Le matin alors que je venais tout juste de partir des bras de la fille de mon ancien professeur, un shinobi me confiât un ordre de mission. Dans celui-ci j'apprenais que mon ancien professeur ce fait faire chanter par un inconnu pour obtenir diverse chose, celui-ci bien embêter souhaite qu'un shinobi se charge de mettre un terme à son calvaire, mais le Raikage souhaite savoir avec quoi on le fait chanter. Je dois alors faire une enquête discrète qui ne montre pas que ce dernier subisse quoi que ce soit pour ne pas soi-disant inquiété son entourage. Pour commencer l'enquête, je ne vois qu'un seul endroit, chez lui. Une fois au pas de sa porte je frappe sur cette dernière, on vient m'ouvrir, c'est la très élégante femme de mon ancien professeur.

« Bonjour, désolé de vous déranger madame, mais je voudrais parler à votre mari. » Lui dis-je, en souriant.
« Oh bonjour, mais je crains qu'il ne soit déjà parti à son travail. »Me dit-elle, tout en souriant à son tour.
« Oh, je vois ce n'est pas grave, dans ce cas je pourrais voir votre fille s'il vous plait ? »Lui demandais-je.
« Oui, entre elle est dans sa chambre, mais tu ne serais pas ce copain dont elle nous parle sans arrêt par hasard ? »Me répond-elle
« Eu, peut être bien pourquoi ? »Lui dis-je gêner.
« Oh pour rien, je voulais juste voir à quoi tu ressembles c'est tout. »Me répond-elle, puis elle retourne à ces occupations.

J'entrais dans la chambre de cette dernière et je pus la voir en train de se préparer, puis une qu'elle avait fini de s'habiller je lui demandai si elle avait des indices sur qui pouvait faire chanter son père. Elle me donna le nom de trois personnes qui pouvait peut-être le faire chanter. Je me renseignais sur la première, mais les informations qu'il a pour faire chanter l'autre n'étaient que de la broutille. Moi je ne pense pas que l'on peut faire chanter un type avec seulement sur le fait qu'il prenne un peu de matériel de l'académie des nuages. Non c'est sur il vaut mieux allez voir la personne suivante, celle-ci est sa maitresse. Je pense que là je tiens une piste, du coup je me rends chez sa maitresse et une fois au pas de sa porte je frappe. J'entendis un peu de tapage, alors je décide d'enfoncer la porte. À peine entrer je vis une ombre partir de la chambre par la fenêtre de son appartement. Sachant que la femme en question n'est pas une shinobi je préfère chercher celle-ci que partir à la poursuite du fuyard. Pendant que je cherchais la jeune femme, j'entendais un petit bruit venant de la salle de bain. C'était la maitresse de notre cher professeur, mais la pauvre avait été tabassée.

« Madame, vous voulez que je vous conduise à l'hôpital ? » Lui demandais-je, inquiet au vu de son état.
« Non ... ça ... ça ira ... merci. »Me répond-elle encore sous le choc en bafouillant.
« Qui vous a fait ça ? » Lui demandai-je à nouveau, voulant trouver le responsable
« Per... sonne. » Me dit-elle toujours en bafouillant.
« C'est votre amant ! » Lui dis-je sur de sa culpabilité.
« S'il ... vous plait ... partez. » Me dit-elle, voulant se débarrasser de moi.
« Très bien madame comme vous voulez. » Sur ce, je me retire de chez elle.

Une fois le pas de la porte passer je compris que mon ancien professeur avait besoin d'une petite visite de ma part. Je vais lui apprendre une ou deux petites règles de savoir-vivre. Je me renseignais rapidement sur le lieu où il était, puis je mis rend. Il était à la grotte d'entrainement du village, une fois surplace je dégainai mon katana et d'un coup je m'élance sur le professeur. Il n'eut le temps de réagir et se retrouva à ma merci la lame de mon katana sous sa gorge.

« Je t'avertis pour cette fois et seulement pour cette fois, relève la main sur une femme et tu n'auras plus de main. » Lui dis-je, sur un ton sec.
« Que ... que veux tu dire ? »Me demande-t-il, bafouillant du fait que la lame appuie sur sa gorge.
« Je parle de ta maitresse que tu as tabassée en croyant qu'elle te faisait chanter. » Je commence à m'énerver et cela s'entend.
« De ... qui veux-tu parler ? » Me demande-t-il, faisant l'innocent.
« Continue à faire l'innocent et tu vas perdre ta vis. »Lui dis-je, tout en appuyant ma lame un peu plus sur sa gorge.
« Très bien, je ne lèverais plus la main dessus. »Dit-il, paniqué
« Il vaut mieux pour toi, surtout quand tu te trompes. Elle n'a même pas dit que tu l'as battu. » Dis-je, navrer pour cette pauvre femme.

Je repartis dans l'obscurité de la caverne retournant au village, une fois à celui-ci j'appris que le troisième n'était qu'un subterfuge. Il ne me restait qu'un ou plus tôt qu'une seule coupable pour moi. Sa fille, elle le faisait pour le discréditer vu qu'elle ne peut pas le voir. Mais vu comment il traite les femmes on comprend mieux pourquoi elle ne le supporte pas. Je retournais au domicile de celui-ci pour parler avec sa fille.

« C'est toi en faites qui le fais chanter. » Lui dis-je, en la regardant droit dans les yeux.
« Oui, mais bon il le mérite... » Me dit-elle, hésitent à continuer sa phrase.
« Explique-moi je peux t'aider, tu sais. » Lui dis-je, voulant la rassurer.
« C'est un pauvre connard qui bat les femmes ! » Me déballe-t-elle d'un coup.
« Tu veux dire qu'il... a déjà levé la main sur toi et ta mère ? »Lui demandais-je, un peu hésitant.
« Oui ... c'est ce que je veux dire. » Me répond-elle, hésitante et d'une toute petite voix
« Je vais t'aider, mais pour ça il va d'abord falloir que tu arrêtes ton chantage, car le Raikage m'a donné l'ordre de mettre un terme au chantage, par la suite je dois dire comment on le faisait chanter et je dirais que c'est en donnant la preuve qu'il vous battait du coup il se fera arrêter dans les jours qui viennes. »Lui dis-je, en cherchant à lui remonter le moral.
« Cela me convient, mais il risque de nous battre entre-temps et je ne supporte plus ça. »Me dit-elle.
« J'ai une solution ... tu la verras quand il rentrera. »Lui dis-je, un peu énigmatique en sortant.

Une fois son père rentrait, je l'entendis hurlais puis un peu de casse se fit entre, c'est alors que j'entre chez lui sans frapper ni rien. Il se retourna surpris puis se figea me voyant se rappelant de mon avertissement. Je me rapproche sans dire un mot ma main sur la poignée de mon katana, je contins ma route jusqu'à sa fille pour l'embrasser sous ses yeux.

« Il y a un peu de bruit ici chéri. »Me retournant vers son père le fixant du regard.
« ... » La fille et la mère furent muette et surprise de mon action.
« Que fais-tu là toi ? » Me demande le père énerver.
« Ça ne se vois pas je suis le copain de ta fille et je viens la voir, pourquoi cela pose un problème. » Lui dis-je tout calmement.
« Non ... » Me dit-il contrarier.

Sur ce il sort de chez lui comprenant que je ne partirais pas, au petit matin je me rendis au bureau du Raikage avec la mère et la fille pour qu'elle porte plainte afin que leur cauchemar prenne fin. Une fois, cela fait le soir même le professeur fut conduit en prison pour un petit moment et là je suis sûr que l'on va lui apprendre les bonnes manières.