InvitéInvité | Sujet: [C]Une histoire d'escalier Lun 18 Juin - 22:59 | |
| Un contrat ? J'étais debout, scrutant le paysage, je venais d'avoir un contrat plutôt mesquin . Selon l'ordre de la personne qui me l'avait envoyé, je devais tuer un mari sans divulguer mon identité auprès des autorités . Je partis donc de mon endroit d'origine, allant à pied jusqu'à mon village Natal . Cela faisait déjà quelques jours que j'avais déserté, je devais faire attention, j'étais désormais dans une zone à risque : le monde entier . J'avais une grande capuche qui cachait la moitié de mon visage, la partie supérieure si vous êtes curieux, je ne devais pas me faire repérer, j'avais tant besoin de cet argent : il fallait dire que j'avais rien mangé depuis un petit moment .
Konoha, ça n'a pas beaucoup changé... en même temps je ne suis partit que quelques jours
Je me cachai alors dans les broussailles, lâchant quelques insectes, j'analysai maintenant la ronde des soldats, la garde c'était intensifié, mais j'avais remarqué un passage qui n'était pas vraiment utilisé, c'était un lieu abandonné vaguement surveillé par les shinobis, parfait pour une belle infiltration . J'entrai donc dans mon village natal, fixant tous les points, personne ne m'avait remarqué . La maison de la cible était à quelques mètres, avant ça je me devais de prendre connaissance de la situation, je vus la femme qui me faisait des signes depuis un petit moment, je me rapprochai pour ensuite entendre un : Musshi ? Je suis votre cliente, voilà votre mission, vous... vous devez éliminer mon mari d'une façon tout à fait naturel, je vous ferais passer pour un cousin éloigné et vous l'assassinerez la nuit !
Très bien m'dam
Quelle mission horrible, l'être humain était parfois bien cruel envers ses prochains, j'acquis un sourire en entendant la requête, cette femme était surement une diablesse qui n'avait pour seul but l'argent : tout simplement pitoyable . Je suivis donc mon employé, elle ouvrit la porte puis un sourire s'afficha sur son visage, elle avait vu son mari, quel mascarade pitoyable, j'accélérai le pas, me présentant à son cher partenaire, je préparai mes affaires pour ce soir . L'heure du dîner arriva, profitant de cette nuit pour manger au chaud .
Bonne nuit madame Elle alla se coucher, laissant son mari et moi dans la même pièce, je le regardai attentivement pour lui dire : Venez voir à l'étage, j'ai une chose à vous montrer ; nous montions vers ma chambre quand soudain, d'une simple poussette, je renversai l'homme, le regardant se tordre dans les escaliers. C'était facile en fait !
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