Suna ... Aujourd'hui, journée spéciale Sasu, Oni avait décidé de se concentrer un peu sur son petit nouveau, aussi, elle sélectionnait une mission adéquate pour leur première ensemble. C'est avantageux d'être l’assistante du Kage quand même, elle pouvait faire son trie sans être dérangé, vraiment, elle était d'autant bien placé que Shin était très laxiste avec elle, le boulot de rêve. Ainsi, un ordre en main, elle envoyait un messager prévenir son cher disciple de leur sortie, cette fois, elle voulait constater sa capacité à s'adapter avec les étrangers, sa position vis à vis d'eux, pour ça, elle choisissait une collaboration proposé de Konoha avec une de leur équipe. Voilà qui lui rappelait des souvenirs, genin elle aussi avait effectué ce genre de mission, cela lui avait permis de tisser des liens avec des shinobis extérieur, au pire Konoha était une alliée, que risquait son élève? Ainsi, elle se retrouvait devant les portes en l'attendant, regardant de plus près le rapport de mission tout en sirotant le contenu louche de sa tasse de thé. Elle lisait ses fiches sur les ninjas Konohajins qui allaient les accompagné, un premier nom Kanazuke Aizen avec un visage sur la photo qui ne lui disait rien et une jeune fille du nom de Senju Naoko. Un sourire mesquin marquait la Kitsune sous la lecture de ce dernier nom, ce clan là ne lui était pas inconnu bien au contraire, elle n'était pas contre la récupération d'un échantillon de sang. Oni secoua la tête, vraiment, il allait falloir qu'elle arrête avec ses idées tordues, tout cela était loin maintenant, non... ஐ Oni ஐ " Restons en là, ne nous tentons pas... " Elle fermait le dossier des ninjas en pensant à haute voix. S’intéressant plutôt au problème à régler, elle relevait qu'une bande de malfrats avait dû s'organiser près des frontières, espérant jouer en passant de l'une à l'autre pour ne pas être inquiété. Malheureusement pour eux, Suna et Konoha l'avaient joué bien plus maligne, en se faisant passer les rapports sur les dépouillements de ces dernières pour prendre ensemble toujours, la décision d'éradiquer la source. Mais avant pour un peu d'amusement, ils allaient partir à la chasse des sous-fifres histoire d'en attraper quelques un pour un interrogatoire, le jeu préféré d'Oni, voilà qui expliquait mieux le choix de la mission, elle avait tout pour lui plaire. Tous se rejoignaient donc à l'entrée ou la fin de la forêt, dépendant du point de départ, ça n'étonnerait pas la Kitsune qu'il y est deux bases, une bien situé dans les bois et l'autre dans une grotte de l’entendue désertique. Bien ils n'en étaient pas là, déjà il fallait commencer par quitter Suna et pour ça mettre la main sur son disciple, finissant ses dernières gorgées de sa drogue fétiche, elle sortait de sa manche un petit tube transparent contenant plusieurs pilules. Les médicaments suspect comme tout ce qui venait d'elle en faite, était destiné à son élève, un petit boost non négligeable, qu'il allait surement apprécié, la Kitsune elle en tout cas ne sans passait plus. Pourquoi résumé sa vie à seize heures par jour tout au pire, alors que trois pilules pouvait la relever à vingt trois heures d'éveille sans fatigue. Pas forcement bon pour l'organisme se dirait-on, mais tant que cela rester passager, aucun soucis, de l'énergie, il allait lui en falloir, c'était le moment ou jamais pour Oni de voir si son cadet cédait lui aussi aux vices ou avait ses éthiques. Car clairement, elle n'allait pas lui caché la matière illicite qu'elle lui proposait, non, cela n'affecterait pas sa conscience, pour elle, qui ne voyait que toujours les côtés qui l'arrange. De beaux combats les attendaient, c'est là, qu'elle pourrait mieux voir la nature de son élève, car la Kitsune en était persuadé, sous ses airs fétiches, ce gamin avait un potentiel monstrueux...

