Spoiler:

Le papier en main je regarde ce que la secrétaire du bureau des missions viens de me donner. Mes yeux s'écarquille sur les mots.

Citation :

La petite tribu Saru à besoin de vous afin de protéger les petits lémuriens volant doré. Des braconiers sont à leur recherche arrêté les.

Je comprend mieux l'étrange sourire de la secrétaire. Me mettre à protéger des singes moi qui ne peux plus en voir un en peinture depuis ma rencontre avec mon sensei. Je ferrais bien comme ces braconiers moi je les dépècerais pour m'en faire un nouveau manteau de fourure.
Je vois Kovu revenir un jus d'orange en brique à la main et qu'il sirote avec une paille.


Je le plante une nouvelle fois au milieu de la conversation qui en fait n'était que dans un sens. Je décide de prendre mon repas dans un salon de thé. Une tasse d'un bon thé et quelques gourmandise me suffiront emplement pour ce repas de midi. A près tout je n'avais pas spécialement fain et pas non plus peiné à maitrisé un pauvre espion.

Je prend place au sein du salon Cup Forever. Et je me vois déjà abordé par un jeune serveuse toute pimpante, un tablier blanc ceintré sur sa jupe noir. Son décolleté pigeonant doit lui donner pas mal de problème avec les clients. Elle me sourie aimablement et me demande ce que je souhaiterais.


Elle note rapidement sur son petit calepin et repart toute joyeuse en disant un : "sa arrive toute suite". Décidément cette fille est bien trop joyeuse pour moi. Dire que je doit aller sauver de fichu singes. Je pense que mon sensei serrait hilare de savoir mon ordre de mission.
Je ne reste cependant pas longtemps dans ma réflexion que ma jeune serveuse vient plateau en main me déposer mon thé et mes friandise sucré. Je la remercie avec un sourire aimable (ce que c'est facile d'imiter la gentillesse) et prend avec envie une gorgée de mon thé. Ah le Earl Grey est un thé vraiement à part. Je sent dans ces effluve et son gout des rappels de pays lointain.

Spoiler:

C'est en regardent les passants que je déguste paisiblement ma boisson favorite. Cela fait environ quarante cinq minutes que je suis dans ce salon de thé. J'ai pris soin de commander une deuxième tasse de ce thé aux gout de bergamotte. Quand aux petites patisseries sucré je n'y ais que très peut toucher. Il faut dire que c'est une explosion de sucre que se reçoivent mes papilles à chaque bouché. Sa gache un peut le gout subtile de ma boisson je trouve.

C'est en observent la rue que j'aperçoit mon fichu genin marcher de bonne allure. Je suppose qu'il est tant d'y aller. Je demande à ma petite serveuse la note, qu'elle s'empresse de me donner avec son enthousiasme qui semble inaltérable. Je donne les quelques yens convenue et me précipite dans la rue. Je ne prend pas longtemps à ratrapper ma recrue, qui déjà me cherche partout à l'entrée du village.


Nous voila donc parti pour la frontière du pays. Ce n'est pas la première fois que je vais dans cette direction mais je pense que j'étais de meilleur humeur. Ce fichu genin na pas interet à faire une boulette. Quoi que la mort d'un singe ou deux ne devrais pas poser plsu de problème que ça.

Je regarde Kuvo qui tente de mètre un pied devant l'autre et qui stoppé dans son élan par ma question, me répond :


Nous commençons à faire quelques pas et me vient un drôle de présentiment, je sent que mon genin na pas compris ce qu'on va faire. Il me semble un peut etourdit. Mais chasser le naturel et il revient au galop. Je vois ma recrue s'arrêter et me demander :


Non content de s'arrêter voila que celui-la se pose littéralement à terre dans la position du lotus. Je commence à croire que son cerveau ne fonctionne correctement que quand il est assis. Ce matin il m'avait fallu attente qu'il prenne place sur la chaise en face de moi dans la cuisine, et maintenant il s'asseoie tout bonnement par terre. Je soupire de dépit, il va vraiment faloir améliorer sa reflexion. Il respecte trop le dicton réfléchir avant d'agir, hors on peut très bien réfléchir et agir en même temps.
Je ne prend pas le temps de m'aseoir et me place debout face à lui les bras croisés.


Je le regarde pour voir s'il va réagir mais il n'en fait rien. Il me ferra sans doute une longue tirade à la fin de mes explications.


Bon il semble que mon genin à bel et bien assimilé ce que je lui dit. Je me met cependant à fouiller mes poches à la recherche de quelques chose pour occuper Kovu durant le voyage. Histoire de ne pas avoir une tonne de question inutile. Une mission est une mission, inutile de se poser trente six question tant qu'on est pas sur les lieux.
Je trouve enfin ce que je cherche et le jette à mon genin, tel un morceau de viande. J'ai bien entendu le droit au regard interogateur.


