Je regarde mon genin plein de fougue me devancer pour rentrer dans la maison du chef. Bien entendu il se trompa d'abord de maison, ayant vu la jeune Mayuri m'indiquer la maison des ramasseur de thé. Prenant compte de sa tromperie il se dirigeat vers la maison d'a côté, cette fois la bonne. Je suis sur que s'il devait compter notre mission il ne dirra pas qu'il sait d'abord tromper de maison. Oh un moment de honte est vite passé mon petit lion.
Je prend tout mon temps pour arriver, j'espére que ma recrue a eu le courage de demander les informations de notre mission. Mais apparement j'arrive pile quand il veut ouvrir le bec. Trop long à la détente le Kovu. C'est loupé pour moi, me voila encore obliger de parler pour nous. En tout cas je prend place sur une chaise à côté de mon genin, qui à l'air de me bouder. L'aurais-je vexer ? Ma fois c'est comme ça qu'on se supasse.
Le vieux chef ne sait quand à lui plus ou il en est, il nous dévisage tous les deux ne sachant qui commande l'autre. Situation normal quand les deux se positionne comme dominant et non comme dominer. Je décide de prendre la parole.
Bonsoir, nous sommes les ninjas de Kumo que vous avez demandé. Désolé d'arriver si tardivement, nous avons eu quelques empêchements en route.
Je tourne mon visage vers mon camarade. Si ce fichu genin pouvait réfléchir et parler tout en marchent nous n'en serions pas là. Enfin le principal c'est qu'on soit arrivé je suppose. Je regarde plus attentivement Kovu notament ces poches. Aucune bosse, ne me dites pas que cet idiot à balancer mon rubik's cube ? Pas le temps d'y réfléchir, la mission.
Vous avez des informations à nous communiquer ? Comme leur nombre ou les méthodes qu'ils emploies sa peut nous être très utiles.
Oui, biensur, biensur. Nous avons repéré la trace de deux à quatre hommes, c'est très variable. Tout comme le nombre de singes capturer. Ils attirent les singes dans des cages dont la porte se rabat automatiquement quand ceci tirent sur les appats placé à l'intérieur.
Pas très futé ces singes. Le vieux chef continu de parler sur mille et un petit détails. En bref les braconniers viennent tous les deux jours et c'est justement demain qu'il ferront la chasse aux singes. Cependant le nombre d'homme est incertains, ils doivent répondre à des commandes, augmentent le personnel (et le nombre de capture) les jours de grosse commande. Esperons que demain serra une grosse commande.
Je remercie chaleureusement ce vieil homme fatigué par les années, pour le couvert et le gite de ce soir. Notre travail ne débutera que demain matin après tout.
Nous sortons de la maison du chef, et j'observe mon genin d'un oeil étrange. Aurait-il vraiment jeter mon jouet ? Je vais vite le savoir de toute manière, et ça va se payer. Ce genin na pas encore compris que de sa formation dépendait beaucoup de chose. Notament de Kumo, qu'il devrais considérer comme une mère patrie. Non pas que je sois très compatriote et tout ça, mais le village de Kumo est remplie d'une quiétude que je peux voir chaque matin, et que je n'aimerais ne pas voir troubler.
De plus il se passe beaucoup de chose dans les hautes instances de Kumon, on le cache mais le Raikage n'est pas au sommet de sa forme. Il se passe des choses étranges même. Pourvu que nous nours retrouvions pas sans chef une nouvelle fois.
Nous arrivons à la maison des étrangers, à comprendre par là que c'est une maison qui est réserver aux gens de passages. Mayuri nous y attend et nous invite à nous installer dans le salon le temps qu'elle finisse de faire à manger. Je profite d'un pseudo oublie, une fois dans le salon, pour revenir dans le couloir d'entrée, posé ma veste et prendre deux minutes pour aller voir si mon jouet se trouvait dans la caravane. Rien ! Il me la balancé ! Je retourne dans la maison et arrive dans le salon. Je m'assois sur un coussin au sol, face à la table, tout en prenant la position du lotus. Je vois que Mayuri à pensé à nous donner une bouteille de sake, avec trois coupelles empilés. Je nous en sert à tous. Et tend celle destiné à Kovu, qui lui aussi assis me fait face.