Suna ... Fatigué d'attendre, le Kitsune débarquait directement chez son disciple, elle toqua à la porte avec insistance qui montrait bien son manque de patience, au bout d'un moment, la porte s'ouvrait pour laisser apparaître le visage marqué de Sasu. Visiblement il n'était pas très comblé de voir sa senseï ici et pour cause, elle allait vite le comprendre, s'invitant qu'elle même, Oni franchissait la porte pour s'engouffrer dans cette antre, toute petite. Le lieux étroit la choqua, non, elle n'était pas chez lui là, c'était un atelier tout au mieux, cet endroit était sinistre, le parfum qui s'en dégageait lui rappeler son laboratoire. Du moins, très vite ses narines furent attirer par une odeur putride lançant un regard vers la source, elle fut choqué de la vision des lieux, des paquets de sucreries éventrés ou des aliments louches se décomposant. Du bois des outils partout, mais portant des signes de vie là-dedans, elle regarda blaser le rideau qui cachait ce lieu d'horreur au monde, un blanc si pur dans un lieu si infâme, pas même une cellule de Suna n'avait ce niveau. Ses pensées lisibles sur son visage, elle fixa son élève perplexe, pour poser une question à laquelle, elle connaissait malheureusement la réponse. ஐ Oni ஐ " Sasu, tu vis ici? C'est ta maison...?" Bien qu'elle le savait pertinemment, elle ne pouvait y croire encore. Se rendant compte de sa réaction puérile qui pourrait le rendre mal à l'aise, la sensei se rattrapa pour reprendre son rôle, laissant de côté son état d'âme de mère qui aurait voulu serrer cette petite chose et l'emmener loin de là, car Sasu n'était après tout encore qu'un enfant. Essayant de garder son sérieux en tant que shinobi, elle lui exposa la mission en quelque lignes, ils devaient se rendre à la frontière rejoindre une équipe de Konoha pour mettre fin à une organisation de malfrats ensemble. Elle ajouta qu'il ne serait que tout les deux cette fois, Gaashu son coep n'était pas convié, cela pour la simple raison, qu'elle et Sasu devaient aussi apprendre à se connaître. Puis d'un sourire plus tendre qui trahit que son rôle de senseï perdait face à son instinct primaire de femme, elle relança le sujet qui l'avait troublé alors qu'elle faisait quitter ce lieu infect à son disciple. ஐ Oni ஐ " Pardonnes ma façon déplacé de dire les choses, mais je t'averti tout de suite, pas question que je te laisse ici... Je te laisse te préparer je t'attend ici, puis nous partons dans le désert, direction la frontière. Une dernière chose! Tiens!" Elle lui tendait des pilules " Gobes ça, ça ne peut pas te faire de mal, ça te donnera un coup de pouce sur ton énergie pour notre longue marche..." Elle souriait avec son air espiègle avant de lui faire signe de se préparer. Dans un premier temps, il allait falloir s'occuper de cette mission, mais il était certain qu'au retour, Oni ne permettrait pas de laisser son apprentis dans de pareils conditions de vie, elle en était exaspéré. Un autre point l’inquiété, l'était de santé de ce dernier, il serait peut-être temps aussi pour elle de se pencher là-dessus, bien sûr, le tout devait venir avec son temps, elle ne pouvait pas lui sauter dessus et l'attacher à sa table d'opération histoire de faire ses analyses. Quoi qu'il était surprenant que cela la gêne, Oni n'était après tout pas du genre à demander les avis des autres en faite. Elle cogitait sur la façon de manœuvrer cette histoire, si bien que son objectif principal avait vite fait de lui sortir de la tête...

Suna ... La Kitsune se surprenait de l'attitude de Sasu, de tout points, c'était vraiment un enfant facile, il ne contestait rien, ne se plaignait pas, on ne l'entendait qu'à de rares occasions, le strict minimum. Pourtant, elle avait bien conscience qu'aujourd'hui elle lui courrait sur le haricot, son intrusion et son ordre de mission avaient tout pour lui plaire. Sans broncher, il avait même avalé les pilules, ne sachant même pas vraiment ce qu'elle contenait, très bonne attitude qui plaisait à la Kitsune, il partageait au moins la même longueur d'onde sur un point, éviter les prises de têtes. Aussi le constatant ingurgiter encore des sucreries, elle s'amusa de sa préférence alimentaire, Oni avait une confession à lui faire, elle aussi était une grande gourmande, mais la naissance de Seizo, la contraignait à montrer l'exemple à son plus grand damne. ஐ Oni ஐ " Tu aimes les glaces? Perso, c'est une tradition que m'a transmis mon précédant senseï, on allait ensemble en partager une..." Elle souriait nostalgique et un peu triste. C'est fou, elle aimait reproduire des gestes du passé qu'elle aimait tant, mais cela la rendait aussi triste qu'heureuse, ces sentiments complexes qui se mélangeait former la nostalgie, ainsi le contraignant une fois encore, Oni lui fit prendre un détour pour retrouver le marchand