Il pleut du sang, un sang aussi noir que le ciel, un ciel sans lune, une lune ne possédant plus son contraire. Il pleure des larmes, larmes incolore au gout salé, sel précieux car d'une rareté presque éphémère. L'enfant les genoux sur un sol humide, imbiber de se sang qui tombe se tient en avant, le visage couvert de ses mains, ses mains trop petite pour retenir le flot de tristesse qui assèche son corps. Petit corps fragile qui ne déverse pourtant jamais de larme. Petit corps fébrile qui remue sous les spasmes de sa première réelle peine. Les blessures du cœur sous souvent plus grave que celle causé au corps. Il ne pense plus, il ne parle, il ne vit que pour laisser les perles d'eau parler pour lui, car il n'y à pas de discourt plus profond que le discourt du cœur. Au-delà des mots, l'enfant ne tente de dupé personne, guidé par l'émotion de l'instant, il se laisse mourir de chagrin.
Soudain, il voie la réalité en face, comprend que la mort fait partie de la vie et alors, ses larmes cesse de tomber, cesse de venir en conflit avec le sang. Il comprend en voyant ses larmes disparaitre dans toute cette effusion de sang. Il comprend qu'il est inutile de pleurer pour la mort, qu'il est inutile de s’attrister sur son sort ou celui des autres, qu'importe le temps qu'il passera à pleurer, ses larmes disparaitrons pour laisser place au sang. Il regarde ses mains don la couleur habituellement blanche est devenu rouge. Et alors il se promet, il fait le serment que plus jamais il ne lâcherait une larme pour qui que ce soit, il évacuerait son chagrin par la force et le combat. Que plus jamais il ne suivrait la voie du faible.
Alors il se lève, marche vers cette porte avec une lenteur presque irrespectueuse de la situation. Ce n'est qu'une fois face à elle qu'il tourne les yeux, qu'il regarde réellement ce corps en charpie. Ce n'est qu'a cette instant qu'il observe celle qui le protégeait jusque maintenant. Un rictus alors ce forme, une déformation de son visage. Ni un sourire, ni un trait de peine. Un mélange des deux. Alors qu'il regarde sa sœur, il réalise vraiment ce qu'il vient de faire. Puis il sort...
Me voila maintenant dans la rue du village de la brume. Je devais faire une mission avec un jeune ami connu durant l'academie. Suno Yuki, une personne tres gentille mais avec un drole de genre. Il n'appreciait pas les lieux lumineux, et encore moin la foule. IL preferait etre en arriere des autres. J'avais tissé avec lui, des liens assez fort pour pouvoir executer des missions ensemble. Celle-ci etait la premiere, il fallait bien que sa arrive un jour. Marchant dans la rue, ma dague accroché a mon dos, ainsi que mon bandeau frontale positionné sur la ceinture de mon pantalon. Il faisait frais, un legé petit vent faisait bouger mes cheveux bleu et blanc. J'arrivais au carrefour principale du village, regardant les environs, en ne voyant que foule autour de moi. Je mis quelque petite minute pour trouver Suno, collé a un arbre.
Un petit sourir fit son apparition sur mon visage, un sourir de joix de retrouver un ancien camarade de cour. Arrivant a sa hauteur, lui m'avait deja reconnu, je pensais meme que depuis le debut il devait savoir que la mission aller s'éffectuer avec moi. Il me salua, et me posa la question que je pensais. Oui je me souvenais de lui, il portait toujours son bonnet noir et sa longue veste. Une tenu qui pour certain faisait pedophile x). Mais souhate a notre age on pensais plutot a autre chose. Je lui tendis la main pour le saluer et je dis a mon tour.
<< Comment oublier avec qui j'étais a l'academie. Oui je me souvient de toi mon cher Suno Yuki. Et je suis ravis de faire equipe avec toi pour cette mission. Comme tu la si bien dis , sa fais longtemps >>