Kovu décide enfin de se relever. Je me retourne donc en direction de la marche à suivre. Je me met à regarder la course du soleil et vois qu'il est déjà deux heure passé. Décidément je ne suis pas sur qu'on ait rejoins les Saru avant la nuit tombé. Avec un peut de chance on arrivera pile au soleil couchant. Mais la chance est elle vraiment avec nous ?
Je regarde Kovu se débattre avec son cube et me dit que non, la chance n'est vraiement pas avec nous. En tout cas mon petit jouet devrais l'occuper un moment. Et même s'il réussit une fois je le lui ferrais recommencer jusqu'à ce qu'il réussise à le faire dans un temps que j'estime bon.

Les paysages défilent devant nos yeux. Tantot nous traverson une foret tantot une prairie. Il est beau de voir que la nature prend ici tout ces droits. Les oiseaux gazouilles de différente mélodie. C'est un véritable orchestre que j'écoute en silence. Un silence que je m'attend à être brisé à tout moment, mais apparement ma petite recrue est trop occuper pour poser des questions, ou alors elle commence enfin à me comprendre et peut être me respecter. Enfin il ne faut pas rêver non plus, ce jeune lion n'est pas pret à être totalement dompter. Autant ce borner uniquement à améliorer ces capacités tout en le bousculant un petit peux.

Au bout de deux heures de marchent nous tombons sur des caravaniers, qui s'arrête à notre rencontre. C'est un homme d'une quarantaine d'année qui s'adresse à moi tout sourire.


Je met quelques minutes à le reconnaitre, il s'agit de Daisuke Sasagawa. Un des marchand qu'il m'est arrivé de fréquenter avec Arame, ma mère adoptive.


Daisuke se gratte la barbe en pleine réflexion.


Une jeune femme acourt au près de Daisuke. Sa chevelure brune coiffé en deux tresses pendante sur sa petite poitrine. Elle semble de nature timide vu le petit regard qu'elle lance à ma recrue et moi même.


Elle s'approche de moi et me tend une main délicate, que je sert précautioneusement temps elle me semble fragile.


Je laisse soin à mon genin de se présenter. Je pense même qu'il est ravi de la faire, après tout Mayuri est une jolie jeune fille. Pendant qu'ils se présentent mutuellement je décide de parler un peut avec mon vieil ami.


Je tapote machinalement le bandeau de Kumo attaché à ma ceinture.


Il y a des gens qui sont spontanément amicale et qui savent ce qu'ils vous doit. Daisuke et ce genre de personne. Il sait que ma mère adoptive et moi l'avons beaucoup aidé pour le démarrage de son activité commercial et il nous en ait très reconnaissant. Il n'hésite d'ailleurs pas à demander conseil à ma "mère".

Je remercie chaleureusement Daisuke qui repart avec le reste de sa troupe marchande, nous laissant seul avec une caravane et bien entendu notre guide. Je prend place à l'avant de la caravane à côté de la jeune femme et fait signe à Kovu de monter derrière. J'aime avoir un bon point de vue pour apprécier le voyage. Et puis ma recrue est toujours occuper avec son jouet.

Mayuri de nature timide ne s'empresse pas à me faire la conversation, mais je réussit à attirer on interet. Nous nous mettons donc à parler commerce, et je reçoit les informations que j'ai perdu en restent enfermé dans les murs de Kumo. Elle me nomme les nouveau marchand et me dit ceux qui ont arrêter toute activité. J'apprend donc que Arame s'en sort très bien et qu'elle à même augmenter les effectifs de ces caravanes. Elle aurait même le projet d'ouvrir un comptoire marchand dans le pays du thé.

Nous arrivons à la nuit tombé auprès de la tribu Saru, regrouppé dans un petit village atypique. Rien de bien fastueux, mais tout de très pratique. Mayuri m'annonce qu'une petite maison est réserver au visiteur de passage.


Je saute de la caravane et lui fait signe d'avancer. Je sent une présence dans mon dos, et je devine aisément qui c'est.


Je me retourne avec un large sourire. Elle me plait cette recrue.

Tetsuya m'explique rapidement les points essentiels pour mener à bien la mission. Je décide alors de continuer la route. Je me lève et avant même de faire un pas de plus, le Chuunin m'envoi ce qu'il appelle un rubik's cube. C'est une espèce de jouet qui ne m'apporte aucun intérêt. Alors, en évitant que Tetsuya ne me voit, je le jette au passage d'une marre d'eau. Au moment où le jouet touche le sol, je me mets à tousser pour dissimuler le bruit.

