Une nuit étoileusse ce préparé dans le ciel, cette nuit j’avais une mission plutôt importante, un voleur de bijoux sévissait depuis les trois dernière nuit dans Konoha. Ma mission était de remédier à ma façon comme bon me semble, enfin une mission intéressante.
D’après les renseignements que le bureau m’avait donné le voleur avait un faible pour les femmes non-accompagnées. Durant la journée je m’étais rendu chez chacune de ses trois femme afin d’enquêter un peut plus, toutes m’on dit qu’elles s’étaient fait agresser sur le chemin de l’académie ninja vers vingt trois heures.
Evidement j’ai pu observer qu’elles laissaient apparaître des bijoux d’un fort coût. J’avais obtenue beaucoup plus de renseignements que ce qu’il me fallait. Désormais il était vingt trois heures et vingt minutes, mon piège était fin prêt et j’attendais l’apparition du voleur de bijoux. Grâce à ma technique Ninpô, Tategami no Shishi (Technique de la crinière du lion), j’avais laisser assez de cheveux pour ressemblais à une vielle femme marchant péniblement dans la rue menant à l’académie, ornée de faux bijoux. Mais ce n’était pas tout loin de la, un clone de terre crée par mes soins attendait sous terre de passer à l’action.

Après encore dix minutes d’attendes, je commençais à arriver au bout de la rue, je perdis espoir de l’arrêter le soir même quand je sentis une présence non loin de moi, la tête penchée vers l’avant le dos voûté de sorte que l’on ne me reconnaisse pas. Une main me tira fortement par un de mes faux colliers qui ce brisa et laissa apparaître dans un nuage de fumée une simple ficelle, je me tourna vers le voleur en affichant un sourire sadique, il mis quelque temps à comprendre qu’il c’était fait avoir. Après ce laps de temps le voleur ce tourna lui aussi pour prendre les jambes à son cou,

- SHIN-JUU ZAN-SHU NO JUT-SU ! (Technique de la décapitation fatale)

Mon clone sorti brusquement un bras de sous terre et saisi une jambe du voleur pour l’enfoncer dans le sol ne laissant dépasser que la tête. Un sentiment de satisfaction pris le dessus sur moi laissant échapper un rire moqueur, le voleur me regardait d’un air perplexe à moitié assommé par le coup. Je sorti un bout de papier sur lequel j’écrivis voici votre homme avant de lui coller sur la tête et de lui donner un coup qui l’endormirait sûrement jusqu’au lendemain. A cette heure-ci, le bureau Kage était fermé, je décida onc de laisser également un mot aux portes du bureau en prenant soin de préciser ou était le voleur.