Spoiler:

Le soleil montrait ces premiers rayons, ils traversaient les nuages, coutumier de Kumo. Il était tôt mais j'étais déjà debout à regarder la vie reprendre son cours dans le village. Je me rappel encore ce cauchemard qui ne ma pas quitté de la nuit. J'ai revu ma famille, ils me souriaient tous gaiement et d'un coup leurs visages se mirent à suinter du sang. Certains tentèrent de me parler, mais leurs voix se noyaient dans ce flot rouge sombre. C'est cette vision atroce qui m'avait tiré de mon lit. Le soleil se montrait tout juste à l'horizon, baignant le ciel de couleurs peut commune.
N'ayant pas fain je me posta à ma fenêtre, mon poste d'observation favoris. Je put ainsi voir que peut de gens était matinaux, mais que les boulanger bien entendu était à l'oeuvre. C'était une odeur de pain chaud qui envahissait les rues, un parfum d'enfance et de quiétude.

Soudain j'entendit des gens courrir, qu'est ce qu'il pouvait encore ce passer ? Décidément je trouvais ce village tranquille, mais il ne fait que de me réserver des surprises. Un homme arrriva dans ma rue et regarda les numero de toute les maisons alentours. Impossible qu'un tel homme puisse faire autant de raffut à lui tout seul. Je soupçonnais qu'il y ait des hommes faisant la même chose dans les rues voisines. Mais il faisait quoi au juste ? Je distingua se qui me semblait être un bandeau ninja. Je l'apostropha donc :


Le ninja surpris me regarde, apparement il ne s'attendait pas à ce que quelqu'un soit déjà debout.


Et oui ce qui devait arrivé, arriva. Il y avait encore un problème dans ce village. Pas le temps de réfléchir, j'attrape ma veste, accroche mon bandeau à ma ceinture et saute par la fenêtre. Je tombe devant le mec, perplexe.


Et bien voila quelqu'un de consciencieux, un message rapide et claire et le voila partit. Alors comme ça l'eau est polluée, voila quelque chose de pas commun. Ce pourrait-il qu'on ait voulu nous décimer avec une épidémie ? Mieux vaux envisager tout les scénario et ne pas se contenter d'un seul. Si un ennemie à pue contaminer nos réserves d'eau c'est que la sécurité à Kumo a belle est bien été méprisé. Je n'ais cependant pas le temps de me préoccuper de tout ça. Je cours donc vers les entrepots.

La-bas les convoies s'organisent, je croise des ninjas certains d'un calme révolutionaire d'autre sont énervé, apparement ça ne va pas assez vite. Je vois des choses qui m'exaspèrent, des caravanes bloqués par d'autre. Mais quel foutoire ! Quel est encore le crétin qui ne sait pas organiser tout ça ?!
Je cherche le responsable et tombe sur un visage connu : Takeshi Yamamoto. Comment le responsable de l'entrepôt de l'hôpital devient le responsable d'un tel mouvement de secour ? Il y a des choses qui ne sont pas claire.


L'homme devient coutumier de ma personne, et il prend moins peur qu'au premier jours. Je ne sais pas si c'est une bonne chose qu'on ne me craigne plus.

Oui c'est moi, mais j'ai pas le temps de te parler Tetsuya je doit préparer les caravanes.

J'ai cru mal entendre je pense. Mes yeux d'un naturel orange foncé passèrent au rouge. J'attrape l'homme par le col et l'oblige à me regarder dans les yeux.


Je le lache et regarde si je me suis bien fait comprendre, il ordonne de suite à ce qu'on applique se que je viens de dire. Tout se passa très vite mieux, au bout d'un quart d'heure, tout s'organise de façon cohérente. Il a toujours besoin qu'on le secoue celui-la.

Je lui demande ou est la caravane qui m'est destinée, il me signale sa position, et je fait connaissance avec le conducteur. La caravane est vite chargé, et nous partons pour les habitations qui m'ont été assignés. En vérité il s'agit de tout un quartier. Nous nous m'étons dans la rue principal et je lui demande de s'arrêter. Il ne comprend pas ma demande.


Je prend mon ispiration et me met à crie en pleine rue :


Les gens ouvrir leurs fenêtres, certains déboulèrent dans la rues tous en maugréant. Mon caravanier compris pourquoi les gens ne tentaient pas mon approche avec les civiles. Mais ma colère qui transparait dans un regard de braise calme les gens les plus colérique.


Ils avancent un peut plus vers notre caravane, en trainant des pieds et en maugréants. Certains ne daigne même pas quitter leur maison. Je les laisse faire mais leur montre ma désaprobation d'un regard. Un téméraire me fit face.


Je croise mes bras et le regarde droit dans les yeux, et je lui répond d'un ton froid.


Le téméraire baisse la tête, apparement il ne s'en était même pas rendu compte. Je résiste à l'envie de l'insulter devant sa connerie monstrueuse. Comme si ça me faisait plaisir de crier dans les rues. Une vieille femme s'avance dans la foule, et me parle d'un ton mal assuré :


Des voix se font entendre dans la foule, rumeur et suppositon sont au rendez-vous.


Cette phrase suscite débat, certains approuve d'autre non, il faut absolument éviter ce genre d'embiguité.


Personne ne vint me contredire, ils se mirent le ligne dans le calme tandis que mon caravanier distribuait l'eau. Tout se déroula sans problème. Je parti cependant voir si toute les maisons du quartier était bien venue pour la distribution. A ceux qui n'étaient pas venu je les prévint de se dépêcher d'aller chercher de l'eau car nous ne les attendrons pas.
Nous eumes pile le compte pour le quartier, je demanda à mon caravanier de retourner à l'entrepot et de se mettre a disposition d'un autre ninja. Quand à moi je partit en soutiens aux autres convoie. Je fut forcé de constater que certains perdait du temps, das des conversations des plus inutiles. On ne va pas discuter pendant une heure du fait que l'eau est polluée. Si on leur laisse le moindre doute sur cette affirmation ils se mettrons des scenarios catastrophes dans la tête. Même si j'avoue avoir pensé la même chose qu'eux.

Ce n'est que le soir venu que je pue enfin rentrer chez moi, une bouteille d'eau sous le bras. Je pense avoir fait mon travail comme il convenait, j'en ais peut être même plus fait qu'il ne fallait. En tout cas il n'y eut aucun débordement à Kumo. Quand a moi je suis épuisé et je vais être heureux de retrouver mon lit.