InvitéInvité | Sujet: Un objet familiale ? Ou pur caprice ? ! [Mission rang C] Ven 15 Juin - 16:47 | |
| Je n'allais ni bien ni mal aujourd'hui. Je m’apprêtais à partir en mission quand ma mère me fit signe de rentrer pour le retour de mon père se soir qui était en déplacement dans le pays de la Foudre. Hm... Être juunin ce n'était pas de tout repos pour tout dire. M'enfin pour le moment je ne suis qu'une simple chunin vouée à servir au mieux les missions que l'ont me donne. Même si celles-ci sont ennuyantes, désespérantes,... Et j'en passe, j'aimais bien ce grade car j'avais la possibilité de mettre en pratique mes vrais talents de ninjas et ça, ça me plaisait énormément. J'ai toujours rêvé d'être une grande femme ninja qui aiderai son pays à même y laisser la vie. Pour moi j'étais sur la voie de ce rêve d'enfant, un rêve que j'allais réaliser mais pas seule, m'enfin je l'espère. Vivre une vie seule chez moi n'allait pas me convenir de toute façon mais l'amour passera en dernier.
Pour le moment j'avais une mission qui m'attendait, d'après ce qu'on m'avait dit, je devais rencontrer un homme pour qui je devais ramener une dague qu'il tenait à coeur. Oui, vous avez compris j'étais la chose qui devait aller faire le tour du monde et de le renverser si je ne trouvais pas ce qu'il désirait ! Mais je ne me décourageais pas tout de suite car je n'avais pas encore rencontré l'homme et je n'étais pas entrain de la chercher pour le moment. Alors je n'allais pas sauter les étapes, hein ! Chaque chose en son temps !
Je marchais jusqu'au lieu de rendez-vous dans ma tenue traditionnelle, oui même en mission je me baladais ainsi. Ce n'est pas une mission des plus hautes pour que je me mette en tenue de chuunin, je n'en voyais pas l'importance. Le lieu de rendez-vous était encore à quelques pas devant moi, les gens autour de moi étaient comme des fourmis qui entraient et sortaient de leur fourmilière. Kiri était bien peuplé cependant, pour une ville brumeuse, la population n'en était pas moindre et les marchand non plus. Kiri avait repris sa gloire ! Me voilà enfin au lieu de rendez-vous. L'homme était déjà là et à ma venue me reconnu tout de suite, bizarre. Pourtant j'étais habillée en civil mais il m'a reconnu. Je m'approchais de lui à mon tour et le saluai. Mizuki : Bonjour, monsieur, je suis Taki Mizuki, je suis la kunoichi venue pour remplir votre mission.
Homme : Nul besoin de se présenter madame, nous nous sommes déjà rencontré durant l'une de vos missions au magasin du vieux Mucha ! Vous vous souvenez ? Je suis l'homme qui vous a accueilli !
Mizuki : Oh mais oui bien sûr ! Je m'en souviens, vous vous portez bien on dirait.
Homme : Bien, bien, bon voilà je ne vais pas tarder donc, j'aimerai que vous me rapportiez cette dague. C'est un objet de cérémonie que nous utilisions dans ma famille. C'est assez complexe pour tout dire mais voilà. - Spoiler:
Après un "Vous pouvez compter sur moi !" Je me retrouvais de nouveau seule dans les rues après que l'homme retourna à son travail. Maintenant c'était à moi de faire le mien. Je longeais les rues dans l'espoir de trouver un marchand d'objet en tout genre mais personne. Pour une fois que j'ai besoin d'un marchand nomade ! Je n'avais vu ce genre de dague à Kiri, alors je peux vous dire que c'était comme chercher une aiguille dans un botte de foie... Mais je n'allais pas abandonné comme je l'avais dire je vais persévérer en temps que kunoichi de Kiri ! Une femme ne peut pas abandonner ce qu'elle entreprend ! Je suis une dame téméraire et je compte bien le prouver, je pris mes jambes à mon coup et commençai à courir vers les vendeurs de toute la zone marchande pour les demander des renseignes sur la dague que mon client me demandait. Malheureusement les peu d'informations que je puis collecter m'étaient d'aucune utilité. En plus le seul marchand d'objet de se genre ne reviendra pas à Kiri avant le mois prochain après qu'il aura fait sa ronde au Pays du Feu. Je n'avais vraiment pas de chance sur ce coup-ci. Je marchais sans réel but dans les rues de Kiri, je me rendais au magasin d'objets en tout genre mais mes efforts furent réduits à moitié. Je ne perdais pas espoir je continuai à faire mon tour de Kiri, à frapper aux portes des collectionneurs, des vendeurs d'objets anciens, chez le forgeron de Kiri, l'un des meilleures et même lui n'en avait pas. Serait-je condamnée ? Non, je ne le suis pas encore et je ne comptais pas abandonner aussi facilement pour une simple dague ! J'avançais à toute vitesse dans la rue pour rejoindre l'autre moitié de Kiri vers les habitations quand tout à coup, une homme me bouscula, j'étais maintenant par terre. Je me relevai avec un peu de mal et en regardant mon kimono rouge qui maintenant avec une jolie coloration marron foncé. Et puis merde ! Je n'avais pas de chance et cette foutue dague me rendait folle ! Cet homme avait du soucis à se faire, salir ainsi mon vêtement, il allait me le payer ! Je me relevai pour l'engueuler quand je vis un visage qui m'était familier un ventre qui dépassait un peu, un visage rond et très blanc avec un barbe courte.NE serait-ce pas ce bon vieux... Yukikage ? (voir ma mission à Yuki)
Yukikage : Oh ! Pardonnez mon imprudence demoiselle, oh mais je vous reconnais vous êtes la belle kunoichi qui nous avait débarrassé des mercenaires il y a deux semaines de ça ! Bien.