Boit donc un peut petit lion, ça t'enlèvera cet air renfrogné.
Il saisit la coupelle et la bois cul sec. Je prend bien soin de voir s'il la boit ou s'il utilise un quelconque subterfuge pour éviter de prendre un verre en ma compagnie. Je deviens méfiant. Je bois la mienne cul sec également. C'est comme ça que l'on boit le sake après tous. Kovu me regarde ce demandent sans doute ce que je manigance.
Demain nous nous lèverons à l'aube, tache de bien manger et de te reposer convenablement. Autant que tu soit en état de faire quelques chose demain.
Il me regarde d'un sale oeil, et je lui souris aimablement. Je ne suis ni son père ni son sensei mais je me comporte comme les deux. Sa doit passablement l'énerver, mais après tous je fait ça pour son bien. A se prendre pour un Roi il finira Pion.
Dit moi Kovu, je peux avoir mon rubik's cube ?
Je vois qu'il cherche une échapatoire à cette question et je ne lui en laisse pas le temps. Je place ma main devant ma bouche, comme si j'imitais l'envoie d'un baiser, et souffle un vent violent qui soulèvent la table et propulse ma recrue contre le mur violement. Celui-ci secoué se retrouve au sol d'où il se relève avec un visage méchant.
Toujours dans ma position du lotus, je me lève et voit Mayuri se précipité face aux bruits.
Laisse nous régler ça Mayuri, lui lançais-je sans la regarder.
Kovu face à moi se préparais à un nouvel assaut. Il veut en découdre, mais il prend du temps à réfléchir.
Je ne suis pas ton sensei, mais je n'ais pas besoin de ce titre pour te mettre une bonne correction.
Je lui décoche trois shurikens, ayant toujours mes sacoches sur moi, même si mon manteau était posé à l'entrée. Il les contre aisément, ce qui est normal il est quand même genin. Mais cela me laissa le temps d'employer un de mes genjutsu.
Kovu vit une étrange brume sortir de ma bouche, et celle ci à une vitesse fulgurante l'entoure. Et il vient à manquer d'air et à avoir l'impression d'étouffer.
Je te présente ma technique, le nuage étouffant. Tu as encore du temps avant de mourir alors je vais parler et tu vas essayer de m'écouter attentivement.
Le pauvre Kovu est mal en poing, il se tient la gorge tout en toussant. Il est maintenant péniblement assis sur le sol, les genoux sous les fesses. Quel position fier dans un tel moment. C'est bien un lion après tous. Je décide de mettre fin à ma technique, j'aimerais ne pas être coupé par cette méchante quinte de toux. Et puis le tuer m'ennuierais. Kovu reprend des couleurs, mais il se tient toujours la gorge et doit maintenant avoir les sensations post traumatique d'un etouffement. Mon regard rouge depuis le début de ce pseudo " combat " le fixe intensément.
Tente un quelconque geste contre moi par vengeance et je te tue. J'essaie de t'inculquer l'envie de te surpasser, je te montre tes points faibles, et tu n'es bon qu'a mordre la main qui veut t'aider. Tu n'es pas doué pour suivre les ordres et obéir à un supérieur, tu n'en fait qu'a ta tête. Je ne peux pas permettre à un genin d'agir selon sont bon vouloir. Tu met en danger tout le monde en n'en faisant qu'à ton bon vouloir et en voulant te montrer le "Roi". Nous sommes tous des pions dans ce monde, nul homme n'est invincible. Seulement nous avons une hiérarchie et plus tu y monte plus tu ferras ce qu'il te plait, tant que ça ne blesse pas les autres... Tsss... Je perd un temps fou à t'expliquer comment marcher droit. Tu cherche le respect d'un supérieur et tu ne le vois pas. Ais un peut plus confiance à tes ainés !
Je le regarde et je constate qu'il m'écoute.
En ce qui concerne le village si tu n'as pas de sensei, et si c'est moi ton formateur c'est tout simplement car nous sommes en sous effectif à Kumo. Ce qui pose un réel problème. Nous ne sommes pas dans les meilleurs termes avec nos voisins, et un simple genin inconscient pourrait déclencher une nouvelle guerre. Est-ce que tu comprend un temps soit peux ? Si je suis là c'est pour te juger apte ou non à devenir chunin, et donc à être apte à aider Kumo dans les heures difficiles qui viennent. Et la tout de suite tu ne passera pas en grade de si tot, tu fait honte au clan qui as su donner un Raikage à Kumo, et tu n'as que du mépris envers tes supérieurs qui t'ont permis de coulés de nombreux jour heureux.
Je m'approche de Kovu, et me retrouve à un mètre de lui. Il est obligé de lever les yeux pour voir mon visage.
Tâche de réfléchir à la meilleur manière de travailler avec tes ainés.
Je pose ma main sur sa tête, comme le ferrait un père avec son fils. J'emploie une autre technique de genjutsu de mon répertoire, le nuage endormit. C'est avec la vision d'un nuage cotoneux que kovu bascule sur le côté et s'endort.
Même s'il est endormit je ne peux m'empêcher de lui lacher quelques mots aimable.
N'aurai-tu donc aucune considération pour moi qui cherche à t'aider ? Tu n'es qu'un idiot, toi qui pourrait devenir un membre de qualité pour Kumo. Quel gachis se serrait de te voir mourir car tu n'as pas voulu écouter ton chef.
Sachant que tant de bruit à du faire peur à Mayuri, je me décide à aller voir dans la cuisine. J'ouvre la porte coulissante, qu'elle avait aimablement fermé après lui avoir fait comprendre de ne pas se mêler de nos affaires, et la trouve derrière, assise tout en penchant l'oreille. Elle me regarda surprise d'être découverte dans son espionage.
Ce n'est pas bien de jouer les petits espions Mayuri. Je suis désolé de tout le foutoir que nous avons mis. Je vais t'aider à tous remettre en ordre.
Ce n'est rien. Mais euh... Kovu est...
Endormit seulement. Tu pourrais préparer notre chambre s'il te plait ? Je vais m'occuper de ranger le salon.
Je lui sourit aimablement, essayant de détendre l'atmosphère. Peut être que j'y étais allé un peut fort avec Kovu, mais sa me paraissait nécessaire. Ne comprenant pas les paroles il comprendrait peut être les actes de force.
Oui, je vais préparer vos lits.
Mayuri se leva et partit dans la pièce à côté. Quand à moi je me dirigea en cuisine pour prendre de quoi balayé et une pelle pour ramasser les morceaux de verre brisé laissé par le sake et les coupelles.
Le nettoyage fut fait rapidement. Par chance je n'avais pas brisé la table en l'expulsant avec mon fuuton. Je pris soin de la remettre en place et fit attention de ne pas laisser de morceau de verre tranchant sur le sol. Un accident est si vite arrivé.
C'est quand j'ai finit mon nettoyage que Mayuri réapparait, me signifiant que la chambre est prête. Aimablement elle se propose de m'aider à transporter Kovu. Je l'attrape par les bras et elle le prend par les pieds, et nous l'enmenons là où il finira sa nuit. Les deux lits sont en fait que de simple matelats posés au sol avec une couverture et un oreillet. Un peut soucieux de l'état dans lequel ma recrue serra à son réveil je lui enlève sa tunique, le laissant torse nu, et j'examine son dos en le plaçant sur le côté. Le choc fut rude j'aperçoit plusieurs bleus.
Mayuri tu n'aurais pas un ongue dans ta caravane qui pourrait arranger ça ?
Si, si, je vais le chercher.
Elle se presse d'aller le chercher, apparement elle est vraiment inquiète pour mon genin. Je me prend à regarder si je n'aperçoit pas le signe des membres du clan Raiken sur son corps, mais ne le trouve pas. Cela m'intrigue. N'aurait-il pas encore été autorisé à utiliser la puissance de son clan ? Voila une question intéressante, mais je n'en chercherais pas la réponse.