Au bout de quelques heures de marche, nous tombons sur des caravaniers. Ces derniers, à ce que je peux observer, semblent connaitre mon coéquipier. Pendant qu'un homme du nom de Daisuke Sasagawa parle avec Tetsuya, je remarque une jeune femme qui semble ne pas vouloir se sortir de la caravane. Avant que je puisse en savoir plus, Daisuke l'appelle par son prénom: Mayuri. Au loin, elle parait belle, charmante et élégante. Mais de près, elle est moche, vraiment moche. Je me contente cependant de lui sourire en guise de respect. Cette jeune femme, connaissant bien la tribu des Saru, va nous accompagner. Après avoir fait connaissance avec Tetsuya, elle se retourne vers moi. Elle se présente humblement et je fais de même.

Je suis Kovu, enchanté.

La jeune femme, apparemment timide, ne peut pas tenir deux secondes devant mon regard charmeur. Je souris intérieurement et ne cesse de me faire des éloges. Quelques minutes plus tard, Daisuke nous salue de nouveau et part vers le Sud. Quand à nous, nous montons dans la caravane. Quand je décide de monter à l'avant, Tetsuya s'obstine à ce que je me place à l'arrière de la caravane. Il veut surement séduire Mayuri.. Il aurait pu trouver mieux franchement. Alors, en essayant de ne pas trop me vexer, je saute à l'arrière et commence à chanter une chanson connue.

"C'est moi Simba
C'est moi le Roi
Du royaume animal

Je vais faire dans la cour des grands
Une entrée triomphale
En poussant très royalement
Un rugissement bestial."

La nuit arrive et on arrive à destination. Je sors de la caravane et observe le petit village. Ce dernier est simple, basique, en rien d'original. Tetsuya se retourne vers moi et m'annonce qu'il ira seul discuter avec le chef de la tribu. En plus de cela, il me demande de rester avec Mayuri, mais quel culot... Je me tourne vers le Chunin et lui adresse la parole avec une petite voix pour que seul lui puisse m'entendre.

Attend Tetsuya, je viens avec toi. Je ne suis pas venu en tant que touriste, je veux m'impliquer dans l'affaire. Et, sérieux, ne me laisse pas seul avec elle. Elle me fait peur.

Sans l'écouter davantage, je me dirige moi-même à l'encontre du chef de la tribu. Je ne suis plus un enfant, j'ai mon mot à dire et on me doit le respect. Je prends la destination indiquée par Mayuri. Arrivé devant la maison d'accueil, je tape à la porte et attends. Un vieil homme l'ouvre et me demande d'entrer. La pièce est grande. Il y a des bureaux partout, des placards en bois et des tableaux représentant divers vieux sages. Le maître de la maison m'invite à m’asseoir, mais avant cela, Tetsuya arrive. Alors, en ne voulant pas trop chercher les problèmes, je me rattrape et laisse le Chunin discuter de la situation.

Je regarde mon genin plein de fougue me devancer pour rentrer dans la maison du chef. Bien entendu il se trompa d'abord de maison, ayant vu la jeune Mayuri m'indiquer la maison des ramasseur de thé. Prenant compte de sa tromperie il se dirigeat vers la maison d'a côté, cette fois la bonne. Je suis sur que s'il devait compter notre mission il ne dirra pas qu'il sait d'abord tromper de maison. Oh un moment de honte est vite passé mon petit lion.

Je prend tout mon temps pour arriver, j'espére que ma recrue a eu le courage de demander les informations de notre mission. Mais apparement j'arrive pile quand il veut ouvrir le bec. Trop long à la détente le Kovu. C'est loupé pour moi, me voila encore obliger de parler pour nous. En tout cas je prend place sur une chaise à côté de mon genin, qui à l'air de me bouder. L'aurais-je vexer ? Ma fois c'est comme ça qu'on se supasse.
Le vieux chef ne sait quand à lui plus ou il en est, il nous dévisage tous les deux ne sachant qui commande l'autre. Situation normal quand les deux se positionne comme dominant et non comme dominer. Je décide de prendre la parole.


Je tourne mon visage vers mon camarade. Si ce fichu genin pouvait réfléchir et parler tout en marchent nous n'en serions pas là. Enfin le principal c'est qu'on soit arrivé je suppose. Je regarde plus attentivement Kovu notament ces poches. Aucune bosse, ne me dites pas que cet idiot à balancer mon rubik's cube ? Pas le temps d'y réfléchir, la mission.


Pas très futé ces singes. Le vieux chef continu de parler sur mille et un petit détails. En bref les braconniers viennent tous les deux jours et c'est justement demain qu'il ferront la chasse aux singes. Cependant le nombre d'homme est incertains, ils doivent répondre à des commandes, augmentent le personnel (et le nombre de capture) les jours de grosse commande. Esperons que demain serra une grosse commande.
Je remercie chaleureusement ce vieil homme fatigué par les années, pour le couvert et le gite de ce soir. Notre travail ne débutera que demain matin après tout.

