Suna, porte du village. ... Le jour venait à peine de se lever, Oni avait convié du monde devant les portes de Suna, elle se préparait pour partir, mais avant bien sûr, en mère poule, il lui fallait donner un dernier câlin à son fils qui dormirait encore à cette heure-ci. Entrant à pas de chat dans la pièce, elle s'aperçu bien vite que le lit de Seizo était vide, allumant alors la lumière, la Kitsune guetta tout autour de la pièce, pas une trace de la présence du garnement, car oui, son enfant était tout sauf un ange, de loin, on pouvait le tenir en roi des bêtises. Sa journée commençait à peine est déjà le "la" en était donné comme toujours, Oni appelait son fils qui évidemment ne répondait pas, elle avait son idée d'où le trouver. Comme c'était toujours le cas depuis plusieurs jours, Seizo qui se prenait déjà pour le plus grand des shinobi de la terre était parti en quête de bêtises à faire, il eut fallu qu'elle est un fils égocentrique et téméraire, comme-ci ce n'était déjà pas assez compliquer de l'élever seule, le sort s’acharnait parfois s disait-elle. Quittant la chambre pour descendre les escaliers de la demeure familiale où ils vivaient avec le doyen Kitsune, Oni se dirigea vers son labo de préparation, devant la porte qu'elle ouvrait sec, elle eut un grondement qui parcouru la maison voyant la scène que lui exposa son fils. Un carnage, ni plus, ni moins, monsieur pour on ne sait quelle obscure raison, avait mit à sac le labo de sa mère, mélangeant nombre de préparations entre elles, en les testant sur les rongeurs de cette dernière. Pire encore, une fumée et une odeur se dégageait de la pièce, Oni soupira, retenant sa respiration, elle ouvrait les fenêtres avant de récupérer Seizo dans ses bras pour le faire sortir. Le petit teigneux avait usé, qui saura comment, des plantes hallucinogènes de sa mère, en les embrasant, il avait fait apparaître ce nuage qui maintenant le portait loin, très loin, peu de chance qu'il est les idées claires. Oni aurait voulu hurler, mais à quoi cela aura servi, vu son état actuel, le petit monstre n'en aurait rien à faire, comment à quatre ans à peine, on pouvait avoir des idées aussi tordus. Elle le regardait l'air mauvais en le montant jusqu'à la salle d'eau pour le passer sous une douche, la roi de la bêtise d'ailleurs ne se priva pas de l’achever alors qu'elle le séchait par la suite. ஐ Seizo ஐ " Bon, Oma, tu vas devoir m'annemer avec toi, a pu le choix...." Sortait-il un sourcil levé et l'air mesquin. Sa mère pourrait le tuer parfois, il faut dire qu'il avait le don de la faire tourner en bourrique, de plus, ce sale garnement était plutôt dégourdi, surtout pour apprendre ce qu'il fallait pas, il avait du hérité du côté infernal et espiègle de sa mère, qui regrettait souvent qu'il n'est que le physique de son père... ஐ Oni ஐ " On dit "m’emmener" pas "m'annemer", petit monstre, tu as calculé ton coup, Oma t'as dit hier que tu peux pas venir, je pars travailler, ça et un milliard de fois de pas entrée dans mon labo... Puis comment tu l'as ouvert encore..." Disait-elle exaspérer en le rhabillant. ஐ Seizo ஐ " C'est secret... C'est quoi un milliard?..." Lançait-il pour détourner la conversation le bourge. ஐ Oni ஐ " C'est beaucoup trop jeune homme, une fois encore tu as gagné, je t'emmène avec moi pour surveiller ton état, mais ne crois pas t'en tirer à bon compte, ta punition va être terrible!". Le tout, en espérant faire autorité... A ça son fils triomphant, on pouvait lire sa satisfaction sur son visage, répondait à sa mère par un signe de sa main qu'il agitait l'air de dire cause toujours. C'est ainsi, qu'Oni se retrouva avec Seizo pour accueillir son nouveau élève et lui faire passer son test d'aptitude, mais comme elle n'avait jamais été fair-play et très bonne joueuse, la Kitsune se disait qu'elle ne serait pas seule dans la galère. Si bien, qu'ayant rendez-vous à six heure du matin avec ses disciple et déjà en retard de vingt bonnes minutes grâce à Seizo, elle faisait en plus un détour jusqu'à chez Shin. Elle sonna plusieurs fois sans obtenir de réponse, alors qu'elle commençait à râler, le petit diable se mettait à marchander... ஐ Seizo ஐ "Oma, Si je z'ouvre la porte et réveille parrain, ze suis toujours puni?" Pas d'humeur sa mère le fixa l'air contrarié, mais elle ne se surprit même plus de voir le gamin sortir des clefs et les lui tendre, elle n'osa même pas demander d'où elles sortaient, voler c'est mal, ne l'avait-elle pas dit un milliard de fois aussi. Il faut croire que Seizo n'écoutait rien venant d'elle, ni de qui que soit d'ailleurs, il n'y avait pas plus têtu, elle n'osait plus penser à ce que ça deviendrait dans le futur avec pareil caractère. Pas décider à faire dans la dentelle, à peine la porte ouverte, le garnement fonçait direct dans la chambre de Shin, Oni secoua légèrement la tête, elle était fatigué à peine la journée commençait. Seizo rassura sa mère sur la présence de son parrain, puis lui lança un "on te rejoint", Oni ne s'assura même pas de l'accord du Datenshi avant d'user de la poudre d'escampette, pour ce matin, elle le laissait se débrouiller avec ce démon hyper-actif. Ainsi, elle arrivait avec un beau retard devant ses élèves pour qui elle avait prévue de belles surprises, leur faisant un signe de la main et un beau sourire, elle ne pouvait s'empêcher de sourire en pensant au réveil du pauvre Shin. Oni connaissait bien son fils, il y avait de forte chance qu'il ne l'ai pas réveillé pour pouvoir faire ces bêtises pendant son sommeil. Ou pire, il le gratifierait de son horrible manie de sauter sur le lit ou improviserait un petit-déjeuner, pire encore, elle n'osait pas penser à quelles mesquineries il serait capable si son parrain dormait accompagner. Éclatant de rire spontanément sans que cela s'explique d'un point de vue extérieur, la Kitsune reconnaissait qu'il y avait du bon d'avoir un enfant aussi turbulent, il prenait la relève de sa mère avec les Datenshi, d'ailleurs, elle fixa son élève de ce nom avec une idée sournoise, il serait le prochain a tenté de faire autorité au petit Shiba, elle lui souhaitait bien du courage... ஐ Oni ஐ "Bien, en attendant Shin et Seizo, je dois préparer l'entraînement, elle me plait bien cette falaise... "

Suna, porte du village. ... Suna s'éveillait doucement, la lune disparaissait doucement pour laisser la place, qu'elle occupait dans le ciel, au flamboyant et brûlant soleil qui depuis des années, brûle le sable du désert et du village. La fraîcheur de la nuit disparaissait petit à petit pour rendre à Suna le climat caniculaire qu'on lui connaît et qui fait sa réputation. Alors que l'ensemble du village et des villageois s'éveillaient doucement, Gaashu lui ne pensait qu'à rejoindre le pays des rêves, après une mission avec sa senseï et plusieurs heures d'entraînement intensif, le jeune homme avait enfin le temps de se reposer, c'était bien entendu sans compter sur sa petite soeur, Akiko. Aussi gentille et douce qu'elle puisse l'être, elle n'avait pas trouvé mieux que de venir déranger son frère à l'instant ou il s'endormait. Elle ne voulait pas le déranger, mais elle avait besoin de lui rappeler qu'il avait un rendez-vous avec sa senseï, une chose très habituelle pour laquelle elle ne l'aurait pas dérangé, sauf que cette fois il avait fait l'immense erreur de lui promettre de la laisser l'accompagner. Elle l'avait bassiné pendant