Naruto no Sousaku
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 Maitre Kodô-sama

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MessageSujet: Maitre Kodô-sama   Maitre Kodô-sama EmptySam 1 Sep - 22:41

On ne fuit pas le passé...
On l'oublie, du moins essaie...
Livreuse, la voilà réduite à ce statut et puis quoi encore ? Enfin, elle s’habituait à force, mais son retour aux bases était mauvais pour son orgueil, elle qui était quasiment au sommet de Suna la voilà réduite aux tâches les plus ingrates… Juste retour dirons-nous, un prix à payer pour tout si elle se souvenait bien, aussi ne restait-il plus qu’à subir et en silence de préférence, mieux valait se faire discrète en ce lieu, retrouver de vieilles connaissances serait de mauvaise augure. Puis au fond, cette histoire de livraison lui rappelait ses bases, c’est vrai qu’en y repensant, quasiment toutes ses missions étaient similaires à celle d’antan… Un hasard ? Ou bien le cycle naturel de tous les shinobis, Suna n’évoluait pas d’un pouce, répétitive à l’infini, la preuve. C’est pourtant avec le sourire qu’elle retrouvait quelqu’un qu’elle connaissait bien maître Kôdo, toujours ici le bourge, la première fois qu’elle l’avait vu c’était avec Shin et il n’était encore que chunin, d’ailleurs, c’est curieusement ce grade-là qui aujourd’hui lui était redonné, troublant.

Dans les rues de Suna, près des portes de cette dernière, il avait pratiquement fini leurs assiettes, un employé du marchand venait accompagner des shinobis manquants, coupant la conversation de la tablet en s'adressant à son maitre. « Maître Kô.do voici les chunins qui vont faire la livraison pour vous… », quasi même à l’identique que la première fois, son sourire avait effacé cet air si sérieux qu’elle ne quittait plus, c’était idiot, comment pourrait-il la reconnaitre. Morte aux yeux du monde, plus le même corps, plus la même apparence, ni la même vie, plus même les même capacités, comme elle se senti pitoyable pour le coup. Elle avait certes beaucoup perdu, mais en revanche ne trouvait pas vraiment ce qu’elle y gagnait, bien au contraire, la voilà à nouveau chien soumis de ce sable étouffant, pire que la prison et la torture, elle avait les deux en une fois et le tout sous un voile qui la disait « libre ». Insupportable, ni plus ni moins, à nouveau, elle baissa la tête tentant d’encaisser le tête, le prix à payer, voilà tout, la patience, il fallait maintenant s’en armer et tout irai pour le mieux, mieux valait s’en convaincre…

Tandis que tous saluaient, elle tourna la tête dans une direction précise, elle voyait à nouveaux ses ombres qui lui comptaient sa vie passée et le Datenshi qui approchait, encore tout jeune, bien loin de celui qu’elle connaissait aujourd’hui. Le réflexe de le narguer devant mauvaise mine lui revenait, c’était amusant ce fait qu’il ne semblait d’humeur, ça semblait si réel, la première fois qu’elle eut vu sérieux n’est-ce pas, le son de sa voix qui retentissait et son injure favorite, -« la naine »-, qui aurait cru que cela pourrait lui manquer. Aussi curieux que cela puisse paraitre cela la rassurer, c’était stupide au fond, mais qu’importe, « Tu as un air familier jeune fille… », voilà les mots qui firent disparaître les acteurs de la scène que seule elle pouvait voir se jouer, « Nani.. ? », l’homme la fixa avec attention, « Et là bien plus encore… ». Alors que cela ne pouvait être envisageable, c’est pourtant un sentiment joyeux qui la gagnait en le voyant suspicieux à son égard, bon vieux Kôdo, combien de fois avait-elle fait affaire avec lui depuis, n’avait-il pas en plus était témoin de la déclaration du Shiba. Décidément, cet homme avait été présent si souvent dans les moments clef de sa vie, c’était troublant. Cet endroit ici même qui la faisait déconnecter de ce monde un instant, elle n’avait pas toujours été aussi amère, mais l’envie de sourire en y pensant n’y était plus, elle prêtait plutôt à la colère et aux larmes, faible au final, fut sa dernière constations alors que le groupe s’éloignait et qu’elle restait figer là, prisonnière de son passé…

________________


Elle avait constaté la présence d'Inajiro ce jour-là et il tombait à pic, c'est justement lui qu'elle cherchait. Ils avaient tous deux un point à régler, en le revoyant, elle revoyait aussi parfaitement le moment où elle était resté bouche bée après qu'il lui ai volé un baiser, pire encore quand en un instant il disparaissait aussi vite qu'il avait agi. Franchement c'était le dernier point qui l'a contrarié le plus, il avait intérêt d'avoir une excuse en béton, même-ci partir ainsi était impardonnable, il méritait une sanction. Droite comme un piquet, bras croisés, Oni se demandait la réaction à avoir, elle ne se penchait là-dessus que maintenant ayant fait des efforts pour ne pas y pensé.

