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Le soleil était à son zényth, Kumo en pleine activité. Les restaurants étaient remplis et remplissait les rues d'oeurs toute aussi alléchante les une des autres. Sur le village planait la quiétude, mais pour combien de temps ? Les messagers non jamais été aussi nombreux qu'en ce moment, tout les jours quelqu'un franchissait les portes pour annoncer un quelconque drame. Bien entendu n'étant que Genin je n'étais pas autorisé à entendre les précieuses informations que les messagers humains ou animaux transportaient. Viendra un moment ou on me confiera les secrets des guerres et du gouvernement. J'ai hâte de pouvoir me battre enfin. Loin de moi l'idée de vouloir devenir un chien de chasse au garde à vous devant son maître Raikage, mais j'ai besoin de devenir plus puissant. Après tout plus je deviens fort et plus je pourrais montrer que mon clan détruit méritait son ancienne réputation.


Comme à mon habitude j'admirais les rues par ma fenêtre, des nouilles instantanés à la main. Décidément quelque chose me dérangeait aujourd'hui, quelque chose dans l'air. Comme un mauvais présage que me souffle le vent. Faut il que j'y prête une quelconque intention ? En tout cas cela me laisse perplexe, et m'en coupe l'appétit. Je jette le reste de mon repas à la poubelle sans plus de cérémonie.
J'entend un oiseau chanter. Mon petit moineau m'attend sur le bord de ma fenêtre. En voila un qui n'a pas perdu le nord. Je tend la main face à lui, paume ouverte, et le vois se poser dessus. Je détache délicatement le mot à sa patte et le vois reprendre son vol. Je m'empresse de lire le mot, enfin de l'action pour moi.

Citation :

" Une livraison de médicament vient d'être livré aux portes du village, vous ètes priez de vosu y rendre pour vous assurer que tout les stoks sont bien présent. "

Ils se sont enfin décidé à surveiller leur stocks à Kumo, c'est pas trop tôt ! Je vais peut être retomber sur Yamamoto Takeshi*. Il a intéret à faire son travail correctement, sinon il va encore devoir passer chez le dentiste pour de nouvelle dents.
Je prend ma veste fétiche, accroche mon bandeau à ma ceinture et saute une nouvelle fois par la fenêtre. C'est repartit pour l'aventure. Je me dirige donc à l'entrée de Kumo, que de souvenir.

Les portes grandes ouvertes semblent mieux gardés qu'a mon arrivé. Il y a vraiment quelque chose qui ne va pas ici. Sa sent les hostilités, mais quelques choses me dit que c'est pas à notre frontière que le pire est en train de se dérouler. Je repère rapidement les ninjas chargé de la surveillance. Il semble nerveux pour certains, les autres ont un visages de marbre. Les nerveux sont les petits nouveau, ceux qui n'ont pas encore connu la guerre et la souffrance. Les autres sont des vétérants, ils savent ce que coute le moindre manque de vigilance. Je me demande si je ne suis assez puissant pour me mesurer à l'un de ses ninjas expérimentés. Sans doute que non et cela m'hérisse le poil.
Je repère Takeshi les bras croisés, qui regarde l'horizon. Il se prend toujours pour le maître celui-la. Si seulement il faisait correctement son boulot il pourrait faire son malin, mais c'est vraiement pas le cas. Encore un qui cherche à s'engraisser sur le dos des autres. En attendent, lui qui à un pied dans le marché noir et moi qui ais le dessus sur lui, la situation est à mon avantage.
Je me glisse dans le dos de cette vielle connaissance et l'apostrophe :


Il se retourne et le regard noir qu'il voulait me lancer se transforma rapidement en un regard d'animal battu. Il se souvient donc de moi, je n'en attendais pas moins.


Tout son corps se crispe, et moi je souris mesquinement. Quel animal apeuré.


L'homme déglutit et instinctivement porta la main à sa joue. Il se rappel les sensations des coups portés qui le laissèrent mal en point un long moment. De plus j'imagine qu'expliquer à ses clients pourquoi il se trouve dans un etat si pareil à du être très compliqué.
Le convoie de médicaments arriva. De nombreuse caravane tiré par des cheveaux qui se suivaient en file indienne, se rangèrent en ordre devant les portes du village.


Nous interpellons les conducteurs demandons d'ou ils viennent et regardons nos listes pour voir les quantités marqués. Takeshi c'était auparavent empréssé de me fournir une liste.
Je ne nota aucun problème, mais je pris soin de vérifier le travail de mon collègue. Il ne manqué plus qu'il triche sous mon nez. Il fit cependant un trvail remarquable. S'il faut mettre des coups de pieds au cul aux gens pour qu'ils se bougent qu'a cela ne tienne j'en fait mon affaire.
En quelques heures l'affaire fut bouclé. Les caravaniers repartirent plus léger, et Takeshi prévint ces propre caravane pour rapatrier tout cela aux entrepots.


Je lui lance un regard noir et il s'empresse de s'éxécuter.


J'aime quand tous se passe bien. Aucun problème dans les stocks parvenus au village, chacun avait tenu ces promesses. Pas eu besoin de frapper quelqu'un pour se faire obéir, en voila une belle vie.

Traversant les rues de Kumo, je ne vis que tranquilitté et bonne humeur parmis les citoyens. Mais quand un ninja croise mon chemin je comprend vite que ce n'est qu'une image de paix. Le monde bouge et nous avec. Peut être mon village d'accueil devrat-il montrer de quoi il est capable. Ce serrait malheureux d'en arriver là, mais les choses sont ainsi.
Je dépose mes papiers à l'accueil de l'hôpital, précisent qu'ils étaient adréssé au médecin en chef et qu'il s'agissait du compte exacte des médicament fraichement arrivé. L'hôtesse me remercia d'un petit sourire, et je repartit aussi sec chez moi, pour attendre la prochaine mission.

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* Yamamoto Takeshi : Référence à la première mission de Tetsuya [Ici]