plusieurs semaines pour aller avec lui et rencontrer la fameuse Oni senseï, alors ce rendez-vous pour la présentation du nouveau membre de l'équipe était une occasion, une occasion qu'un grand frère ne pouvait pas laissé passer pour se débarrasser des demandes de sa soeur tout en ne lui faisant courrir aucun risque. Le jeune Datenshi n'avait pas le moins du monde envie de se lever, surtout après une nuit aussi difficile que celle qu'il venait de passer. Cependant une promesse est une promesse et il ne revenait jamais sur une parole donnée, même quand cela lui serait bien plus agréable. Il choisit donc d'abandonner l'idée de pouvoir dormir et d'emmener sa soeur avec lui. Se préparant doucement il mit plusieurs dizaines de minutes à quitter la demeure familiale pour se rendre à l'entrée de la ville. Le soleil n'était pas haut dans le ciel mais il offrait déjà à Suna et a tout les suniens l'infernal chaleur des jours d'été, c'est sous cette chaleur caniculaire que les deux enfants du clan Datenshi se rendaient à leur rendez-vous, la chaleur n'était une véritable gène pour deux fils de Suna, cependant ce n'était pas le cas des marchands qui venaient pour la première fois ou des jeunes Genins qui avaient quitté Kiri pour une mission d'escorte. Sur le trajet, les deux enfants durent s'arrêter à de nombreuses reprises pour porter assistance à des personnes souffrant de la chaleur, transformant leur simple promenade en une véritable mission d'aide à la population, attirant ainsi la sympathie de ceux qu'ils aidaient, mais aussi des regards étranges venant de ceux qui remarquaient l'épaisse fourrure de Gaashu, aucun ne comprenait comment un enfant pouvait avoir un vêtement avec de la fourrure avec un temps telle qeu celui-ci. S'arrêtant pour aider les gens et aussi pour que la petite Akiko puisse choisir un cadeau que son frère allaient être obligé d'acheter pour Oni, les deux enfants prirent un retard tellement important qu'il serait presque impossible que les jeunes enfants arrivent à l'heure. Mais c'est à la grande surprise de Gaashu qu'ils arrivèrent après tout le monde, tout le monde était déjà là, Shin était aussi présent, ce qui n’était pas aussi fréquent depuis sa promotion, et Oni semblaient l'attendre et n'avait pas l'air d'être de bonne humeur, sur le coup le jeune garçon voulut remercier sa sœur, son cadeau allait peut-être lui sauver la vie. Seizo aussi était présent, ce qui signifié que l’entraînement n'allait pas être très sérieux, aucune chance que sa mère puisse garder son autorité si son fils est avec elle et cela promettait un bon moment comique. Tout le monde était présent, même le future coéquipier de Gaashu, un garçon a peine plus vieux que lui, avec un corps fragile et un teint pâle faisant pensé qu'il ne supportait pas la chaleur, ce qui fit sourie le jeune Datenshi et sa sœur. Comprenant qu'il n'allait pas esquiver le savon d'Oni sur son retard, Gaashu remit la boite du cadeau à sa sœur pour qu'elle cour l'offrir à Oni, il espérait éviter ainsi la fureur de sa senseï car bien qu'elle donne parfois l'impression d'être douce avec ses élève, elle est capable de faire preuve d'une immense colère. Obéissant à son grand-frère, Akiko prit la boite et courut vers Oni, elles ne s'étaient pas vue depuis longtemps et visiblement la petite voulait exprimer ses sentiments et rappelait à Oni qu'elle l'adore.

Suna, porte du village. ... Déjà la journée avait commencé fort, Seizo n'échappait pas à sa traditionnel matinée de terreur et cela duré depuis qu'il marchait, comme il était loin le doux temps où le morveux s'endormait tendrement dans les bras de sa mère rassuré. Un vrai tyran, même un Kazekage ne pouvait pas lui faire face la preuve, Shin allait capitulé bien vite en ce matin, Oni était certaine qu'il ne mettrait pas longtemps à la rejoindre, le démon en livraison expresse pour la Kitsune. Mais en attendant, malgré son air gracieux, elle n'avait aucun succès face à son nouveau disciple qui l'ignora tout simplement, ce dernier bien calé à l'ombre semblait grignoter des cochonneries. La jeune femme n'avait vraiment aucun talent avec les enfants, pas une once d'autorité avec eux, obstiné tout de même il le fallait bien, elle tenta une approche avec son nouveau élève, Sasu, il se nommait non? ஐ Oni ஐ "Sasu Oreki? Ohayo, je suis ta nouvelle senseï, Oni Kitsune, enchanté" Fit-elle la plus gracieuse possible. Visiblement pas grand résultat, qu'importe, elle n'était pas vraiment rester longtemps dans ce silence pesant qui s'installa à entre les deux, observant la marionnette de ce dernier, Oni eu un frisson dans le dos, elle lui rappela Eito Fumiki. Comme un appel de sa mémoire, la vieille blessure dans son dons se réveilla la lançant un poil, bien sûr tout cela était plus une douleur dans sa tête qu'une réelle qui n'existait plus depuis longtemps. Pourtant le pantin de bois figea son attention durant un lace de temps où elle fut couper du monde, qu'était devenu son ancien coéquipier depuis qu'il avait déserté, Oni n'en avait jamais retrouvé aucune trace. Perplexe, c'est le son de la voix de son fils qui la sortait de sa bulle, elle regarda confuse et un peu gêné, voilà une première approche complètement raté, comme beaucoup de chose dans cette vie qu'elle poursuivait. Le garnement qui tirait sur sa robe la ramena a des sentiments meilleurs, elle le gratifia de son sourire maternel, mais son visage tendre qui s'affichait pour son enfant perdait vite son expression. ஐ Seizo ஐ " Oma! j'ai vu son parrain tout nu avec une madame. " Lui fit-il spontanément avant que le Datenshi n'ouvre davantage la bouche qu'il ne l'avait fait et qu'elle n'avait pas écouté... ஐ Oni ஐ "Quoi!!?" Répondait Oni outré " Shin BAKA!!!! Ne montre pas tes perversités à mon fils, tu es stupide ou quoi? Puis, tu ne devais pas travailler sur les dossiers que je t'avais donné hier soir? T'as été trop débordé? Y a intérêt pour toi que cela soit fait! " Zappant complètement le fait que c'était Seizo qui fallait gronder. Comme toujours le petit Shiba restait triomphant, c'était presque trop facile quand parrain était là, il jouait des deux avec délices pour passer à l'as, oui Shin était une victime parfaite, car sa mère Oni avait toujours était un tyran avec lui, facile de lui rendre ses réflexes. Le morveux partait voir le nouveau disciple, pendant que sa mère faisait une scène au pauvre Datenshi qui justifia et compta même les bêtises de Seizo dans la rue, toutes bien sûr se retournaient contre lui. Quand il parlait de la fille avec la jupe, il se faisait accuser de se couvrir derrière le petit ce qui agaça encore plus la Kitsune, le petit monstre avait bien compris comment sa mère voyait son parrain adoré, face lui, non il ne pouvait pas lutter, surtout qu'elle était persuadé qu'il était un obsédé irresponsable. Le fils mesquin, ne se priva pas de temps à autre dans le dos de sa mère de narguer le Datenshin d'un sourire narquois et autres mimiques. Un vrai démon qui eu tôt fait de rapporter son attention sur ce nouvel individu, ou plutôt, le morceau de bois qui l'accompagnait, presque avec fascination, il fixa la chose en étant calme, pour une fois. Bien qu'une autre petite voix le distrayait de sa nouvelle convoitise, une petite fille ravissante approcha de sa mère qui semblait à deux doigts de la crise de nerfs, effectivement, Oni était à la limite de céder à une belle colère, on