Nous sortons de la maison du chef, et j'observe mon genin d'un oeil étrange. Aurait-il vraiment jeter mon jouet ? Je vais vite le savoir de toute manière, et ça va se payer. Ce genin na pas encore compris que de sa formation dépendait beaucoup de chose. Notament de Kumo, qu'il devrais considérer comme une mère patrie. Non pas que je sois très compatriote et tout ça, mais le village de Kumo est remplie d'une quiétude que je peux voir chaque matin, et que je n'aimerais ne pas voir troubler.
De plus il se passe beaucoup de chose dans les hautes instances de Kumon, on le cache mais le Raikage n'est pas au sommet de sa forme. Il se passe des choses étranges même. Pourvu que nous nours retrouvions pas sans chef une nouvelle fois.

Nous arrivons à la maison des étrangers, à comprendre par là que c'est une maison qui est réserver aux gens de passages. Mayuri nous y attend et nous invite à nous installer dans le salon le temps qu'elle finisse de faire à manger. Je profite d'un pseudo oublie, une fois dans le salon, pour revenir dans le couloir d'entrée, posé ma veste et prendre deux minutes pour aller voir si mon jouet se trouvait dans la caravane. Rien ! Il me la balancé ! Je retourne dans la maison et arrive dans le salon. Je m'assois sur un coussin au sol, face à la table, tout en prenant la position du lotus. Je vois que Mayuri à pensé à nous donner une bouteille de sake, avec trois coupelles empilés. Je nous en sert à tous. Et tend celle destiné à Kovu, qui lui aussi assis me fait face.


Il saisit la coupelle et la bois cul sec. Je prend bien soin de voir s'il la boit ou s'il utilise un quelconque subterfuge pour éviter de prendre un verre en ma compagnie. Je deviens méfiant. Je bois la mienne cul sec également. C'est comme ça que l'on boit le sake après tous. Kovu me regarde ce demandent sans doute ce que je manigance.


Il me regarde d'un sale oeil, et je lui souris aimablement. Je ne suis ni son père ni son sensei mais je me comporte comme les deux. Sa doit passablement l'énerver, mais après tous je fait ça pour son bien. A se prendre pour un Roi il finira Pion.


Je vois qu'il cherche une échapatoire à cette question et je ne lui en laisse pas le temps. Je place ma main devant ma bouche, comme si j'imitais l'envoie d'un baiser, et souffle un vent violent qui soulèvent la table et propulse ma recrue contre le mur violement. Celui-ci secoué se retrouve au sol d'où il se relève avec un visage méchant.
Toujours dans ma position du lotus, je me lève et voit Mayuri se précipité face aux bruits.


Kovu face à moi se préparais à un nouvel assaut. Il veut en découdre, mais il prend du temps à réfléchir.


Je lui décoche trois shurikens, ayant toujours mes sacoches sur moi, même si mon manteau était posé à l'entrée. Il les contre aisément, ce qui est normal il est quand même genin. Mais cela me laissa le temps d'employer un de mes genjutsu.
Kovu vit une étrange brume sortir de ma bouche, et celle ci à une vitesse fulgurante l'entoure. Et il vient à manquer d'air et à avoir l'impression d'étouffer.


Le pauvre Kovu est mal en poing, il se tient la gorge tout en toussant. Il est maintenant péniblement assis sur le sol, les genoux sous les fesses. Quel position fier dans un tel moment. C'est bien un lion après tous. Je décide de mettre fin à ma technique, j'aimerais ne pas être coupé par cette méchante quinte de toux. Et puis le tuer m'ennuierais. Kovu reprend des couleurs, mais il se tient toujours la gorge et doit maintenant avoir les sensations post traumatique d'un etouffement. Mon regard rouge depuis le début de ce pseudo " combat " le fixe intensément.


Je le regarde et je constate qu'il m'écoute.


Je m'approche de Kovu, et me retrouve à un mètre de lui. Il est obligé de lever les yeux pour voir mon visage.


Je pose ma main sur sa tête, comme le ferrait un père avec son fils. J'emploie une autre technique de genjutsu de mon répertoire, le nuage endormit. C'est avec la vision d'un nuage cotoneux que kovu bascule sur le côté et s'endort.
Même s'il est endormit je ne peux m'empêcher de lui lacher quelques mots aimable.


Sachant que tant de bruit à du faire peur à Mayuri, je me décide à aller voir dans la cuisine. J'ouvre la porte coulissante, qu'elle avait aimablement fermé après lui avoir fait comprendre de ne pas se mêler de nos affaires, et la trouve derrière, assise tout en penchant l'oreille. Elle me regarda surprise d'être découverte dans son espionage.


Je lui sourit aimablement, essayant de détendre l'atmosphère. Peut être que j'y étais allé un peut fort avec Kovu, mais sa me paraissait nécessaire. Ne comprenant pas les paroles il comprendrait peut être les actes de force.


