiens à Sayuri autant que toi, voilà pourquoi nous l’accompagnerons, c’est un homme très influant dans Suna malheureusement, il va falloir s’adapter, à lui seul tient une grande partie de l’économie Sunienne. Ainsi donc, je suis navré, mais il va falloir y retourner Sayuri, notre autre soucis est que c’est la jeune fille de la dernière fois qu’il veut revoir… Hors Sayuri a bien grandi… ». Calme soudainement, Aya écoutait contrarier ce qui lui était conté là, la limite de sa patience approchait, « Eh bien, quel est le but de notre action au juste ? », la femme prit un air contrarié, « Nous devons obtenir de lui une donation pour notre labo, enfin pour Suna… », d’un air mesquin, Aya fixa la femme, comme elle s’en était douté Hojô avait menti, en rien l’homme avait payé, la preuve ou encore, avait-il seulement récupérer ce qu’il lui fallait avant de le laisser filer, la question qui se posa alors était de savoir si Lucrécia les utiliserait autant que ce vieux l’avait fait. Même Oni en doutait qu’elle puisse le faire, sa dernière rébellion était plus un appel de son instinct maternel que de la véritable fourberie, de là à ce que la Kitsune l’en pardonne… Mais pour l’heure qu’importe, son soucis était de rester distraite, le choix d’Aya était plutôt bon, il lui offrait un confort agréable, la plus belle des couvertures, même-ci encore les deux se confondaient encore par moment. Aya pas certaine d’être Oni et Oni pas assez bien remise pour reprendre sa place, ses escales pour ses soi-disant entrainements d’endurance, lui servaient à rejoindre la cachette de Suna où toutes ses mémoires étaient cachées. Un peu plus chaque jour, elle se redécouvrait dévorant ainsi ses piles de parchemins qui avaient envahit son repère, ses bases d'iroujutsu lui revenaient même, gardant ce détail bien pour elle, Aya prit la direction de la salle d'eau pour se préparer après avoir déposé un baiser sur le front de sa soeur, cette journée s'annonçait compliquer, neuf chances et demi sur dix que pour ce sale type elle soit la dernière.... Enfin prête, elle qui avait une tenue de combat se fit rire au nez par les deux autres femmes qu’elle rejoignait en chemin, « Quoi ? », lâchait-elle spontanément, « Ta tenue va être tout autre… », encore moins enthousiaste alors, Aya la fixa avant d’user d’un henge en plein milieu de la rue qui attira l’attention et le courroux de Lucrécia dépité face à cette fille… - Spoiler:
" Et là?"
Il faut dire que non seulement la tenue était explicite, mais qu'en plus la vipère savait user de ses poses pour la mettre en valeur... Enfin... Et prit la chose avec une exagération prononçait avec un air de petite sainte, on aurait dit un petit chaton tout mignon et innocent, on était loin du compte... " Et moi qui pensais que ça allait être compliqué...", lâchait Lucrécia, ça l'était bien plus qu'elle ne le pensait, pour commencer, il n'était pas envisageable que Sayuri répète cette expérience, si elle avait été là avant, pas même un instant l'idée aurait pu les frôler. Reprenant sa forme original et un visage strict elle annonçait d’ambler ! " Ne penses même pas à faire approcher ma petite soeur de ce pervers ! On échange nos identités pour cette mission, vous deux, vous me videz la salle, pas de témoins! Je veux un coin tranquille avec lui et je t'assure qu'il va payer..." Mais cela dans quel sens... " Il n'y a même pas a en discuter... Choupette, ne t'en fais pas, ce genre de chose n'arrivera plus, Lucrécia va mieux choisir nos contrats et pour cause...", avait-elle fini de marmonner en entrant d'un pas convaincu, l'identité de la petite prise à peine arrivait au vestiaire, elle en ressorti en quête de sa victime, enfin client, c'était simple, ce chien n'allait pas tarder à se faire connaitre non? Quant à Lucrécia, elle marmonnait déjà voulant éviter la fin qui pourrait très bien être la sienne si elle venait l'en empêcher. C'est avec rage, que la blonde, désormais brune comme sa soeur d'antan, arpentait la salle jusqu'à se faire siffler, il me prend pour un clébard lui? Non ma soeur pour son canidé?, d'un pas lent et d'un air timide, elle s'avança vers lui l'air de rien, mais le sang bouillonnant, le chanceux était trop visible ici pour qu'elle lui fasse la peau direct. La mission n'avait pour elle aucune importance, c'est vrai qu'elle pouvait parfois se montrer têtue...
