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Me voila Genin de Kumo, entrer au sein du village n'a pas été si difficile que ça. Une fois les présentation faite les papiers remplie je devint l'heureux propriétaire d'un appartement. Me voila donc loger, c'est déjà pas mal. Mon passe temps favoris quand je suis dans mon appartement, c'est me poster à ma fenêtre, et regarder la rue déployer son animation quotidienne. Cependant je vis très vite une animation qui n'était pas inscrite sur le planing de mes habitudes.
Une infirmière accourait dans ma rue, tenue blanche, poitrine opulente et crinière blonde. Si c'est pas la parfaite carricature des femmes de ce métier qu'on me coupe un doigt. Elle me semblait tout de même affolée, et quand elle croise mon regard je vis du soulagement. Qu'est ce qu'on va encore me demander ? Je sent l'urgence à plein nez.


Je ne bouge pas d'un cil, ce qui semble la contrarier. Je ne suis pas médecin et ils pensent que j'ai un stock de bandage dans mon appartement. Navré mais je ne me déguise pas en momie tout les soirs au soleil couchant. M'enfin si c'est une mission, je suis bien obligé d'y répondre.


Voila qu'elle ne le sait même pas, dans quel pétrin je me suis encore fouré. J'attrape ma veste sur ma chaise, l'enfile, et saute par la fenêtre. Premier étage, réception au poil. Je me plante devant l'infirmière et distingue son nom sur son badge : Ayumi machin chose. Bon va faloir la secouer un peux. Je me force à faire mon visage aimable et souriant.

Ayumi-chan j'ai besoin de savoir le nom de ce type tu peux me le dire s'il te plait. Je te rappel que c'est une urgence.

Bien entendu devant un simple petit élan de politesse, elle me pique un phare et me lance un regard roucoulent. Mais enfin elle m'avoue le nom du gardien des stocks, un certains Yamamoto Takeshi. S'il y a plus de stock pourquoi j'irrais voir ce type, tout simplement car il y a plus de 50% de chance qu'il revende du matériel médical, appartenent normalement à l'hôpital, à quelques particuliers. Le marché noir, pratique courante, et j'ai pue fortement le constater quand je travaillé dans la famille marchande qui m'eut accueillis.


Je plante la mon infirmière et part à la course en direction des entrepots du villages. Je me suis longtemps promené dans le village la nuit, mon moment favoris, et j'ai très vite mémoriser la disposition de ce dernier.
J'attrape au passage le premier gardien que je croise et lui demande où se trouve Yamamoto Takeshi. Devant le regard noir que je lui lance en même temps que la question il me répond rapidement :

Entrepot D allée 5

Je ne lui dit pas merci, et part directement à l'entrepot toujours à la course. J'ai dit que je mettrais vingt minutes, et ma montre m'indique déjà que j'ai mis exactement six minutes pour arriver ici. Bon pas de temps à perdre. J'ouvre l'entrepot et vois un homme de dos en train de faire l'inventaire des stocks. Comme s'il n'avait pas entendu que j'ouvrais la porte.

Oh ! C'est toi Yamamoto Takeshi ?

L'homme se retourne et me lance un regard mauvais, mon gars tu n'es pas tombé sur le bon ninja. Refait moi un regard comme celui-la et tu va te souvenir longtemps de mon nom. Bien entendu vu le regard du gars, je comprens que c'est lui et je marche vers lui, d'un pas qui se veut hésitant. J'aime jouer à ce petit jeux, donner l'impression qu'il à réussi à calmer mes ardeurs.

Je peux savoir ce que tu me veux gamin ? Me lance t-il avec hargne.

Je regarde ma montre, huit minutes de passer, bon je me donne cinq minutes pour régler le problème et on est repartit. Je m'approche encore de Takeshi baissant les yeux.


Je le regarde droit dans les yeux, les miens ayant maintenant une couleur rouge, sous l'effet de la colère.

Je veux que tu me donne le stock de bandages que tu t'es gardé sous le coude pour le vendre au marché noir. L'hôpital en à besoin, donc donne moi ce qu'il faut pour refaire les stocks.

Pas décourager Takeshi soutiens mon regard et me lance penot :


Il me tourne le dos voulant mettre fin à la conversation. Je lui met un coup de pied rapide dans les deux genoux, le faisant tomber instantanément à quatres pattes au sol. Fou de rage il se relève et me fait face. Le voila en colère ça tombe bien. Il tente de me mettre un coup de poing je l'évite d'un pas de coté, et lui en met un dans le ventre. Il recule d'un pas, relance un assaut, qui a la même finalité, mais cette fois je l'atteint au visage. Ne pouvant jouer plus longtemps, c'est moi qui lance l'assaut et lui met deux poing de plus au visage et apperçoit une dent voler sur le sol, en même temps que sa carcasse tombe au sol.

Bon tu as finit de jouer ? Mes cinq minutes sont bientot terminé je peux avoir mes bandages ?
Ouif, parvient à articuler Takeshi.

J'y suis peut être aller un peut fort, quoi que sa lui ferra les dents. Il me désigne du doigt des cartons emballés dans un coin. J'en ouvre un par précaution et vois effectivement qu'il s'agit de bandage et de coton.

Bon Takeshi tu as été un bon gars, je ne dit rien sur ton petit trafique. En échange bien entendu tu refait les stocks de l'hôpital pour demain, et quand j'ai besoin de quelques choses tu me le donne. Je saurais bien te le rendre, ou du moins tu n'auras pas à te retrouver de nouveau dans un état pareil. Et dit toi bien que ce n'était qu'un échauffement...

Je lui lance un rouleau de bandage pour ses bléssures. Prend un carton sous le bras et part pour l'hôpital. Je regarde ma montre j'ai mis huit minutes à régler son compte à ce gardien véreux, un peut déçut d'avoir dépasser mon estimation. Enfin cela me laisse six minutes pour arriver à l'hôpital. Je reprend ma course et arrive en cinq minutes au lieu de dépot de mon colis. Ayumi m'attend dans le hall d'entré. Ne me dite pas que je vais me la coltiner tout le temps !


Non c'est juste une boite en carton, Baka ! Je résiste quand même à lui dire cette phrase et opte pour un :

Oui comme convenue. Et le reste arrivera demain.

Je lui tend le carton, elle me le prend avec un grand sourire. Je lui tourne le dos et repart chez moi. Je me demande quand même quel serra ma prochaine mission. Si on me demande de retrouver un chat, la bestiole ne serra pas indemme...