Mayuri revient avec une boite qu'elle tient comme un trésor. Je la remercie d'un hochement de tête, ouvre la boite et me met à tartiner les bleus de mon genin de cette pommade curatrice. Je demande encore l'aide de la jeune femme pour qu'elle me trouve des bandelettes, qui permettrons à la pommade de pénétrer un peut plus la chair et donc d'être plus efficace. Elle s'execute et j'emballe le torse de ma recrue de bandage. Et bien le jeune lion à l'air malin comme ça.
Nous nous retirons de la chambre laissant Kovu à la fin de sa nuit. C'est non sans plaisir que nous nous mettons à table. J'ai la joie de constater les talents de cuisinière de Mayuri, qui sait relever un plat avec les épices qu'elle recueille à chaque coin du pays.
Au début du repas nous ne parlons pas, elle sans doute surprise de ce combat entre camarade, et moi encore dans l'agitation du moment, et dans une profonde réflexion sur ce que j'allais faire de ce genin s'il continuait à s'entêter. Mayuri cependant arrive à surmonter sa timidité et à lancer un sujet de conversation, que je m'empresse de saisir pour enlever ce malaise planant sur nous.
La fin de soirée finit agréablement en conversation, ce n'est pas les éclats de rire pour autant, mais je me contente de cette ambiance moins pesante.
Mayuri me quitte fatigué, mais prend le temps de me faire un thé que je prend plaisir à déguster. Elle me signale aussi qu'il y a des pyjama dans le placard de la chambre.
Merci pour tous ce que tu fait pour nous Mayuri, tu es une chic fille.
Je vois le rouge monter à ces joues et elle part ce réfugier dans sa chambre. Ne me dite pas que Mayuri à le béguin pour moi, la barbe. Tu montre un peut de gentillesse et tu as une meute aux fesses. Je ferrais mieux de la redirigé sur Kovu, ce serrait plus amusant. Je me demande comment il se comporte avec les femmes lui. Si ça se trouve il serrait un ange si j'étais une femme en même temps que se sont supérieur. Quoi que je ne connais pas ces gouts.
Je finit mon thé, et part mettre la tasse dans l'évier et me dirige vers la chambre. Kovu dort toujours paisiblement. Ma technique ne donne pas de cauchemard, c'est un rêve de paix qui gouverne son inconscient.
Je prend un pyjama dans le placard que m'avait indiqué Mayuri. Il s'agit en fait d'un Kimono/Pyjama, comme à la belle époque que je n'avais pas vécue. Je me glisse alors dans ces vêtements de nuit et les découvre léger et ample. Ce n'est vraiment pas désagréable, mais il faut bien faire attention de bien sérrer la ceinture. Par plus de précaution je garde mes sous vêtements.
Je me couche alors dans le lit voisin à celui de Kovu. Encore heureux celui-ci ne ronfle pas, sa aurait été le comble. Je finit par m'endormir péniblement après une demi heure à me battre avec ma couette. Bien entendu ce n'est que cauchemard et tourment qui vienne hanter cette nuit. J'ai même l'honneur d'accueillir Kovu parmis les membres de ma familles écorchés. Le jeune genin n'ayant plus de trachés essayé de m'articuler des mots dans une marre de sang.
Je sort de ce cauchemard deux heures à peine après m'être endormit. N'en finirais-je jamais de ces nuits pénibles. Généralement je parviens à tenir jusqu'à l'aube, là ce n'est cependant pas le cas. Est-ce Kovu qui vient me tourmenter ou bien le fait de mettre rappeler des souvenirs de jeunesse lié à ma mère adoptive ? Je ne saurais le dire, en tout cas je me lève. Inutile de rester allongé à regarder le plafont. J'ouvre une des portes coulissantes de la chambre et celle-ci débouche sur la court arrière, où un cerisier trône au beau milieu de ce terrain terreux. Peux de fleur, mais quelques une éparses.
Je prend un kunai dans une de mes sacoches, m'asseoie face à cette porte ouverte et m'amuse à lancé mon arme devant moi, et à la reprendre pour refaire le même geste qui me deviendra systématique. Je sais que j'abime le sol de cette maison d'invité, mais ce geste calme mes tourments. Je sais qu'il ne me reste qu'une heure ou deux avant le lever du soleil.