de sa première glace. La Kitsune ravie en achetait donc une, qu'elle séparait en deux comme il était de coutume pour en offrir la moitié à son protégé, elle souriait ravie, cette femme était une extrémiste, à la fois douce et dure, sachant varier de sa simple volonté de l'un à l'autre. Ainsi donc, on dégustant les glaces, tout deux prenait le chemin des portes pour quitter le village, ces portes passaient, elle regardait Sasu espiègle, le chemin ne serait pas fait que d'une longue marche, il allait aussi être un jeu ou une corvée, à voir. Ouvrant sa sacoche, elle en sortait deux grandes poches de bonbons variés venant de tous les pays qu'elle avait visité, elle en lança une à son disciple avant de s'expliquer. ஐ Oni ஐ " Nous allons faire un jeu jusqu'à Konoha, d'une part le chemin en sera moins long, de l'autre, nous apprendrons à mieux nous connaître et le mieux de l'histoire, on sera qui de nous deux est le plus gourmand..." Elle riait amuser face à cette dernière affirmation béliqueuse. Le jeu avait un principe simple, à chaque question, une mise de bonbons serait faite, selon l'importance que celui à qui elle était posé en juger la réponse à donner. S'il répondait, celui à qui l'avait posé, se voyait dépouiller de sa mise, s'il restait muet et refuser de répondre, le questionnant remporter la mise, le premier qui n'aurait plus de quoi miser, serait le perdant, donc soumis à un gage. La Kitsune étama le jeu... ஐ Oni ஐ " Combien tu mises de bonbons pour... Tu semble attacher à ta marionnette, c'est un peu ton bébé non?" A ça, elle lui rajoutait un commentaire. " Si tu aimes les insectes, j'en ai plein dans mon labo... " Elle tira la langue attendant toujours sa réponse. Au tour suivant, ça serait à lui de poser une question, voilà bien des années qu'elle n'avait pas mit en pratique ce jeu, Sasu lui rappelait quelqu'un qu'elle connaissait bien. Elle se voyait enfant couper de ce monde qu'elle détestait tant, elle lui souriait tendrement, parfois, elle se demandait ce qu'aurait été sa vie sans avoir croisé Inajiro et cela rendait son absence plus dure. Voulant s'esquiver à cette pensée, elle pressait un peu son élève de répondre... ஐ Oni ஐ " Alors ces bonbons, ils sont pour toi ou pour moi? " Affichant un air espiègle.

Question Sucré ... Prêt à partir à l'aventure malgré lui, il suivit sa senseï au travers des rues où les maisons n'était que des châteaux de sable. On peu dire que le village de Suna sait se fondre dans son environnement, peut-être même un peu trop. Toujours sur le dos de sa marionnette aux formes arachnides, Sasu contemplé sans expression ce monde fait de poussière qui était son lieu de naissance, complètement absorbé par ses songes et autres rêveries insolite que je ne peux naturellement pas vous divulgué. Mordillant son pouce instinctivement, comme un geste de réconfort pour le garder sur le seuil de la réalité et de pas s'abandonner au monde du rêve. Il trouvait Oni fortement indécise envers ses sentiments, une fois jouant la dur l'autre fois la tendre, avait-elle une double personnalité s'interrogea le maladif. Ôté de ses pensaient, la juunin lui proposa de manger une glace sur la route. Une petite glace ? Pourquoi pas ? cela ne pouvait que rafraichir son corps fiévreux. Tout de même elle le prenait pour un enfant de 10 ans pour lui poser une telle chose ? Tradition où pas, il était trop tôt pour partager de tel moment. Peut-être que cela était sa façon à elle de briser la glace, avec une glace... Combattre le feu par le feu... Après un détour interminable, ils arrivèrent enfin devant le marchants, elle le rejoignait avec une glace à deux bâtonnet qu'elle divisa en deux pour lui donner l'autre moitié de celle-ci. Le marionnettiste observa une soudaine nostalgie sur le visage de son professeur, cela lui faisait-elle remémorer de vieux souvenir ? Bah il s'en fichait un peu, tant qu'il pouvait dégusté sa glace sur son pantin qui le transportait, il se fichait du reste. Atteignant les portes de Suna, la kitusne lui proposa un jeu. Mais qu'est ce qu'elle voulait encore celle-là ? Elle pouvait pas se tenir tranquille et faire un voyage calme ? Pensa le Genin de Suna, heureusement son visage pétrifié dans la nonchalance ne laissait rien transparaitre de sa mélancolie. Quoi que un faible soupir lui échappa. Mais lorsqu'elle lui parla de friandise venu du quatre coin du globe. Tout ses sens étaient en éveille, chose rare chez le shinobi, la simple vue des sacs à bonbon lui donna l'eau à la bouche. Pour la première fois son visage crispé se décontracta pour lancer un regard émerveillé à sa senseï. Elle lança dans ça direction l'un des sacs. Comme Spiderman lançait sa toile, il envoya un fils de chakra l'intercepté et le ramener à lui. Le gourmand ouvrit le sac à sucrerie sans attendre son reste et se pressa