se demandait qui pouvait lui mettre pareil pression avec sa sagesse légendaire. Mais le garnement ne savait pas s'arrêter, face à la potentielle rivale qui approchait sa possession de mère, bah oui, Oni devrait être contente, il avait acquis le trait possessif de son père, il montait à l'assaut de cette petite fille la fixant un air mauvais. Seizo lui même gamin ne supportait pas les autres, encore moins trop proche de sa mère, ce fou, s'en hésitation lui balança un des kunai qu'il avait fauché à Shin bien sûr. Heureusement, il ne savait pas viser, le projectile avait dévié sur la droite, pour peu direct dans la tête du Kage, mais à la place, il passait dans le vide, le Datenshi esquivant comme toujours son assistante. Ayant aperçu le kunai passer, Oni se retourna vers la source du projectile, Seizo, pas fou, désigna du doigt direct le pauvre Sasu qui n'avait rien fait. Sa mère prit un air exaspéré en ramassant le kunai aux rubans rouges, avant de lancer un regard noir au Datenshi et de ranger l'arme dans une de ses manches, il l'avait assez vu. Ignorant totalement Shin qui avait passé une belle nuit, très courte au vu de ses petits yeux qui avaient perdu leur lunette, elle fixa son fils muette, yeux légèrement plissé, ça allait chauffé pour lui. Alors que sa mère avançait il entama une rotation pour la garder à bonne distance jusqu'à rejoindre son parrain auquel il se scotcha à la jambe... ஐ Seizo ஐ " Oma est fâchée..." Faisait-il d'une petite voix de victime, avant de sauver sa peau sans jamais perdre le nord " Mais parrain m'a dit qui faut montrer les trucs de shinobis aux filles!! Hein parrain, tu le dis toujours d'abord... J'ai fait comme parrain..." Le tout caché derrière la jambe du Datenshi. La Kitsune regarda les deux avec des envies de meurtres, puis une petite main tirait sur sa robe à nouveau, mais cette fois c'était une petite fille toute douce qui se tenait là un paquet en main. L'air innocent et chou de la demoiselle faisait fondre la colère Onienne, elle lui rendait son sourire gracieux, puis chercha autour son disciple Gaashu, depuis quand était-il là, vraiment, à tous, il allait la rendre folle. La jeune femme s'accroupissait pour prendre réception de son cadeau et tendre les bras à la petite soeur de son élève. Alors qu'elle l'enlaçait en la remerciant, elle fixa Shin dépitée, pour lui donner sa constatation qui lui valu le regard assassin de Seizo qui mettait aussitôt un coup de pied au Datenshi, comme-ci c'était sa faute, bah oui, souffre douleur du fils aussi, avant de partir rejoindre l'autre Datenshi des lieux, bah oui son grand frére Gaashu... ஐ Oni ஐ "Je veux une fille... Une petite fille douce et sage qui me fera des câlins et ne prendra pas pour exemple un crétin..." Le tout en fixant les deux mâles en face d'elle et avec un ton des plus sérieux. Puis tournant sa tête vers Gaashu. " Ohayo Disciple, tu es en retard... mais je te pardonne..." Elle esquissa un sourire. Sur ce, elle avait assez perdu de temps, regardant ses disciples, elle exposa la journée qu'elle avait prévu pour eux, mais pas que, elle fixa Shin l'air de lui dire de ne pas espérer se dérober et le Shiba qu'il soit sûr de ne pas échapper à son punition, non ses maintenant punitions. Pour ses disciples, l'exercice était simple et compliqué à la fois, elle leur demandait d'escalader la falaise, à leur rythme, le seul critère arrivait en haut sans utilisé de jutsu ou art shinobi. Bien sûr, sans objectif et récompense, il n'y avait rien d'amusant, ainsi s'il arrivait en haut selon les critères, elle l'avait une bonne surprise pour eux, si ils échouaient, elle leur réservait le droit merveilleux de servir de nounou à Seizo pour la semaine. Il suffisait de voir Shin ou elle pour comprendre la plaie que c'était, de plus le premier en haut serait récompensé, alors que le second aurait le droit de nettoyer le labo saccagé de leur senseï le matin même par son fils... Pendant le temps de l'épreuve à laquelle elle leur laissait quelque minutes pour réfléchir, elle allait s'occuper des "cas" de sa vie, déjà direct elle annonçait, sortant une pile de dossier de sa sacoche. ஐ Oni ஐ "Toi tu vas lire ça. Et toi, tu n'as pas intérêt de faire encore un seul écart, d'ailleurs, tu vois le poste avec les gardes juste là, c'est ta punition, va balayer toute la poussière devant leur porte! Sadique, pour Seizo qui ne pourrait pas accomplir sa tâche, autant que pour Shin qui n'avait rien demandé dans cette histoire, tendant la main à la petite fille, elle se rapprocha à nouveau de ses disciples pour enfin s’intéresser à eux. S'il avait des questions c'était maintenant, l'épreuve pouvait commencer, des fois, elle se demandait si elle était pas maudite...

Seigneur, sauvez-moi ! ... Quel boucan assourdissant, ils étaient en pleine rue en plus, ils pourraient au moins évité d'attirer l'attention. Sasu ne se souvenait pas d'avoir voulu intégrer un orchestre, alors s'ils pouvaient jouer leurs symphonie un peu plus loin ce ne serait pas du luxe. Non mais franchement c'est quoi cette équipe ? Entre la schizophrène et le bébé stroumpf hyper actif, il n'y avait aucune comparaison. Pas un pour rattraper l'autre. Bon faisons le tour des énergumènes présents en ce lieu. Alors d'abord les enfants, Une petite fille bien trop aimable pour être vrai ou faut arrêter son régime carotte, elle va finir par devenir orange, ensuite l'enfant bizarre dont le père devait être un haricot sauteur mexicains, autan dire qu'il n'est pas née dans les choux. Après le mec en retard qui semblait être son coéquipier, on dirait un faux-cul, genre de personne qui est tous sourire devant vous, mais qui vous poignarde par derrière, pire encore il laisse sa s'excuser de son retard à sa place, tous ça pour pas se faire lyncher. Pathétique. Ah oui il y'a aussi l'homme qui à ramené le petit monstre, ce mec ressemblait être un soumis, se laisser dresser comme ça, il devait être masochiste certainement. Et pour finir le meilleur pour la fin, ou le pire, question de point de vue. Une forcenée qui un grave trouble de la personnalité, véritable sadique, elle paraît jouir de sa domination sur l'homme devant lui. Il n'y avait pas à dire. Le marionnettiste était dans la merde. En écoutant le carnage qui lui poignardait les tympans, il voulait hurler " Au secours, Sauvez-moi !!!" . Savant qu'il devrait passer par de grande difficulté, mais la c'était au delà de se qu'il imaginait, l'enfer venait de prendre une forme épouvantable. Dire qu'il serait normalement entrain de roupiller entre ses sacs de bonbon périmés, c'est vraiment pas juste. Dévisageant l'infâme spectacle et leurs comédiens à deux sous, il pensait que malgré ses défaut physique et sociable, il était bien plus normal que les agités à qui il devrait s'associer. Que de stress inutile accumulé en quelque seconde, le marionnettiste devait reprendre son souffle, cette situation était fort désagréable pour lui que tout son corps le tiraillé. Effectivement, il devait rester calme pour pouvoir garder un état physique stable. Une émotion forte et "BOUM !!" ses battements de corps s'accéléré, sa respiration était saccadé, son corps devenait fiévreux. Un vrai pantin en porcelaine, voila ce qu'il était, alors pourquoi avait-il choisi une voix aussi périlleuse pour lui ? Même-lui n'a pas la réponse à cette question, ou peut être que si, mais il ne veux pas l'admettre. Au fond de lui, tapis dans les ténèbres de son cœur, une haine incommensurable le dévore, ainsi que l'envi. Ils les haies car ils les envi, contrairement à eux, il ne sera jamais capable de partager de telle moment. Toujours en retrait, allant jusqu'a fusionné avec le décor, alors que sa marionnette elle est remarquer immédiatement, elle est ce qu'il rêve de devenir, encore et toujours. Forte heureusement Sasu était capable de s'affranchir du monde réel, ceux grâce à son esprit particulier. En se concentrant il fit abstraction de ce qui l'entour, bruit, odeur, couleur, tout s'effacer pour ne laisser dans sa tête que du vide. Imperturbable et reposant, en quelque instant son anatomie se calma. Une fois serein il rouvrit les yeux sur sa sensei qui lui annonçait leurs testes d'entré. Une épreuve s'escalade. La juunin en plus d'être folle était inconsciente ? N'avait t'elle pas reçu le mémo du médecin sur son état physique, ou alors c'était une véritable sadique. Faire souffrir son élève, elle voulait le voir à l'article de la mort ? Pire encore aucune utilisation de art du ninja n'était toléré dans se teste. Sans sa marionnette comment allait-il faire ? Ne possédant pas la moindre force physique, il ne fallait pas espérer voir ses bras le soulever contre cette parois rocheuse abrupte. Se callant le don contre la falaise opposé, il ne pouvait détacher son regard de cette muraille imposante qui n'en finissait pas de monté vers les nuages. Il soupira légèrement. - Quel perte de temps " Grommela t-il tous bas l'air désespéré"

Suna, porte du village. ... La journée était loin d'être parfaite, elle avait commencée par un réveil brutal après seulement quelques minutes de sommeil et une réunion d'équipe visant à présenter le nouveau membre de la ''Team Oni'', rien de bien intéressant, voir même tout ce qu'il est possible de faire pour rendre une journée minable. En plus d'avoir mal commencée, cette journée devenait tout ce qu'il y'a d'abominable quand le jeune Datenshi arriva à la réunion, le spectacle auquel il assistait ressemblé plus à un spectacle comique qu'à une véritable réunion de ninja. Chacun des protagoniste mettait son petit grain de sable pour retirer à cette scène le peu de sérieux qu'elle se devait d'avoir, Oni martyrisait le nouveau Kage et le transformait en une espèce de petite serpillière humaine, ce dernier ne faisait rien pour résister à la Kitsune même si il semblait avoir une véritable force de caractère qu'il s'amusait à dissimuler, c'était tout du moins le point de vue du jeune Datenshi ou ce qu'il espérait, il ne voulait pas reconnaître qu'il soit possible qu'un homme de son clan, puisse être aussi faible si ce n'est de façon volontaire. Le petit démon, le fils de la senseï, n'arrangeait pas le portrait, malgré son jeune âge il faisait encore plus de bêtise qu'il était possible de l'imaginer, jouant avec les nerfs de sa mère de manière extrêmement habille et faisant accusé celui qui lui sert de parrain et de bouclier humain. Tout cela était fort pitoyable, cependant tout ceci provoqua un événement rare, le jeune Datenshi laissa apparaître sur son visage un grand sourire, il ne se moquait pas de ce qu'il voyait, mais s'amusait de remarquer que cette scène était l'un des meilleurs moments qu'il pouvait espérer vivre dans cette journée, l'un de ces rares moments de joie qu'il pouvait vivre. Gaashu ne put s'empêchait de sourire quand les quelques mots et le cadeau de sa soeur sauvèrent la vie des deux démons qu'Oni allaient tuer, dire qu'il ne voulait pas s'arrêter pour l'acheter mais qu'il avait finalement sauvé des vies d'une abominable fin. Laissant ses sentiments prendre un peu le dessus il ne put s'empêchait de rire quand Oni avoua avoir envie d'une fille, Gaashu adorait sa soeur et comprenait qu'Oni aussi, mais il était surpris de savoir que sa senseï aurait aimé l'avoir comme fille. Voulant embarrasser sa senseï qui aurait du mal à justifier ses propos devant un Datenshi, Gaashu laissa passer quelques mots, avec tout le bruit environnant il n'était pas certain que sa senseï l'entende, mais cela n'était pas important. ''Oni senseï, si vous voulez une fille il faudra que vous trouviez une autre enfant, Akiko et ma soeur et même si elle vous aime bien, je doute que ma mère vous laisse l'adopter. Même si je pense qu'Akiko ne dirait pas non.'' Laissant sa senseï s’énerver sur ses hommes, Gaashu se concentra sur le dénommé Sasu, il n'avait rien dit depuis son arrivé et ne cherchait pas à se joindre au groupe, cependant il semblait jouer à un jeu plus que complexe, en le regardant Gaashu comprit qu'il était lui aussi entrain de dresser un portrait de la scène qui se jouait devant lui. Il ne connaissait pas les acteurs de cette comédie mais ne voulait pas faire le connaissance en leur adressant la parole,il préférait utiliser son cerveau pour en découvrir le plus possible, bien que cela faisait de lui une personne bien étrange et relativement effrayante quand on voyait la monstrueuse marionnette qu'il promenait, Gaashu ne pouvait s’empêchait d'admirer l'effort du jeune homme même si l n'en laissa rien paraître comme à son habitude. Après quelques minutes d’énervement Oni se tourna pour expliquer à ses élèves les modalités de l’épreuve qui les attendaient, Gaashu resta attentif aux paroles de sa senseï pour comprendre toute les nuances et jeux de mots qu'elle pouvait utiliser ainsi que les éléments, qu'elle aurait oubliée de façon volontaire ou non, et sur lesquelles le jeune ninja pourrait jouer pour réussir l'épreuve plus simplement qu'en escaladant la paroi, bien qu'il en était capable car il l'avait déjà fait plusieurs fois, il n'avait pas envie de se fatiguer plus que nécessaire. Sa fatigue diminuait ses capacités et il en avait parfaitement conscience. Cependant il ne voulait pas décevoir sa senseï et sa sœur en abandonnant avant même de commencer, et ne voulant surtout pas garder Seizo. Il décida donc de monter cette falaise comme la senseï l'avait demandée. Gaashu prit la parole pour annoncer à sa senseï qu'il accepter de relever l'épreuve, et pour annoncer à Sasu qu'il devrait faire attention car cette falaise et traîtresse. ''Oni senseï, votre épreuve me semble amusante, je relève votre défis, cependant je ne pense pas qu'il soit judicieux de faire participer Sasu à cette épreuve, il ne me semble pas en état de pratiquer cette exercice. Il ne savait pas si Sasu pouvait ou non escalader la falaise mais il voulait essayer de le motiver. Sasu, fait attention, j'ai déjà escaladé cette falaise un jour et elle est traîtresse fait donc bien attention à tes prises. Puis il se retourna vers sa sœur. Akiko,vient me voir s'il te plaît. J'ai un petit truc à te dire.'' Sa sœur s’empressa de rejoindre Gaashu, elle semblait fière de son frère, mais elle paraissait aussi effrayé a l'idée que son frère escalade une falaise sans aucune utilisation des arts ninjas. Jouant à la perfection son rôle de grand-frère il réconforta sa sœur en lui chuchotant quelques mots à l'oreille, s'arrangeant pour que personne ne puisse l'entendre, puis une fois sur que sa sœur avait bien comprit ce qu'il lui avait dit et qu'il ne risquait rien, il s'approcha de la falaise. Il enveloppa ses avant bras et ses mains dans des bandages pour ne pas subir la morsure du soleil qui chauffe les pierres de la muraille et commença son ascension vers le sommet de la falaise.

