Nidaime Mizukage, Sandaime Kazekage

C'était il y a pratiquement deux jours, 53 heures et 36 minutes après la fin de la réunion des Kages. Nous avions fini de parlementer tandis que le Mizukage lui pris une attention particulière à venir me chuchoter des mots tranchants quand à ce qu'il savait de moi et ce qu'il attendait que je fasse. Cet homme bien que sensible de son humeur vacillante était perspicace quand à mes attentions et avait osé prendre les devants de la scène tout en restant dans l'ombre. Nidaime Mizukage, le Jaguar du village de la Brume, Tetsuko Haizu. Le rendez-vous avait été donné, nous devions nous retrouver sur le célèbre Pont Naruto pour "discuter". Seulement le destin n'en a pas voulus ainsi, et sous le poids de nos convictions et de notre force d'esprit nous avons dû combattre pour laisser le futur de ce monde entre les mains de notre affrontement. Nous devions nous battre et laisser le jugement de Dieu décider de nos sorts.

Le sang tâchait tout : Répandant sa couleur rouge sur le sol, mouillant l'eau elle même de son caractère acide et se dissipant dans l'air tel un nuage ayant pris sa source dans le rixe. Durant deux longues heures le terrain avait été le centre d'une bataille divine. Le fer grincé, les kunai sifflaient et les explosions retentissaient. De loin on pouvait entendre le bruit de la guerre, le même bruit qu'occassionait un duel de mille hommes contre mille hommes, cependant là les shinobis n'étaient que deux. Les oiseaux avaient quitté leurs emplacements sur le pont et les arbres aux extrémités, et même l'eau tendait à s'enfuir sous les vagues qui se déchainaient sous nos pieds.

Et lorsque le métal rentra dans l'un des corps des protagonistes : Le combat fut terminé. Nous étions en contact l'un et l'autre. Le décor n'avait plus rien de ce qu'il était auparavant. Le pont en pierre laissait apparaître des feus sans fin par-ci et par là tandis que des nuages de poussières flottait sur certaines zones. Le cadavre d'un serpent géant flottait sur l'eau qui s'était calmé tandis que l'autre ne baignait seulement que sa queue, laissant sa tête sans vie se reposer sur le rebord du pont. Des arbres arrachés avaient eux aussi trouvés refuge entre le pont et l'eau même s'ils n'avaient rien à faire ici et le métal des shurikens et des kunais s'étaient déposés une pluie de fer qui s'était abattue sur la zone. Des lambeaux de chair agrémenté tout cela tandis qu'un fin film d'eau sous nos pieds tendait vers un rose foncé.

Nos regards plongés l'un dans l'autre pouvaient contemplés nos histoires respectives. Nous étions tout les deux à bout de force mais encore debouts, ma main dans son torse, la sienne sur mon épaule. Mes habits étaient en lambeau tel ma peau qui avait souffert de ses attaques respectives. Les quelques parcelles de mon corps qui n'avaient pas soufferts de blessures commençaient à laisser apparaître des contusions ou étaient baignés du sang de mon ennemi. De ma bouche je me délecta du sang noir que j'avais pour habitude de laisser couler à cause de cette foutu maladie. Toussant ce poison nocif je pouvais me rendre que si le combat avait duré quelques instants de plus j'aurais pu trouver la mort à cause de cette malédiction, mais finalement ce n'était pas moi qui mourrait aujourd'hui.

La Samehada légendaire qui m'avait causé bien des tracas durant ce combat s'était retrouvé dans le ciel durant une dizaine de seconde pour finalement s'écraser contre l'eau et venir lentement se coucher sur le lit de terre au fin fond de cette masse aqueuse. Cet éclat d'eau vint marquer la fin de notre affrontement. Je le regardais, de ses yeux verts arborant fièrement son bandeau shinobi. Je pouvais le voir, cet homme qui avait faillit m'arracher la vie en ce jour et qui s'était trouver être la personne la plus puissante que j'ai eu à affronter avec Takashi. J'en trembler encore sous la peur d'avoir pu trouver la mort face à un individu pareil, et je remercier le ciel de m'avoir épargner en ce jour. Ma main se délecta finalement de son torse laissant apparaître le trou béant et vide qui traversait complétement son corps. Ma main rouge vint finalement se poser sur sa joue avant que mes mots n'accompagnent ses derniers moments :

"Mizukage-sama.. je n'aurais jamais pensé affronter une personne aussi puissante. Avez-vous une dernière volonté ?" rétorquais-je tandis que ma vision se troublait sous la fatigue. Kiri venait de perdre sûrement un des plus puissants chef qu'elle ai pu connaître.