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InvitéInvité | Sujet: Re: Le retour des soeurs.... Lun 27 Aoû - 20:48 | |
| Sayuri avait donc complètement changé physiquement et moralement aussi, elle était moins timide et pleurnicharde. L'albinos avait quelque chose de précieux qui la rendait plus forte, c'était sa famille. Sa grande sœur, la première personne qu'elle avait vu à son réveille à ses dix ans, Aya Kitsune. Puis sa mère adoptive, celle qui a veillé sur elle et l'a aimé depuis sa naissance, Lucrécia Kurotsuchi. Cette femme lui avait tout appris, marcher, écrire, lire, chanter et entre plein d'autre chose qui ont été utile pour Sayuri. La Kitsune avait accepté que le médecin devienne leur mère, mais apparemment Aya n'avait pas trop apprécié. Tant pis pour elle, l'adolescente était heureuse d'avoir enfin une mère avec qui parlait et être conseillé en cas de soucis. Evidemment, les soucis avaient déjà commencé pour Sayuri, la taille de sa poitrine donc trouver des soutiens gorges à sa taille, les règles donc trouvait ce qu'il fallait. La vie de Sayuri avait beaucoup changé depuis quelques temps et elle avait également l'aide de sa sœur de temps en temps. Tout se passait bien pour cette petite famille, Sayuri et Aya n'était plus des expériences pour tout le monde. Lucrécia avait fait comprendre ceci à tout le monde. La fille aux cheveux blancs avait une confiance aveugle envers Kurotsuchi et ça n'allait pas changer du jour au lendemain. Elle aimait énormément sa maman et sa sœur, la vie était simple et agréable. La famille allait bientôt reprendre leur activité ninja, oui, Lucrécia avait voulu que ses filles se reposent un peu avant de reprendre. Il fallait le dire, mais Lulu était moins strict envers les deux sœurs et elle était plus douce. Sayuri se leva en première donc bien avant sa grande sœur donc elle avait dormis avec et nue. Le technicien n'avait pas encore réparé la clim donc il faisait encore chaud dans la chambre. Elle se décolla de Aya en la regardant tendrement en train de dormir, elle était mignonne la Aya. Si ce n'était pas sa grande sœur, elle lui aurait demandé d'être plus qu'une amie enfin elle était sa sœur. L'albinos sortit de la chambre, toujours pas habillé et donc par chance, personne n'était encore arrivé. Sayuri avait la tête dans le brouillard et n'avait pas fait attention qu'elle ne portait aucun vêtements sur elle. Soudain un drap virent s'enroulé autour de magnifique corps de la jeune fille. Lucrécia était intervenu à temps selon elle, car Sayuri se dirigeait dans un endroit où il avait souvent du monde. Sa mère lui demanda d'aller s'habiller avant que quelqu'un arrive sinon ils vont croire qu'il se passait quelque chose entre elles. La Chuunin alla alors s'habiller, mais ce n'était pas mieux enfin si, elle avait du tissu sur elle, mais trop moulant. Sayuri raconta à sa mère qu'elle avait trouvé que ça d'intéressant sinon le reste faisait moche. C'était une combinaison blanche forte moulant avec des motifs rouges dessus. En tout cas, Sayuri aimait bien et s'amusant à faire des étirements ou bien le grand écart. L'albinos était bien souple, chose qui impressionna bien Kurotsuchi en l'admirant. Lucrécia demanda à sa petite fille d'aller à table, car elle allait se préparer un excellent petit déjeuner pour être entre famille. Sa mère lui avait donc préparer un bon chocolat chaud avec des petits pains et des croissants, Sayuri était heureuse. Tandis qu'elle avait pris que du café et se mit à discuter avec sa jeune fille devenu presque une femme. Aya était réveillé alors les deux membres de sa famille la salua poliment en faisant un geste de la main. Lucrécia alla servir un thé sa plus vieille fille afin qu'elle soit en forme pour la journée. Les deux Kitsune allaient donc partir en mission aujourd'hui, Sayuri était surexcité à l'idée d'être avec sa sœur. Lucrécia expliqua alors la mission à ses deux filles chérie, Sayuri fut surprise d'entendre la mission qu'elles avaient. Elles devaient retourner au bar et voir le même homme qui avait drogué et faillit tuer Sayuri. Cette fois-ci, ça n'allait plus se passer comme avant, Kurotsuchi allait être plus prudente envers sa fille et Aya allait être là pour la protéger. Malheureusement, Aya s'énerva contre leur mère à cause de la mission. La pauvre, ce n'était pas elle qui choisissait les missions et elle se faisait engueuler. L'adolescente baissait la tête, elle n'aimait pas se savoir en guerre comme ça surtout dès le matin. La fille les aimait toute les deux et elle n'avait aucune préférence, car les deux femmes avaient fait beaucoup pour elle jusqu'à maintenant. Soudain Aya se calma après le discours de leur mère qui avait