Sandaime Kazekage l SatsujinhanninAge : 31
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Ryos: 0 Kurogiri no Hebi |  Sujet: Chapitre 0 : Les vestiges du serpent.  Ven 25 Mai - 8:38 | |
| Au fin fond du quartier administratifs de Konoha, se trouve un endroit regorgeant de mystères en tout genre et de connaissance. On l'appelle cet endroit communément "La Bibliothèque du Savoir Konohajin".
Au fin fond de cette bibliothèque, se trouve un espace réservé aux maigre archives qui ont pu être retrouvés après la dernière grande guerre. Rare sont les livres en bons états, la moitié ayant encore des traces de brûlures, témoin d'un grand incendie. Comme si on aurait voulut que personne ne retrouvent certains fragments de notre héritage, de notre passé.
Dans une étagère élevé de cet espace, on retrouve alors un livre ayant apparemment résisté aux affres de la vie, un livre pourpre où sur la couverture est gravé la marque d'un symbole, celui d'un serpent entrelaçant un humain. Le livre n'a pas de nom, aucun auteur n'y apparait et l'écriture est si commune qui rien ne permet de tracé celui qui y a apposé sa plume.
Ce livre décrit en préface décrit la légende de 3 ninjas, l'un ayant comme compagnon un crapaud, l'un ayant comme compagnon une limace, et le dernier à l'écart des deux autres ayant comme animal un serpent à corne. C'est sur ce dernier personnage que le livre parle essentiellement, l'on décrit alors le légendaire fléau de Konoha no Kuni, et du monde tout entier. Il est alors élevé au rang de Dieu, au rang d'immortel. Si ce livre ne relatait pas des événements marquant qui se sont réellement passé et que nos aînés nous racontent, il ne serait rien de plus qu'un compte pour enfant.
Et c'est dans les dernières pages de ce récit, que l'encre noir esquisse des phrases décrivant l'emplacement du repère du Dieu Serpent dans une île Kirijin non loin de la frontière de Konoha. Un tertre que personne n'a pu souillé jusqu'à ce jour, un élément du passé qui sous sa cachette naturelle n'a pu révélé ses secrets apaisants. Il aurait pu rester ainsi cacher encore longtemps, si seulement un petit curieux n'avait pas pris soin de décodé son emplacement et le localiser sur une carte avant de partir à son exploration. Ce curieux, c'est moi.
La barque est là, glissant sur une eau trouble, sur une eau souillée. Oui la barque est là, avançant lentement mais sûrement à travers des draps de brume laissant la vue de tout homme handicapée. Oui la barque est là, faisant siffler les doux mouvements de l'eau qu'elle caresse, à travers un silence trop bruyant. La barque n'est pas neuve, non bien au contraire, les multiples cicatrices du bois montre que c'est une barque qui a fait son temps, une barque qui a de l'expérience, pourtant quoi que l'on pourra dire sur l'âge de cette baraque, elle vogue mieux que quiconque à travers le liquide bleu qui immerge plus de la moitié des terres de Kiri no Kuni. Et c'est donc après avoir poussé son cri de bois qui se tord contre la berge d'une petite île, isolé et encore sous la domination de la nature, que l'embarcation se figea la tête dans la terre, laissant un être humain assez maigre posé pied à terre.
Son pas est lent et léger, sa détente est fine et avec son échine délicatement incliné il pénètre les terre de l'île tout en ne cessant pas de basculer son regard camouflé d'un chapeau de paille à travers la sombre végétation de l'île semblant chercher un chemin qui avait été pratiqué il y a de cela 100 ans et dont le temps avait effacé les traces. Ses pieds protégés de simple sandales tendent à s'enfoncer dans la vase à chacune de ses foulées, et c'est petit à petit que le jeune homme avance plus vite, il accélère tout en gardant de plus en plus une idée du chemin à prendre. Et c'est ainsi après quelques minutes de recherche qu'il arrive devant ce qui semble le pied d'une falaise. Ses mains frêles et quelques peu sales vinrent alors touché le roc, le palpé, comme si son but était de sentir les veines de la nature, ou plutôt, les mécanismes subtiles que peuvent dissimulés des éléments de la nature comme ça. Et c'est ainsi qu'après avoir glisser son ongle dans un pli de pierre et y avoir délecté un peu de son chakra que un bruit ne venant pas de Gaïa vint satisfaire le regard envieux du Chuunin, il venait d'ouvrir le passage.