J'arrivais précipitamment, sous la hâte et l'urgence de l'appel de Ji-Gun. Et quel spectacle était-ce ? Une scène des plus marquantes, choquantes peut-être. Capuchonné et l'air bien sombre, un homme. La confiance qu'il affichait était sans limite, trop de confiance, il avait une belle assurance. Il semblait briller au milieu de cette brume de Kiri, il semblait s'illuminé dans cet atmosphère morose, une atmosphère maussade, que parfois nous même nous ne supportions plus. Je ne voyais pas ce que cachaient ces yeux, sombre comme la nuit, un piège qui referme bien des choses, car les yeux sont tous pour l'homme. Il avait l’expérience de la vie, l'expérience des défaites et des victoires... Il brille tellement que son ombre est noire, sombre et calme. L'étreinte qu'elle lui faisait ne révélait rien de bon, une relation de maître à soumise, de dominant à dominée. Cette ombre était une femme à la peau pâle, brillante.. Paradoxe ! Leur intrépidité m'intrigue, me fait poser des questions, me laisse perplexe quand à leur présence sur notre sol. Ça ne présageait rien de bon, rien qui ne puisse nous profiter, rien dont peut profiter le monde. Ils ne sont pas venu en vain, pas venu pour une simple visite... Leur noirceur d'esprit avait pris la vie en ce jour, invoqué la mort, celle qui est tomber sur Haizu ! Son corps sans une once de vie flottait dans une marre de sang, une marre bien rouge qui me confirmaient mes pressentiments. Un trou béant au niveau de son torce... Quel était cette cruauté, seul un esprit tordu pouvait faire cela, seul un esprit malade, fou, malsain pouvait faire une chose pareil. Ils avaient la prétention de le faire prés du Village, comme si leur puissance pouvait les protéger du courroux de Dieu. Oser assassiné Haizu ici, cette provocation n'était que de trop, une provocation réussie. Mon esprit bouillonnait, se tuait à voir cette mascarade, se tordait de douleur à la vue du cadavre dans vie de Haizu. Ca m'écoeure de voir ça. Mes yeux se tournaient vers cet homme, l'expression de visage était telle qu'elle animait en moi un désir étrange, un sentiment nouveau, une sentiment qui mon rongeait de l'intérieur, une flamme qu'il fallait que j’éteigne, mais seul lui obéir pourrait me calmer.

Mes yeux paniquaient, volant tout voir au même temps, se tordant pour voir tout ce qui se passait ici. Ji-Gun était la, devant moi, calme, serin... est-il insensible ? J'en ai bien l'impression, son dos ne reflétait aucune crainte, sa lumière était bien présente, et il brillait aussi. Sa lumière contrastait avec les ténèbres de Suzaku. Toujours aussi noir, toujours aussi perdu dans son monde, un monde ou il est le Roi, le Maître absolu. La vision de ces deux êtres lui devait être insupportable, inimaginable ! La confrontation était inévitable... Deux lumières, deux ténèbres devant moi... Qu'était-je au final ? Une lumiére naissante, ou une ombre noircissante ? Finalement je ne suis pas grand chose prés de ces personnes la. Le visage calme de l'homme me rendait fou à l'interieur de moi, il semblait trop sur de lui. La femme pâle m'intriguait, elle doit cacher un danger tout aussi grand que sa beauté. Le corps gisant de Haizu ne me touche pas plus que cela finalement. Ce qui est fait est fait, sa grandeur l'a perdue, il a trouver plus brillant que lui. Kiri doit maintenant étinceler plus que jamais, étinceler jusqu'à l'infini... Il fallait agir, et sans cela, nous serions perdu, rendu ombres invisible tel cette femme. Ji-Gun me semble bien entreprenant, s'avance vers ces deux mystères, Suzaku lui semblait bien plus intéresser par cette être qui semblait être son égal, son orgueil le guide, et ses yeux devinent aveugles... Et moi dans tout ça, qu'est ce que j'allais bien pouvoir faire ? Subir, ou agir?...