peut-être su calmer l'aînée des Kitsune. Sayuri préféra rester calme et à déjeuner tranquillement en attendant qu'elles ont finis pour partir en mission. Pour elle, la fille se sentait maintenant très bien protéger en sentant que sa grande sœur et sa mère allaient être là pour la protéger. Puis, elle avait grandis et devenu plus forte que jamais enfin plus forte qu'avant et moins timide. Sayuri se leva et alla prendre sa longue cape rouge qu'elle enfila rapidement afin de rejoindre sa mère adoptive. Aya était en retard, ça ne lui ressemblait pas surtout qu'elle avait déposé un beau baiser sur le front de sa jeune sœur. Oui, la journée allait être dure et il ne fallait pas gâcher cette mission. Aya en était capable de toute façon enfin Sayuri et Lucrécia allait la surveiller. - Spoiler:
Aya les rejoignit alors avec sa tenue de combat, les deux femmes rigolaient en même temps. Sa grande sœur n'avait pas changé, elle croyait qu'elles partirent toujours dans un combat. Lucrécia lui dit que ça allait être une tenue tout autre qu'elles allaient portés dans le bar. D'un coup sans prévenir comme d'habitude, Aya utilisa un Henge disons très osée. Kurotsuchi râla sur la Kitsune transformer tandis que Sayuri rougissant et admirait les poses que sa grande sœur faisait pour se mettre en valeur. Dans son petit cœur, quelque chose se faisait sentir comme une chaleur agréable, mais étrange pour Sayu. Sayuri resta en arrière afin de savoir ce qu'elle lui arriva chez elle sans l'aide de ses deux membres de sa famille. Soudain, Aya reprit sa véritable forme avant d'avoir un regard sévère. C'étant encore envers leur mère qu'elle s'adressa de la sorte. Elle ne voulait pas que Sayuri aille rejoindre l'homme donc Aya allait prendre la forme de sa petite sœur quand elle avait dix ans et y aller. Lucrécia et elle devait vider une salle afin qu'Aya devait aller opérer l'homme seul à seule. Malheureusement, Sayuri n'était pas trop d'accord et allait venir avec elle dans la salle pour pas qu'elle oublie la mission. Elles entraient dans le bar et Aya prit rapidement l'apparence de sa jeune sœur sans avoir fait d'erreur puis elle se mit à la recherche du client. Pour l'instant, la mère et la jeune fille vida une seule salle comme l'avait demandé la grande Kitsune. Aya séduisit le client malgré elle en ne voulant pas se montrer trop méchante devant sa sœur même si elle aurait aimé le tuer sur le champ. Lucrécia alla dehors pour surveiller pendant que Sayuri resta dans la salle afin d'attendre sa grande sœur. Aya emmena l'homme comme si elle allait lui faire des choses sexuelles, de toute façon, il attendait que ça ce pervers. La colère de la Kitsune monta en flèche alors Sayuri resta cacher dans l'ombre en attendant. La blonde ligota l'homme en qui il croyait que c'était un jeu pervers, mais c'était là qu'il se trompait. Aya reprit sa véritable apparence et sa petite sœur sortit de sa cachette. Elle était étonné que le type n'avait pas encore de bleu enfin elle pensa trop vite. Oui, à peine d'avoir pensée ça, Aya enchaîna des coups de poing et le cria dessus. Sayuri alla rapidement stopper sa sœur, mais celle-ci avait l'air déchaîné. " Arrête Onee-chan ! Arrête !! " ..Soudain un mauvais coup fut partit dans le nez de la jeune fille. Du sang coula, Aya avait l'air d'être calmé et choqué de son geste envers Sayuri. La petite versa des larmes. " Je te déteste...tu es toujours méchante avec tout le monde ! " ...Elle se leva et prit la fuite. Lucrécia était en train de surveiller une autre porte. L'homme n'était pas choqué par ce qu'il s'était passé, mais choquer par le traitement qu'il subissait. Aya alla ouvrir la porte de Lucrécia et lui demanda d'interroger l'homme à sa place, car elle devait chercher Sayuri. Lulu ne demanda pas d'explication du comportement d'Aya surement qu'elle devait le régler d'elle-même. Sayuri avait malheureusement déjà semé sa grande sœur dans Suna, Aya avait très peur qui arrive quoi ce soit à sa cadette et s'en voulait de l'avoir tapé. Quelques heures plus tard, Lucrécia retrouva Aya frileuse et l'emmena au laboratoire afin de connaître toute l'histoire. Lucrécia avait réussis son objectif, de recevoir un don de la part de l'homme pour oublier tout ça. Mais, elle apprit de la bouche d'Aya, qu'elle avait accidentellement frappé Sayuri et qu'elle l'avait fait saigner au nez. Lucrécia lui raconta qu'elle allait la rechercher le lendemain même si elle aurait préféré continuer. Les deux femmes étaient très inquiètes à propos de Sayuri. Qu'est-il devenu de l'albinos ? Avait-elle était retrouvé et soigner ? Ou perd-elle du sang dans un coin paumé du village du sable ? |
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