Mayuri se leva et partit dans la pièce à côté. Quand à moi je me dirigea en cuisine pour prendre de quoi balayé et une pelle pour ramasser les morceaux de verre brisé laissé par le sake et les coupelles.
Le nettoyage fut fait rapidement. Par chance je n'avais pas brisé la table en l'expulsant avec mon fuuton. Je pris soin de la remettre en place et fit attention de ne pas laisser de morceau de verre tranchant sur le sol. Un accident est si vite arrivé.

C'est quand j'ai finit mon nettoyage que Mayuri réapparait, me signifiant que la chambre est prête. Aimablement elle se propose de m'aider à transporter Kovu. Je l'attrape par les bras et elle le prend par les pieds, et nous l'enmenons là où il finira sa nuit. Les deux lits sont en fait que de simple matelats posés au sol avec une couverture et un oreillet. Un peut soucieux de l'état dans lequel ma recrue serra à son réveil je lui enlève sa tunique, le laissant torse nu, et j'examine son dos en le plaçant sur le côté. Le choc fut rude j'aperçoit plusieurs bleus.


Elle se presse d'aller le chercher, apparement elle est vraiment inquiète pour mon genin. Je me prend à regarder si je n'aperçoit pas le signe des membres du clan Raiken sur son corps, mais ne le trouve pas. Cela m'intrigue. N'aurait-il pas encore été autorisé à utiliser la puissance de son clan ? Voila une question intéressante, mais je n'en chercherais pas la réponse.
Mayuri revient avec une boite qu'elle tient comme un trésor. Je la remercie d'un hochement de tête, ouvre la boite et me met à tartiner les bleus de mon genin de cette pommade curatrice. Je demande encore l'aide de la jeune femme pour qu'elle me trouve des bandelettes, qui permettrons à la pommade de pénétrer un peut plus la chair et donc d'être plus efficace. Elle s'execute et j'emballe le torse de ma recrue de bandage. Et bien le jeune lion à l'air malin comme ça.

Nous nous retirons de la chambre laissant Kovu à la fin de sa nuit. C'est non sans plaisir que nous nous mettons à table. J'ai la joie de constater les talents de cuisinière de Mayuri, qui sait relever un plat avec les épices qu'elle recueille à chaque coin du pays.
Au début du repas nous ne parlons pas, elle sans doute surprise de ce combat entre camarade, et moi encore dans l'agitation du moment, et dans une profonde réflexion sur ce que j'allais faire de ce genin s'il continuait à s'entêter. Mayuri cependant arrive à surmonter sa timidité et à lancer un sujet de conversation, que je m'empresse de saisir pour enlever ce malaise planant sur nous.
La fin de soirée finit agréablement en conversation, ce n'est pas les éclats de rire pour autant, mais je me contente de cette ambiance moins pesante.

Mayuri me quitte fatigué, mais prend le temps de me faire un thé que je prend plaisir à déguster. Elle me signale aussi qu'il y a des pyjama dans le placard de la chambre.


Je vois le rouge monter à ces joues et elle part ce réfugier dans sa chambre. Ne me dite pas que Mayuri à le béguin pour moi, la barbe. Tu montre un peut de gentillesse et tu as une meute aux fesses. Je ferrais mieux de la redirigé sur Kovu, ce serrait plus amusant. Je me demande comment il se comporte avec les femmes lui. Si ça se trouve il serrait un ange si j'étais une femme en même temps que se sont supérieur. Quoi que je ne connais pas ces gouts.

Je finit mon thé, et part mettre la tasse dans l'évier et me dirige vers la chambre. Kovu dort toujours paisiblement. Ma technique ne donne pas de cauchemard, c'est un rêve de paix qui gouverne son inconscient.
Je prend un pyjama dans le placard que m'avait indiqué Mayuri. Il s'agit en fait d'un Kimono/Pyjama, comme à la belle époque que je n'avais pas vécue. Je me glisse alors dans ces vêtements de nuit et les découvre léger et ample. Ce n'est vraiment pas désagréable, mais il faut bien faire attention de bien sérrer la ceinture. Par plus de précaution je garde mes sous vêtements.

Je me couche alors dans le lit voisin à celui de Kovu. Encore heureux celui-ci ne ronfle pas, sa aurait été le comble. Je finit par m'endormir péniblement après une demi heure à me battre avec ma couette. Bien entendu ce n'est que cauchemard et tourment qui vienne hanter cette nuit. J'ai même l'honneur d'accueillir Kovu parmis les membres de ma familles écorchés. Le jeune genin n'ayant plus de trachés essayé de m'articuler des mots dans une marre de sang.