de mettre l'une des fioles dans sa bouche et de savourer. La saveur n'était pas de ce monde, fantastique, amer et doux, sucré et fondant. Sasu était au ange, il vénérerait sa senseï pour ça, enfin jusqu'à qu'il est fini le sac. Mais malencontreusement cela n'était pas gratuit, il aurait du s'en douter, ses bonbons n'était que la monnaie du jeu qu'elle avait exprimé précédemment. S'il voulait garder son trésors il faudrait qu'il répond au question posé de son maitre. Demandant par la suite ce que représentait sa marionnette pour lui, question ennuyante, mais qu'il devait répondre s'il voulait ne pas se faire dépouillé et raflé ceux de la juunin. - C'est... la seule... chose... qui me reste "Balbutia t'il à contrecœur" En effet, sa marionnette était la seul chose qui lui appartenait encore en ce bas monde. Elle est le fragile lien qui l'unis à son ambition, sans elle, il n'est plus rien, il ne serait plus qu'un corps vide de toute émotions, de toute raison, toute vie. Elle est ce qu'il rêve d'être. Il ne savait pas si cela était correct de s'exprimer ainsi, mais si cela était suffisant comme réponse, il lui réclamerait trois bonbon. Maintenant ce fut son tour de poser une question, il la fixa intensément laissant un silence de plombs s'installer entre eux. Puis dans sa tête la phrase prit forme, le voyage aller encore être long, donc autan se jeter à l'eau. - Pourquoi ?... ... ... Vous impliquez vous... dans les affaires des autres ? Sa question faisait référence à la scène qu'elle lui avait faite dans sa chambre.

Suna ... Dans le désert, ils avaient entamé la marche vers Konoha, ainsi que la proposition farfelue de la Kitsune, qui manquait vraiment de maturité parfois ou alors était bien futée avec ses airs d’idiotes. Chevauchant sa marionnette, Sasu se prêtait au jeu, les bonbons, son talon d'Achille, cela faisait sourire sa senseï, dans ses jeunes années, ils lui faisaient office de récompense, seul moyen de la faire écouter les leçons que lui donnait son grand-père. Quoi qu'il en soit, pour en revenir à nos moutons, son disciple avait répondu à sa question, c'est donc avec joie qu'elle lui lançait ses trois bonbons, il confirmait la réponse dont elle se doutait, effectivement, Sasu était très attaché à sa marionnette. Après tout, c'était sa création, son oeuvre, comme un enfant qu'il avait mit au monde, de plus, l'observant tranquillement affalé dessus, elle en concluait, que son pantin de bois était aussi une prolongation de ce corps fragile, une partie de lui. Oni toujours aussi joviale, écoutait la question de son disciple, car oui c'était tour après tout, celle-ci ne la surprit pas vraiment, partisan de l'échange équivalent tout elle? Voilà qui lui plaisait de mieux en mieux. ஐ Sasu ஐ "Pourquoi ?... ... ... Vous impliquez vous... dans les affaires des autres ?" La Kitsune ne cachait pas le petit rire que cela lui déclenchait, question intéressante, avec là aussi une réponse évidente, elle était une petite curieuse, mais là, il faisait référence à son intrusion chez lui, elle savait que sa petite action avait été déplacé. C'était peut-être une façon détourné de lui faire remarquer, elle souriait tendrement, se demandant, si elle le dépouillait de quelque bonbons ou jouer un jeu de non réponse pour lui en donner, non, elle était trop joueuse pour lui faire des cadeaux. ஐ Oni ஐ "Parce que je suis une vilaine petite curieuse... Et je le serais bien plus encore avec toi, car tu es mon disciple, je suis là pour te prendre sous mon aile et te passer mon savoir. Mais pour moi mon rôle ne s'arrête pas là, dès le moment où on t'as mis sous ma garde, tu es devenu un de mes enfants, tout comme Gaashu avant toi, ou Seizo que j'ai mit au monde, en tant que deuxième maman, j'ai le besoin de prendre soins de toi. " Elle lui fît un clin d'oeil après ça. Oni n'aimait pas passer par quatre chemins, elle préférait les réponses directes et était toujours très franche, trop parfois, pour elle, il était son fils adoptif et elle s'en foutait royalement que cela lui plait ou non, quand elle avait un truc dans la tête cette fille... Bref, la seule personne que la Kitsune écoute c'est elle-même... C'était donc son tour de poser une question, mais avant, elle réclamait deux bonbons à son élève, puis pour suivre la lancer de la conversation, elle poursuivait dans la voie. ஐ Oni ஐ " Bien à moi ! Tu aimes vraiment l'endroit où tu vis? Tu n'as pas envie de changer, découvrir autre chose, vivre avec quelqu'un, le luxe du petit déjeuner au lit... Je tuerais pour retrouver ça..." Rajoutait-elle joyeusement. Elle s'éclatait bien avec son idée enfantine, mine de rien, elle partait bien cette discussion, elle se demandait jusqu'où pourraient aller les questions. En tout cas elle avait l'intention de tester la limite, on est une Oni ou on l'est pas!