Suna, porte du village. ... ,,,, ஐ Oni Kitsune ஐ ,,, Bien que Gaashu se montrait un excellent élève jouant le jeu, quoi que, le voyant murmurer des mots à sa petite soeur, la Kitsune ne fut pas dupe, Sasu, ne semblait pas vouloir jouer le jeu ou alors il avait une idée en tête. La senseï douta sérieusement que ces capacités se limitent à ça, l'idée du concours fut la première étape destiné à Gaashu, la Kitsune savait à quel point il les affectionnait, jetant un air mesquin à Sasu, elle attira son attention sur un point, à l’intention de ses deux disciples en fait. ஐ Oni ஐ " Oh j'oubliais de préciser, il y a un troisième participants, qui lui voyez-vous à rendez-vous avec moi là haut, justement où vous devez vous rendre. Le jeu se complique pour vous, justement, car je vais monter le rejoindre et lui demander de descendre de la même façon que vous vous montez. En revanche, j'ai un truc en bonus pour vous, le dernier de l'épreuve est viré des rang shinobi, il devra repasser son examen genin ou quitter les ninja..." Elle souria sadiquement. Laissant les autres sur les dernières nouvelles, elle partait rejoindre son ultime disciple au sommet, c'était simple, elle allait lui expliqué qu'il devait arriver en bas sans utilisé d'art shinobi, avec ses seuls moyens physiques. Mais pas que, il allait avoir le droit au même ultimatum que les autres, la question était de savoir si elle était sérieuse ou non, la connaissant, difficile d'être fixé. Pour le coup, elle perdait de vue Shin et le boulot qu'il était censé faire ainsi que la petite soeur de Gaashu, en revanche, elle n'oubliait pas d'emporter Seizo avec elle, l'attrapant dans ses bras, elle entama la monté de plusieurs bonds. Au sommet, elle posa son fils au sol le prévenant, s'il faisait une seule bêtise, elle le punissait à vie cette fois, le gamin regardant sa mère souriait mesquin, on se demande de qui il tenait ça. Bien sûr il allait falloir compter pour les pauvres disciples de sa mère, la participation du morveux et ses idées tordus, incitant son fils à s’asseoir gentiment, la zone dangereuse après tout si il s'approchait du bord. La Kitsune se demandait comment son joli petit monde allait sans sortir, dire que la journée commençait à peine et qu'ils en étaient qu'à leur première surprise, elle avait vraiment l'esprit sadique aujourd'hui. Spoiler:

L'avion, l'avion, l'avion... ... C'est haut didonc, je dirais même plus, c'est haut. Une falaise escarpé infranchissable, une soleil de plomb écrasant et pour couronner le tout une équipe de bras cassé dont la senseï à des idées qui flirte dangereusement avec la démence. Que demander de plus ? que le ciel nous tombe sur la tête si ce n'était déjà fait. Pauvre Sasu avec ce groupe il allait pas tarder à devenir vieux avant l'âge, quoi que son corps appartient déjà à celui d'un retraité qui aurait participé à la quatrième grande guerre shinobi. Juste à regarder le sommet du rempart, qui était presque imperceptible vue dans bas, son estomac se mit en tanguer lui donnant des haut le cœur. Le marionnettiste va finir pas vomir ses friandise si ça continue. Jetant un œil furtif à son coéquipier, il constata bien vite que celui-ci avait un regard confiant via l'épreuve de la juunin. Le Datenshi en avait de la chance, lui. Il possédait un corps en pleine santé, un don héréditaire puissant et une détermination de fer. Tout le contraire de lui-même en gros. Le maladif en était presque jaloux. On trouve toujours son opposé, si il y'a des faibles, il y'aura forcement des forts, certains on tous sur un plateau d'argent, alors que d'autre doivent se construire seul dans ce monde hideux. L'utilisateur du Kinton exprima son amusement envers le test la sadique, au moins quelqu'un ici trouvait ça drôle. Puis il débuta son expertise sur le pâlichon, en lui prescrivant sa vision sur Sasu. Mais de quoi pouvait-il bien se mêler ce type, il osa même lui donner un conseil, s'il s'avait ou il pouvait se le mettre son avis. ça lui ferait tout drôle. Le marionnettiste n'avait aucunement besoin de pitié de sa part. Quand soudainement la folle furieuse annonça l'arrivé d'un autre membre, en plus de compliquer l'épreuve, comme part hasard celui n'arrivant pas à finir le test serait viré du monde shinobi. L'habitude de Sasu changea, pour lui maintenant remporter ce défis était question de vie ou de mort. Bien que son expression nonchalante ne s'en trouva guère modifié. Commençant à empiler les uns sur les autres des petits cailloux pour faire une petite tour. Il réfléchissait intensément, dans sa petite tête des informations s'accumulaient, s'intercalaient, se bousculaient. Comment monter? par quel moyen. En plus son équipier était déjà à la moitié de la falaise, le genin ne pourrait jamais faire de même. Peut-être dans un sens Oni-senseï voulait que Gaashu aide l'infirme, pour prouver l'esprit d'équipe, mais se dernier n'avait pensé qu'à sa pomme. Le cerné ne pouvait pas lui en vouloir. Après tout qui voudrait prendre un boulet avec soi ? Soupirant de nouveau et regardant sa pile de pierre s'effondrer, un songe lui vain en tête. Ces Remparts étaient faite pour nous protéger d'éventuel ennemi extérieur, mais il faut des hommes pour surveiller du haut de cette grande cuve. Se mettant debout, le jeune homme longea le mur et trouva se qu'il chercha. Les hommes qui veillent sur l'extérieur doivent évidemment se nourrir. Donc ils doivent redescendre pour manger, puis remonter. Mais faire cela à chaque fois serait une perte de temps et d'énergie à chaque fois, donc ils leurs faut un moyen simple et radicale pour gagné se temps précieux. Deux hypothèses sont viables, soit ils font un nombre d'heure précis et sont remplacés par d'autre, soit ils ont un mécanisme qui permet de monter la nourriture. - Bin...go. Ses prédictions étaient bonnes. Il y'avait une corde et un sot, la corde était rattacher à une poulie fixé tout en haut de la falaise. Il avait trouver son moyen d'escalader la crevasse. Le marionnettiste se plaça délicatement dans le sot juste assez grand pour mettre ses deux pieds nus. Mais un nouveau problème venait se profiler. Effectivement l'autre bout du cordage était bloqué à par une autre corde qui empêché que le rocher noué à la corde qui permettait de faire monter le sot de tomber. Heureusement la distance n'était pas un problème pour le garçon. Utiliser un pantin nécessite une bonne perspective des distances. ramassant un silex plat sur le sol, il le décocha comme une flèche, grasse à sa planéité le cailloux fila droit vers l'objet qui obstruait son ascension. Comme une balance à poids le plus lourd tomba, alors que le plus Legé monta, mais malheureusement pour Sasu, il n'aurait jamais cru que le rocher serait si lourd. Se cramponnant de toute ses forces à la corde qui retenait le sot. Tel une fusé à réaction, il fut transportait en un éclair au sommet du Rampart, il put d'ailleurs entre-apercevoir en le dépassant à toute allure son pauvre coéquipier qui grimpait encore de ses mains la parois. Le marionnettiste fut ensuite à l'arrivé, éjecté dans les airs par l'impact trop brutale du sot avec la poulie. Voltigeant comme un oiseau faisant diverse tonneau sur lui même sans le vouloir, il fini son envolait sauvage sur le haut de la falaise. Chanceusement il était tombé sur quelque chose de moue, mais inopportunément ce truc moue c'était son maître. - Ah... c'est n'est que vous...Oni-senseï "Soupira-t-il alors que se dernier avait sa tête entre les deux petites bosses de la jeune femme" Une chose est sur, il n'aurait plus jamais recourt à une méthode aussi dangereuse. heureusement plus de peur que de mal, enfin cela dépend pour qui. Mais au moins il l'avait gravis cette foutu falaise.

Suna, porte du village. ... Une falaise escarpée infranchissable et un soleil de plomb, cette exercice était bien digne d'Oni senseï. Le soleil était continuellement présent au village du sable et un fils de Suna est habitué à une telle chaleur, cependant cette fois le soleil semblait vouloir faire connaître sa véritable chaleur. Touts les civils étaient chez eux et une grande partie des ninjas cherchaient un abris à l'ombre pour rester en post sans trop souffrir de la chaleur. De plus, bien que ce n'était pas la première fois qu'il réalisé l'ascension de cette falaise, Gaashu commençait a croire qu'on l'avait duper et qu'il venait d'entamer l'ascension d'une montagne. Il avait de plus en plus de mal à assurer ses prises, il commençait à perdre ses forces et à ressentir les effets dévastateurs du soleil ardent de Suna. Cette épreuve était plus qu'un passe temps, ça devenait enfin sérieux. Il n'était pas loin de la moitié de la falaise, il venait à peine de le dépassé ce qui voulait dire qu'il allait devoir puiser dans ses réserves physiques et mental pour réussir cette épreuve. Bien qu'il n'aurait jamais du le faire, Gaashu commit l'erreur de regarder ou en était son future équipier, il fut surprit de voir qu'il n'avait même pas débuté l'ascension. Après avoir escaladé quelques mètres de plus et avoir déchiré les bandages qu'il s'était fait sur la mains, Gaashu fit une petite pause pour refaire ses bandages, qui sont sa seul protection contre la chaleur de la roche. C'est également pendant qu'il faisait sa pause qu'Oni senseï fit un petit discours pour informer Sasu et Gaashu que leur petite équipe allait enfin être compléter par un troisième membre. Ce n'était pas plus mal, cela évitera au jeune Datenshi de devoir revivre un troisième examen pour un nouveau membre. Ce nouveaux membre était un parfaite inconnu, Gaashu n'arrivait pas à le voir et n'avait pas vraiment que ça à faire. Alors qu'il allait reprendre son ascension, le jeune Datenshi repéra un petit mouvement de Sasu, il était entrain de marcher vers un système de poulie. C'était une bonne idée, Oni n'avait pas interdit l'usage d'un mécanisme ou autre et cela permit à Gaashu de comprendre un peu plus celui qui allait devenir équipier, il était du genre a utiliser son cerveau et non ses muscles et c’était une qualité pour un ninja, même si cela voulait dire qu'il risque d'avoir besoin d'aide pour les combats car une attaque directe trop puissante pourrait être potentiellement mortelle pour le marionnettiste. Ceci allait être un problème important mais pour le moment le jeune garçon avait une montagne à escalader et cela n'était pas seulement important mais aussi urgent car Oni avait promit une sanction. Après sa courte pause, le jeune garçon reprit l'ascension de la falaise, ce ne fut pas si difficile qu'il le pensait, probablement une illusion visuelle, un mirage. Mais il n'allait pas s'en plaindre, il avait finit par battre son propre record et à remplir les conditions d'Oni. Il aurait bien aimé avoir la première place, mais il avait l’habitude d'escalader cette falaise alors il n'avait même pas penser à utiliser la poulie, dommage pour lui. Une fois arrivé au niveau de ses camarades, il fit une chose qu'il savait qu'il allait regretter, il regarda Sasu droit dans les yeux et tendit la main pour le féliciter d'avoir réussit l'épreuve et rejoint l'équipe.

Suna, porte du village. ... Bien, une chose de bien faite, avant même qu'elle est pu finir d'expliquer son examen à son dernier élève en date Hikari, les deux autres étaient près d'elle au sommet, enfin, un bien plus proche que l'autre quand Gaashu les rejoignait. Sasu était ingénieux, c'est le moins que l'on puisse dire, il avait utilisé le système de monter des gardes pour se réapprovisionner, seulement, son calcule avait débouché par un atterrissage sur elle. C'était bien de choisir simple et rapide, mais mieux de prévoir où on tombait, surtout si c'était pour se faire réceptionner par la senseï au sommet qui ne voulait pas qu'il s'éclate au sol. Bref, le gamin aux marionnettes était un petit malin, Oni notait ça dans sa tête, à côté du petit gourmand déjà noté pour lui, en revanche, elle se demandait la réaction de son disciple Datenshi, lui qui détestait perdre, venait de se faire moucher là. Gaashu avait choisi d'user de sa force physique pure, ce qui n'était pas une mauvaise chose, car à la base ceci était aussi un entrainement et il prouvait son endure ainsi et son esprit de combativité. La journée se promettait intéressante, sa feinte de menacer avec l'arrivée d'un nouveau qui prendrait la place d'un d'entre eux, n'avait pas semblé les traumatisés, ils savaient déjà que ce n'était pas vrai les bourges, il était temps su'elle réalise qu'ils n'étaient plus des enfants. En parlant de gamin d'ailleurs, tout ça lui avait fait perdre de vu le petit monstre Shiba, qui avait profité de l'agitation pour s'esquiver préparer sa bêtise comme toujours. Sa mère n'eut pas le temps d'y penser, car Gaashu qui était là, lui jouait la carte de la surprise en tendant la main en félicitation à son coéquipier, dont Oni venait juste de relever après elle, il venait de l'écraser, heureusement qu'il était un poids plume. Ne restait donc qu'un seul qui n'avait pas encore réagit à tout ça, mais qu'importe, Oni se rappelait d'un détail important qui allait devoir écourter leur petite réunion, ils leur faillaient se rendre au bureau de Shin, c'est vrai, il devait leur donner le fameux sceau avec cette histoire sur l'Akatsuki qui se murmurait. En prévision, il allait falloir mettre les bouchées double sur les entraînements en cas d'attaque, bien que toute cette histoire paraissait un peu loufoque à première vue. Enfant, la Kitsune adorait cette histoire, elle avait des milliers de fois les passages sur ces pseudos grands méchants qui avaient fait trembler le monde shinobi bien des années avant qu'elle ne née. Il n'était pas l'heure pour la nostalgie d'enfance, pour l'heure, elle devait annoncer sa conclusion et traîner tout ce monde au lieu dit de son Kazekage. ஐ Oni ஐ "Bien, félicitation, vous avez réussi à monté chacun à votre façon, sans même laisser le temps à Hikari de descendre, je dirais donc que c'est un travail efficace, bien que très individuel. Mais il faut savoir se débrouiller seul parfois, en combat vos coéquipiers ne seront pas toujours là, de ce point de vue, c'est une réussite totale. D'un autre côté... Vous n'êtes que de sales égoïste... J'avais dit que celui qui perdait ne serait plus shinobi et vous êtes aussitôt rivé vers l'objectif pour garder votre place. Mais j'avais aussi dit que vous aviez un nouveau coéquipier... Aussi, là cela voudrait dire que Hikari est viré des rangs ninja, par vous... Si aucun n'avait accepté, comment aurais-je pu désigné le vainqueur? Je suis déçu sur ce point, mais je met ça sur le compte de ma fourberie..." Elle leur tirait la langue alors qu'elle avait les bras croisés et leur faisait face. Sur ce, elle jetait un oeil sur Seizo, le démon avait disparu depuis un moment, mais elle ne s'en rendait compte que maintenant, c'était parfait, exactement ce qu'elle avait prévue, elle fixa attentive l'horizon, un sourire mesquin sur les lèvres. ஐ Oni ஐ" Disciples, bienvenue à tous dans la team, votre passage est une réussite, cependant, j'ai une mauvaise nouvelle pour vous, votre première mission ensemble commence tout de suite. Retrouver mon fils, le petit démon blond qui est monté avec... Simple jusque là, sauf que! C'est une teigne et un casse cou, le connaissant il est en pleine bêtise, si par malheur, vous me le ramenez avec un bobo ou en larme, ça sera un échec. Aussi pour être réussite, faites appelle à vos talents de négociateurs et beaux parleurs, quand vous aurez mis la main dessus, venez nous rejoindre au bureau du Kazekage, Gaashu, j’amène ta petite soeur avec moi. Bonne chance!!! Vous avez trente minutes...." Faisait-elle taquine avant de sauter en bas et les laisser. Pauvres Disciples, si seulement ils savent ce qu'ils les attendaient avec ce morveux, elle aurait aussi dû les prévenir qu'il était parti avec la sacoche de sa mère, à part Gaashu qui était bien placé pour connaître son grade de bêtise, ils allaient avoir de belles surprises en chemin...