Je sort de ce cauchemard deux heures à peine après m'être endormit. N'en finirais-je jamais de ces nuits pénibles. Généralement je parviens à tenir jusqu'à l'aube, là ce n'est cependant pas le cas. Est-ce Kovu qui vient me tourmenter ou bien le fait de mettre rappeler des souvenirs de jeunesse lié à ma mère adoptive ? Je ne saurais le dire, en tout cas je me lève. Inutile de rester allongé à regarder le plafont. J'ouvre une des portes coulissantes de la chambre et celle-ci débouche sur la court arrière, où un cerisier trône au beau milieu de ce terrain terreux. Peux de fleur, mais quelques une éparses.
Je prend un kunai dans une de mes sacoches, m'asseoie face à cette porte ouverte et m'amuse à lancé mon arme devant moi, et à la reprendre pour refaire le même geste qui me deviendra systématique. Je sais que j'abime le sol de cette maison d'invité, mais ce geste calme mes tourments. Je sais qu'il ne me reste qu'une heure ou deux avant le lever du soleil.

Je passa les heures restantes en réflexion et mise au point de stratégie diverse contre des adversaires imaginaires. Une fois que le soleil pointa à l'horizon je décida de m'habiller et de m'entraîner dehors. Les heures passèrent alors très vite avec l'exercice physique. Je vit Mayuri venir me servir un thé alors qu'elle avait les cheveux en bataille. Elle est d'une prévenance cette femme, bonne à être marier, c'est l'expression qui lui colle à la peau. Mais qu'elle ne compte pas sur moi pour l'épouser.
Je vois mon genin poster à la porte de la chambre que j'avais laissé ouverte. Il me fixe étrangement, je ne prend pas le temps de le regarder et lance :


Mon ton se voulu froid, mais j'espère que la nuit lui à porté conseil. De toute manière je verrais bien sa réaction durant la mission. Je stoppa mon entraînement et partit prendre une douche bien mérité. Mon genin pendant ce temps mangeait dans la cuisine et en passant je capta une bride de phrase de Mayuri.


Je ne préta pas plus attention à leur conversation. L'eau fraîche me fait un bien fou, et je me prélasse sous se liquide bien venu, un long moment. Je décide de sortir, tout en me séchant mes cheveux avec une serviette. Je croise Kovu dans le couloir, attendé t-il que je libère la salle de bain ?


Je part me servir un thé dans la cuisine, la serviette sur les épaules. Mayuri est assise à la table de la cuisine à éplucher des pommes de terre. Elle me voit me servir un thé et me lance ravi :


Je boit une gorgée, et nous voila partit dans une discussion sur le thé. Tu as gouté celui-ci, comment tu fait celui-là, ce genre de conversation de femme de maison ou de fan de thé. Kovu vint nous rejoindre en peut de temps. Je prend soin de jeter la serviette sur une chaise et dit tout en me levant :


Je fait signe à Kovu de me suivre. Nous traverson tous le village et arrivons devant la forêt. Nous nous enfonçons le plus discrêtement possible dans ce lieux qui nous serra hostile sans nul doute. J'ai le dégout d'apercevoir déjà un des lémuriens que l'on est sencé sauver. Planant d'arbre en arbre juste au dessus de nous, je montre à Kovu la bête. Dire que c'est ça qu'on doit protéger, j'en ferrais bien une descente de lit pourtant.
A force d'avancer dans la forêt nous aperçevont une petite clairière, à comprendre un troue de la largeur de deux arbres voir trois. On peut y constater la présence d'une cage mise là par les braconniers. Nous prenons soin de bien nous cacher derrière les arbres. Je m'avance à couvert et constate la présence d'une banane et d'une clochette dans la cage. Sans doute que quand l'animal bouge cela actionne la cloche qui ramènes nos braconniers. Bon ce n'est pas tous ça mais on a pas toute la journée. Etant donné les traces de pas que je vois sur le sol, il y a deux hommes ici. Je regarde Kovu avec malice.


J'utilise une métamorphose et devient un lémuriens volant doré. Je ne peux imaginer pire scenario que celui que j'entreprend. Je fonce dans la cage en prenant la forme de ce singe horrible, j'attrape la banane. Et je vois ma cellule se fermer sur moi. Je prend soin de me débattre assez pour que la clochette face son effet. Au bout d'une minute ou deux je vois arriver deux bon homme qui me regardent d'un sale oeil, presque pervers.
Kovu j'espère que tu as retenu des choses d'hier soir...

