Debout, à coté d'un des nombreux arbres de cette forêt je fixais d'un air déterminé une petite maison, camouflé par des troncs géants d'arbres aussi vieux que l'histoire des premiers ninja. La maison s'étendait sur un étage, une seule entrée et donc une seule sortir possible mis à part deux fenêtres, l'une dirigée au sud juste à coté de la porte, et l'autre coté est. Leurs nombres étaient approximativement de quatre d'après les allés et venue au fenêtres, mais peut être étaient-ils plus. Aucune chance de s'échapper pour eux selon mon plan, la mission devait être rapide et efficace et surtout sans bavure, en effet on m'avais confié une mission plutôt délicate, surtout qu'elle était ma première en tant que Chunin de Konoha. Malgré la sensation que mon coeur s'emballer j'étais plutôt confiant en moi car j'avais échafaudé mon plan des les moindres détails le reste dépendez de la qualité de mon camouflage et ma capacité à masquer mon chakra. Je savais que mes ennemies n'étaient pas très puissant mais j'avais envisagé la possibilité qu'un l'un doit soit un ninja sensoriel et m'aurait donc repéré sous mon déguisement. Pour la deuxième fois dans ma carrière de Shinobi je devais me déguiser en une femme.. La première fois avait était pour une histoire de voleur de bijoux attiré par les femmes plutôt aisées et seules, et cette fois si pour un enlèvement d'une petite fille..

C'est abrutis avaient enlevés une jeune fille à sa mère et demandaient une renson sans que sa mère alerte les ninjas de Konoha sinon la petite serait exécutée, le problème c'était que ses piètres brigands du dimanche avaient tellement amochés la mère qu'elle était en séjour a l'hopital de Konoha... - Baka... Ma mission consister donc à "m'infiltrer dans la planque de ses brigands et de ramener la petite fille en vie par n'importe quel moyen !", la seule chose qui me plaisais dans cette phrase était le "par n'importe quel moyens" ! J'allais enfin pouvoir faire de l'exercice tout en testant mes capacités. Une légère brise de vent me sorti de mes pensées, bien il était l'heure de passer en l'action. Lentement mais surement je sortais de la forêt me dirigeant vers la petite maison, j'aperçut une silhouette m'épier à la fenêtre, ma main serrait fortement la mallette ou l'argent devait être mis. A moins de dix mètres de la maison l'un des brigands m'ouvris la porte et s'avança vers moi pour me fouiller. Bien évidement je n'avais pas pris mon équipements habituels, après m'avoir fouiller le haut du corps sa mains bien que délicate s'arrêta l'espace d'une seconde sur mes fesses, ce connard n'allait pas tardé à regratter ce geste...
Il fit un geste à un autre brigand de me laisser rentrer, bien, je devais maintenant jouer la comédie, - Part pitié dite moi ou est ma fille ! - Ferme la ! J'espère que ta emmener l'argent !! Suis moi elle est dedans !Le bandit me fit rentrer dans la maison, j'aperçu la petite fille, tenue par un autre brigand qui un kunai à la mains menacé de lui trancher la gorge. - J'ai l'argent par pitié rendez la moi !
- Montre l'argent et on te rend ta petite trainée !! Je posais ma mallette à terre, je ne m'étais pas trompé, ils étaient bien quatre, un ce poster derrière moi près de la porte, un autre menacé la petite et les deux autres étaient à coté de lui. Lâchant un petit sourire j'ouvrit la mallette avec une rare violence. Six kunais sortirent projetés en l'air de la mallette, concentré je ne devais pas rater mes cibles, le temps semblais être au ralenti, j'effectua un tour sur moi même avant de lancer les quatre kunais en direction de mes ennemis. J'en élimina trois, le quatrième avait esquivé au derniers moment ce prenant le kunai dans sa cuisse gauche. Je courus vers la petite fille la prenant dans mes bras, le quatrième bandit s'enfuit par la porte, j'avais dans l'intention de le laisser en vie car cet enfoiré m'avait toucher le cul ! Cependant il ne fit même pas deux cent mètres avant qu'une copie exactement conforme à moi même sorti de terre et donna un violent coup de poing dans sa mâchoire qui le fit valser de plusieurs mètres en arrière jusqu'à arriver à mes pieds ou, il ce pris une majestueuses gifle qui le fit s'enfoncer de plusieurs centimètres dans la terre. - Sa c'est pour la main au cul connard !