Mizuki : Konnichiwa Yukikage-sama. Oui, c'est bien moi. Pardonnez-moi je ne regardai pas mon chemin.
Yukikage : Ne vous en faite pas, vous avez l'air bien pressée dite-moi ! Où allez-vous comme ça ?
Mizuki : Je suis en pleine mission, je dois trouver une dague qui ne se trouve pas à Kiri malheureusement je ne sais pas trop quoi faire ! Mais bon, que nous vaut votre venue ici sama ?
Yukikage : Bien, je suis venu rendre visite à ma belle famille qui habite à Kiri. Votre histoire m'intéresse quel genre d'objet cherchez-vous ?
Mizuki : Une dague. Kaita elle se nomme.
Après encore l'un de ses "Bien", il me demanda de l'accompagner lui et ses hommes. Oui, il était suivit de deux gardes du corps qui après mettre fait bousculer se sont précipités vers moi croyant que j'étais une malfrat. Je vous dis, les gens jugent trop vite sans savoir ce qu'il se passe. Cependant ils se sont reculés après que le kage de Yuki les dit de reculer. Je disais donc, il voulait que je l'accompagne chez sa belle famille qui avait déménagé à côté d'un magasin qui en me décrivant me rappela direct celui de ma mère. Je les dis de me suivre vu que je connaissais parfaitement Kiri. Avec mon kimono tout sale je n'étais pas très présentable mais je devais faire avec, oui, c'est dur pour une kunoichi ... Je ne pouvais même pas récupérer un kimono au magasin pour me changer. J'étais fatiguée, je transpirais j'avais besoin de prendre une bonne douche froide pour changer. Oui, j'aime un peu le changement de temps à autre. Mais pour savoir de quoi je parle vraiment vous n'aviez qu'à lire mes dernières missions ! Bah oui, je n'ai pas le temps de vous en faire un résumé désolé. Bien, après avoir perdu dix minutes de mon temps pour les amener chez sa belle-mère, le kage me remercia avec ses plus plates excuses. Il me dit de l'attendre un instant. Comme-ci je n'avais que ça à faire, il fit un signe à ses gardes qui prirent le sac qui se trouvait dans le chariot qu'il poussait par la même occasion et en sortit un mouchoir qui couvrait un objet. Le yukikage tendit la main pour que ces derniers lui remettent l'objet. Il me regarda et me tendit de nouveau l'objet en le découvrant. Stupéfaite, je ne savais pas quoi dire.Yukikage : Est-ce là la chose que vous cherchiez ?
Mizuki : Ou.. Oui, La dague, Kaita !
Yukikage : Vous la l'offre en échange de votre gratitude.
Mizuki : je .. je l'accepte volontiers, je n'ai sais quoi vous dire...
Yukikage : Ne dites rien c'est un cadeau, bon merci pour tout mais je dois rejoindre ma famille au revoir. Je pris la dague et courus vers l'homme a qui je devais cette requête. J'étais vraiment étonnée qu'après avoir fait la ville de fond en comble de la recevoir de cet homme aussi facilement. Comme quoi l'aide charitable sert beaucoup, il m'a sauvé en tout cas ! Je crois que nous sommes quitte lui et moi. Je me dirigeai toujours sale vers l'homme qui se trouvait dans le magasin. Je la lui apportais sans trop me faire remarquer dans le magasin qui me connaissait déjà à cause de l'incident. Mais bon l'accueil était très bien et la dame me souriait. Je me sentais détendu. Je la remis à l'homme qui sortait déposer des caisses dans l'arrière boutique. Il me remercia en me serrant la main et en la basculant de haut en bas. Il avait l'air d'être heureux et c'est quand il dit : "Enfin la dernière pièce de ma collection !" Que je compris que ce n'était pas un objet de rituel ou autre mais bien un objet de collection hyper rare ! Je n'aimais pas les menteurs mais pour le coup je devais aller me changer alors je me hâtai chez moi pour pouvoir prendre un bain froid et enfin changer de vêtements !
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