Plusieurs solutions étaient envisageables, restait à trouver celle qui lui convenait le mieux. Lui criait dessus, il était habitué à sa terrible voix, il s'en ficherait et puis elle n'osait pas vraiment avec Inajiro malgré sa facilité avec Shin, son calme permanent l'a laissé se fatiguait toute seule. Une belle gifle, témoignage physique des plus traditionnels, là encore, elle n'était pas inspiré à le frapper, elle se ferait plus de mal qu'à lui et puis celle-là aussi il l'attendrait. L'ignorait, celle-là la fît sourire, trente secondes relèverait déjà du record, il ne fallait pas voir gros grand non-plus. La Kitsune s'approchait simplement du Shiba pour se pencher vers lui, avec insistance, elle examinait un long moment en silence ses yeux dans lesquels elle arrivait à voir le rouge des siens se reflétait. C'est alors, qu'avec un visage sérieux, dans le même timbre de voix qu'elle annonçait son diagnostic après qu'il est affiché son air surpris, " Ah, c'est toi Oni, ça fait un petit bout de temps ...", disait-il, oui justement un bout de temps, il ne croyait pas si bien dire...

Toujours les yeux dans les siens, elle l'écoutait avec attention, ça faisait longtemps oui qu'ils ne s'étaient pas vu justement, elle l'avait craqué toute la journée cette fois pour être sûre de ne pas le raté. Elle finissait par lui répondre après s'être enfin décidé de sa sentence définitive... « Tes yeux vont bien de toute évidence, alors comment tu as fait pour t'écarter autant de mon front jusqu'à mes lèvres? » Elle lui souriait avec un air espiègle, lui rendant son geste passé en posant son doigt sur sa bouche, interdiction de répondre. Oni se foutait ouvertement de lui en ayant tout même beaucoup de mal à garder rire contenu, il méritait bien une punition pour être parti comme ça, elle comptait bien lui rendre sa frustration du moment, elle l’embêtait donc gentiment sur l'évolution de ses marques d'affections. La veille un baiser sur le front et le lendemain il enchaînait sur les lèvres, l'espace d'un instant elle préférait le premier, car au moins il était resté avec elle, mais elle se souvenait rapidement que c'est avec celui-ci aussi qui l'a quitté pour la première fois sous la surprise. Mais, il en faisait une tradition ou quoi? Il faut croire, seulement, il avait fini par ne plus revenir, il était temps de s’y faire, mais pour l’heure, l’idée ne la frappait pas, le moment trop précieux effaçait toutes réflexions…

Au moins, il avait toujours eu le don de la surprendre, même-ci cela ne lui déplaisait pas, elle le fixait agacer, il était peut-être temps d'être plus clair. Au final, la Kitsune se perdait un peu, il commençait avec autorité en s'affichant en sensei pas très tendre, elle avait encore le souvenir de son premier entraînement, il n'avait pas fait dans la dentelle. Puis en partant il débutait sa première marque, la traitant avec tendresse comme un père avec sa fille, le jour et la nuit. Trois ans plus tard, il reprenait un rôle paternel avec elle, pour se contrarié dans ses actes en suivant, Inajiro ne faisait pas dans la facilité ou il ne savait pas ce qu'il voulait. Elle ôtait donc son doigt de ses lèvres maintenant elle espérait bien qu'il répond, « Dis-moi, tu te rends compte au moins que ça devient une habitude entre nous ce jeu ? À moins que ce soit les retrouvailles qui te plaisent tant... ?» Elle ne pouvait s'empêcher d'être taquine avec lui, incapable de se fâcher, elle se contenterait de cela pour se venger.