Spoiler:

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Chassé ou être chassé ... Plus de peur que de mal et heureusement, assommé par la chute un peu trop brutale suivi de l'impact imprévu avec sa sensei, le marionnettiste avait éprouvé de vivace émotions, qui était beau coup pour son petit corps malade. Pas le temps de reprendre ses esprits qu'Oni le remit sur pieds, enfin façon de parler, car il était plutôt accroupi comme à son habitude à 1 mètre du sol. La jeune juunin ne semblait aucunement souffert d'une quelconque blessure du à le face à face violent. Elle lui jeta même un regard espiègle. Qu'elle étrange femme avait-il trouvé là. Pas le temps de se reposer sur ses lauriers, que l'un de ses coéquipiers, le dénommé Gaashu de la ligné des Datenshi utilisateur du Kekkai réputé, le fer, s'approcha de lui pour le féliciter, fort étonnant pour une personne qui ne semblait ne pas vouloir perdre y'a pas 5 minutes. Il lui tendit sa main pour le remercier. Sasu observa m'intérieur de sa paume de main embaumé par des bandages blancs, elle était sale, pleine de terre, recouverte de brulure, même du sang colorer petit à petit la pureté des bandes et sa main était surement colonisé par de multiple microbe, croyait-il qu'il allait lui serré une poignet aussi dangereuse ? Ni une, ni deux. D'un geste rapide de l'index, le pantin de bois bondit de on ne sait où, pour atterrir dans un fracas sonore suivi d'un soulèvement important de poussière sableuse se décollant du sol. Il rapprocha son engin de transport de leurs position. Une fois à leurs hauteur, il lui fit faire demi-tour et commença à fouiller l'arrière train de sa marionnette qui n'était qu'un coffre, pour en sortir une trousse de soin et aussi vite qu'il en faut pour dire "marionnette". Le jeune Genin désinfecta la main et les diverses blessures qui avaient prient forme. En rien de temps la pauvre main du Datenshi avait été traité comme il se doit. Pire encore le maladif l'avait fait avec sa nonchalance habituel, en effet pour lui ce genre de plaie était chose courante, lui qui son corps se meurtrissait pour un oui ou pour un non. Puis d'une voix plate il donna un conseil à son partenaire. - Fais attention... à ton corps... sinon tu... pourrait le regretter... un jour... Sur ses mots, il escalada sa monture pour ce retrouver assis sur son abdomen, quand la folle furieuse exposa sa vision sur le test qu'elle nous avait offert, en premier lieu elle nous félicita pour nôtre réussite, mais ensuite elle nous accabla sur nôtre égoïste, il est vrai que l'on aurait pu tout simplement refuser les conditions, mais on en à pas vraiment eu le temps. L'intrépide Gashuu s'était précipité sur la falaise sans demander son reste, comment aurait dû réagir le marionnettiste dans ce cas ? Attendre en bas en espérant une aide qui ne viendra certainement pas. Donc il à fini par chercher à montée à sa façon. Enfin de compte elle leurs souhaitèrent bienvenue dans sa team. Quel désespoir pour Sasu, quand celle-ci annonça leur première mission en groupe, lui qui pensait avoir enfin la paix et pouvoir rentrer chez lui, c'est mal parti. Pire encore, ils devaient jouer les nounous pour son sale gosse. Pour qui les prenaient-elle ? Des bouche-trous ? En plus elle imposait des restrictions pour sa capture, donc pas moyen de le ramener par la force ou par la terreur. Sans chercher à fournir plus précision sur le pourquoi du comment, elle les laissèrent en plan. Livrés à eux-mêmes, pour une mission de merde, alors la ! le marionnettiste va se suicider au bonbon. Sortant son paquet de friandise, il se tourna vers les escaliers pour descendre de la falaise. Apercevant en chemin son second coéquipier, ce dernier en retard, il n'avait pas encore fait sa rencontre. Le fixant intensément, le gourmand dressa rapidement le profil de son interlocuteur. Côté vestimentaire, c'était un revoir, un peu trop wesh wesh à son goût. Ses vêtements faisait ressortir une facette impulsive et colérique, genre de mec qui s'énerve pour des broutilles. Sasu devait se méfier de lui, mais en même temps il lui semblait sympathique, sa cicatrice disait long sur son passé, son regard perçant était ampli de haine, Il ressentait en lui de la rancœur. Le scarifié pourrait servir de main pour ses futurs projets, une personne consumer par le désir de vengeance est souvent facile à manipuler. Mais laissons la ces desseins, pour l'instant il devait se concentrer sur le présent. Comment retrouver l'enfant ? Tendre un piège ? le chercher constamment au travers des rues sablé ? le repéré via à une grande hauteur ? Aucune ne s'avérait réellement viable. Alors que faire ? La réponse ses coéquipiers l'avaient peut-être ? mais quelque part manipulateur de pantin avait une petite idée derrière la tête.

Suna, porte du village. ... Le jeune Gennin avait puiser dans ses réserves, il avait verser beaucoup de sueur et le sang avait coulé, mais il était parvenue à atteindre le sommet de la falaise. Il avait finit par rejoindre Oni et les deux Gennin de la nouvelle équipe, cependant il n'eut même pas le temps de profiter de sa victoire et de la satisfaction d'avoir dépasser ses limites. En effet ien que les performances de Gaashu et Sasu étaient remarquables, les deux ne reçurent pour récompenses qu'un long discours visant à leur faire comprendre qu'ils auraient du penser à l'équipe dans l'intégralité et pas seulement à l'ascension. L'objectif de l'épreuve était de faire avancer leur travail d'équipe afin que la ''Team Oni'' soit capable de partir en mission, visiblement les performances personnelles de ses élèves étaient loin de suffire à la senseï, pour preuve elle leur attribua la tache de retrouver les petit démon, son fils. Gaashu ne comprenait pas le comportement de sa senseï, elle le connaissait bien et il était évident qu'elle pouvait se douter que son disciple n'allait pas résister au défis qu'elle lui avait lancé, alors pourquoi avait-elle fait un discours sur le travaille d'équipe, si elle voulait voir un travail d'équipe elle aurait du prévenir à l'avance. Cette idée dérangeait le jeune garçon, il avait l'impression qu'elle lui avait tendu un piège, aux yeux du jeune garçon cela était presque une trahison. Bien qu'il ne faisait que peu attention à ce que les autres pensaient de lui et ce qu'ils pouvaient lui dire, venant de la Kitsune cela le blesser, il avait confiance en elle et elle venait de le trahir. Le jeune garçon fut sortit de ses pensé quand la traîtresse senseï partit en direction du dôme du Kazekage. Il n'avait pas besoin de penser à ça, il avait déjà beaucoup à faire avec les deux camarades qu'elle venait de lui imposer et la recherche de Seizo. Après être sortit de ses pensées le jeune garçon releva la tête vers les deux équipiers avec qui il allait former l'équipe n°1 de Suna. Il c'était déjà fait une idée de Sasu et bien qu'il n'allait jamais lui dire, il était obligé de reconnaître qu'il était content d'avoir quelqu'un comme lui dans son équipe. Cependant il n'avait pas envie d'être gentil, pas plus longtemps. Il ne prit même pas le temps de répondre au Sabaku, il avait autre chose à faire que de lui répondre. Il se retourna et fit quelques pas pour s'approcher du bord de la falaise. ''Bon, on se retrouve au dôme, je sait ou le petit se cache, je le récupère et on se retrouve là-bas'' Il n'attendit même pas que les deux lui répondent qu'il partit, il sauta dans le vide et se rattrapa à la falaise quelques mètres seulement avant de toucher le sol, ainsi il ne mit que quelques secondes à descendre la falaise et avait déjà gagner beaucoup de temps. Il n'avait pas vraiment laissé le temps aux autres membres de l'équipe de faire connaissance ou de comprendre ce qu'il avait en tête, après tout à ces yeux ils n'étaient rien d'autre que des poids. Il leur avait dit de se rendre au dôme car il ne voulait pas perdre de temps, cependant il avait l'impression que sa tentative n'allait pas porter ses fruits, d'une façon ou d'une autre il allait perdre son temps. Le jeune garçon ne mit pas longtemps à retrouver le petit, il le retrouva comme il s'en doutait dans, ou plutôt devant, un magasin. Comme à son habitude il avait ''emprunté'' quelque-chose dans un magasin, cependant cette fois le commerçant avait réussit à le rattraper et il n'était pas content, il n'avait pas aimé qu'un gamin vienne lui voler l'une de ses plus belles lames et il avait dans l'idée de lui faire comprendre. Le marchand était sur le point de frapper Seizo quand Gaashu intervint, il parvint à bloquer le bras de l'homme en s'interposant entre lui et le petit, cependant il ne prit pas le temps de maîtriser sa force et donna un coup bien trop violent de le bras de l'homme qui, sous le choc, ce brisa comme un bout de bois. Gaashu regarda l'homme s’effondrer sous la douleur, il n'avait qeu ce qu'il méritait mais il pouvait représenter une légère menace si il lui venait l'idée de se plaindre pour le vol de sa lame. Le jeune homme eut donc une idée bien singulière, il ''demanda pardon'', il ne présenta pas d'excuse et ne proposa aucune compensations financières, il imposa au commerçant d'accepter les termes du contrat qu'il allait lui proposer. Il posa son pied sur le bras de l'homme, appuyant suffisamment fort pour qu'il comprenne que malgré son jeune Datenshi ne plaisantait pas, et il posa délicatement un kunai sous la gorge de l'homme. ''Je te paye cette lame, car avec ton bras cassé durant une chute d'escalier me donne envie d'être gentil. C'est d'accord ?.'' Ses mots étaient plus proches de ce que l'on peut attendre d'un ninja confirmé ou d'un tueur que de ce que pourrait dire un enfant de 13, cependant l'homme n'avait pas vraiment le choix car sa vie ne tenait plus à grand-chose. Après avoir payé son interlocuteur le jeune Datenshi se retourna vers Seizo. ''Toi … Si ta mère apprend ce que tu à fait tu va passer un mauvais moment, alors je te propose un truc, tu te tient tranquille et je ne lui dit rien, en plus je te donnerait cette lame. Cependant si tu fait la moindre bêtise je te promet que tu va devoir te débrouiller seul la prochaine fois, en plus tu me connaît, tu sait que je peut être très méchant quand je le veut.'' Gaashu savait que le petit accord n'allait pas avoir grand effet, cependant le trajet jusqu'au dôme se passa dans la calme le plus complet. Bien que le petit aurait-pu faire beaucoup de bêtises, il n'en fit presque aucune. Une fois arrivé au dôme, Gaashu laissa Seizo retourner aux cotés d'Oni et il s'assit dos au mur dans un coin du bureau. Comme il s'y attendait, il allait devoir attendre les deux autres qui avaient prit tout leur temps.