Tetsuya prend bien le soin de demander au vieil homme de lui expliquer la situation. Quand ce dernier finit de donner tous les détails, je me lève et suit le Chunin vers la maison d'accueil. Une fois arrivé là-bas, Mayuri nous prépare un bon plat. Le dîner se déroule en silence. Je me demande ce qui va se passer ensuite. Après que tout le monde se soit rassasié, la jeune femme nous invite à rejoindre le salon pour prendre de bons verres de Sake. Quand elle me verse le liquide, je le vide d'un seul trait. Tetsuya en fit de même. Ensuite, sur un coup de tête, ce dernier me parle de son rubik's cube. Nom d'un chien errant! Je l'ai jeté! Je cherche alors rapidement une excuse. Cependant, il ne me laisse pas le temps de lui expliquer. Il me projette alors avec puissance vers le mur de derrière avec son Fuuton. Je me retrouve très vite au sol, blessé. J'essaye de me relevé pour riposter mais il m'en empêche. Il lance en ma direction trois shurikens que j'évite facilement. Quand je me retourne de nouveau vers Tetsuya, je vois une étrange brume sortir de sa bouche? Un genjutsu? Non, pas encore! Je ne peux rien faire, j'en suis prisonnier de nouveau. L'air devient dur à capturer, je m'étouffe. Mal en point, je me sers la gorge avec mes deux mains tout en lançant mon regard le plus noir au Chunin. Laisse moi seulement le temps de reprendre mes esprits... Quand je veux répliquer, il annule la technique et se met à parler.

Il me parle de mon état d'esprit. Ma manière d'agir envers les supérieurs, comment je suis têtu. C'est pas son problème, ce n'est pas mon père. Ensuite, il essaye de calmer le jeu, de prétendre que la vengeance n'aura pas lieu. Je sens monté en moi une grande colère, j'essaye de la contrôler, il est tout de même un supérieur. Mais, quand j'entends son deuxième discours, mon envie baisse soudainement. Cette fois-ci, il traite de sujets plus sérieux. Tetsuya m'explique que Kumo court sûrement en ce moment même un grave danger. Nous manquons d'effectifs, le Raikage n'est pas dans son assiette et le village est en mauvaise relation avec les voisins.

En l'écoutant, je retrouve un air sérieux et laisse voguer au loin mon envie fougueuse de vengeance. Finalement, il me prend au sérieux, me considère comme un ninja de Kumo. Quand je décide de me lever pour aller lui répondre, il intervient rapidement et se place devant moi. Après m'avoir administré un conseil sur le respect des aînés, il m'envoûte avec un autre genjutsu. Cette-fois ci, l'illusion a pour effet de m'endormir. Sans même le remarquer, j'entre dans un profond sommeil...

Le jour se lève et je me retrouve sur un lit bien chaud, torse nu. Mes blessures légères d'hier soir sont maintenant guéries. Mais qui est-il vraiment, ce Tetsuya? Pourquoi se comporte t'il ainsi avec moi? Je me lève doucement, enfile ma tunique maintenant propre et sors de la maison. Je le retrouve dehors, en train de s’entraîner. Il me lance avec une voix froide que je dois aller me préparer pour la mission. Sans plus attendre et ne voulant pas causer plus d'ennuis, je retourne à la maison et fais ma toilette avant de prendre un dernier thé avec la maîtresse des lieux. Quand je suis prêt, je remercie Mayuri de son hospitalité et attends patiemment Tetsuya devant la porte de la demeure.

On prend sans plus tarder la direction de la grande forêt. Après quelques sauts d'arbres en arbres, je m'arrête pour observer la pauvre bête. On continu ensuite notre route pour arriver devant une clairière. Une cage semble y être aménagée. On se cache discrètement derrière les arbres. Je me retourne vers le Chunin et attends son signal pour tenter quelque chose. Il me dit, avant de se métamorphoser en lémurien volant doré, de lui montrer qu'il a tord sur moi. Je comprends rapidement sa tactique et le voit agir. Il fonce vers la cage et l'agite pour attirer les chasseurs de singes. Tout à coup, deux hommes apparaissent et lancent un regard mauvais et pervers sur Tetsuya métamorphosé. Je me prépare à agir. Cette fois-ci, je vais lui montrer, à Tetsuya, de ce dont je suis vraiment capable. Je saute des arbres et fonce vers les deux hommes en faisant des signes des mains. Dès que ces derniers se retournent pour voir ce qui se passe, je me retrouve devant leur yeux.

C'est fini.

D'un coup rapide et sec, avec mon Juuha Reppushou, je les propulse tous les deux près de la cage, inconscient. Ensuite, en j'avance lentement vers leur direction. En passant par-dessus eux, je regarde Tetsuya dans les yeux et invoque une voix sérieuse et sûre d'elle.

Voilà ce dont je suis capable. Je suis du clan Raiken, ne me sous-estimé pas. Un jour, je serais moi-même Raikage, et en attendant, je promets de faire de mon mieux pour montrer du respect envers mes supérieurs, merci, Testsuya-san.

Sur ce, je lui ouvre la cage et attends qu'il reprenne sa forme habituelle. Finalement, j'ai bien appris de lui, il a su comment me ramener à la raison. C'est un bon ninja, un bon exemple. Je lui souris et lui demande ce qu'on doit faire des malheureux hommes inconscients.