Le bas de la falaise se fissura en deux, suivant un tracé peu naturel, celui d'une porte. Les racines qui s'étaient installé avec le temps se déchiraient en deux, les cailloux qui n'avait pas réussit à s'accrocher à la paroi dévalaient le reste de la falaise par dizaine, et le rugissement de la grotte qui venait de revoir le jour fit envoler une population de volatiles qui avaient loué domiciles sur les arbres alentours. C'est ainsi que le passage était ouvert, un passage qui était censé mené à l'objectif du jeune homme, les retrouvailles avec les fragments du passé d'un fantôme. C'est alors sous le coup de vent qui s'était dégagé par l'ouverture que le couvre chef du jeune homme se souleva quelque peu laissant apercevoir un visage envieux : Le regard était dénué d'expression, mais des lèvres légèrement plissé et un poing se resserrant trahissais une anxiété certaine mêlé à une attente qui s'était fait trop longue. Et dans la tête du jeune homme, cette phrase revenait tout le temps : "Tu n'es pas prêt, tu n'es pas prêt.."
Entrant avec force et conviction, le pas nonchalant, le jeune homme avait en quelques secondes fuit la lumière pour se retrouvé engloutit par les ténèbres, retrouvant une sensation familière, une aura qui avait toujours était là depuis son enfance, une aura paternelle. Relâchant tout ses muscles lorsqu'il vu tout les feux de la pièce se rallumés après 100 ans de ténèbres, il était là, ébahit.
La lumière laissait entrevoir ainsi les entrailles de la grotte, un trésor pour tout scientifique, une source de pouvoir sûr. La pièce était taillé en carré parfait dont chaque mur mesurait à coup d’œil une dizaine de mètres chacun. Les murs étaient encore brute, mais propre. Il n'y avait aucune trace de poussière, aucune araignée n'avait tissé sa toile et aucun insecte même avec la porte du laboratoire ouvert n'avait pris le courage d'y pénétrait. C'était comme si le laboratoire était vivant, comme s'il décidait de qui rentrer ou non.
Par ci et par là étaient disposés moultes concoctions. Cependant même si la disposition des éléments étaient agencés d'une logique irréprochable, la salle n'était pas rangé comme le voudrait Tori pour son nouveau laboratoire. Il procéderait à un réagencement quand il aura fini de découvrir cette pièce.
Pendant 2 longues heures et 21 minutes il partit donc à la découverte du laboratoire, fouinant de l’œil les moindres récipients, ne perdant pas une miettes des quelques écrits qu'il trouvait, et essayant de percer les mystères des schémas qui étaient disposés sur les murs. Cependant ce n'est qu'à la vue d'une boîte plus à l'écart que les autres que la curiosité du jeune ninja ne fut à son paroxysme. Ce contenu n'avait pourtant rien en apparence d'envieux, mais ce que l'on apprend des apparences c'est qu'elles sont souvent trompeuses. Étaient ainsi disposés dans le rangement une note, 2 tubes à essais vide et 1 remplit d'un liquide rougeâtre où flottait un précipité blanc. Le secret de la pièce était là, Hebi venait de découvrir l'enzyme du Berzerker, le mystère de la légende de la Marque Maudite d'Orochimaru.
Deux jours plus tard, il parvint à comprendre les confidences de la marque maudite. Celle ci consistait en l'administration de la protéine d'un ninja aux pouvoirs mystérieux dans un corps humain à l'aide d'un produit permettant son introduction et sa possible acceptation de l'organisme humain. Grâce à ce catalyseur, une réaction biochimique se déroule alors et si l'organisme parvint à fusionné avec celle-ci, il se voit pourvut d'un potentiel supplémentaire, celui de faire appel à un chakra noir comme la nuit permettant de dépassé les limites du corps actuel. Cependant selon Hebi la formule pouvait être amélioré.
Dix jours plus tard, il avait alors réussit à synthétisé sa propre formule de la marque maudite, celle-ci étant plus puissante, plus perverse, plus occulte. A l'âge de 11 ans, le génie venait de trouver la méthode pour insuffler des attributs d'autres mammifères à l'intérieur du corps humain grâce à la marque maudite. Celle-ci s'en retrouvait alors enfin compléter, et permettait de crée des ninjas pouvant faire une différence significative lors d'une guerre. La marque maudite de Hebi venait d'être crée. Il ne manquait plus que des cobayes. Et c'est dans le plus grand secret qu'il allait en trouver.
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