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Enlacé à Hebi, alors que le soin rapide prenait fin, elle profitait de ses mains glissées dans son manteau pour effectuer la série de mudra, qui de loin, était une de ses techniques préférées. Alors qu'elle avait sa tête posé sur l'épaule du Kazekage et ses lèvres vers le cou de ce dernier, elle soufflait son gaz, un message silencieux pour lui faire comprendre que le lieu serait bientôt ardant. C'est avec une certaine malice qu'elle ignora jusqu'au dernier moment les visiteurs qui les avaient rejoins, elle avait écouté les pas qui s'approchaient, elle en dénombrait trois différents. Ces derniers s'arrêtaient à quelque mètres, elle prit à peine la peine de tourner la tête pour regarder les individus, bien qu'elle n'eut aucun intérêt pour tous, sauf un, Ji-gun, son complice du sommet se tenait là. Tout se succéda très vite, les deux avaient le même rôle, la même fonction, protégé le Kage, sauf que là, le Mizu était mort par les soins du Kaze, alors que le blondinet soufflait ses mots comme dans le prolongement de leur jeu, la Kitsune malheureusement ne jouait plus pour une fois, elle ne laissait pas finir.

Elle souriait, il était de se détaché, bien que ce moment eu été très court, alors qu'elle se savait à once mètre au dessus de la mer sur ce pont, Oni accompagna son mouvement de retraite d'Hebi par encore une technique qu'elle affectionnait, sa danse des flammes. Le feu ayant seulement commencer a jaillir de ses lèvres, l'atmosphère s'embrasa et la Kitsune l'y aida en poursuivant son étrange danse autour d'elle. C'est ce qu'elle appelait l'effet "Kadaboum!"...

- Techniques utilisées - Ifa Katsumi Enbu> post précédent, Hogosuru Sakari(Peau isolante), celle-là est toujours active sur Oni, elle l’intensifie juste pour se protéger de la chaleur, puis Katon Odori (Danse des flammes) pour enclencher l'explosion.

Spoiler:

Recap: Action cachée : Ifa Katsumi Enbu , Oni le crache au tour précédant en profitant de son étreinte sur Hebi où elle semblait le soigner, puis elle utilise un katon pour embraser tout ça, ce qui fait tout exploser autour d'elle. Oni au pire sera un peu brûlé grâce à sa capacité spéciale, elle rend sa peau imperméable. Cela sachant, que le pont se tient à 11 mètre au dessus de la mer qui est calme et que le jutsu couvre 30 métre ^^.

1 action cachée x)

La mort ne dure qu'une seule seconde

Je sentais sa présence sur moi, celle qui avait toujours été là pour soigner mes maux et m'assister dans mes tâches. Elle, cette kunoichi que le village du sable m'avait offert à mon arrivé et qui m'a permis d'avoir la main mise sur son territoire sans effusion de sang. Elle qui avait été tout comme moi une déserteuse et se repentissait dans la bienfaisance d'un nouveau monde. Je ne cessais de me demander ce qu'elle faisait vraiment avec moi, elle ne semblait pas attacher un intérêt particulier à l'utopie que je considérais, et pourtant elle était là. L'ange qu'elle fut autrefois était maintenant déchu de la confiance que je lui donnais, et malgré au fond de moi une image persistante d'elle restait là, me rattachant à sa vision à la moindre de mes pensées. Ce n'était pas de l'amour, c'était supérieur, transcendantale. Alors qu'elle me baignait de son chakra mystique, ma main dissimulé vint en contact avec la peau de son ventre pour y extirpait quelques brins de son chakra si délicieux à l'aide ma technique du Chakra Kyuuin. Nous pouvions sentir ses 3 présences se rapprochant lentement mais sûrement de notre position et agissions en conséquence. Alors que je peinais à me relever, deux pilules vinrent trouver refuge dans le fond de ma gorge.

Je les regardais, ses 3 shinobis de la brume, courageux et bien téméraires de venir s'approcher de l'homme qui a tuer leur Kage. Surmontant la peur pour venir face au danger de leur village, pour venir accomplir leur devoir envers le pays de l'eau et le défendre de ses assaillants. Aucune once de lâcheté ne transparaissait d'eux, et c'était bien ça leur problème. Nous n'étions pas des samouraï, dans ce monde nous n'avions aucun sens de la justice à faire respecter si ce n'est les ordres que l'on nous inculque. Et aujourd'hui ils avaient décidé de faire face malgré cela à ma personne, un des quatre hommes les plus puissants de cette terre, qui venait abattre un parmi les quatre. Oni à présent à mes côtès, je me sentais avec elle plus puissant malgré mon état que si j'avais été seul et en pleine forme. Je n'avais que faire de leurs raisons ni de leurs nindo. Tout ce qui comptait à présent était nous et Kiri, et rien ne devait nous séparer de ce village que je chérissais à présent, ce village qui représentait la seconde étape vers la résurrection du monde impur. Des mots sortaient de la tête blonde que j'avais vus au sommet des Kage, il devait être Ji-Gun, l'homme dont m'a parler le Mizukage dans ses derniers mots. Cependant je n'en avais que faire, il n'était rien de plus qu'un ancien pion d'un ancien chef. Il n'était plus qu'une ombre.

Alors l'explosion retentissa violemment, plongeant la zone pendant quelques instants dans une lumière si éblouissante que le sommeil lui même s'en cachait la vue. Durant cet instant le court du temps c'était stoppé, ou plutôt fortement ralenti. Ma peau avait foncé vers un teint beaucoup plus de bronze, une peau de métal qui me protégeait des attaques de l'élément flamboyant de ma Kunoichi favorite. Et alors que l'explosion n'avait pas fini d'étendre ses flammes sur la zone de combat, je m'étais envoyé du peu d'énergie que j'avais pu extirper avant de reprendre le combat vers l'homme à l'allure cynique et au visage sans expression. Une vitesse prodigieuse qui allait semer sur son chemin la force du Kage. Et alors que mon poing s'élança vers ce Kirijin, je pouvais sentir une force m'empêchant de lui faire gouter au supplice de ma force brute. Les flammes se dispersant, je pouvais alors voir la paume de sa main, relâchant une force mystique repoussant mon poing à deux centimètres de celle-ci. Quelle était cet artifice ? Je n'en avais aucune idée. Tout ce qu'il pouvait à présent voir était la horde de reptiles qui prenaient leur origines depuis mes vêtements pour à présents l'assaillir à 210° d'une masse d'écaille et de croc.

Les choses s’enchaînaient bien trop rapidement, frénétiquement entre nous, gardien du temple qu'est notre cher village, et eux, venus en conquérants, exaltant leur force et leur puissance à nos portes, prouvant leur perdition dans le monde de l'illusion total, affichant leur sourire aussi sournois que leurs intentions. Qui était le bien, qui était le mal... Dur à distinguer dans une telle situation. Chacun se croit dans le bien, chacun est bercé par la douce envie de croire qu'il se bat pour le bien, son bien, ou celui des autres, endormi par les dires de certains, surement de leur conscience qui les rends dépendant de sa volonté d'agir, de penser ! Leurs yeux n'étaient pas plus innocent que les miens, ni plus coupable, juste envahi par le désir de ce faire entendre, le désir de marquer leur présence ici. Malheureusement, nous étions déjà présent et ces terres ne sont pas les leurs, alors à quoi bon ce battre ? C'était mon état d'esprit, pas le leur ni peut-être celui de mes équipiers. Je me posais trop de question, alors qu'ils étaient aussi serin qu'a leur arrivée. Le fait d'avoir ôter la vie au Mizukage leur donne confiance, mirage qui leur procure de la force, simple placebo qui agit sur leur conscience, et pourtant leur inconscient sait bien le danger présent auquel ils font face. Pour nous, ils sont le reflets de l'ennemi, agresseur, l'assaillant qui vient valoir ces idées nouvelles, démentes ou insensés. A leurs yeux, nous sommes perdus, perdus dans notre ignorance, simple jarre qu'on a rempli avec la propagande la plus simple et la plus perfide. Mesure la profondeur de l'eau, avant d'y plonger... Pourquoi cela me vient à l'esprit ? Je me dis qu'on est bien trop insouciant, bien trop aveuglé par nos principes qui sont peut-être pervertis par nos pensés ! Je doute de moi, de mes deux acolytes, de ces lumières qui m'entourent. Je devient ombre tout à coup. Je plonge dans le regret et les accusassions insensés.

Qu'est ce que ce peut être ? Une énorme explosion. Résultat d'une implosion de colère, implosion trop violente de leur désirs les plus profonds. Ma supercherie est révélée. Ne suis-je pas sur le pont ? Ce n'était pas le cas, mais tout est réversible ! J'étais sous le pont, sur l'eau, qui s'agite à la rencontre de l'onde de choc. Je devais intervenir, surement, mais était-ce le bon choix ? Ma lumière est bien trop faible pour pouvoir les aveuglés, la leur me semble aussi éblouissante que celle du soleil, et cela grandi mon ombre... Je me tourne, et en trouve une autre, aussi imposante que les autres. C'était parfait, juste à temps. Mon esprit combattant se réveil, endormi par la peur et l’écrasante pression qui règne ici. Qu'est ce que je pouvais apporter à cette lutte si ce n'est une once d'épice bien piquantes. Les idées s’enchaînent et ce suivent, mais seule une me semble la bonne. Mon regard change, se transforme en regard de Lion. Mon courage me perd, provoque en moi l'envie de faire quelque chose, l'envie de transformer les choses, de les faire à ma façon !! Une série de signe que j’exécute... Le terrain est juste parfait, l'humidité est là alors que les dernières détonations disparaissent. Le pont allait en prendre pour son grade, mais autant ça qu'autre chose. Mes lances d'eau étaient imposantes, puissantes dur comme le roc ! Je visais au hasard, n'y voyant rien de ce qui se passe sur le pont, mais peu importe. Quartes lances vinrent perforer le pont, créant l'explosion sans feu des blocs de pierre qui faisaient le pont. Il était bien trop solide pour se désintégré face à ma modeste technique d'eau. Je me tourne vers ma lumière... Elle n'était plus la. Qui est-ce qui brille comme cela ? Mon ombre disparaît... J'étais devenu lumière, propre source de pouvoir, auto-élévation. Je m'illumine, éclosion d'une fleur de printemps, le bruit d'un sabre sortit de son fourreau, tel était ma lumière. Non, je ne me vois pas plus grand, je ne me vois pas plus imposant, si ce n'est à ma juste valeur. Tu peux trouver des failles en moi, parce que finalement je ne suis qu'un homme. La folie et la raison, la décadence et la préservation parce que je ne suis qu'une créature de Dieu, lui est parfait, et nul autre ne l'est.

Je m’élève parmi ces grande lumière, aspirant à être aussi étincelant qu'eux un jour. J'arrive à hauteur du pont, point de rigolade, pas le temps de se prendre à la légère. Déjà je voyais les ténèbres s'affronter, se défier. Paradoxe total avec les la lumière qu'il était...serait-ce un autre niveau de grandeur ? Je reste fasciné devant ce changement de bord, changement aussi radicale que le chaud et le froid dans une paume de main. Puis deux explosion de puissance... La peaux blanche contre une toute autre semblable. C'était presque magique, j'en était éblouit, laissant les ténèbres entre eux. Je me tourne vers ceux qui m’attiraient réellement, leur prêtant toute mon attention, ma course vers eux en était la preuve. J'était pré à épaulé le blond dans son projet, prés à l'aider de à se débarrasser de la soumission du monde, que représentais cette Kunoichi à mes yeux... Qu'étais-je au final ? Simple lumière émergente peut-être, qui sait... ?