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Spoiler:

Kovu saute des arbres et fonce vers les deux hommes. Une attaque frontal, bon pourquoi pas, tant que ça marche. Je le vois composer de rapide mundra, et dès que les deux hommes se retourne pour voir mon genin, ils se voient propulser inconscients à côté de ma petite prison. Bon rapide c'est le moins qu'on puis le dire.


Quelle belle tirade. Enfin je trouve le Kovu que j'avais deviné cacher sous tous ce mépris envers ces supérieurs. En plus il souhaite devenir Raikage, haute ambition mais pourquoi pas, ce ne serrait pas infaisable pour lui. De toute manière Raikage ou non il serra une pièce maitresse de Kumo je le sent. On entendera parler de ce chuunin, oui il est maintenant certains qu'il passera chuunin après notre mission. Je donnerais un avis positif sur lui.

Kovu m'ouvre gentiment la porte de ma cage. Je sort et reprend ma vrais forme. Une fois moi, j'épouste la poussière sur ma veste. Ma recrue me demande ce que l'on fait de nos deux inconscients.


J'invite donc Kovu à me suivre à la recherche des autres braconniers. Nous les trouvons non loin de là à côté d'une caravane remplit de cage, ou je vois déjà des lémuriens en cage. Il n'est pas très tard mais ils n'ont pas chômer. Nous nous raprochons des deux hommes au couvert des arbres. La distance qui nous séparent est maintenant d'environ vingt mètres ce qui est fort pratique pour moi. Les deux braconniers sont en pleine conversation et il ne remarque pas notre présence.


Kovu connais bien cette technique étant donné que je l'ai employé hier pour lui faire comprendre sa leçon. Les hommes tombent au sol se voyant s'étouffer. Je maintiens assez longtemps ma technique pour que les deux braconniers tournent de l'oeil.
Je me dirige donc avec Kovu dans la caravane afin de libérer les sac à puces capturer. J'en ouvre la plus part avec l'aide de ma recrue et je tombe sur une triste scène. Une femmelle morte avec un petit qui sert le cadavre de sa génétrice ne voulant pas la quitter. Dur de libérer un animal incapable de survivre. Même si je n'aime pas ces foutu singe je ne peux pas enmener cette animal si petit à l'abataoire. S'il s'agissait d'un adulte bléssé encore, j'en aurais fait une descente de lit, mais la je peux même pas m'en faire des moufles.
Pas le choix je décide de prendre le petit lémuriens avec moi, mais hors de question de m'en occuper. Je le donnerais à mon sensei. Après tous il a déjà pactiser avec les singes, donc ça ne devrait pas lui poser plus de problème que ça. Je force donc le petit animal à lacher sa mère morte. Il résiste au début puis s'aggripe à mon bras. On dirrais une ventouse.

Je grimace en sentant l'animal enserré mon bras gauche. Me voila bien avec cette bête accroché à moi. Kovu me regarde étrangement, je le supplie d'un regarde de ne faire aucun commentaire sur cette situation.

C'est avec un singe accroché au bras tel un bracelet que nous rentrons au village. J'attrape un villageois au passage et lui signal que nous avons assommé les braconniers dans la forêt à eux de voir ce qu'ils comptaient faire d'eux. Ce que je n'avais cependant pas prévu c'était que le petit lémuriens m'attire tant de regard curieux, certains même réprobateur. Mais si vous voulez ce singe je vous le donne sans problème, venez juste me le décoller.
Nous retrouvons Mayuri dans la maison, et elle nous sourie à notre arrivé. Ne jouons nous pas à ce moment précis à la famille parfaite ? Cette image m'apparait soudain. Le père et le fils rentrant de leur travail et accueilli par une femme enjoué, prête à soulager de ces tendresses leur mauvais instants. Je grimace en pensent à cette image. Très peux pour moi tous ça.

Nous mangeons avec plaisir les plats de Mayuri et discutons vivement. Mon singe ne se décolle pas de moi et je tente de le nourrir en réduisant la nourriture en bouillie. Il mange délicatement cette mixture nouvelle.
Je sent moins de tension entre Kovu et moi, ce qui me ravi. Après tous il a compris que ces ainés ne veulent que sont bien et sont épanouissement. Même s'il ma gentiment remercié de mon enseignement j'aimerais éviter qu'il ne devienne comme mon camarade Nakibi, qui regarde notre sensei avec de yeux pétillent. C'est donc avec un grand sourire malicieux que je lui dit :


Kovu me souri heureux. Je ne me rappel pas avoir été aussi heureux que lui lors de ma monté en grade. Mais sa joie fait plaisir à voir.
Ce n'est que le soir venu que nous partons pour Kumo, Mayuri ayant passé le reste de la journée à négocier avec les Saru. Bien entendu nous l'avons aider au chargement en remerciement de ces services.

Sur la route je me retourne pour parler à Kovu qui est à l'arrière et lui dit :

Spoiler: