Naruto no Sousaku
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 OHAYO KIRI | Chapitre II.

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MessageSujet: OHAYO KIRI | Chapitre II.   OHAYO KIRI | Chapitre II. EmptyVen 17 Aoû - 22:32

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L’accueil Kirien ~

Bien curieuse scène qui se jouait alors, les voilà les deux qui semblaient en mourir d’envie qui se mirent alors à lancer leur danse. Chacun à son tour, ils faisaient leur révérence avant de signaler à la foule qu’il était temps pour elle de disparaître, voilà qui arrangeait bien la belle, enfin presque, son air narquois s’échappait vite quand le blond lui donnait la douche froide qu’elle voyait venir, non non, celui-ci ne l’avait point oublié, il la confiait à un chaperon…

" Je promets de rien raté de Kiri le portier... Surtout maintenant grâce à vous..."


Qu’importe, d’un sourcil relevé elle regardait autour, histoire de doser la bêtise qu’elle espérait trouver sur le kirijins suivant, il faut dire, qu’ils étaient ici varié les shinobis, Diao s’attendait presque à tout, comme-ci chacun pouvait se permettre de faire ce que bon lui semblait. Jetant un regard coupable vers le Mizukage qui en était sans aucun doute la cause, elle se demandait cependant ce qu’allait lui apporté pareil acte, à quoi bon un combat ici, même amical avec un de ses shinobis, était-ce vraiment le moment. Qui plus est, ayant bien écouté et observer jusqu’à lors tous les protagonistes, elle en venait à la conclusion que le beau prince était bien gradé ici, tout autant qu’il y avait un lien avec le blond, on aurait une sorte de rivaux ne se supportant pas et ne pouvant pourtant point se séparer. Des amis seraient peut-être poussés et soudain bien des choses lui paraissaient plus clair, l’avenir s’annonçait déjà moins compliqué, mais là pour l’heure, son souci ne situait même pas au combat qui ravageait la zone, mais à celui à qui il faudrait esquiver l’attention…

Pour avoir déjà vu le brun à l’œuvre, Diao n’en était pas impressionnée, ça suivait la suite des choses, quant au blond, c’était le moment rêvé pour voir ce qu’il savait faire, première constations, une épée, enfin, un épéiste à Kiri c’était un normal après tout. S’invitant dans la ville, elle n’avait en aucun cas l’envie d’obéir au blond qui l’invitait à regarder la scène, ohh non, de loin elle préférait les laisser jouer ses gamins adorés, tandis qu’elle, préférerait vider sa bourse… Eh oui, s’approchait si près de la belle était périlleux et lui qui ne s’en était pas méfié une seule seconde le payer du prix de ce qu’elle avait « emprunté » sur lui aujourd’hui.

S’avançant, elle pouvait sentir le regard soutenu des gardes de la zone, s’esquivé n’allait pas être simple, aussi, de son plus beau sourire, elle s’approcha de l’un d’entre eux qui semblait avoir répondu à l’appel Kage. « Ohayo vous, personnellement, leur petite scène n’est pas à mon goût et si nous allions plutôt au chaud pour profiter d’un bon verre, c’est le Mizu qui nous l’offre… » D’un sourire mesquin, elle lui démontra qu’elle avait de quoi offrir cela, puis d’un clin d’œil, elle entama la marche. « Ton Kage a dit de me surveiller, il ne t’a pas dit de me conduire quelque part, s’il me permet le choix de votre la scène, c’est qu’il permet que je découvre Kiri non ? Il aurait précisé sinon, connais-tu un bon endroit alors ? » Diao toujours aussi trempe, lui lança un regard amical, qui aurait cru que la belle était en terre ennemie, "Dis-moi, votre temps est toujours aussi humide ici?" Eh oui, il fallait bien un peu papoter en route après tout, si bien qu'elle en avait oublié l’essentiel, " Ah oui, Je suis Diao-chan, je viens de Kumo, tu connais ?"

C'est à nouveau face à un étrange personnage qu'elle se trouvait, tout en armure et avec une grande épée, on aurait dit un chevalier d'un conte, mais la belle doutait qu'il soit le preux chevalier de ces derniers et ça n'en était que mieux, la farce de Kiri pouvait dès lors commencer, restait à trouver qui serait la première victime de ce nouveau jeu...


Ils sont marrants à Kiri ~






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MessageSujet: Re: OHAYO KIRI | Chapitre II.   OHAYO KIRI | Chapitre II. EmptySam 18 Aoû - 1:02

Pays de merde, temps de merde, village de merde et fallait s’y attendre mission de merde… Cet endroit n’avait vraiment rien pour lui. Humidité, température glacial, décor sombre et dépriment. L’atmosphère de ce lieu ne plaisait aucunement au colosse qui avait la mauvaise impression de n’être qu’un chien sauvage que l’on avait enchainé pour pouvoir l’apprivoiser. Gatsu n’est pas un animal que l’on peut dompter avec des mots, mais avec des actes, pour le soumettre contre sa volonté, seule la loi du plus fort prédomine. Lui qui à le sang chaud et bouillonnant au rythme des batailles, se sent aujourd’hui déboussolé, ne sachant que faire de ses mains en dehors de la guerre, mains avec les quelles il avait tant manié son immense plaque de fer qui l’épaulait chaque minute de sa vie, ou plutôt de sa survie. Son épée était tout ce qu’il possédait, il n’a vécu sa vie que pour son épée, pour pouvoir encore et toujours la manier tel un fier guerrier sur le champ de bataille. Pas de question, pas de réponse et cela lui convenait parfaitement. Combattre encore et encore dans une spirale sans début ni fin, pourquoi ? La réponse, il ne la connaissait guère, survivre peut-être ? Ou…
Non, l’épéiste ne percevait pas la moindre utilité à savoir le sens caché sous chaque chose. Tant qu’il est en vie, rien d’autre ne comptait.


Piétinant d’un pas lourd les rues humides du village de kiri, son regard se perdant dans l’horizon, le berserk semblait être à la recherche de quelque chose, de quelque chose ? Ou plutôt de quelqu’un. Et oui pour le meilleur et surtout le pire, le voila devenu nounou le temps d’une mission gracié par un type à la tronche d’ahuri. Comment l’ont-ils nommé déjà ? Le Milutoké ? Nan ce n’était pas ça. Son avait une consonance avec l’eau, le Mizu-machin-chose. Ah et merde, pourquoi avait-il des noms si compliqué chez eux. Le soleil reste le soleil non ? Peut importe le nom qu’on lui donne, donc pourquoi ce faire chier avec c’est truc d’intello. Gatsu préférait 1000 fois brandir son épée à qui mieux-mieux que faire cette corvée, pire encore, c’était une femme qu’il allait devoir veiller toute la journée, quelle poisse, avait-il la tête du mec efféminé avec qui les femmes aiment papoter ? Bordel laissait tranquille avec les gonzesses. Ces mains qui avaient pris tant de vie, ne pouvait faire rien d’autre que détruire tout ce quelles touche. Il connaissait mieux n’importe qui les champs de batailles, mais les femmes alors la c’était un terrain inconnu où chacun de ses pas peut faire exploser une mine.


Caressant la cicatrice sur son nez, laissé par son défunt père qu’il à tuer de ses propres mains. Rare souvenir de ses jours lointain faisant maintenant partie intégrante d’un passé marquer par la violence du monde. Songeur, il se remémorait les cauchemars qui l’assaillaient chaque nuit. Est-ce là la punition pour n’être pas mort le jour de sa naissance avec sa mère sous cet arbre. Tout à coup un vacarme lui réintégra ses pieds sur le sol. Une foule d’homme suivait comme des moutons une bonne femme qui ressemblait à ses yeux à une louve près à mordre dans le vif les agneaux aveugles. Soldat, marchant et autre villageois en rut suivaient la demoiselle. Qu’elle spectacle pathétique, autan d’homme mené par le bout du nez par la créature enchanteresse venu de Kumo. Voila qui donne une image bien ingrate de ce village déjà bien merdique. Cela n’est pas son problème après tout « il ne fait que passer » comme il aime ci bien le dire. Se plantant d’un pas assuré devant la foule de monde de son imposante stature. Il balbutia quelque mot, essayant au mieux d’être poli comme la suggéré la petite fille du forgeron chez qui il réside.



- Je suis chargé de vous…. Escroquez[/b] « mettant sa main droite sur son menton, il n’était peu sur du mot qu’il venait d'articuler, car le confondant avec le mot *escorter*, mais n’étant pas fort pour les mots complexe, il continua à marmonner son discourt » [b]C’est le Mifu, non le muziraté… le pov’ type avec un chapeau à la con quoi. Ah et merde !!! Toi la femme tu viens avec moi et les autres vous dégagez.


Pouvoir de courtoisie : Zéro. Mais la persuasion elle est efficace, les gens de kiri reconnaissait rapidement l’énergumène et déguerpir sans un mot. Il était connu pour son intolérance et son mauvais caractère. Beaucoup de gens ici avait déjà fait les frais de sa brutalité, même à cinq contre lui, il n’avait pas faibli. Cela faisait peur aux personnes, le fait qu’il n’est aucunement peur de se frotté seul contre tous.
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MessageSujet: Re: OHAYO KIRI | Chapitre II.   OHAYO KIRI | Chapitre II. EmptySam 18 Aoû - 21:08


L’accueil Kirien ~

L’énergumène parlait enfin, de son ton roc, il la priait sans galanterie de le suivre, il était même assez drôle en y pensant, sa façon de cafouiller et d'écorcher son mot avait été des plus amusantes, mais assez brusque qu'il s'adressait à la belle, malheureusement pour lui ai-je envie de dire. Un sourcil relevé et le sourire malicieux, elle fixa ce dernier, le garde qui la suivait alors avait déguerpi en le voyant, intéressante rencontre là encore. Pas d'humeur à le contrarier, Diao s'avança vers lui comme pour l'écouter, puis en un instant, elle dévoilait sa langue de vipère qui s'étirait alors pour le narguer. Un nuage de fumée apparaissait alors de la bombe fumigène qu'elle avait encore une fois emprunté, la belle ne se faisait pas prier, disparaissant dans la fumée, elle s'esquiva alors, déambulant dans les rues de la ville, s'amusant alors que sa "nounou" la suive.

Les passants la regardaient étonner, la miss agile n'avait aucun mal à se frayer un chemin, mais qu'en était-il de l'homme à l'armure, ça devenait vraiment un vice chez elle de voler à tout va, mais pour s'en excuser, elle se rappela s'être fait tout confisquer ici, normal qu'elle soit obligé d'aviser. Au bout d'un certain temps, elle s'était lassé de jouer au chat et à la souris, passant devant un établissement, une bonne odeur attira son attention, en quelque seconde, avant même d'y avoir pensé, la belle se retrouvait à l'intérieur d'un restaurant coqué. Le galant homme de l'entrée la regarda d'un air étonné, " Il pleut des cordes mademoiselle l'on dirait, puis-je vous débarrasser?", réalisant qu'elle était encore plus arrosé qu'à la base par l'odieuse eau de ce pays, Diao lui souriait en le laissant tant bien que mal la débarrassait de son manteau de lin qui pesait si lourd.

Tout de suite plus à l'aise, elle se laissa guider à travers les tables et le galant homme lui en présentait une près du chauffage, quelle bonne idée, seulement, réalisant qu'elle n'était ici que trop remarquable, la belle s'esquivait alors par la fenêtre. Au moins son manteau et sa soit disant présence pourrait faire office d'un petit leurre pour faire perdre du temps à celui qui devait la chercher alors.

Parcourant à nouveau ses rues humides, elle s'enfonça dans un quartier plus basics, même limite de mauvais augure, la zone parfaite pour elle se disait-elle, l'enseigne en bois qui battait au grès d'un vent se faisant fort, attirait la première son attention, une auberge ou un bar, un truc dans le genre. Ne cherchant pas à comprendre, elle s'y invitait, marchant jusqu'au comptoir, elle pouvait profiter d'un silence qui se fit soudain à son arrivée, face au barman, souriante, elle soufflait simplement quelque mots, " Un thé s'il vous plait...", l'homme la regarda étrangement avant d'éclater de rire, " Un thé...?!!! Petite-fille, tu t'es trompée d'endroit ici, tu devrais retourner aux jupes de Maman!", riant à son tour pour le lui rendre, la belle se ravisa en comprenant, " Bien, je vois, alors deux bouteilles de saké, ma nounou arrive bientôt pour me chercher, je vais filer direct dans ma chambre punie de sortie, profitons donc avant que la liberté ne s'envole...".

C'est amusé que l'homme la servait non pas sans quelque remarques sur la quantité qu'elle avait choisi, " Tu arriveras à tenir un verre au moins?", Diao après sa première gorgée le fixa dans les yeux, un regard des plus sérieux pour conclure, " Ne t'inquiètes pas, j'en connais un qui ne me laissera pas aller jusque là... ", lui offrant une belle somme de la bourse du Mizukage en pourboire, elle laissait celle-ci apparante sur le comptoir avant de jouer avec son petit verre, fixant le liquide qui tournoyait, elle souriait...


La nounou va être fâché, mais chien qui aboi ne mort pas ~






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MessageSujet: Re: OHAYO KIRI | Chapitre II.   OHAYO KIRI | Chapitre II. EmptyJeu 23 Aoû - 1:16

Les nerfs à vifs


Suffoquant bruyamment dans un nuage de fumé entourant l’épéiste de toute part, main gauche sur le visage entre son nez et sa bouche pour se protéger du gaz asphyxiant et la droite tendu devant lui pour voir ce que ses yeux ne pouvait voir pour s’extirper de ce piège sournois. Enfin à l’air libre, les yeux irrités comme ses sentiments, il reprit peu à peu son souffle saccadant entre deux toux. Le temps de reprendre ses esprits, le Genin en armure ne peu qu’apercevoir une silhouette floue disparaissant au premier coin de rue. Hors de lui il parti à la poursuite de la fugueuse, mais malheureusement arriver au carrefour, le Titan ne pu que constater qu’une longue et infranchissable foule lui barrait la route. Impossible de se frayer un chemin par la force dans cet amas de chaire vivante et humide que sont les gens de kiri. Ne pouvant que contempler impuissant et colérique la jeune fille s’exiler de plus en plus et avec une telle facilité. Complètement en rogne, faisant les cent pas devant le nombre de gens incalculable agglutiné ici, il cherchait un moyen de la rattraper rapidement, faire le tour ? Passer part les toits ? Non que des solutions trop longue à exécuté. Pui une étincelle de génie lui électrifia le cerveau. Dégainant brutalement son épée et la brandissant au dessus de lui, pour ensuite s’égosiller.


- TOUT LE MONDE A TERRE SINON JE FAIS UN MASSACRE !!!!


Ses paroles raisonnèrent dans les oreilles des pauvres passant comme une alarme incendie. Se couchant tous les mains sur la tête. On avait l’impression de voir des dominos se tombant les uns sur les autres. Profitant de cette chance pour traverser en marchant sur le dos de ses victimes, parvenu au bout de la file, il constata avec irritation qu’elle lui avait filée entre les doigts. Alors une interminables fouille des lieux fut opéré par nôtre homme qui au fur et à mesure des minutes passaient le mettait dans un état de rage effroyable. Ce n’était qu’une question de temps avant qu’il explose et pulvérise quelque chose ou quelqu’un par pur sauvagerie. Quant il s’arrêta quelque instant pour reprendre son souffle, l’air de rien porter une armure et une si lourde épée était vachement épuisant, avoir une bonne endurance ne suffisait pas, un entrainement draconien était plus que nécessaire, d’ailleurs chaque temps libre était prétexte à brandir son épée, 100 fois, 200 fois, 500 fois, 1000 fois. Le temps qu’il passe dans ce village, il le passe uniquement avec son épée. Seul chose à qui il peut faire absolument confiance, contrairement au gens de ce monde pourri.


Sa fatigue passé, il se prépara à ce lancer de nouveau à la recherche de la garce de Kumo. Mais tout à coup il pu voir à travers la vitre d’un restaurant un peu trop tape à l’œil à son gout, un serveur transportant un manteau, ce précipitant à l’intérieur pour empoigner le serveur par le col pour lui hurlait sa demande. Le pauvre entièrement confus de la scène effrayante qu’il était victime ne compris pas de suite les paroles de son agresseur, qui réitéra ses mots avec plus de hargne. La question était simple. Ou est la personne à qui appartiens ce manteau. Il avait reconnu ce tissu d’un répugnant qu’elle partait. Se dirigeant vers la direction désigné par le doigt tremblant du serveur, le vieux chiffon mouillé en main, l’irascible peu découvrir sans surprise que la table était vide, voyant la fenêtre ouverte, il pouvait imaginer qu’elle s’était enfui par la. Serrant les dents jusqu'à les faires grincés. Elle se jouait de lui et cela fut la goute d’eau qui fit déborder le vase, déchirant dans ses mains le manteau de lin de la kunoichi sous l’effet de violente émotions. Peu importe la mission maintenant, il en faisait une affaire personnelle.


- Cette salope je vais la retrouver et lui démolir son minois, je vais la tabasser, la mettre en pièce... JE VAIS LA BUTER !!!


Son courroux allé être terrible. Attrapant son épée d’une main rageuse et l’abattant contre le mur qui en quelque coup s’écroulant, la fenêtre étant trop petite pour qu’il puisse passer, il se devait de faire une plus grande, totalement en transe, si le responsable était venu se plaindre, Gatsu l’aurait démoli comme le mur. Sortant par l’ouverture fraichement créer ou détruite devrais-je dire ? Bah qui sans soucis. Une fois dehors, le colosse remarqua les traces sur le sol boueux, une petite pointure et vue la forme aucun doute des chaussons de Kumo. Suivant la piste telle un chasseur chassant sa proie. Le Mercenaire se retrouvait bientôt dans une ruelle adjacente ou bar et bordel s’accumulaient. Voici le coté obscure de kiri, difficile de ce dire qu’un village aussi merdeux que celui-ci peut cacher quelque chose encore plus merdique. Quoi qu’il en soit nôtre fanatique arriva au bout de son périple. Les traces l’avaient mené jusqu'à un vieil établissement. Ne demandant pas son reste, il pénétra dans l’enceinte pour y découvrir dos à moi, accosté au bar la personne qu’il cherchait tant. Son visage déformé par ses envi de revanche, s'avançant d’un pas pressé vers la personne qui est la cause de tout les maux de cette journée. L’empoignant fermement son épaule, Gatsu la fis basculer en arrière, Pour en suite lui assener sans un seul rai d’hésitation une droite bien senti sur son jolie visage. Mais cela ne se terminerait pas là de la, regardant de ses yeux furieux tout en faisant craquer ses doigts.


- PREPARE TOI PETASSE TU VA MANGER !!!! *Vociféra t-il*


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MessageSujet: Re: OHAYO KIRI | Chapitre II.   OHAYO KIRI | Chapitre II. EmptyVen 24 Aoû - 19:28


L’accueil Kirien ~

Aléas de la vie, non pas qu’elle ne s’y attendait pas bien au contraire, un instant même, elle avait pensé esquiver ou encore se cloner avant son arrivée, mais à quoi bon. Maintenant, ils étaient tous deux dans un endroit tranquille, quiet enfin, elle se laissa basculer en arrière, le gout du sang dans sa bouche lui laissait une agréable sensation sucrée. La brute la tenait encore, il faut dire, il n’y avait pas été de main morte, l’espace d’un instant, le blanc avait envahi ses yeux pour troubler sa vue. Il avait décroché une belle droite sur son visage qui était désormais ensanglanté, pourtant la femme souriait d’avance de ce qui allait suivre. Le fixant d’un air espiègle, elle faisait mine de s’évanouir se laissant tomber, mais seulement après avoir à nouveau manié avec brio sa langue de vipère, « Onii-san, j’ai fait comme tu as dit pourtant, vider ses chiens de Kirijins jusqu’au dernier sous, je suis fatiguée, laisse-moi me réchauffer un peu je suis trempée et regarde comme la bourse est pleine… J’ai travaillé toute la nuit et toute la soirée, je ne saurais plus les compter ! Il y a largement de quoi te faire boire non…», voilà la belle simulant quelque larmes et vous pensez bien que les gaillards ici présent n’allait pas laisser faire.

« Sale batard d’on ne sait où !! Tu nous prends pour tes vaches à lait ?!!! »

Bagarre général, c’est là bien ce qu’elle avait lancé au fur et à mesure que son corps rejoignait le sol sous le regard incompréhensif de sa victime qui bientôt se faisait attraper et entrainer au fond de la salle par les teigneux du coin voulant le frapper. Les coups se mirent à valser, le barman prit la belle pour la déposer sur un banc, tout mielleux l’idiot face à cette comédienne, qui ouvrit un œil aussitôt son « sauveur » éloigné pour prendre des glaçons au bar. Elle observait de loin la brute qui se défendait bien et qui même face à ce ramassis de son genre ne faiblissait pas bien au contraire, un spécimen bien intéressant lui frappait à l’œil maintenant. « Tu es revenue à toi… Cet homme est un… » … « Combattant doué, rien à dire, un peu bourrin certes, mais puissant… Ca peut devenir intéressant…» .. « Comment… ?!! » Bafouait le barman un peu perdu. « Ne vous en occupez pas et merci pour la glace, ça fait un bien fou… »

La belle ôtait un instant la poche de son visage pour faire face à sa nounou qui approchait à nouveau, sûrement plus furieuse que jamais, mais Diao avait bien un autre art que cela de parler, c’est celui d’observait et écouter, des oreilles fuyardes bien utiles. Lui affichant un sourire, elle posa à nouveau la bourse du Mizu sur la table en le fixant, « Eh bien, il faut croire que l’on a tous les deux atterri dans un pays merdique, à les entendre, tu n’es pas plus d’ici que moi, j’en conclu que Kiri te paye bien et quel est au juste ce tarif pour ta loyauté, car eux semble le fixer bien bas. Cependant, ton talent n’est pas à prouver… » . Elle contemplait la salle où tous les types avaient été envoyés aux bras de Morphée, ça et les dégâts du bar, d’ailleurs le barman se ramenait bientôt en demandant qui allait réparer tout cela, « Le Mizukage ça va de soi, c’est une mission officielle non ? » Riant un instant, elle regardant ce grand type en armure, « Un partout, je suis Diao et toi le colosse, tu as un nom ? Enfin, on peut rester là à boire un verre ou retourner là-bas les voir se taper dessus, c’est toi qui vois, mais après tout, on t’a juste demandé de me surveiller non… »


On est quasiment dans le même bateau, bel hasard colosse ~



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MessageSujet: Re: OHAYO KIRI | Chapitre II.   OHAYO KIRI | Chapitre II. EmptyMar 28 Aoû - 15:12

Folie et Insomnie ?


Saloperie de bonne femme manipulatrice et fanfaronne, alors qu’il venait de lui mettre son poing dans la figure, cette dernière le dévisager avec un regard provocateur, comme-ci elle en redemandait. Quelle garce pensa le colosse. Mais que fut sa stupéfaction quant elle effectua un rituel des plus pitoyables devant lui, lui jouant une véritable scène de théâtre que l’on pourrait attribuer à une scène de ménage entre un tortionnaire et sa soumise. Complètement hypnotisé par le spectacle qui ce présentait devant eux, les fiers gaillards, tels des preux-chevaliers secourant une demoiselle en détresse des griffes d’un vilain monstre. Sautèrent sur le bourreau de la kunoichi effondré sur le sol après avoir injecté son venin aux pauvres ânes désabusé par la carotte qu’elle agitait devant leurs nez. Gatsu tiré de force dans le fond de la pièce par les quelques types qui ne sentaient plus péter parce qu’ils se trouvaient à dix contre un. Malheureusement pour eux, l’épéiste avait pour habitude à se battre seul contre tous. Sur un champ de bataille on est souvent en infériorité numérique. Les pauvres bagarreurs du dimanche des bistrots allaient bien vite faire les frais de leur courage fictif. Quant à nôtre colérique et impitoyable guerrier du champ de bataille, il était en ébullition, prêt à exploser à la moindre secousse de plus. Les gens de Kiri comprendraient bientôt pourquoi on le surnommé le Berserker pendant la guerre. Arrivant à sa limite, le peu de tolérance qui lui permettait d’inhibé sa colère titanesque allait céder. Les faibles lueurs noires de ses pupilles s’effaçaient peu à peu pour laisser des yeux d’un blanc immaculé. Le massacre venait de débuter. Causant d’énorme dommage à la troupe adverse qui le défiait, certains K.O en un coup, réduisant sensiblement le nombre de pseudo héros en travers de sa route à la force du poing, mais pas sans difficulté. Nôtre battant se prenait tout de même des coups, il n’était pas c’est vantard en taijutsu qui esquivé tout les coups et riposter de façon cool. Bien au contraire, le mercenaire n’était qu’un homme et n’avait pas des yeux derrière la tête. Son combat de maintenant n’avait rien de poétique ou d’esthétique. Plutôt bourrin et brutale, comme tout bon mercenaire qui se respect, il à appris sur le tas, sur le champ de bataille, lieu où sa vie est constamment sur un fils fragile. Pourtant survivant au destin tragique que la plupart des mercenaires connaissent pendant la guerre. Lui qui est le plus proche de la mort est aussi le plus prompt à lui échapper.


Respirant comme un animal exténuer après avoir combattu comme un transe la horde de fou affluant sans cesse contre lui. Malgré l’abondance incessante des brutes, il sortit vainqueur de la bataille. Un long filet de sang dégoulinait du haut de son front vers le bas de son arcade droite, ainsi que de sa bouche. La pauvre taverne avait aussi méchamment pris, surtout les décorations et autres tables et chaise brisés en mille morceau un peu partout autour de lui, ainsi que des corps inconscient éparpillés. Frottant le sang du coin sa bouche d’un revers de main, le colosse se dirigea d’un pas boiteux, mais déterminé vers la jeune fille. Intégralement hors contrôle, le berserker ne pouvait entendre les paroles de la femme qui lui faisait face. Plus rien ne pouvait le stopper maintenant, abandonné à ses pulsions meurtrière, il n’avait qu’une idée en tête, la transpercé de son épée. Agrippant machinalement le manche de l’immense lame de la main droite qui ce situait derrière son épaule. Hurlant sa démence comme-ci cela était une arme, se préparant à dégainer et à lui occasionner un violant coup d’espadon en travers de la gorge. Forte heureusement pour elle, le barman avait réagit rapidement et éclata un tabouret de bois sur l’arrière de son crane. Ce coup mit fin à la folle course de massacre barbare du shinobi en armure, qui ce dernier s’écroula aux pieds de la kumojin. Inconscient.


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MessageSujet: Re: OHAYO KIRI | Chapitre II.   OHAYO KIRI | Chapitre II. EmptyMar 28 Aoû - 19:18


Oulala, c'est quoi ces fous ici ~

C’est avec stupéfaction qu’elle observait le colosse s’effondrait au sol, bien le moins que l’on puisse dire, c’est que cela dépassait sa prévision, le voyant s’écrouler au sol, elle soupirait, reprenant la poche de glace que lui avait offert le barman pour la placer sur son nez douloureux, elle le laissait tel quel sous ses pieds. « Nous voilà bien avancer… » son air amusé n’était peut-être pas des plus opportuns, qu’est-ce qu’elle fichait là au juste, paumé dans ce pays brumeux loin de ses nuages. Enfin, en un sens, elle se plaisait bien ici, ça lui rappelait son enfance à Âme ce temps pourri, la voilà avec un léger sourire maintenant et qui lâchait ses glaçons pour les poser sur la tête de sa « nounou » qui dormait. Le barman lui la regardait perplexe, souriante elle commenta simplement son acte d’une façon qui fit rire l’homme, « L’amour !... ». Elle-même riait de mentir aussi impunément à nouveau, le pire et cet idiot la croyait encore, trop crédule ici, elle se laissa glisser pour s’allonger sur la banquette où elle était assise, bon sang, comme elle avait mal au crâne.

Soudain elle senti à nouveau cette fraicheur agréable sur son nez, une nouvelle poche de glace que l’homme venait de lui poser, crédule mais adorable, « C’est comment Kiri au juste ?... », quel intérêt de savoir ça, elle allait finir en cellule et ce n’est pas comme-ci elle l’ignorait, enfin ça dans le meilleur des cas. « Quelle curieuse question… C’est Kiri ! », rien de bien passionnant à dire, ça promettait, elle aurait bien voulu y faire un tour avant de s’y voir enfermer, mais à la place, elle jugea plus judicieux de profiter de ce qu’elle pouvait encore. « N’a-t-il pas moyen d’avoir un thé ? », tentait-elle à nouveau en vain, lassée déjà, elle se releva, il était bien tôt pour capituler et si elle le faisait courir encore un peu à ce gros balourd. Retrouvant la sortie, elle lançait une indication à l’intention de l’endormi par le biais du Barman, « Vous pourrez lui dire que je suis retourné à la base, je vais voir ce que font le prince et le portier aux portes, faute de mieux, je ne connais pas le chemin de ma chambre de pension… » fit-elle amusé en parlant du donjon qui allait l’accueillir. Alors, qu’elle rejoignait la sortie, elle se stoppa soudainement, comme prise d’un remord à le laisser là ou bien n’avait-elle pas fini de jouer, revenant sur ses pas, elle prit une carafe qu’elle lui vidait sur la tête, « Oyé, oyé nounou, c’est pas l’heure de dormir, lèves-toi, j’ai eu le temps de disparaître vingt fois là, mais pour aller où… Il faut se rendre à l’évidence, tu es ma seule distraction ici…»

Assise près de lui, elle servit le reste de liquide dans deux verres de la table encore valide du lieu, à part attendre, que pouvait-elle faire ici, s’enfuir ? C’était bien impossible, la traque virerait court c’était si évident… Alors lui venait une idée sournoise, voyons jusqu'où l'on pouvait pousser la patience Kirienne, elle lançant un baiser au barman et des petites lucioles enflammées envahissaient le lieu. Il trouvait ça joli le bourge, à cette remarque le visage de Diao se fit moins jovial, il demandait à quoi ça servait au juste, enfin, c'était évident... " A faire tout sauter... " Puis elle afficha un sourire avant de rire, pour sûr, il ne l'avait pas prise au sérieux....



On est quasiment dans le même bateau, bel hasard colosse ~



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MessageSujet: Re: OHAYO KIRI | Chapitre II.   OHAYO KIRI | Chapitre II. EmptyDim 2 Sep - 18:27

Cauchemars récurant



Où suis-je ? Il fait complètement noir ici, quel est ce bruit ? On dirait… Oui c’est bien ça, la mélodie de deux lames se rencontrant sur les champs de bataille. Un grincement qui sonne à mes oreilles comme une douce berceuse, cela me rend ci nostalgique. Mais qui est-ce que je vois là, qui sont ces personnes ? C’est… Gambino… père. Tu est toujours en vie ? Avec qui te bat tu ? Mais c’est… Moi. Mon moi enfant. Je vois ce n’est qu’un souvenir. Je me le rappel maintenant, père m’entrainait à chaque fois qu’il avait du temps libre, il me répétait sans cesse que je devais apprendre à me battre pour pouvoir m’entretenir seul. Tu ne ma jamais considéré comme ton fils Gambino ? Tu ma appris le maniement de l’épée uniquement pour honorer la mémoire de ta femme qui ma recueilli. Je sais tout ça, pour toi je n’étais qu’un boulet que tu voulait rapidement te débarrasser. Tu ne t’ai jamais retourné une seule fois pour me tendre la main, n’y même essayé d’être amical envers moi et encore moi éprouver de l’amour paternel. Mais je me fichais de tout cela, je voulais juste une fois, que tu prononce mon nom. Cela aurait suffit à me rendre heureux. J’y est cru, même ce jour ou tu à été estropier de la jambe droite. Alors que tu devenait une charge pour le groupe, pour moi cela semblait être une chance. Egoïstement cela me rempli d’espoir, devenant dépendant de moi, je me sentais enfin utile envers toi. Pourtant tu à continuer à me haïr et à m’accuser de tout tes mots. J’y est cru en ce jour ou tu dirait enfin mon nom. Jusqu'à cette nuit fatidique. Pourquoi ? Pourquoi Gambino ? Je ne voulais pas te tuer, je ne voulais pas… Revoir l’image de ces jours lointains me sature de culpabilité. Qu’est-ce que… ? C’est quoi cette forme géante qui arrive droit sur eux ? NOONN NE T’APPROCHE PAS !!! Cette créature que l’ombre recouvrait le visage, brandit une énorme épée qui d’un seul coup tranchant la tête de père pour ensuite transpercer de sa lame le petit garçon sans une once de pitié. J’étais horrifié parce que je venais de voir, alors quel rapprocher l’une de ses pattes griffus vers sa tête, son visage s’éclaira pour dévoiler la terrible révélation. Ce monstre… Il était … Moi.


Ouvrant brutalement les yeux et relevant le torse pour se retrouver assis, alors qu’il était encore allonger sur le sol, appliquant sa main droite sur le même côté de son visage. Impossible de ce souvenir de quoi que ce soit, mais un effroyable sentiment lui parcourait encore le corps faisant trembler inconsciemment le bout de ses doigts. Après quelque instant la douleur de l’arrière de son crâne le ramena à la réalité. Se frottant frénétiquement la tête pour faire disparaitre le mal qui lui tiraillé l’esprit. Le colosse se releva non pas sans mal sous quelque gémissement douloureux. Une fois debout sur ses deux jambes, il scruta les environs et à première vue c’était toujours le même taudis que tout à l’heure, mais pourquoi avait-il perdu conscience ? Tout ce que l’épéiste arrive à se souvenir c’est sa détermination à vouloir fendre la péta…. Mais elle est où en faite ? Elle c’est encore tirait pensa t-il. Que fut sa surprise sur son visage quand Gatsu remarqua sa présence à ses cotés. Celle-ci lui souriait mesquinement, qui ne plaisait guère à nôtre homme. Attrapant brusquement le poignet de la kunoichi qu’il tenait fermement de sa main droite, il la tira sans état d’âme et avec brutalité sans un mot vers la sortie sur bar. Parler avec ce genre de personne était tout à fait inutile, il valait mieux agir fermement. Pendant le trajet vers la porte d’entré, le mercenaire remarqua de petites libellules flamboyantes virevoltées dans tout le bistrot. Un nouveau genre d’insecte, mais étrangement son instinct de survis tel une alarme raisonner en lui et le prévenait d’un danger imminent. Son petit doigt lui disait que la ninja de kumo n’était pas anodin à tout ça. Raison de plus pour presser le pas, tirant que plus vigoureusement l’emmerdeuse derrière lui.


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MessageSujet: Re: OHAYO KIRI | Chapitre II.   OHAYO KIRI | Chapitre II. EmptyMer 5 Sep - 23:34


Feux d'artifices ~
Ps: Les techs et leurs descriptions sont en info bulle, marqué par le texte en noir *Tech*

Enfin le colosse se réveillait et de mauvais poil on dirait bien, aussitôt la belle se faisait trainer dehors, apparemment sa patience avait atteint ses limites, elle se voyait retourner sur ses pas vers les portes de Kiri, au point de départ donc. Tandis qu’elle tendait sa main se laissant emporter, elle observa sa luciole de flammes lui glissait dans les doigts *Tech*Nom du Jutsu:
Tennoaogu Hotarubi
(Lucioles ardentes des cieux)
Type(s); Offensif.

Description du jutsu; De minuscules boules de feu sortent de la paume des mains de l'utilisateur en étant souffler de sa bouche, telles de petites lucioles et s'approchent le plus possible de l'adversaire en restant en suspension dans l'air autour de ce dernier ou vague dans le cheminent donné par l'utilisateur. Celles-ci brûlent légèrement au touché et réchauffe un petit peu l'adversaire, elles sont surtout très jolies a regardé, semblable à de petites étoiles de feu...

Rang du Jutsu; Rang D.
Portée du Jutsu; 20m

Autres; Diao aime les teinter elles aussi grâce à son chakra et ses gaz, elles peuvent avoir la couleur bleue, verte ou naturelle des flammes, ce genre de détails l'amusent beaucoup... uu"
, ces choses aussi belles étaient-elles en fait, n’était qu’une horrible illusion qui en se rassemblant réduisaient en cendre le zone les entourant. Bien sûr les enfants suivaient leur mère, de loin ou de près elle inondait l’espace autour de Diao, créant une douce lueur et l’attraction. Forcément, les deux ne pouvaient plus passer inaperçu dans les rues de Kiri où la kumojins était déjà bien hors normes comme ça, curieusement, cela ne lui semblait que mieux encore, le diversion ne serait que plus grande et l’effet plus intense. Au fur et à mesure qu’elle avançait, leur doux ballet lui rappelait la première vraie utilisation qu’elle en avait faite, le moins que l’on puisse dire, c’est qu’elle avait été meurtrière, après, c’était le maudis démon de sa famille qui lui avait enseigné, normal qu’elle est ce genre d’effet. Un sourire joyeux se dessina soudainement sur son visage, curieuse réaction en pareil circonstance, elle se sentait comme l’enfant de ce jour-là, celui où la femme était venue lui offrir ce qu’elle appelait la liberté. La voilà qui se mettait à rire, n’était-ce pas ce cadeau précieux qu’on était enclin à lui ôter très prochainement ? Tout ça pourquoi au juste, elle ria de plus belle, elle qui n’était kumojins que d’adoption, la voilà qui se souciait plus de ce village et ses habitants que de son propre sort. Amusée, son petit rire raisonna encore, tant pis qu’il en déplaise au kirijins, c’était nerveux et intense en un sens, la force direct ne lui servirait à rien ici et la ruse ne lui apportait pas grand-chose que restait il alors…

Eh bien ce qu’elle avait toujours fait jusque-là, suivre le murmure des voix dans sa tête, l’appel de son instinct, la voix de ses dieux dont elle était l’enfant chérie, pourquoi serait-elle trahie aujourd’hui...

Et ainsi, ils se retrouvèrent là, ici même par où elle était entrée, le jeu du chat et la souris l’avait fatiguée, il avait été utile en un point, la constations évidente d’une citée trop bien gardé pour être fourbé, la chance n’était pas de son côté, le village de la brume méritait donc sa réputation, maudis soit-il. D’ailleurs, en pensant à cela, elle ne put s’empêcher d’associer le Mizukage à sa pensée, pour cause, on le voyait au loin, lui et le prince, jouant comme deux gamins à se taper dessus et la foule amassait là pouvait elle aussi profiter du spectacle hors norme. De ce qu’elle avait compris en plus, cet homme était le second de Kiri, était pris qui croyait prendre, mais qu’importe, la raison l’ayant poussé à l’amener ici, cela arrangeait Diao qui étudiait avec soin les réactions de ses deux individus. Puis soudain, l’ennui lui reprit, cela ne lui apportait rien et son accompagnateur était sauf loquasse, elle le fixa d’ailleurs d’un air perplexe, posant sa main libre sur son nez encore souffrant. « Eh toi la brute, tu te satisfais de ce spectacle ? Non pas vrai, que dirais-tu de le voir animer… », Souriant de façon mesquine, elle avait claqué des doigts au milieu de cette folle devant les portes, il n’en fallu pas plus pour que les détonations commencent enfin. Un joli spectacle à la limite du feu d’artifices, les lucioles oranges, les vertes et les bleues se rassemblant être elles déclenchaient leur intonation et la panique qui allait avec *Tech* Nom du Jutsu;
Tennnotasuke Hotarubi
(Secours providentiel)
Type: offensive

Description du jutsu; Cette technique nécessite de connaître et d'avoir lancé Tennoaogu Hotarubi au préalable. Les "lucioles" se rassemblent alors et explosent telles des bombes à retardement, plus elles ont eu le temps de se grouper, plus les explosions seront concentré ou à l'inverse disperser. L'avantage est que l'utilisateur peut choisir ainsi le dosage de l'effet voulu, dégât de zone léger ou ciblé et un peu plus offensif.

Rang du Jutsu; Rang C.
Portée du Jutsu; De 5 mètres à 20 mètre selon concentration.
Autres; .
. Voilà bientôt la marée humaine qui fondait sa vague, propulsant la « nounou » de la belle au loin, elle lui fit un signe de la main, tout en se baissant pour disparaître dans la folle, encore une fois, la poudre d’escampette donc… Cette fois son objectif était autre que la visite de la ville, il visait plutôt à sortir pendant que le Mizu et son bras droit eux même offraient une diversion à laquelle elle venait de rajouter une couche, c’est donc sous des flash de couleurs brulantes qu’elle tentait de se faire la belle…




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MessageSujet: Re: OHAYO KIRI | Chapitre II.   OHAYO KIRI | Chapitre II. EmptySam 15 Sep - 10:18



OHAYO KIRI | Chapitre II. Jiii

Ji-Gun Hozuki
By Liess


Un corps dans un piteux état, jamais il aurait bien pu penser qu’il finirait de la sorte et dans une telle situation. On pouvait bien dire que l’autre, non que tous les deux avaient bien fait fort en ce jour. Un comportement que certainement peu arriverait à comprendre, mais qui était d’un naturel pour ces combattants. Une relation depuis le premier instant qui indiquait que la confrontation serait toujours présente entre eux. Un signe de haine, bien que beaucoup y penserai, ça en resté pourtant bien différent. Il s’agissait plutôt là d’une rivalité sans nom, une chose qu’ils ne pourraient eux-mêmes surement pas réellement expliqué. Le naturel faisait que … Et en voilà le résultat, des vêtements en lambeaux, un liquide bleu presque luminescent coulant le long de son corps, alors que le personnage marché dans la forêt entourant les portes du village, ne retournant bizarrement pas directement dans son « empire », ce dernier présentant un certain message pour lui à son entré. Une provocation ? Beaucoup aurait pu le prendre de cette manière, surtout si l’on prend en considération l’entière scène venant de se passé depuis le retour des deux Juunin accompagné. Pourtant, malgré l’épuisement qu’il venait de subir de l’affrontement face à son second, il recouvrait en cet instant un plaisir assez fort pour lui donner de l’intérêt à la continuité. Ce n’était pas encore fini, fort heureusement l’étrangère savait montrer de quoi elle était capable, se jouant des Hommes au point à en devenir presque insultant pour les piégés. Mais elle comptait bien ne pas s’arrêter en si bon chemin, sa présence, surtout à ses yeux, avait amené à la confrontation de ceux qu’on pouvait considérer comme les plus fort du village. Elle avait avant cela, à sa manière, dupé deux Juunin, l’amenant alors directement dans la gueule du loup, un profit des meilleurs, cela permettant de pouvoir voir le visage jusque-là dans l’obscurité de ce loup. Ce dernier s’appelait Kiri et elle avait l’air d’avoir bien compris qu’il ne s’agissait là pas d’une décision dépendant du village en son entière entité, mais plutôt d’une prise d’initiative de son dirigeant, ce dernier qui sous une insistance de l’ennui ne trouvait pas mieux que d’envisager une mise en main d’une des quatre plus grandes forces de ce monde. Et maintenant ici, après tout pourquoi ne pas profiter de la moindre occasion pour tout simplement s’en aller. Non pas que la surveillance qu’on lui portait l’en empêché, elle bien trop maline arrivant à se défaire de situations délicates, mais il lui fallait faire plus que de simplement s’en aller, laisser ce petit message arrogant pour son simple amusement.

Voilà donc l’origine de ce brouhaha qui se faisait entendre au loin, des personnes en paniques à la simple présence d’explosion de flamme. Il n’avait même pas besoin de vérifier pour savoir que celle qui venait d’agir de la sorte ne se trouvait plus derrière les remparts protecteurs. Elle s’en était allé, sans connaitre les environs, si ce n’est le chemin qui l’amena jusqu’ici. Il ne serait pas difficile de la retrouver, en tout cas pour les « transporteurs ou le portier ». Mais on pouvait bien lui laisser le plaisir de se satisfaire d’un tel agissement, un mérite lui allant après tout.