Je passa les heures restantes en réflexion et mise au point de stratégie diverse contre des adversaires imaginaires. Une fois que le soleil pointa à l'horizon je décida de m'habiller et de m'entraîner dehors. Les heures passèrent alors très vite avec l'exercice physique. Je vit Mayuri venir me servir un thé alors qu'elle avait les cheveux en bataille. Elle est d'une prévenance cette femme, bonne à être marier, c'est l'expression qui lui colle à la peau. Mais qu'elle ne compte pas sur moi pour l'épouser.
Je vois mon genin poster à la porte de la chambre que j'avais laissé ouverte. Il me fixe étrangement, je ne prend pas le temps de le regarder et lance :
Kovu va prendre ton petit-dej avec Mayuri, et lave toi le coin du museau. On partira après.
Mon ton se voulu froid, mais j'espère que la nuit lui à porté conseil. De toute manière je verrais bien sa réaction durant la mission. Je stoppa mon entraînement et partit prendre une douche bien mérité. Mon genin pendant ce temps mangeait dans la cuisine et en passant je capta une bride de phrase de Mayuri.
Il la fait pour ton bien... Ton village à l'air en piteux état d'après ce que j'ai compris.
Je ne préta pas plus attention à leur conversation. L'eau fraîche me fait un bien fou, et je me prélasse sous se liquide bien venu, un long moment. Je décide de sortir, tout en me séchant mes cheveux avec une serviette. Je croise Kovu dans le couloir, attendé t-il que je libère la salle de bain ?
La douche est à toi lui dis-je tout sourire.
Je part me servir un thé dans la cuisine, la serviette sur les épaules. Mayuri est assise à la table de la cuisine à éplucher des pommes de terre. Elle me voit me servir un thé et me lance ravi :
Tu as l'air d'apprécier mon thé.
Tu le fait bien, peut être que je l'aurais laissé infuser plus longtemps par contre.
Je n'aime pas quand le gout est trop fort donc je ne le laisse pas infuser beaucoup.
Je boit une gorgée, et nous voila partit dans une discussion sur le thé. Tu as gouté celui-ci, comment tu fait celui-là, ce genre de conversation de femme de maison ou de fan de thé. Kovu vint nous rejoindre en peut de temps. Je prend soin de jeter la serviette sur une chaise et dit tout en me levant :
Nous y allons. Je pense que nous serrons là pour midi.
Je fait signe à Kovu de me suivre. Nous traverson tous le village et arrivons devant la forêt. Nous nous enfonçons le plus discrêtement possible dans ce lieux qui nous serra hostile sans nul doute. J'ai le dégout d'apercevoir déjà un des lémuriens que l'on est sencé sauver. Planant d'arbre en arbre juste au dessus de nous, je montre à Kovu la bête. Dire que c'est ça qu'on doit protéger, j'en ferrais bien une descente de lit pourtant.
A force d'avancer dans la forêt nous aperçevont une petite clairière, à comprendre un troue de la largeur de deux arbres voir trois. On peut y constater la présence d'une cage mise là par les braconniers. Nous prenons soin de bien nous cacher derrière les arbres. Je m'avance à couvert et constate la présence d'une banane et d'une clochette dans la cage. Sans doute que quand l'animal bouge cela actionne la cloche qui ramènes nos braconniers. Bon ce n'est pas tous ça mais on a pas toute la journée. Etant donné les traces de pas que je vois sur le sol, il y a deux hommes ici. Je regarde Kovu avec malice.
Montre moi que j'ai tord sur toi.
J'utilise une métamorphose et devient un lémuriens volant doré. Je ne peux imaginer pire scenario que celui que j'entreprend. Je fonce dans la cage en prenant la forme de ce singe horrible, j'attrape la banane. Et je vois ma cellule se fermer sur moi. Je prend soin de me débattre assez pour que la clochette face son effet. Au bout d'une minute ou deux je vois arriver deux bon homme qui me regardent d'un sale oeil, presque pervers.
Kovu j'espère que tu as retenu des choses d'hier soir...