Tracer le chemin ... Il en était ainsi, le Datenshi, shinobi d'un clan réputé pour maitriser le métal décidait de faire cavalier seule, pour pouvoir récupérer le petit fugueur et progéniture de leurs nouveau maître. Quel aubaine pensait tout bas le marionnettiste, une corvée de moins à faire, moins d'énergie inutilement gaspillé. Si cela lui tenait temps à cœur, qu'il y aille, ce n'est pas Sasu qui l'arrêterait bien au contraire. Se rapprochant du bord de la falaise, l'existé se laissa tomber dans le vide pour arriver immédiatement en bas de la crevasse. Il se la jouait un peu trop au gouts du maladif, bah il n'allait pas se plaindre non plus, il allait faire tout le travail. Maintenant seul avec le sabaku qui se dernier le scruter avec insistance, on pouvait voir sur son visage de la fascination, mais aussi de la pitié pour la faible créature que représentait son partenaire. Que pouvait-on bien y faire, le Genin était née comme ça avec un corps frêle, mais bientôt cette vie fragile et douloureuse arriverait à son terme pour laisser place à une vie d'artiste immortel. Pour le moment il encaisserait les souffrances du monde sans broncher et un jours se sera lui le seul maître de son destin. Parcourant de ses yeux curieux le physique de l'utilisateur de sable, il remarquait bien vite son horrible cicatrice sur presque toute la moitié de son corps. L'endormi avait entendu parler d'une famille de Sabaku qui fut victime d'une attaque pendant la nuit, cela avait été classé comme un règlement de compte et les criminels furent oublié, mais lui, cet homme qui se présentait devant lui, lui n'avait certainement pas oublié, comment pouvait-il oublier avec l'odieuse empreinte dont son corps à été affublé. Peut-être qu'il pourrait devenir un outil utile à son ascension. Hikari approchait à son tour le rebord de la falaise en lui demandant s'il était capable de descendre seul. La question ne se posait pas, évidemment qu'il en était apte. Le zyeutant faire les gestes à l'identique de son prédécesseur. Le marionnettiste le suivi d'une façon plus subtile et moins risqué. En marchant sur la paroi rocheuse de la falaise avec sa marionnette qui comme une véritable araignée arrivait en bas en un clin d'œil. Sa forme arachnide n'était pas la que pour faire beau, elle avait aussi les mêmes capacités que cette dernière moyennant une petite quantité de chakra bien entendu. Sur le plancher des vaches le faiblard jeta une rapide regard à son partenaire et annonça. - On y va... Traçant le chemin vers le dôme du kage le marionnettiste avait pris la tête du groupe, transmettant de temps à autres un regard furtif au sabaku qui était derrière lui.

Questionner ou être questionné... ... En marchant dans les rues peu animés rythmé par le vent sablonneux qui fouettait constamment le visage des deux Genins. Ils pouvaient contempler depuis la où ils se trouvaient l'immense dôme du kazekage. Un bâtiment fait totalement de sable, comme tout le village caché du vent d'ailleurs, un vrai château de sable sur la plage, sauf qu'ici il n'y a pas de mer. Il y'a que des dunes de sable encore et toujours des dunes de sables aussi loin que le regard puisse porter sur l'horizon. Un lieu hostile à toute vie qui n'est pas préparé à la rudeur de ce monde ardent. Revenons à nos deux confrère toujours en route vers le destination final, le dôme du Kage, endroit où on pouvait sentir à des kilomètres la putride odeur de sa splendeur. Sasu toujours en tête sur le chemin du retour, piochait de temps à autre dans son paquet de bonbon du bout de ses doigts crochues quelque friandise qu'il portait à sa bouche en faisant attention de ne pas faire entrer en contact ses lèvres et ses doigts. On pourrait le qualifier de maniaque, mais s'il ne faisait pas ça, il risquerait de mettre en danger sa vie. Avec un corps aussi maladif le moindre microbe et même un simple rhume pouvait le mettre dans un état critique. Oui ce n'était pas simple tous les jours d'être le marionnettiste. M'enfin il s'était habitué, comment peut-on avoir l'habitude d'être malade je vous le demande. Plongé dans ses pensées de grandeur, il fut ramener à la réalité par son coéquipier qui l'avait rattrapé et lui posa une question guère hautaine. Le Sabaku pensait ressentir de la haine en lui ? Cela amusa intérieurement L'Oreki, Il n'avait pas vraiment d'animosité envers le monde, juste contre son corps fragile. Mais que pensait-il connaitre de l'artiste ? Rien évidemment, il ne faisait que des suppositions, finissant par lui réclamer une réponse sur le pourquoi il était devenu un ninja dans son état actuelle. Quelle petite fouine que voilà constata le rachitique. Mais au lieu de répondre à sa question, il posa lui même une question à la place. - Et toi... pourquoi est tu devenu... Shinobi ? Comme-ci dirait-il ses intentions futur à la première personne venu, il n'était pas fou. Voyons comment le colérique réagirait à ça.

Proposition Indigo ... Ma contre question venait d'être posé, je pensais clairement que le scarifié s'énerverait, roulerait des mécanique, mais non, rien de tout ça au contraire, il resta une moment silencieux. Cette aspect de sa personnalité m'intriguait. Il tremblait, de douleur, de peine et de colère. Je pouvais presque palpé sa haine du bout des doigts tellement celle-ci émanait de son être en foison. Cette folie meurtrière qui l'habitait avait fait de lui une personne très instable sur le plan psychologique, une bombe à retardement prête à exploser à tout moment, voila ce qu'il ressemblait à mes yeux en cette instant. Je m'étais arrêter dans ma course vers le dôme, pour observait ce que les gens de ce monde appelait rebus de société, lui et moi on était des indésirables, tant que l'on ne causait pas de problème ils ne cherchaient pas a apprendre plus de nous. Oublié, abandonné, traité comme des coupables alors que nous sommes que des victimes. Ce monde était imparfait, tant de violence, de discrimination, on à beau être des humains ça ne veux pas dire que la loi du plus fort ne s'applique pas. Le Sabaku avait ouvert son sac, il m'a tout dit, sans une once d'hésitation. Sa famille, leurs morts, les bandits qui ont fait ça et leurs motivations., il ma tout dit, sans savoir si j'allais le juger ou non sur ses dires. Quel raison l'avait t'il poussé à le dire à moi qui ne peut aucunement comprendre sa rancune. Peut-être qu'il a trop longtemps gardé ça en lui, et qu'il fallait qu'il se libère. Des tonnes de raisons pourrait affluer pour expliquer ses aveux soudains. Mais je n'avais besoin d'aucune preuve pour comprendre cas cette instant précis je venais de trouver une personne qui pourrait servir de main. La vengeance était pour lui un mobile suffisant pour commettre des crimes, il fera donc le parfait associer, pour le moment du moins. Il me suffisais de lui mettre la carotte qu'il désire tant sous le nez pour comblais ses appétits meurtrier. - Ne pose aucune question... suis moi aveuglément... et je te promet de trouver chaque salaud... qui on massacré ta famille... et de te les offrir sur un plateau d'argent. Je lui envoyais nettement une invitation aux crimes, mais répondra t-il favorablement à ma demande, celui de devenir un chien à ma botte, bien que je ne lui dirais guère de cette façon. Me retournant je me remis en route vers le palais du kage attendant de sa part une réponse favorable