________________


Un jeu ? Ce mot fut le déclencheur de son retour à la réalité, elle se retournait un sourire en coin qui dissimulait la larme chaude qui avait fini par s’écouler, peut-être était-elle lassée de les garder depuis si longtemps. Tête baissée, elle avançait en suivant de loin, avec pour écran qui cachait cette image pathétique d’elle, sa chevelure blonde flottant au vent. Oui un jeu, c’est bien curieusement ainsi qu’elle voyait sa vie et si elle était, du moins se voulait bonne joueuse, elle n’avait pas su l’être la preuve. La défaite, elle constatait avoir finalement perdu et ne pas l’avoir admis, tout ceci en était la conséquence, le seul sur lequel elle ne voulait pas perdre, quelle poisse ou quelle mauvaise tacticienne, un peu des deux se disait-elle. « Eh bien, qu’est-ce qu’il t’arrive ma jolie ? », cette voix familière se matérialisa bientôt par un geste touchant qui essayait son visage, c’était curieusement face à elle la deuxième personne en ce monde à voir ses yeux brillants. « Kôdo… », le mot lui avait échappé, le nom de celui qui était devenu un ami de longue date, le même qui prit un air troublé et pour cause, elle ne s’en était pas rendu compte, mais là voilà qui était changé, Aya envolé, seule Oni persistait, c’était finalement le démon conscient qui pleurait.

« Oni-chan… » L’homme était stupéfait, dans un réflexe, il l’éloigna des regards indiscrets, par chance, personne à cette heure en cette ruelle, elle était passé inaperçu, « Mais par tous les diables ! Vivante ? Et là… Vraiment, je ne comprends pas à quoi tu joues… ». Jouer justement, c’était là tout le problème, elle avait bien trop joué et maintenant cela se payait, elle laissa sa tête tombée sur l’épaule de cet homme maintenant bien âgé qui avait un air de son Oba qui lui manquait plus que jamais. Des années, c’était certain qu’elle s’était écoulée sans plus jamais qu’elle n’ai cherché le réconfort, se pensant au-dessus de cette volonté qu’elle jugeait de faible et la faiblesse, c’est ce qu’elle voulait à tout prix élimer. « Dans quel pétrin tu t’es mise encore, tu collectionnes vraiment les bêtises… Allons, allons… », sa voix posé et calme avait un effet inexpliqué sur elle, c’était peut-être ça qui lui manquait, qu’elle avait oublié, puis soudain, le moment d’égarement s’envola. Elle le poussa avec entrain, puis se remit bien droite face à lui, de ses mains elle essaya la pathétique petite de liquide salé qui s’était écoulé et la fixa d’un sourire bien à elle, « Je suis ravie de vous revoir Kôdo-sama… ».


«Ton passage du noir au blanc m’a toujours amusé Oni-chan… », pas de question, pas d’insistance, pour dire comme il la connaissait bien, il se contenta de rire en tapant sur l’épaule de sa cadette qui reprenait la marche avec lui. « Si tu m’expliquais… », sans réaction, redevenu « normale » Aya lui répondait simplement et au fond elle disait un peu vrai, « Il n’y a rien à expliquer… ». On pouvait entendre bien mieux maintenant le rire bruyant de l’homme, prônant qu’elle ne changerait jamais, vraiment ? Pourtant elle se sentait déjà bien différente, « Hum… Je ne sais pas ce qu’il y a dans ta tête tordue, mais je sais d’avance que tu ferais mieux d’y renoncer…». Se fut ses dernières paroles pour elle, il avait usé d’un air sérieux, après quoi il fit un simple geste de la main avant de disparaître, la laissant là avec les autres pour sa livraison au Kazekage. Hebi ? Elle soupira, la bonne blague, d’autant qu’elle savait où le serpent se tenait en ce moment, pour cause, c’est elle qui l’y avait laissé, sous soins intensifs, à nouveau cette pointe dans le ventre, le dilemme. Lui qui était la cause de son retour à Suna, celui-là même pour qui elle ne pouvait la quitter, l’abandonné ? Hors de question, alors il fallait rester enchainé à cette chose qu’était Suna, jamais. C’est certaine de ça qu’elle ramassait la première caisse lui échappant des mains, les kunais s’étaient dispersé au sol, mais ce n’est pas tellement eux, mais plus leur aura qui l’interpella.

Cette lueur, cette chaleur, elle la ressentait, comme-ci c’était la sienne, la même que lorsque sa marque se déclenchait, un fuinjutsu ? Le même que celui qui la parcourait pour sa poupée qui lui servait de corps, livré au Kage ? Impossible, Hebi n’était pas au courant, jamais il ne l’aurait trahis, c’était une certitude à laquelle elle n’avait pas besoin de réfléchir. Les faits se dessinaient alors, son serpent était disparu depuis longtemps, elle s’était faite « cueillir » comme une fleur par un nukenin qui la connaissait fort bien. Puis elle avait le souvenir des murmures du labo face à la panique de ne pas retrouver son corps, alors le Datenshi n’aurait jamais dû l’avoir, il y avait un traître ici, bien plus grand que Hojô qu’elle accusait de tout, un qui avait su se jouer d’elle, d’Hebi et de Suna en passant. Elle replaçait tout le stock dans sa caisse en silence, avec un amer arrière-goût qui lui passait bien vite, qu’importe, il pouvait bien faire tout ce qu’il lui plairait, elle se souvenait de son désir profond qui plus que jamais devait s’assouvir. Qu’il manipule ses patins comme bon lui semble, bientôt Suna ne serait plus, alors qu’aurait-elle à faire jouer ? Plus rien.