Assez loin des portes maintenant, la brume se faisait peu à peu plus épaisse à mesure où la femme s’avançait vers la liberté. Bientôt la visibilité s’en ferait difficile, une chose que peu étrange en cette région, qu’elle du certainement croiser en venant ici. Les apparences sont pourtant si souvent trompeur, elle l’aurait surement déjà remarqué, il ne manquait plus que savoir si agir de la sorte lui ferait plus plaisir ou la déstabiliserait. Des claquements se faisaient à présent entendre, des, non une personne applaudissait, faisant résonner le son dans le lieu brumeux, sans pour autant marquer sa présence, s’additionnant un instant aux applaudissements qui allaient assez vite disparaitre, des paroles venant de nulle part, à droite, à gauche, devant, derrière ? « C’est un beau spectacle que vous avez donné aux portes, mais par contre ca ressemblerait plus à un jeu de lumière pour fêter une venue plutôt qu’un départ » … D’un coup le voix s’estompait un peu partout dans la zone et comme s’il était apparu instantanément au côté de la jeune fleur, ce dernier en son dos, furtif comme un assassin, venait d’y déposer finement ses doigts sur la joue droite de la femme, alors que sa bouche à quelques centimètres de son oreille opposé alla cette fois continuer la discussion sans se cacher, sous une intention des plus calmes « Il serait donc mieux pour vous d’y retourner en tant qu’invité d’honneur … ». Un message qu’elle comprendrait certainement, cette dernière ayant encore de la chance de ne simplement pas avoir été la cible du village. Enfin, le blond se doutait lui qu’elle avait agis dans ce sens, après tout un jeu était d’autant plus bon lorsqu’il impliqué un risque ~





Désolé du retard, surtout pour toi Gatsu si t'attendais >>. En tout cas tu peux faire valider ta mission, je t'en donnerai une autre dans la continuité de celle-ci xD
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MessageSujet: Re: OHAYO KIRI | Chapitre II.   OHAYO KIRI | Chapitre II. EmptyDim 23 Sep - 20:33


Promenons-nous dans les bois, tant le Mizu n'y est pas ~
Ps: Les techs et leurs descriptions sont en info bulle, marqué par le texte en noir *Tech*

Reine de l’esquive ou non, elle avait mis le cap ver s la liberté, retournant sur ses pas qu’elle croyait se souvenir, ceux qui l’avait conduite ici, cependant, bien vite, elle jaugea avec quelle facilité ils pourraient la retrouver en pensant comme elle… Pour être franche, Diao n’avait de toute façon pas vraiment le choix, de plus la brume se faisait bientôt épaisse, plus encore qu’à son arrivée quel temps horrible vraiment… Toujours la main sur son nez, ce chien de Kirijins ne l’avait pas raté, sale brute, le filet chaud de sang couleur bordeaux s’écoulait encore un peu jusqu’à sa bouche où il donnait à la fois la teinte rougeâtre à ses lèvres et ce goût sucré dans sa bouche. Un petit sourire dont elle ne pouvait se défaire prouvait bien qu’elle savait à quel point elle l’avait mérité, d’ailleurs, elle ne doutait pas du fait que le colosse réapparaisse bientôt, pour cette fois ce qui serait le dernier round, car aussitôt les deux « grands » de Kiri aurait fini de jouer, la belle allait voir la liste de ses ennuis s’allongeait. Leur attraction sur le village ne faisant plus effet, c’est elle qui se verrait offrir la suite des festivités, non très peu pour la belle qui préférait de loin manquait à l’appelle avec un peu de chance, ses confrères ne seraient pas très loin, avec malchance, c’est les kirijins qui l’attendraient pour lui offrir l’hospitalité chez eux que ça lui plaise ou non… Mais les prisons Kiriennes ne la tentaient vraiment pas, pas plus que cette brume qui se faisait pesante désormais, d’ailleurs des échos l’habitaient bientôt, raté pour elle, la belle l’avait bien compris. Elle quitta la main de son visage pour glisser cette dernière dans sa sacoche histoire de « s’armer », geste inutile, elle entendait déjà le Kirijin susurrait à son oreille, il était donc déjà derrière elle…

Effectivement, elle avait fait un joli jeu de couleur, « Exact, mais je n’ai fait que participer à votre suite théatral, Kiri s’est ravie de votre petit jeu de scène ? …» Elle fixa le liquide bleuâtre s’écoulant du « portier », un sourire en coin, comme-ci c’était le moment de faire la maline, elle ajoutait… « Et en plus ça se fini en perte et fracas, n’aurait-il pas été plus judicieux pour vous de rentrer… ? », le silence régna de sa part après cela, quelle étrange couleur, qu’était-ce donc au juste, son sang ? Impossible… Restant intriguer pour le coup, qu’allait être la suite pour eux désormais, enfin pour elle, si certes elle avait compris dans ses jolis moi qui la ramenait à Kiri, elle comprenait aussi que son séjour en prison était imminent, mais autant son arrogance que ses tours de passe-passe allaient être puni, sans aucun doute… Pour autant qu’elle allait virer de cap dans son attitude ? Non, jamais… « Invité d’honneur, le portier et aussi majordome, comme il est charmant… », disait-elle d’un ton moqueur, « Je prendrais alors votre meilleur suite, j’ai besoin d’un bon bain chaud et pour finir le plus important une excellente tasse de thé, si vous savez faire ça je vous suis, sans quoi je rentre chez moi, l’accueil Kirijins m’a laissé à douter… » Sur cette affirmation, elle pointa le bout de son nez, sa rotation avait été complète, elle pouvait lui faire face désormais, une certitude, il était impossible de lui faire face de front, même après un combat aussi lourd. Un air soudainement un peu plus sérieux, elle demandait la suite qui restait un mystère, pourquoi le mizu c’était-il déplacé lui-même, l’avait-elle contrarié à ce point ? « Et maintenant. .. ?»

Cependant, il était seul et fatigué, avait-elle une chance aussi petite soit-elle de lui fosser compagnie, après tout il était venu jouer non? La fleur sur son crâne changeait sa couleur d'une couleur rouge vif, elle lâcha une nuée de pétale sur la zone, elle aussi savait jouer à cache-cache avec le décor, sachant très bien que cela ne suffirait pas, elle tenta de s'extraire de la zone, au pire, elle offrirait un doux parfum au Mizu de Kiri, il n'était pas près de s'en détacher... Toujours ça de pris ma foi... Un sourire s’esquissait sur son visage au fur et mesure qu'elle disparaissait dans sa pluie, bien à elle....

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