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Un soleil jaune et chaud, des oiseaux bruyants en sifflotant, des gens, des personnes passants et repassant à longueur de journée. Lui, était assis sur un banc en plein milieu de ce jour, afin d'y rester incognito. Il observe, les édifices l'entour, ses pensées sont vides et sa personne est invisible, qui est-il ? Les personnes ne le remarquent pas. Pourtant il est bien là, attendant quelque chose, ou quelqu'un, sans bouger une seule fois. Serait-il endormi ? Pourtant non. Simplement, il est immobile. Il se contente de regarder sans faire un seul mouvement. Cet homme est en fait dans une recherche bien précise, si vous vous nettoyez les rues et bien sachez que c'est la tâche qui lui est transmise aujourd'hui. Mais pas de la même manière que vous autres, il doit simplement se débarrasser de vils enquiquineurs.

Il se lève. Il est grand, imposant, face à la plupart des passants, il marche, ses pas sont légers, rapides, il se dirige vers un premier bar. Il rentre et s'assied au comptoir. Il commande. Après y être resté plus d'une heure sans dire un mot, il quitte cet endroit, pour un autre et cette rengaine recommença de nouveau. Toute la journée, même durant la soirée, ce fut que répétitif, sans vraiment trouvé ce qu'il cherche, il rentre chez lui, attendant le doux lendemain pour reprendre ses recherches.

Lendemain, 8h00... L'homme arpente déjà les ruelles et les allées de Konoha, à la recherche des voyous qui foutent la pagaille un peu partout sur leur chemin. Posté en haute position, il attend en regardant de haut le village. Le soleil brille, le ciel est vide, bleuté par sa couleur, pas une once de trace d'un seul nuage. L'air est doux, légèrement froid, parfait pour prendre une petite brise de matin en altitude. Il inspire, un maximum, pour respirer la clarté, la bonté de l'environnement, avant d'expirer. Légèrement, il se relève, face au village, d'une certaine hauteur il voit ça comme si il est libre, comme si il est roi, il sent en lui une lueur, un sentiment qu'il ne peut expliquer, le bien-être sans doute .

Des cris alarment. Il se vide les pensées, ce sont sans doute les hommes qu'il cherche, d'un long et grand saut, il fait un atterrissage souple, sur un des toits des immeubles, en contrebas la pic montagneuse qui était la tête de Minato Namikaze, un ancien Hokage, sculpté au-dessus du village. Il exécute une roulade lorsqu'il retombe sur ses jambes et commence à courir, sautant sur plusieurs édifices qui l'entourent pour arrivée sur les lieux d'où il a entendu les cris précédemment.

Il termine sa course, sur un des marchés de Konoha, une petite poignée d'hommes s'y trouve, causant un vacarme du diable, embêtant les passants et les commerces, les marchands criant à l'aide pour punir ces lâches qui ne savent pas s'en prendre à plus fort. Il s'avance, en tête de foule et les regarde, jugeant leur petit spectacle bien trop médiocre. Je vous cherche depuis hier. Il semblerait cependant, que votre boucan provoqué en ce moment, soit parvenu à mes oreilles. Les bandits se regardent entre eux. Un à un ils essayent de comprendre qui est l'homme qui leur fait face courageusement.

Qui es-tu enfoiré ?! Débarrassez-vous de ce clown en costume et vite ! Quand le maître dicte, le chien obéit. C'est ce qui se passe, le chef vient de s'identifier et les sbires viennent de se manifester. Hiroshi, tel est le nom de celui qui vient d'arriver sur les lieux, s'avance, marchand vers ceux qui court pour venir se battre face à lui. Il s'arrête. Les fixant du regard, quel est son intention ? Il pointe alors ses deux index vers la petite troupe de faible voyou. Vous ai-je permis de venir souiller mon village ? Non ! Ma lumière vous punira, vous reposerez dans les tourments de l'abysse, l'enfer.

Il condense sa lumière au bout de ses doigts, des derniers, deux lasers lumineux sont tirés fonçant comme un éclair sur deux, des premiers adversaires. Au sol, ils ne se relèvent pas. Le Shinobi avance, tel un shinigami, venu donner la mort à ses victimes. Il rejoint ses mains, grandes ouvertes, ou de la lumière apparaît. Un canon de lumière, c'est ce qu'il va faire, et telle une ébène qui vient s'abattre sur le monde, le canon s'abat sur les cibles, dégommant plusieurs d'entre eux, comme des quilles au bowling.

Il ne reste plus que le chef de la troupe debout, les autres n'étant pas Shinobi, sont bons pour l'hôpital. Il est intimidant, Hiroshi lui fait peur. Il tombe au sol. De la bouche du Shinobi, une lumière apparaît, un souffle de lumière baptisé Karyuu No Hikari, qui vient alors totalement écrasé le briguant sur le sol qui ne se relève pas. Le ninja se retourne, marchant vers de nouveaux périples.