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Diversion pour le prince, ni plus, ni moins, voilà à quoi avait servi cet aperçu de l'enfer, la Kitsune ne doutait pas un instant qu'il est suffi à son mentor pour se remettre dans la danse. Le laissant partir à l’assaut de sa proie qui lui faisait face, elle préféra se concentrer sur le blond qui lui était familier, la fumée noire se dissipa bien vite, encore plus vite autour de la Kitsune qui usa de son fuuton pour que l’odeur et la poussière ne vienne ni sur elle ou jusqu’à ses narines. Le manque de présence lui donnait un sourire en coin, son complice du sommet n’était pas stupide, il n’avait pas été assez bête pour s’approcher, la constations eut l’effet de la ravir. La kunoichi se décala alors de sa place d’origine, il fallait être stupide pour ne pas bouger et attendre sagement, d’ailleurs, l’initiative fut sage, car des lances d’eau perforaient avec puissance le sol du pont pour s’élever dans les airs.

Oni en esquiva plusieurs se déplaçant sur la pointe des pieds, certain de ses voiles étaient soulevé par le souffle qu’avait créé l’attaque souterraine, légèrement porté par le vent ils s’élevaient vers les cieux alors qu’une lueur sur la gauche apparaissait soudain. Belle et éclatante, elle fut obligée d’attirer l’attention de la kunoichi qui avait évité les pics aquatiques venu de la mer, aussi, elle ne soucia pas d’eux plus que ça, voyant dans la lumière son futur adversaire, mais non… L’eau jaillissant sur sa droite portait en elle le prince des lieux qui n’eut qu’à tendre sa main pour atteindre celle qui était en pleine rotation vers sa gauche. Son élan fut coupé par la sensation de sa chair qui se faisait transpercer, la main liquide avait pris une forme de lame et pénétrer son corps sans forcé. Le court instant la laissait deviner qui l’avait finalement attrapé, avec trop de faciliter il faut dire, malgré la douleur qui se faisait sentir, elle souriait voyant sa forme apparaitre de l’eau, son réflexe la poussa à vouloir attraper son bras, mais sa main passait à travers ce biceps.

Le tout ne suffisait pas à la démoralisé, profitant d’être toujours retenue par ce dernier, plutôt que de fuir ou se dégagé, elle se rapprocha de plus près, avant qu’il ne se mette à l’enchainer. Pour sûr, il ne devait pas vraiment s’y attendre, même-ci le blond avait déjà eu un avant-goût de la mesquinerie de madame, à quelque millimètre de lui, elle murmurait tout sauf amère qu’elle saluait son talent de l’avoir touché. Une seule personne jusque-là avait réussi avant lui et puis jamais plus, des années avaient passé alors, le temps simple de souffler son mot la sépara de la bouche de ce dernier, le temps suffisant pour commencer à laisser partir à nouveau un gaz similaire au premier, mais avec des effets différents, cette fois-là, la pastille sous langue allait être avalé en suivant pour éviter l'effet sur elle -même.

« Impressionnant, vraiment… »

- Technique utilisée - Nuage de malheur

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La chose qu’elle avait corsée pour l’occasion laissait à sa jeune connaissance, elle sentit le contre coup de la blessure avec son sang parcourant son gosier remontant jusque dans sa bouche qui l’obligea à savourer ce goût sucré qui était le sien. Puisque le gaz prônait à un jeu, elle se fit un plaisir de le mettre à exécution avant qu’il soit tard, de son sourire mutin qui lui était si propre, elle lui proposait à nouveau de relancer le jeu comme la première fois qu’ils s’étaient vu.

« Que dirais-tu de jouer à nouveau, avec un terrain de jeu plus grand cette fois, disons ici pour commencer avec un jeu de questions où tu ne pourras de défiler maintenant. Puis tout Kiri, Haizu te voulait en successeur, c’est sa dernière volonté, mais pourquoi ne pas être plus grand qu’un simple Kage ? Les serpents une fois charmé sont adorable, tu sais, encore faut-il y arriver... Mes petits secrets ne sont pas gratuit tu penses bien, livres moi les tient.. » Toujours le sourire aux lèvres, elle le fixa patientant l'effet du gaz. " As-tu des choses que tu ne veux pas que je sache? Aller, dis m'en une ou deux pour commencer..."

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