Bien étrange sensation que de passer le portes du bureau kage en simple livreuse, elle qui avait son labo ici-même. Elle connaissait cet endroit apr cœur, d’un simple regard il fut évident que rien n’avait changé et d’un sourire en coin, Oni se faisait oublier, très vite, elle s’était infiltré dans ce lieu où la sécurité avait été créée par ses soins. Passant les portes de ce qui était son bureau, elle découvrit une salle abandonnée recouverte de drap blanc, en tirant un, elle put découvrir que tout était resté à sa place. La photo de son petit diable enfant trônait là, elle l’attrapa et la garda en main tout en se dirigeant vers une sculpture à même le mur, qui bientôt laissa la place à la belle pour un accès à son laboratoire. Quelle poussière, c’est d’ambler ce qu’elle pouvait dire, avec la vérité désormais, qu’un long moment avait dû passé pour qu’il finit en pareil état, un coup d’œil à ses précieux spécimens et la déception encore… Tous morts, sans plus personne pour en prendre soin ils avaient dépéri les pauvres, c’est avec une légère haine qu’elle coupait els lumière de cette zone lui offrant cette vision irritante. La preuve aussi de l’imprévu qu’il l’avait frappé, des années de recherches foutu en l’air ici aussi, au moins, le stock de poison lui était intact, juste enseveli sous ce qui recouvrait la zone la faisant éternué, enfin rien de bien grave.


De plus une charmante connaissance lui faisait les yeux doux, placé en évidence là sur cette table, n’attendant qu’elle, évidement, pas étonnant qu’elle soit tant en évidence quand on savait les quantités impressionnantes dont la Kitsune savait en consommer. Attrapant la fiole, elle observa perplexe le liquide qu’elle rajoutait dans son thé et qui l’emportait dans un autre monde avec une aisance déconcertante. Il n’y a qu’ici, qu’elle usait de ce cocktail puissant, ici où nul ne venait jamais la cherchait, où nul n’aurait su la voir. La gardant elle aussi bien en main, elle s’installa dans son fauteuil le même qui si souvent l’avait aidé à se prêter à la réflexion, les pieds en l’air, sa jambe était retenu par l’accoudoir du meuble où elle se tenait en viais. « Tss, même moi je me sais pathétique dans ses moments-là… », la tête désormais en arrière dans le vide, elle fixait le plafond tandis que ses cheveux balayaient le sol. Son reflet dans un miroir, c’est ce que l’on pouvait apercevoir dans sa position, perplexe, son visage se contraria, qui l’avait mis là ? Le pire est qu’il était à l’endroit précis où sa déchéance était à son point le plus élevé, était-il un message, pour lui dire de se regarder dans ses moments-là. Elle soupira, peu friande de ce genre de leçon, maintenant bien droite, un kunai avait quitté ses cheveux pour se heurtait la glace et la détruire, tandis que elle en une pirouette s’éloignait des bouts de verres qui tombait du plafond. Une pluie scintillante de verre s’abattant avec fracas, qui dévoilait une sortie vers le sommet, un long puit sombre, qu’importe où il menait ou qui l’avait laissé là. Il n’avait pour Oni plus qu’une seule signification, celle lui disant qu’il était temps d’en finir avec cet endroit avant qu’il soit utilisé contre elle.


C’est donc à l’aide d’une de ses plus adorés des jutsu, qu’elle usait de sa technique de fourbe, lâchant ce gaz maudit qui a la moindre étincelle allait tout faire sauter, pour quitter le lieu, elle usa de la deuxième porte, celle la menant au panthéon directement, là où usait sans scrupule des corps venant y séjourner. Et tandis qu’elle se refermait derrière elle, une petite flamme sorti de sa main était gardé soudainement dans sa main, avant que d’un geste las, elle la fasse glisser vers l’intérieur. La détonation n’eut lieu qu’au bout de quelque seconde, faisant trembler le bâtiment et rire la belle, elle n’eut qu’à sortir simplement, comme-ci elle avait été en visite dans ce tombeau des grands de Suna…

Citée pathétique qu’est resté Suna…


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