Ami ou ennemi ? ... Vilaine curieuse, c'était-elle elle-même qualifié. Dans un sens Sasu lui donna raison. Pour se mêler des affaires des autres, elle était talentueuse pour cette tâche, mais pour ce qui est de l'autorité c'est encore à revoir. Alors comme ça elle le considère comme son propre enfant ? Foutaise, le marionnettiste le voyait bien. La juunin avait un regard identique à tous ceux qui l'ont précédés, une attention pleine de pitié, cherchant à concevoir le mal qui le rongeait de l'intérieur, comme-ci ils pouvaient l'imaginer. Tous les mêmes, ils ne veulent pas s'impliquer, mais ne veulent pas non plus avoir la culpabilité de n'avoir rien fait, chacun à plus au moins apporté sa pierre à l'édifice, puis ont disparue de la surface de la terre, faisant semblant de ne pas le connaître. Le maladif devait se taire et accepter sans objection ce qu'on lui offre. Surtout depuis que son médecin personnel lui annonça une mort prochaine. Il lui restait encore sept ans à vivre, peut-être moins, son corps s'affaiblirait d'année et son système immunitaire serait complètement anéanti, proie à la moindre maladie. Suppliant son médecin de ne rien divulguer à personne, car il lui serait interdit de devenir un shinobi si on le savait gravement malade. Aucun remède légale ne pouvaient le sauver, donc il fallait qu'il brave l'interdit. Qu'il outrepasse les lois du monde shinobi, qu'il trompe cette mort approchante, il se devait de jouer dieu, car lui-même qui porte le nom du père de tout les hommes n'a pas fait bien son travaille. Vendant son âme au diable, il cherchera la vie éternel et parfaite. Une vie sans restriction. Sasu jeta deux bonbons en direction de sa senseï, cela ne l'enchantait guère de perdre des bonbons, mais bon c'est le jeu. Fixant de ses yeux perçant la fillette qui lui servait de prof, il remarqua que cette dernière semblait bien s'amuser, contrairement à son disciple qui chevauchant sa marionnette se retourna pour lui montrer son dos. Son visage enfantin agacer quelque peu le jeune homme, comment pouvait-elle prendre autan de plaisir à poser des questions embarrassante ? Le tour de la kunoichi était venu, comme à son habitude elle fut direct et frappa un point sensible, quoi que le genin n'en avait que faire, bientôt ce ne sera qu'un mauvais rêve appartenant au passé. - Je n'ai... pas à décider... ce qui est bon... pour moi...C'est les autres qui...choisissent à ma place. "avoua-t-il d'un ton las" Le marionnettiste n'avait jamais choisi sa vie, les médecins et aide soignant ont toujours fait se qu'ils croyaient être bon pour lui, lui n'a fait que suivre ces décisions sans broncher, mais le petit mouton qui suis le troupeau n'est qu'un loup déguisé, qui prochainement les expédiera tous dans sa gueule. Suite à cette réponse il leva le bras pour exposer sur sa main avec ses doigts le chiffre quatre, représentant sans doute le nombre de bonbon voulu. Maintenant se fut à lui de posé une question, il en avait une d'ailleurs en tête. Une interrogation qui lui dévoilera le futur avec cette femme, si oui ou non deviendra-t-elle un obstacle entre lui et son ambition. - Si l'un... de vos enfants... venait... à fuguer...Pour une raison... qu'il croit bonne... mais que... vous... vous pensez... absurde... que feriez-vous ? Sa question était traduit d'une façon qu'elle ne puisse pas comprendre le sous-entendu derrière cette phrase d'apparence simplette. PS: Spoiler: